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Rapport de Minghui : Confirmation du décès de 96 pratiquants de Falun Gong en 2019 en raison de la persécution (graphiques, photos)

9 janvier 2020 |   Écrit par un correspondant de Minghui en Chine

(Minghui.org) Il a été confirmé que 96 pratiquants de Falun Gong en Chine ont été persécutés à mort pour leur croyance en 2019, ce qui porte le nombre total confirmé de morts à 4363 au cours des vingt dernières années de cette répression brutale.

Le Falun Gong aussi appelé Falun Dafa est une ancienne discipline spirituelle de méditation basée sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. La pratique spirituelle est persécutée par le régime communiste chinoise depuis 1999.

Photos de quelques-uns des pratiquants décédés (de gauche à droite, du haut vers le bas) :

M. Wang Jian, M me Yang Guizhi, M. Shao Minggang, Mme Zhang Wei, M. Wang Xinchun, et M. Wang Hongzhang 

M. Zhang Hongwei, M. Shi Qiang, M. Li Chengshan, M me Kong Hongyun, Mme Sun Libin, et Mme Tan Yinzhen,

M me Meng Hong, M. Wang Dechen, Mme Yang Lihua, M. He Lifang, M. Yang Shengjun, et M. Zhu Benfu

Les pratiquants décédés, dont 53 étaient des femmes, provenaient de tous les horizons, et comprenaient des médecins, des professeurs d'université, des directeurs d'usine, des employés de banque, des ingénieurs et des agriculteurs. Leur âge variait de 28 à 87 ans, avec une moyenne d'âge de 62,5 ans.

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Dix-neuf de ces pratiquants sont morts alors qu'ils étaient encore détenus dans des prisons, des centres de détention et des postes de police. Mme Guo Zhenxiang, 82 ans, est décédée le 11 janvier 2019, quelques heures après son arrestation. M. Yang Shengjun est décédé le 2 août 2019, neuf jours après son arrestation. Mme Li Yanjie, âgée de 41 ans, est morte le 7 décembre 2019, alors qu'elle tentait d'échapper à son arrestation.

Le mois de janvier a enregistré le plus grand nombre de cas, avec 20 décès. Les mois de mars et juillet ont enregistré chacun dix cas. Tandis que les neuf autres mois ont enregistré des cas à un chiffre chacun.

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Les décès confirmés ont eu lieu dans 23 provinces et municipalités sous contrôle central, la province du Shandong a enregistré le plus grand nombre de cas (16), suivie par le Heilongjiang (11) et la province du Liaoning (10). Les autres provinces et régions municipales ont toutes enregistré des cas à un chiffre.

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Vous trouverez ci-dessous un aperçu de plusieurs des cas de décès.

Morts en garde à vue

Un homme du Shangdong âgé de 45 ans meurt en détention, la famille soupçonne des mauvais traitements psychiatriques et des prélèvements d'organes

M. He Lifang, habitant la ville de Qingdao, province du Shandong, est décédé en garde à vue le 2 juillet 2019, deux mois après sa dernière arrestation pour avoir refusé de renoncer à sa croyance dans le Falun Gong.

La famille de M. He a remarqué qu'il y avait une incision cousue sur sa poitrine et une incision ouverte dans son dos. La police a d'abord prétendu que les incisions étaient le résultat d'une autopsie, avant de changer leur histoire pour dire qu'un médecin légiste allait venir sous peu, mais aucun médecin légiste ne s'est jamais présenté.

Ses proches soupçonnent que ses organes ont pu être prélevés alors qu'il était encore vivant ou peu de temps après sa mort, et c'est la vraie raison des incisions. Ils soupçonnent également de la maltraitance psychique, car il a perdu la parole et est devenu inconscient en l'espace des 17 jours de sa détention.

M. He Lifang, un pratiquant de Falun Gong de la ville de Jimo, province du Shandong, est décédé le 2 juillet 2019.

Le décès de M. He marque la fin de ses années de souffrance en raison de sa croyance. L'homme de 45 ans a été arrêté et torturé à plusieurs reprises – il a déjà été battu par 17 détenus pendant sa détention. Sa carte d'identité a été annulée et il a été contraint de s'éloigner de chez lui pendant 17 ans pour éviter une nouvelle arrestation.

Le 5 mai 2019, la police a fait croire à M. He de venir les trouver parce qu'on émettrait sa carte d'identité. Il a été arrêté à son arrivée et soumis par la suite à un gavage et peut-être à de la maltraitance psychique. Le 30 juin, son état de santé s'était détérioré et il a été transporté d'urgence à l'hôpital.

Entre le 30 juin et le 3 juillet, plus de 200 policiers ont été dépêchés pour empêcher les pratiquants de Falun Gong locaux et les membres de sa famille de s'approcher de l'hôpital.

M. He est décédé le 2 juillet, mais sa famille n'a été informée que le lendemain. Ils ont été contraints d'accepter que son corps soit incinéré le jour même. Plus de 30 fonctionnaires et quatre fourgonnettes de police étaient présents pour surveiller le processus de crémation.

Un couple marié condamné pour sa croyance – Le mari meurt en détention, sa femme n'a pas le droit d'assister à ses funérailles ni de recevoir de visites

M. Wei Qishan, habitant la ville de Qinhuangdao, province du Hebei, est décédé alors qu'il était dans l'attente d'un procès en appel et sa femme n'a pas eu la permission d'assister à ses funérailles ni de recevoir la visite de ses deux fils et de son avocat.

La police a arrêté le couple après les avoir soupçonnés d'avoir accroché des banderoles au sujet du Falun Gong. M. Wei a été condamné à sept ans de prison et M me Yu à quatre ans. Ils ont interjeté appel auprès de la cour intermédiaire de la ville de Qinhuangdao, qui doit maintenant planifier une date d'audience pour leurs affaires. Mme Yu se trouve encore au centre de détention de la ville de Qinhuangdao, dans lequel son mari est décédé.

Le 23 novembre 2019, les deux fils de M. Wei ont reçu des appels du centre de détention de la ville de Qinhuangdao, aux environs de 21 h 20. On leur a dit que leur père était mourant à l’hôpital populaire de la ville de Qinhuangdao.

Comme les deux fils vivent loin de leur ville natale, ils ont appelé leur tante, la sœur de M me Yu, et lui ont demandé de se rendre à l'hôpital pour s'occuper de leur père.

Dix minutes plus tard, la police a rappelé les fils de M. Wei et les a informés que M. Wei venait tout juste de décéder.

La belle-sœur de M. Wei s'est précipitée à l'hôpital et a vu son corps, qui était toujours sur une civière, mais pas dans la salle des urgences. Il était difficile de déterminer s'il avait été réanimé en urgence à l’hôpital ou pas.

Elle a également remarqué que les yeux de M. Wei étaient à moitié ouverts. Son bras droit pendait et sa manche droite était complètement trempée. Elle a retroussé la manche et a remarqué que son bras droit était complètement violet et noir.

M. Wei Qishan, mort

Un garde du nom de Zhao a indiqué que M. Wei est tombé aux environs de 20 heures, alors qu'il utilisait les toilettes. Sa tête a frappé le sol en béton, ce qui lui a fait perdre connaissance. Le personnel médical a pratiqué une réanimation cardio-pulmonaire sur lui. Comme il ne reprenait pas connaissance, ils l'ont emmené à l'hôpital pour un traitement d'urgence, mais M. Wei est ensuite décédé à l'hôpital.

Aux environs de 22 heures, plus de 10 policiers sont venus et ont emmené le corps de M. Wei au funérarium. Sa belle-sœur a essayé de les en empêcher, mais a été repoussée. Elle n'a pas eu le droit d'accompagner le corps là-bas.

Un homme meurt en prison, la famille consent sous la pression à ce que son corps soit incinéré et suspecte un prélèvement d’organe

M. Wang Dechen, habitant la ville de Harbin, province du Heilongjiang, est mort dans des circonstances suspectes alors qu’il purgeait une peine de dix ans pour sa croyance dans le Falun Gong.

Les autorités de la prison de Hulan n’ont pas autorisé la famille de M. Wang Decheng à s’approcher du corps et ont fait pression sur eux pour qu’ils consentent à l’incinération deux jours après sa mort.

Sa famille soupçonne qu’il ait pu être victime d’un prélèvement d’organe par le régime communiste.

M. Wang Dechen

M. Wang a été arrêté le 6 mai 2016, et le 28 décembre 2016, il a été condamné à dix ans de prison assortis d’une amende de 20 000  yuans.

Fin octobre 2019, environ trois ans et demi après l’emprisonnement de M. Wang, sa famille a soudain reçu un appel de la prison disant qu’il avait été envoyé à l’hôpital.

Quand ils sont arrivés pour le voir à l’hôpital, plusieurs gardiens les ont étroitement surveillés et ne leur ont pas permis de toucher M. Wang ou même de s’approcher de lui.

Sa famille a remarqué qu’il avait un problème avec son dos. Il a dit qu’il avait des douleurs dorsales et qu’il ne pouvait pas bouger le bas du corps.

La famille de M. Wang a immédiatement rempli une demande de libération pour raison médicale. La prison a rapidement approuvé la demande, mais a continué à repousser sa libération sous différentes excuses.

L’hôpital de la prison a dit plus tard à la famille de M. Wang qu’il avait un cancer des poumons, après leur avoir demandé de verser un acompte de 5000 yuans ainsi que 7400 yuans de frais d’examens médicaux.

Le fils de M. Wang leur a demandé pourquoi ils ne lui avaient pas fourni un traitement médical. Le médecin a répondu qu’ils n’avaient aucun médicament pour traiter un cancer des poumons, uniquement des antalgiques et des antibiotiques.

Le 17 novembre 2019, un mois après que M. Wang a été envoyé à l’hôpital, la prison a informé sa famille qu’il était décédé plus tôt dans la journée.

Dès l’arrivée de la famille de M. Wang à l’hôpital, les gardiens ont commencé à pousser son corps vers la morgue.

La famille les a suppliés de changer ses vêtements, et les gardiens ont fini par céder à leur demande. Mais ils ont ordonné au médecin de le faire et n’ont pas autorisé à la famille à s’approcher du corps.

Les gardiens n’ont cessé d’insister pour que la famille donne son consentement pour incinérer le corps. Dans le même temps, deux agents surveillaient le corps en permanence, ne permettant à personne de s’en approcher.

Le certificat de décès établi par l’hôpital disait qu’il était décédé de « causes naturelles ».

La crémation du corps de M. Wang était programmée pour le 19 novembre. Son fils a commencé par refuser de signer le formulaire de consentement, mais les autres membres de la famille, sous la pression des autorités, l’ont persuadé d’y apposer sa signature.

Durant la crémation, les autorités ont interdit à la famille de M. Wang d’avoir le moindre service commémoratif ou de jeter un dernier coup d’œil à son corps.

Une femme du Heilongjiang meurt alors qu'elle était emprisonnée pour sa croyance, sa famille forcée de consentir à l'incinération de son corps

M me Yang Lihua, habitant le canton de Sunwu, province du Heilongjiang, est morte après environ un an et demi d'emprisonnement pour sa croyance dans le Falun Gong. Elle avait 43 ans.

M me Yang Lihua

La famille de M me Yang Lihua a été informée par la prison pour femmes du Heilongjiang le 5 novembre 2019 qu'elle se trouvait dans un état critique. Lorsque sa famille s'est précipitée à l'hôpital, elle avait déjà perdu connaissance. Elle est décédée plus tard ce jour-là.

La famille de M me Yang a demandé à voir son dossier médical. Un gardien de prison a présenté les documents devant eux sans leur permettre d'en lire les détails.

Quand sa famille a demandé pourquoi son corps était couvert d'ecchymoses, le gardien a déclaré que c’était la lividité cadavérique.

La famille de M me Yang a demandé une autopsie. Cependant, les autorités pénitentiaires ont déclaré qu’ils devaient demander l'autorisation de pratiquer une autopsie et que cela prendrait des mois avant que les supérieurs l'approuvent.

Les autorités pénitentiaires ont finalement intimidé la famille de M me Yang pour qu'ils signent un formulaire de consentement pour incinérer son corps. Ses proches ont ramené ses cendres le 9 novembre et les ont enterrées.

M me Yang purgeait une peine de prison de trois à quatre ans pour avoir demandé au gouvernement le droit de pratiquer le Falun Gong, la police a forcé la station-service où elle travaillait de la congédier.

Elle avait auparavant passé trois autres années à la prison pour femmes du Heilongjiang entre 2014 et 2017 pour avoir écrit « Falun Dafa est bon » sur un poteau téléphonique. Pendant son incarcération, elle a été battue, gavée et soumise à d'autres formes de torture.

La mère emprisonnée d'une résidente aux États-Unis décède neuf mois avant la date prévue de sa libération, la famille soupçonne un acte criminel

M me Meng Hong, une habitante de la ville de Harbin, province du Heilongjiang, et mère d'une résidente américaine est décédée subitement le 26 juillet 2019, peu après avoir été transportée d'urgence à l’hôpital.

Selon sa fille, M me Li Xuesong, une résidente de San Francisco, la prison pour femmes du Heilongjiang a appelé sa famille l'après-midi du 26 juillet 2019 et a déclaré que sa mère, Mme Meng Hong, souffrait d'un épisode d'hypertension et de problèmes cardiaques. On leur a demandé de se rendre immédiatement à l'hôpital n° 2 de l'Université de médecine de Harbin avec de l’argent pour payer ses frais médicaux.

Quelques instants après l'arrivée de la famille à l'hôpital, l'ambulance transportant M me Meng est également arrivée. Ils ont vu deux ambulanciers procéder à une réanimation cardio-respiratoire à l'intérieur du véhicule. La mort de Mme Meng a été prononcée dix minutes après qu’elle a été emmenée en salle d'urgence. Elle avait 79 ans.

M me Meng Hong

La mort soudaine de M me Meng a eu lieu neuf mois avant sa libération prévue suite à une peine de prison de sept ans pour ne pas avoir renoncé à sa croyance dans le Falun Gong.

M me Li a dit que sa mère était en bonne santé avant et pendant les six ans et plus où elle a été emprisonnée. Elle soupçonne que sa mort est due à un acte criminel.

Après son opération, les autorités enlèvent les assistances vitales à une femme emprisonnée sans le consentement de sa famille

M me Li Changfang, habitant la ville de Linyi, province du Shandong est décédée le 12 juillet, après que la police lui a ôté l'oxygène alors qu'elle était inconsciente après avoir subi une opération.

M me Li a été arrêtée le 23 octobre 2018 pour avoir demandé justice pour une pratiquante locale qui est décédée en novembre 2017 en raison de sa pratique du Falun Gong. Le 2 mars 2019, elle était condamnée à deux ans et demi de prison ainsi qu'à une amende de 10 000 yuans.

Le 5 juillet 2019, ses proches se sont précipités à l'hôpital après avoir été avertis que sa vie était menacée. M me Li était éveillée et a dit qu'elle souffrait de douleurs abdominales depuis quinze jours. De grandes zones de ses cuisses étaient devenues violettes et ses dents étaient branlantes.

M me Li Changfang était encore alerte avant l'opération.

Les gardes du centre de détention présents à l'hôpital ont aussi refusé de dire ce qui s'était passé exactement dans le centre de détention qui aurait pu conduire M me Li à cet état. Les médecins ont d'abord affirmé qu'elle avait une appendicite, puis qu'elle avait une perforation gastrique.

Avec tant de questions sans réponse, la famille de M me Li a refusé de signer un formulaire de consentement pour accepter l'opération.

Le 6 juillet, sur ordre du centre de détention et de la police, les médecins ont quand même opéré M me Li, l'ouvrant de la poitrine jusqu'à l'abdomen. Elle n'a jamais repris connaissance et est restée branchée à un respirateur après l'opération, pour lequel sa famille a émis des doutes que ce soit nécessaire pour traiter les douleurs abdominales.

Le matin du 10 juillet, plus d'une dizaine de policiers sont arrivés à l'hôpital. Lorsque la famille a refusé de signer une renonciation pour la faire sortir de l'hôpital, la police a arrêté son mari, son fils, sa fille et son petit-fils de six ans. Ils n'ont été libérés que le lendemain.

Le 12 juillet vers 18 h, alors que sa famille n'était pas présente, des policiers du centre de détention de la ville de Linyin et du poste de police de Dongguan de la ville de Linyi se sont présentés dans la chambre de M me Li et lui ont retiré son approvisionnement en oxygène. Elle est morte peu de temps après. Les autorités exigent maintenant que sa famille négocie des conditions d'indemnisation avant de révéler où son corps est entreposé.

La famille de M me Li soupçonne que celle-ci a été empoisonnée par des substances inconnues. Quand elle est arrivée à l'hôpital de Linyi le 5 juillet, son esprit était clair et elle leur a raconté ce qui s'était passé au centre de détention et qui a causé ses douleurs abdominales : elle avait été forcée à plusieurs reprises de prendre une sorte de médicament et a eu une fois des injections de substances inconnues.

Elle a dit que le lendemain de l'injection, elle avait mal, sa peau était rougeâtre et enflée à partir de la taille, puis est devenue violette. Elle avait des douleurs abdominales, son ventre était gonflé et l'intérieur de ses cuisses est devenu violet et extrêmement douloureux.

Un homme du Guangxi emprisonné malgré un cancer métastatique meurt trois mois plus tard

M. Liao Dawu, habitant la ville de Qinzhou, province du Guangxi, est décédé, le 23 juillet 2019, trois mois après son incarcération en dépit de graves problèmes de santé, notamment d'un cancer gastrique métastatique. Il avait 57 ans.

M. Liao Dawu, un agent immobilier, a été arrêté le 17 juillet 2018 alors qu'il cherchait à obtenir la libération d'un autre pratiquant de Falun Gong détenu pour sa croyance. Par la suite, il a été condamné à deux ans de prison avec une amende de 10 000 yuans.

Après huit mois d'incarcération au centre de détention de la ville de Qinzhou, M. Liao a développé des affections graves, notamment un cancer métastatique du cardia, une infection pulmonaire et une accumulation de liquide dans la cavité thoracique.

Le Bureau 610 de la ville de Qinzhou, une agence extra-légale spécialement créée pour persécuter le Falun Gong, a ordonné aux autorités d'envoyer M. Liao à la prison de Beihai le 9 avril 2019, sans révéler son état de santé.

La famille de M. Liao a demandé à plusieurs reprises au Bureau 610 et à la prison de Beihai de le libérer, mais n'a jamais reçu de réponse.

Début juillet 2019, M. Liao a été transféré à l'hôpital Xinkang, qui relève de la juridiction de la prison de Litang. Il est décédé deux semaines plus tard.

Emprisonné pour sa croyance, un homme gravement malade se voit refuser sa libération pour raison médicale et décède en détention

M. Li Dayao, habitant la ville de Jingzhou, province du Hubei, est décédé le 30 novembre 2019 alors qu'il purgeait une peine pour sa croyance dans le Falun Gong. Il avait 67 ans.

M. Li Dayao

M. Li Dayao a été arrêté le 20 septembre 2017 et condamné à quatre ans de prison le 9 avril 2018.

Il a été détenu au centre de détention du canton de Jianli pendant un an avant d'être envoyé à la prison de Fanjiatai le 5 septembre 2018. Les gardiens du centre de détention l'ont forcé à prendre des comprimés contre l'hypertension artérielle, alors qu'il n'avait pas ce problème. Son poids a chuté de 90 kg à 68 kg.

À la prison de Fanjiatai, M. Li a été forcé de faire du travail non rémunéré, même lorsqu'ils sentaient que ses mains étaient engourdies.

M. Li a été hospitalisé entre décembre 2018 et janvier 2019. On lui a découvert beaucoup de calculs dans la vésicule biliaire, mais la prison n'a pas autorisé qu'il soit opéré afin de retirer les calculs. On ne lui a donné que des analgésiques et des antibiotiques.

En août 2019, l'état de M. Li s'est soudainement détérioré. Lorsque sa famille lui a rendu visite le 29 août, il avait du mal à parler. Sa famille est revenue le 12 septembre pour apprendre qu'il avait déjà été envoyé à l'hôpital de la prison de Changlin, après être devenu paralysé et totalement incapable de parler.

Sa famille n'a pas eu l'autorisation de le voir à l'hôpital. Leur demande de libération conditionnelle pour raison médicale a été rejetée.

Sa santé a continué de décliner au cours des mois suivants et il est décédé à la fin de novembre 2019.

Décès après la libération

Un homme du Liaoning décède trois mois après sa libération

M. Zheng Decai, habitant la ville de Dalian, province du Liaoning, est mort trois mois après avoir fini de purger sa peine d'un an et demi pour sa croyance dans le Falun Gong. Il avait 84 ans.

M. Zheng a été arrêté le 4 septembre 2017 après avoir été signalé pour avoir parlé du Falun Gong aux gens. Il a été détenu pendant 37 jours et libéré sous caution en raison d'un problème de santé.

Zhu Wenwen, un agent du poste de police de Guangmingshan, s'est rendu au domicile de M. Zheng le 27 mars 2018 et lui a demandé d'aller au tribunal pour signer une déclaration promettant d'abandonner le Falun Gong. Zhu a menacé d'envoyer M. Zheng en prison s'il refusait de le faire.

Zhu a amené M. Zheng au tribunal le lendemain. Comme M. Zheng avait perdu l'ouïe après avoir été battu par la police en 2000, il ne savait pas ce que Zhu disait pendant l'interrogatoire. Zhu a ensuite écrit que M. Zheng avait reconnu sa « culpabilité » à pratiquer le Falun Gong.

Puis Zhu a emmené M. Zheng à l'hôpital pour un examen physique. Il a ensuite maintenu M. Zheng en détention et a déclaré qu'il devait comparaître devant le tribunal dans quelques jours.

M. Zheng a été jugé par le tribunal de la ville de Zhuanghe le 12 avril 2018. Son avocat a plaidé non coupable pour lui.

La famille de M. Zheng n'a été informée de sa peine de prison que le 11 juin 2018, lorsqu'ils se sont rendus au centre de détention local pour récupérer ses affaires, conformément aux instructions des autorités. Il s'agissait de sa deuxième condamnation pour sa croyance, après une précédente peine de trois ans et demi en 2010.

M. Zheng a été emmené à la prison de Nanguangling le 12 juin 2018. Il s'est vu refuser l'admission après avoir échoué à l'examen physique et a été renvoyé au centre de détention, où il a présenté des symptômes d'hypertension artérielle et de rythme cardiaque anormal deux jours plus tard. Il a également craché du sang.

Lorsque le centre de détention a finalement permis à sa famille de lui rendre visite après leur forte insistance, ils ont observé que M. Zheng devait être poussé sur un fauteuil roulant pour les rencontrer.

M. Zheng a été accepté par la prison de Dalian le 6 août 2018. Sa famille n'a jamais été autorisée à lui rendre visite pendant son emprisonnement.

L'état de santé de M. Zheng était très mauvais lors de sa libération le 19 août 2019. Il ne pouvait pas marcher et avait de la difficulté à se nourrir.

La police et les fonctionnaires de son village l'ont harcelé avant le 70 e anniversaire de la fondation du régime communiste le 1er octobre et ont confisqué une photo du fondateur du Falun Gong.

M. Zheng est décédé le 21 novembre 2019.

Un homme du Henan développe un cancer de la gorge alors qu'il était incarcéré pour sa croyance et décède quelques mois après sa libération conditionnelle pour raisons médicales

M. Zheng Xianjin, un ancien homme d'affaires de la ville de Huaiyang, dans la province du Henan, a développé un cancer de la gorge après avoir été maltraité alors qu'il était emprisonné pour sa croyance dans le Falun Gong. Il est décédé moins d'un an après avoir obtenu sa libération conditionnelle pour raisons médicales. Il avait 57 ans.

Parce qu’il refusait de renoncer à sa croyance, M. Zheng Xianjin a été arrêté à plusieurs reprises au cours des vingt dernières années et a passé près de treize ans derrière les barreaux, dont une peine de camp de travail et deux peines de prison.

M. Zheng et son épouse, M me Wang Haomei, ont été arrêtés pour la dernière fois en juillet 2016 et condamnés à cinq ans de prison.

M. Zheng a reçu l'ordre de purger une peine à la prison de Xinmi, où sa santé s'est rapidement détériorée, ce qui l’empêchait de manger. Il recevait de la nourriture liquide par un tube d'alimentation. Il a développé un cancer de la gorge après avoir subi une trachéotomie à l'hôpital de la prison. Il a reçu une libération conditionnelle pour raisons médicales vers la fin de 2018.

Comme la plupart de ses économies et de ses biens personnels ont été confisqués lors de nombreuses descentes de police durant la persécution, M. Zheng n'avait pas les moyens de payer les soins médicaux et avait du mal à prendre soin de lui tout seul à la maison.

Son épouse purge toujours une peine à la prison pour femmes de Xinxiang et n’a pas pu être à ses côtés lorsqu'il est décédé le 11 août 2019.

Une conférencière universitaire du Shandong développe un cancer de l'ovaire pendant qu'elle purge sa peine pour sa croyance – elle meurt 14 mois après sa libération

M me Zhang Xiaojie, une conférencière universitaire de la ville de Qinhuangdao, province du Shandong, a été torturée sans relâche pendant qu'elle purgeait sa peine pour sa croyance dans le Falun Gong. Elle a développé un cancer de l'ovaire en prison et est décédée quatorze mois après sa libération. Elle avait 51 ans.

M me Zhang Xiaojie a été arrêtée avec seize autres pratiquantes de Falun Gong le 10 juin 2013. La police a fouillé deux voitures et confisqué un total de plus d'un million de yuans en espèces sur lesquels étaient imprimés des messages à propos du Falun Gong.

Pendant que M me Zhang était détenue au centre de détention de la ville de Qinhuangdao, les gardiens du centre de détention ont ordonné aux détenues de lui verser de l'eau froide dessus, de la gifler et d'utiliser des vaporisateurs au poivre sur elle.

Lorsqu'elle s'est plainte de la maltraitance, les gardiens lui ont mis des chaînes de plusieurs dizaines de kilos aux mains et aux pieds et l'ont immobilisée pendant deux semaines.

M me Zhang a été transférée à la prison pour femmes du Hebei à la fin de 2014 et a été condamnée à cinq ans de prison. Elle n'avait pas le droit de voir sa famille ou de les appeler.

Quatre détenues l'ont surveillée et lui ont lavé le cerveau 24 heures sur 24. M me Zhang était forcée d'écouter ou de regarder des émissions calomnieuses attaquant le Falun Gong pendant près de 19 heures. Les détenues lui ordonnaient souvent de mettre ses empreintes digitales sur des déclarations préparées pour renoncer au Falun Gong ou insulter son fondateur. Lorsqu'elle refusait d'obtempérer, les détenues la battaient, lui tiraient les cheveux et parfois lui marchaient sur les mains pour la forcer à signer.

M me Zhang n'était pas autorisée à prendre des douches. Elle devait également demander chaque matin aux détenues si elle serait autorisée à se laver le visage ou à se brosser les dents pour la journée. Elle dégageait une forte odeur parce qu'on ne lui permettait pas de se laver régulièrement. Ses compagnes de cellule la maltraitaient souvent verbalement et l'humiliaient.

Les détenues ont également refusé à M me Zhang le droit d'acheter des produits de première nécessité, tels que des serviettes hygiéniques. Bien qu'elle n'eut pas le droit d'utiliser son propre argent, les détenues pouvaient l'utiliser à volonté. Elles ont également remplacé le nouvel oreiller, le portemanteau, et même les articles de toilette de Mme Zhang par des articles usagés.

En raison des tortures physiques et mentales intenses et de longue durée, la santé de M me Zhang s'est rapidement détériorée. On a découvert qu'elle avait une tumeur ovarienne au début de 2018, mais la prison a refusé de lui procurer un traitement.

Lorsqu'elle a été libérée en juin 2018, la tumeur était devenue très grosse.

De retour chez elle, M me Zhang a été consternée d'apprendre qu'elle avait été licenciée et que son employeur, la Qinghuangdao Senior Vestibule School, refusait de lui verser ses prestations de retraite. Avec ses économies et ses biens les plus précieux confisqués lors de la descente de la police à son domicile en 2013, elle s'est retrouvée dans une situation de total dénuement.

Dans ses derniers jours, M me Zhang souffrait énormément et n'arrivait pas à dormir. Elle est décédée le 24 août 2019.

Décès en raison du harcèlement et de la persécution à long terme

Après avoir été persécutée pour sa croyance pendant vingt ans, une femme fait une chute mortelle en essayant d'échapper à une autre arrestation

Le 7 décembre 2019, aux environs de 20 h, une patrouille de policiers a frappé à la porte de M me Li Yanjie et de M. Gong Fengqiang, des habitants du canton de Yanshou, province du Heilongjiang. Mme Li Yanjie, 41 ans, a tenté d'appeler sa famille à l'aide, mais le signal de leurs téléphones portables avait été bloqué.

Le couple a ensuite entendu la police frapper à la porte de leur voisin d'en face pour demander s'il savait quelque chose sur M. Gong.

Alors que le couple n'entendait pas clairement la réponse du voisin, ils ont entendu la police à nouveau frapper à leur porte et appeler un serrurier. Le serrurier ne s'étant toujours pas présenté après trente minutes, le couple a entendu les policiers parler d'emprunter une tronçonneuse pour ouvrir leur porte en métal.

Ayant subi vingt ans de harcèlement, d'incarcération et de torture pour ne pas avoir abandonné leur croyance dans le Falun Gong, M. Gong, 48 ans, et M me Li ne voulaient pas vivre le même cauchemar. Ils ont décidé de s'échapper de leur appartement du sixième étage.

Ils ont fabriqué une corde en attachant ensemble plusieurs draps de lit et rideaux et en la fixant à la fenêtre.

Le bruit de la tronçonneuse devenait de plus en plus fort. Juste au moment où la porte était sur le point d'être percée, le couple est sorti par la fenêtre, l'un après l'autre, et est descendu par la corde de fortune.

Alors qu'ils étaient parvenus au niveau du quatrième étage, les draps noués se sont détachés et ils sont tombés jusqu'au sol.

Lorsque M. Gong est revenu à lui quelques heures plus tard, il a trouvé sa femme sans vie à côté de lui.

Les policiers étaient encore chez eux à l'étage. Ils ne s'attendaient pas à ce que M. Gong ait survécu à la chute.

Affligé, M. Gong a fui les lieux pour éviter d'être arrêté.

À l'aube, la police avait déjà enlevé le corps de M me Li. Les draps accrochés à la fenêtre avaient été enlevés. La porte fracassée avait été remplacée par une nouvelle.

Le matin du 9 décembre, des policiers sont allés trouver les parents de M me Li, qui ont plus de 80 ans, et les ont menacés pour qu'ils révèlent l'endroit où se trouvait M. Gong, mais ils n'ont pas dit un mot sur la mort de Mme Li.

Incarcéré pendant 13 ans pour sa croyance, un homme de Shanghai meurt des mois après sa dernière arrestation

M. Jiang Yong, un habitant de Shanghai, est décédé le 26 novembre 2019, à la suite d'une hémorragie cérébrale qui a suivi sa dernière arrestation pour sa pratique du Falun Gong. Il avait 51 ans.

M. Jiang attribuait au Falun Gong la guérison de l'ulcère duodénal qui l’avait tourmenté pendant quinze ans. Comme il tenait fermement à sa croyance, il a été condamné à deux reprises pour une durée totale de treize ans. Il a été brutalement torturé lors de son incarcération à la prison de Tilanqiao.

Moins de cinq ans après avoir été libéré de sa deuxième peine d'emprisonnement, la police a arrêté M. Jiang et a à nouveau fouillé son domicile, le 24 avril 2019. Il a eu un accident vasculaire cérébral ce jour-là et a été libéré sous caution deux jours plus tard, le centre de détention local ayant refusé de l'admettre.

Les autorités ont continué à harceler M. Jiang après son retour chez lui. Au moment de la 70 e Fête nationale du Parti communiste, le 1er octobre 2019, du 1er au 7 octobre, la police l'a surveillé 24 h sur 24 et suivi partout où il allait.

M. Jiang a été profondément affecté par la surveillance stricte. Il a eu une grave hémorragie cérébrale le 19 novembre, et il est décédé sept jours plus tard.

Une enseignante de maternelle incarcérée pour sa croyance meurt dans l'agonie

M me Luo Dan de la ville de Liuyang, province du Hunan, est décédée le 1er décembre 2019, après avoir souffert des années de persécution pour sa croyance dans le Falun Gong. Elle avait 50 ans.

M me Luo avait commencé à pratiquer le Falun Gong avec ses parents en octobre 1997. Après le début de la persécution, deux ans plus tard, la famille a été harcelée à maintes reprises parce qu'elle ne renonçait pas à sa croyance. L'école maternelle où Mme Luo travaillait a fait l'objet de pressions de la part des autorités pour qu'elle soit congédiée.

M me Luo Dan

M me Luo a été arrêtée en novembre 2006 pour avoir distribué des documents d'information sur le Falun Gong. La police a fouillé son domicile et l’a condamnée à une peine d’un an et demi dans le camp de travaux forcés de Baimalong. Elle a été forcée de faire du travail non rémunéré et a été maltraitée pour avoir maintenu sa croyance.

M me Luo a été de nouveau arrêtée le 17 avril 2014 et elle a été condamnée à quatre ans de prison le 25 août 2014, à l'insu de sa famille.

La prison n'a pas autorisé son père à lui rendre visite et a interdit à M me Luo d'appeler ou de recevoir des lettres de son père, sous prétexte qu'elle n'avait pas renoncé à sa croyance.

Les gardiens ont forcé M me Luo à effectuer du travail non rémunéré et l'ont torturée, notamment en la forçant à porter une camisole de force et en la suspendant pendant des heures. D'une manière générale, la torture infligée n’a pas causé de blessures externes visibles, mais a entraîné de graves blessures internes.

Les autorités ont continué à harceler M me Luo après sa libération. Pour subvenir à ses besoins et à ceux de son père, elle a trouvé un emploi dans une librairie en juin 2018. Quelques jours seulement après avoir commencé à travailler, les autorités ont forcé le propriétaire de la librairie à la licencier.

M me Luo a alors trouvé un emploi de vendeuse dans un magasin de vêtements en août 2018. La police l'a arrêtée à nouveau et envoyée au centre de lavage de cerveau de Laodaohe.

Essayant encore de se remettre de la mauvaise santé induite par les sévices subis lors de son emprisonnement, M me Luo est tombée malade après avoir été libérée du centre de lavage de cerveau. Elle s’est retrouvée grabataire et émaciée.

Elle est décédée le 1 er décembre 2019 dans une immense souffrance, laissant derrière elle son père de 80 ans.

Une femme du Shandong meurt deux mois après son arrestation pour sa pratique du Falun Gong

M me Li Furong, une habitante de la ville de Qingdao, province du Shandong, est tombée malade après avoir été traumatisée par son arrestation et sa brève détention pour sa pratique du Falun Gong. Son état a continué à se détériorer après que la police l'a constamment harcelée et interrogée à son domicile. Elle est décédée le 15 octobre 2019, elle avait 78 ans.

M me Li a été arrêtée le 6 août 2019 après avoir été signalée pour avoir distribué des documents d'information sur le Falun Gong et avoir parlé aux gens de la pratique et de la persécution.

Les policiers du poste de police du faubourg de Lingshanwei ont fouillé son domicile cet après-midi-là, et ont confisqué ses livres et autres documents du Falun Gong.

Après que M me Li a été libérée plus tard dans la soirée, elle a dû rester alitée et était incapable de manger.

La police est venue chez elle à cinq reprises au cours des deux mois qui ont suivi son arrestation, l'interrogeant et la photographiant sans autorisation.

M me Li est tombée dans le coma et est décédée.

Un homme de Pékin purgeant une peine hors de prison pour sa pratique du Falun Gong meurt quelques semaines après avoir été harcelé

M. Hou Junwen, un professionnel à la retraite, est décédé le 29 janvier 2019, quelques semaines après avoir été équipé d'un dispositif de surveillance électronique et harcelé par les autorités, alors qu'il purgeait une peine hors de la prison en raison de sa pratique de Falun Gong.

M. Hou a été arrêté en mai 2017 après avoir été signalé pour avoir distribué des documents d'information sur le Falun Gong. Des policiers du poste de police de Hepingjie ont confisqué ses livres de Falun Gong et d'autres effets personnels. Le centre de détention a refusé d'admettre M. Hou en raison de son état physique et il a été libéré sous caution.

M. Hou a été jugé par le tribunal de Wenyuhe le 29 septembre 2017 et en décembre 2017, il a été condamné à deux ans de prison en plus d'une amende de 4000 yuans.

Il a fait appel devant le tribunal intermédiaire n° 3 de Pékin, qui a tenu une audience le 31 janvier 2018, et a confirmé sa peine. Il a été condamné à purger sa peine en dehors de la prison en raison de son mauvais état de santé.

M. Hou a été harcelé par des membres du personnel du bureau local de la justice et en janvier 2019, il a été contraint de porter un bracelet de surveillance électronique, quatre mois avant l'expiration de sa peine. Il a été profondément bouleversé par cette surveillance stricte et est tombé gravement malade. Il est décédé quelques semaines plus tard.

Télécharger la liste des pratiquants de Falun Gong qui sont morts des suites de la persécution en 2019

Vous trouverez plus de cas de décès ici

Voir aussi :

Rapport de Minghui : 45 pratiquants de Falun Gong meurent des suites de la persécution dans la première moitié de 2019 (photos explicites)

Confirmation du décès de 69 pratiquants de Falun Gong en 2018, à la suite d'arrestations et de tortures (Photos et graphiques)

Traduit de l'anglais