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Mon histoire de cultivation : être tempérée par les tests de ma croyance

23 janvier 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en juin 1997. Au cours des vingt-deux dernières années, mes amis et ma famille ont été témoins de la magnificence et de la grandeur du Maître et de Dafa en me regardant de près.

Un beau bracelet

Ayant grandi dans une famille pauvre, je n'ai jamais eu de bijoux en or ou en argent quand j'étais jeune. Ma fille m'a donné un bracelet en argent et je le chéris beaucoup.

Un jour, fin 2005, j'ai trouvé un autre bracelet en argent dans ma cour, qui correspondait parfaitement à mon bracelet. Au début, j'ai été surprise. Cependant, j'ai rapidement réalisé que je suis une pratiquante : pourquoi voudrais-je garder quelque chose qui ne m'appartenait pas ?

J'ai pensé à qui pourrait en être la propriétaire, et j'ai passé plusieurs appels téléphoniques. Il s'est avéré que c'était une dame qui était venue acheter du tofu à mon mari. Quand elle a réalisé que j'avais trouvé son bracelet, elle était tellement enthousiaste, et m'a dit : « Vous êtes si gentille : pas étonnant que vous soyez une pratiquante de Falun Dafa. »

« Tous les pratiquants de Falun Dafa feraient ça », lui ai-je dit.

Disparition de la tumeur utérine

Après mon examen physique en mars 2008, on m'a diagnostiqué une tumeur assez grosse dans l'utérus. On m'a recommandé de me faire opérer le plus tôt possible. Je suis rentrée à la maison et j'en ai parlé à mon mari. Il n'y a pas prêté attention du tout et j'étais en colère.

Malgré sa grande taille décrite par le médecin, je n'ai jamais ressenti le moindre inconfort. Au moment où je me suis sentie triste que mon mari n'y ait pas prêté attention, j'ai ressenti des douleurs dans le bas-ventre. Je me suis dit : « Je suis une pratiquante et ce n'est pas une maladie. Pourquoi devrais-je m'en soucier ? » La douleur a immédiatement disparu, et je suis allée planter des pommes de terre avec mon mari.

Onze ans ont passé et il n'y a eu aucun problème de tumeur. Comme le disait le Maître :

« Le bien ou le mal ne surgit que d’une seule pensée ; si elle s’était plainte, étendue par terre : “Aïe, c’est fini, j’ai mal, mal ici... mal là.” Elle aurait peut-être eu des muscles déchirés, des os fracturés, ou bien elle aurait été paralysée. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Se remettre d'une paralysie faciale

Au printemps 2009, en me réveillant un matin, je ne pouvais pas ouvrir mon œil gauche ni contrôler ma bouche. Voyant mon visage déformé, mon mari m'a demandé d'aller à l'hôpital immédiatement. Je lui ai dit : « Je suis une pratiquante. Mon Maître veille sur moi. J'irai bien. » Mon mari a appelé ma fille et ma sœur pour l'aider à me persuader. Ma fille a pleuré et m'a suppliée de me faire soigner. J'ai dit que j'irais bien.

J'ai regardé à l'intérieur et j'ai réalisé que je n'avais pas étudié le Fa avec diligence au cours des dernières années, et que je n'avais pas bien fait les trois choses. Les forces anciennes ont trouvé mes failles. J'ai donc augmenté l'étude du Fa, et j'ai émis la pensée droite tous les jours.

Mais, il n'y avait aucun signe d'amélioration après quelques jours. Je me suis donc joint à d'autres pratiquants pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa et démystifier la propagande haineuse diffusée par le Parti communiste chinois (PCC). En un jour, nous avons pu aider une dizaine de personnes à démissionner du PCC et de ses organisations pour la jeunesse après qu'elles ont compris la cruauté du régime.

J'ai continué à étudier le Fa et à faire les exercices tous les jours. Au bout d'un mois, j'avais récupéré. Mes amis et ma famille ont également été impressionnés par mon histoire.

Le visage enflé se rétablit

Un jour d'hiver, en 2010, j'ai eu une violente rage de dent. Le lendemain matin, le côté gauche de mon visage était enflé, et je ne pouvais pas ouvrir mon œil gauche. J'ai refusé d'aller à l'hôpital même si mon mari me l'avait demandé. Il m'a dit : « Si tu ne vas pas à l'hôpital, essaie de te laver le visage à l'eau salée, pour réduire l'enflure. » J'ai déclaré : « Ça ne servirait à rien de toute façon, parce que je suis une pratiquante. » Cependant, devant sa persistance, j'ai fait ce qu'il a dit.

Le lendemain matin, non seulement le côté gauche de mon visage est resté le même, mais mon côté droit a aussi enflé. Mon mari n'a rien dit.

J'ai continué à étudier le Fa, à faire les exercices et à émettre chaque jour la pensée droite. Au bout de trois jours, je me suis rétablie.

Traduit de l'anglais