(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !
Depuis l'enfance, j'ai eu de nombreuses maladies – des problèmes d'estomac, des problèmes d'intestins, une maladie cardiaque et de l'arthrite. J'avais aussi des bosses et des enflures qui me démangeaient partout quand j'étais exposée aux éléments froids, que ce soit l'eau, le vent ou la pluie. Sans le Falun Dafa, j'aurais été une invalide.
Mon destin a changé en décembre 1998 quand j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. En l'espace de six mois, tous mes problèmes de santé ont disparu. Ma famille et moi, ainsi que nos amis, étions tous en admiration devant le pouvoir de guérison de Dafa. Chaque Nouvel An, mon mari s'incline toujours devant la photo de Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) pour lui exprimer sa reconnaissance de m'avoir donné une nouvelle vie.
Un atelier de couture
J'ai opéré un atelier de couture pendant plus de deux décennies, durant lesquelles j'ai eu beaucoup de clients qui venaient me voir tous les jours. Je les traitais comme s'ils étaient des membres de ma famille et je saisissais toutes les occasions pour leur parler du Falun Dafa. Quand ils rencontraient des difficultés ou des tribulations, tant que ce n'était pas des choses contre le principe de Dafa, Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je faisais toujours de mon mieux pour les aider. Je partageais avec eux comment le Falun Dafa avait changé ma vie et les exhortais à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) pour un avenir meilleur.
J'ai pu aider de nombreuses personnes à résoudre leurs problèmes, que ce soit de mauvaises relations avec la belle-famille, des disputes entre mari et femme, ou toutes sortes de malaises physiques. J'ai souvent partagé sur ma manière de gérer des problèmes semblables en tant que pratiquante de Falun Dafa, et les gens tenaient compte de mes conseils et voyaient leurs conflits disparaître, leurs douleurs physiques diminuer et des familles sur le point de se briser étaient réunies et heureuses à nouveau.
Comme je me souciais sincèrement de mes clients, de plus en plus de gens venaient à mon atelier parce qu'ils avaient entendu parler de moi, une pratiquante de Falun Dafa. Quand ils faisaient face à des problèmes, qu'ils soient gros ou petits, les gens voulaient me demander de l'aide. Je savais que c'était Maître Li qui avait arrangé ces occasions pour que je clarifie de la vérité aux gens afin qu'ils puissent être sauvés. Presque chaque personne qui est venue à mon atelier durant ces vingt années et plus, a appris que le Falun Dafa est bon. Plusieurs ont aussi accepté de démissionner du PCC. Voici deux de ces histoires :
Un jour après le déjeuner, une femme dans les quarante ans est arrivée avec un vieux vêtement me demandant de le transformer en veste. Elle semblait triste et soupirait tout le temps. Je lui ai demandé ce qui se passait. Au début, elle n'a rien dit, elle m'a juste fait un sourire amer. Après un moment, elle n'a plus pu se retenir et elle a commencé à pleurer. Elle a dit que son mari était entrepreneur et qu'il avait une maîtresse. Au début, il logeait sa maîtresse quelque part. Plus tard, il l'a même ramenée à la maison. Ma cliente voulait divorcer, mais elle ne voulait pas perdre la garde d'aucun de leurs cinq enfants. Et même si elle obtenait la garde de tous les enfants, elle n'était pas sûre de pouvoir subvenir à leurs besoins. Elle se sentait déchirée par l'idée de divorcer et pleurait tous les jours. Ses parents étaient également inquiets et étaient tombés malades.
Mon mari, qui était en train de cuisiner, a entendu ma conversation avec la cliente. Il lui a dit : « C'est bien que vous soyez venue ici aujourd'hui. Après que ma femme est devenue une pratiquante de Falun Dafa, elle a aidé sans compter des clients avec leurs problèmes familiaux et leurs maladies. Après avoir écouté son avis, tous leurs problèmes ont été résolus. Je pense que cela marchera pour vous aussi. »
« Falun Dafa ? N'est-ce pas qu'on dit à la télévision que c'est mauvais ? » a demandé la cliente.
« Vous ne pouvez pas juste croire les ouï-dire – regardons les faits », ai-je répliqué. « D'abord, le Falun Dafa m'a fait recouvrer la santé et tout le monde autour de moi sait cela. Deuxièmement, en raison de ma mauvaise santé depuis mon enfance, personne dans ma famille n'osait me contredire, de peur que cela me rende malade. En conséquence, j'étais devenue très pointilleuse et j'avais vraiment mauvais caractère. Personne ne pouvait rien faire à ce sujet. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, ses principes m'ont réellement changée, en me permettant de devenir plus positive et ouverte d'esprit, comme je le suis maintenant. »
« Formidable !, a répondu la cliente avec enthousiasme, dites-moi, qu'est ce que vos livres de Dafa disent au sujet de tous mes problèmes conjugaux ? »
Je lui ai dit ce que le Maître a dit dans la « Quatrième leçon » du Zhuan Falun :
« Au cours de la cultivation et de la pratique, quand vous êtes face à des conflits bien réels ou que les autres vous traitent mal, cela peut correspondre à deux situations. La première, c’est que vous avez peut-être maltraité les autres dans une existence antérieure ; au fond de vous-même vous vous sentez indigné : “Comment peut-il me faire ça ?” Mais vous, pourquoi lui avez-vous fait la même chose autrefois ? Vous direz qu’à ce moment-là vous ne saviez pas et que dans cette vie on ne va pas s’occuper de ce qui s’est passé dans une autre vie. Mais ça ne marche pas comme cela ! »
« J'ai appris de cela que rien dans ce monde n'est accidentel. Et qu'il pourrait y avoir des relations karmiques derrière vos problèmes », ai-je continué. Alors je lui ai raconté une histoire.
Il était une fois un fils qui battait souvent son père, mais qui traitait les autres plutôt bien. Le père n'arrivait pas comprendre pourquoi, jusqu'au jour où il a rencontré un taoïste. Comme le taoïste était doué pour la voyance, le père l'a interrogé à ce sujet. Le taoïste lui a expliqué leurs relations karmiques. Dans leur cycle de vie précédent, le fils était un âne qui travaillait très dur, tandis que son propriétaire - le père dans cette vie - le traitait mal et le fouettait souvent sans raison. Dans ce cycle de vie, la dette karmique devait être réglée.
« Vous savez, le principe du Falun Dafa est Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Quand nous agissons en accord avec la tolérance, nous pouvons endurer la douleur et nous pouvons rembourser la dette, n'est-ce pas ? »
La cliente s'est sentie soulagée. « Je vois. Je pourrais avoir fait quelque chose comme ça à mon mari dans le passé », a-t-elle dit. « Que devrais-je faire alors ? »
Je lui ai dit qu'éviter la question ne pouvait pas résoudre le problème, parce que la dette devait être payée tôt ou tard. Je lui ai conseillé de traiter son mari et sa maîtresse avec bienveillance et sincérité. « Vous pouvez penser de cette façon : mieux j'agis, le plus vite la dette sera remboursée et la relation extraconjugale se terminera Vous pouvez traiter la maîtresse comme votre jeune sœur. » J'ai poursuivi : « De plus, habillez-vous un peu mieux, afin que votre mari se souvienne de vous de la même manière que lorsque vous sortiez ensemble il y a des années. »
« Allez et faites cela – pour vos enfants et la famille, ai-je dit, l'espoir est au bout du chemin – il suffit de s'y rendre. »
« Merci à vous et merci au Falun Dafa ! » a dit la cliente.
Après quelque temps, je l'ai rencontrée par hasard dans la rue. « Hé, regardez-moi. Aimez-vous ma coiffure et mes vêtements ? » a-t-elle demandé. Je l'ai regardée et nous avons toutes les deux souri. Elle m'a dit que la maîtresse avait été touchée par sa gentillesse et avait offert de partir de sa propre initiative. Elles sont même devenues des amies après cela. Son mari, lui aussi touché, s'est agenouillé devant elle, la suppliant de lui pardonner. Il la traitait maintenant mieux que jamais. Une fois encore, la cliente a remercié Dafa. Toute sa famille savait aussi que le PCC diffamait Dafa et tous ont démissionné des organisations du Parti.
Un jour, j'ai vu son mari et il paraissait embarrassé. « Je ne sais pas pourquoi j'ai été si stupide, a-t-il dit, mais je voulais vous remercier. Sans vous, ma famille aurait été brisée depuis longtemps. Je vous promets que je ne ferai plus ce genre de bêtises. » J'étais heureuse pour lui et je lui ai expliqué que c'était le Falun Dafa qui avait sauvé sa famille.
Mon mari s'est aussi réjoui de cette histoire. « Tu as sauvé une autre famille », a-t-il dit.
« Ce n'est pas moi, je ne suis qu'une messagère – c'est Dafa et le Maître qui les a sauvés », ai-je clarifié. « D'accord », a-t-il répondu.
Il y avait une autre cliente qui avait commandé un vêtement. Dès que j'ai eu fini de fabriquer son vêtement sur mesure, elle a commencé à le critiquer, encore et encore. En suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je ne me suis pas plainte et j'ai fait des ajustements à plusieurs reprises. À la fin, en tenant le vêtement, elle ne l'a pas essayé et a plutôt éclaté en sanglots.
« Je vous en prie, si vous ne l'aimez pas, je peux vous rembourser votre argent ou le refaire une autre fois. D'accord ? » ai-je suggéré.
« Non, ce n'est pas vous, a-t-elle dit à voix basse, le vêtement n'a aucun problème, pour commencer - je ne peux tout simplement pas me le permettre et je voulais donc payer moins cher. »
Elle m'a alors raconté son histoire :
Son fils, déjà âgé de huit ans, souffrait d'une maladie cardiaque congénitale. Une fois, il s'est endormi en classe et son professeur l'a averti en frappant avec un manuel sur le bureau. Il a sursauté et s'est évanoui, ce qui a aggravé sa maladie cardiaque. Elle avait deux bœufs, qu'elle a vendus pour avoir de l'argent pour faire soigner son enfant à Pékin. C'était son premier vêtement neuf depuis son mariage.
« Je vois. Il y a une chose que vous pouvez essayer », répliquai-je. Je lui ai parlé du principe du Falun Dafa, des grands bienfaits pour la santé et du fait que le PCC maltraite les pratiquants innocents. Elle a été touchée.
« Essayez de réciter “Falun Dafa est bon” et “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” avec votre fils. Faites-le avec sincérité et vous pourriez voir des miracles », ai-je suggéré. Je lui ai dit qu'elle pouvait continuer de traiter sa maladie tel que prévu. Je lui ai aussi donné une amulette avec des phrases de bon augure et je lui ai donné 20 yuans pour de la nourriture. Elle m'a remerciée et est partie.
Plus tard, je suis déménagée dans une autre ville, où mon fils fréquentait l'université. Un jour durant les vacances d'hiver, je suis retournée dans ma ville natale en campagne. Alors que je marchais dans la rue, quelqu'un m'a tapoté le dos. Je me suis retournée et j'ai vu la cliente. « Je vous trouve enfin ! » a-t-elle dit.
Elle m'a dit que l'argent des deux bœufs était loin d'avoir été suffisant pour couvrir les frais de traitement et d'hospitalisation. Elle était trop pauvre et personne ne lui prêtait d'argent non plus. Pour sauver son fils, elle se lavait les mains tous les jours et récitait sincèrement « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », plusieurs fois par jour. Miraculeusement, son enfant a commencé à aller de mieux en mieux. Après avoir terminé son secondaire, il a travaillé comme gardien de sécurité là où vivait sa tante.
Son fils portait aussi l'amulette tous les jours. Une fois en faisant le lavage, sa tante l'a vue. Comme elle avait eu le cerveau lavé par la propagande diffamatoire du PCC, elle a eu peur et l'a brûlée. En apprenant cela, l'enfant a commencé à être tendu et à s'inquiéter, et il est tombé à nouveau malade. La cliente m'a cherchée partout, mais ne m'a pas trouvée avant ce jour-là.
Je lui ai dit qu'en récitant sincèrement les deux phrases, le résultat serait le même. Mais elle a persisté et voulait encore une amulette juste pour être rassurée. J'ai contacté d'autres pratiquants, qui m'ont donné une amulette et je la lui ai donnée.
Plus tard, j'ai raconté aux autres l'histoire de ces deux femmes et plusieurs personnes ont arrêté de croire dans la propagande du PCC.
« Vous sauver est mon souhait »
Au cours des cinq dernières années, les choses ont changé quand j'ai déménagé dans une autre ville et j'ai trouvé un emploi de caissière dans un restaurant de taille moyenne. En tant que pratiquante de Dafa, j'ai travaillé dur et j'ai gagné la confiance du propriétaire. Je lui ai également parlé du Falun Dafa et il a accepté de démissionner de l'organisation du PCC.
Pour aider davantage de personnes à se séparer du PCC, j'ai préparé des billets de banque sur lesquels j'ai écrit des messages sur le Falun Dafa. J'ai ensuite donné ces billets aux clients quand je leur remettais la monnaie. Comme le propriétaire me demandait de garder l'argent dans une armoire dans la cuisine, il n'était pas pratique de faire des allers-retours pour récupérer l'argent. Néanmoins, j'ai trouvé un moyen plus facile. J'ai sorti de mon placard un vieux pantalon avec quatre grandes poches. En plaçant les billets de banque de différentes valeurs dans chaque poche, je n'avais plus besoin d'aller à la cuisine aussi souvent.
Comme il avait de plus en plus confiance en moi, le propriétaire a ensuite gardé le coffre-fort à l'avant de la caisse, ce qui m'a facilité la tâche. C'est une décision qu'il a prise après m'avoir observée pendant longtemps. En fait, il me faisait plus confiance qu'à ses amis ou à sa famille. Dans le passé, il avait l'habitude de demander de l'aide à un parent, qui finissait par voler de l'argent de temps en temps. En conséquence, le propriétaire du restaurant se vantait parfois auprès de ses amis : « J'ai dû faire des choses vraiment bien dans ma vie précédente ; sinon, pourquoi le ciel m'aurait-il donné une pratiquante de Falun Dafa qui ne prend même pas un sou [dans le tiroir-caisse] de mon entreprise ? Même quand elle oublie de faire payer une bouteille d'eau, elle utilise son propre argent pour compenser. »
Le propriétaire m'a ensuite confié d'autres responsabilités, notamment celles de faire les courses de tout ce dont le restaurant avait besoin, du riz aux légumes, en passant par le poisson, la viande et d'autres articles. De cette façon, j'ai pu entrer en contact avec beaucoup plus de personnes et leur parler du Falun Dafa. Je dépensais aussi les billets de banque sur lesquels figuraient les messages de Falun Dafa partout où j'allais. Au début, je n'ai pas dit au propriétaire que j'avais échangé les billets ordinaires avec ceux qui portaient les messages de Falun Dafa, yuan pour yuan. Plus tard, je lui ai expliqué pourquoi et il n'a pas protesté du tout. Même lorsqu'il avait besoin de dépenser de l'argent, il demandait souvent à échanger ses billets avec les miens qui contenaient des messages de Falun Dafa. Il m'a dit qu'il voulait lui aussi utiliser ces billets de banque spéciaux.
Le propriétaire était originaire de la Chine centrale et il était très habile en affaires. Il me fournissait le gîte et le couvert et me payait 2500 yuans par mois. La rémunération totale n'était pas si élevée et c'était une bonne affaire pour lui. Mais je l'ai vraiment remercié pour son soutien à Dafa et à mes efforts de clarification des faits de Dafa. Il ne s'est jamais opposé à ce que je parle du Falun Dafa aux clients.
Lorsque les affaires étaient au ralenti, je discutais parfois avec les clients. En général, lorsqu'ils finissaient de manger, je leur parlais des faits de base sur le Falun Dafa et ils acceptaient de démissionner du PCC. Un ami du propriétaire du restaurant m'a dit qu'il appréciait mes compétences en matière de service à la clientèle. « Si un jour vous arrêtez de travailler ici, je peux ouvrir un restaurant et vous embaucher avec un salaire élevé », a-t-il dit. Je l'ai remercié et, en expliquant davantage, il a également accepté de démissionner des organisations du PCC.
Pendant les jours où j'y travaillais, le restaurant faisait toujours de bonnes affaires. Je m'entendais bien avec la famille du propriétaire et nous étions comme des frères et sœurs. Quand de nouveaux clients arrivaient, ils pensaient parfois que j'étais la propriétaire. Beaucoup de gens me faisaient confiance et ont appris les faits concernant Dafa auprès de moi.
Non loin du restaurant se trouvait un marché aux puces. J'y passais tous les jours pour faire mes courses. Je racontais à tout le monde la persécution de Dafa, et presque tout le monde a démissionné du PCC, sauf un homme plus âgé. Il avait 85 ans et refusait de démissionner des organisations du PCC, malgré tous mes efforts. Mais je n'ai pas abandonné et je lui disais toujours quelques mots chaque fois que je passais par là.
Un jour, il m'a dit : « Mon enfant, j'ai déjà plus de 80 ans et je n'ai pas peur de la mort. Je veux juste quelques jours de tranquillité, alors s'il te plaît, ne perds pas ton temps avec moi », a-t-il dit.
« Mon oncle, mon souhait est de vous sauver », lui ai-je répondu.
Comme j'étais au travail et que je ne pouvais pas rester longtemps, j'ai pu seulement lui dire quelques mots. Mais je croyais qu'il pourrait changer un jour.
Un jour, un pratiquant m'a donné un lecteur de musique qui contenait des fichiers audio révélant la persécution du Falun Dafa par le PCC. Je l'ai donné à l'homme âgé et il l'a accepté. Après avoir fini d'écouter les fichiers audio, il m'a rendu le lecteur.
« Mon oncle, avez-vous fait l'expérience de ce qui est décrit dans le lecteur ? » ai-je demandé.
« J'en connais plus que ça, a-t-il répondu, le PCC est brutal et impitoyable. Prenez soin de vous, s'il vous plaît. »
« Merci ! Le PCC veut que les gens s'éloignent de la tradition et du divin - c'est pourquoi il sera anéanti par le ciel », ai-je dit. « En rejoignant les organisations du PCC, chacun a fait le vœu de consacrer sa vie au régime. C'est pourquoi je suis vraiment inquiète pour les bonnes personnes comme vous. »
Je lui ai dit que j'allais changer de travail dans quelques jours. « Vous rappelez-vous de mon souhait ? » lui ai-je demandé.
Il m'a regardé en silence, les larmes aux yeux. Puis il s'est éloigné.
Après cela, j'ai continué à penser à lui. J'ai renforcé ma pensée droite pour éliminer les interférences des forces anciennes dans le salut des gens. En regardant les dernières décennies, le PCC a lancé d'innombrables campagnes politiques pour inciter la terreur et la peur. Même si les gens savaient que c'était mal, ils n'osaient rien faire.
Le lendemain, après le déjeuner, alors que j'étais en train de lire un livre de Dafa près de la caisse, le vieil homme est venu me trouver.
« Pauvre enfant, tu as passé les trois derniers mois à me raconter tout ça », m'a-t-il dit. « Tu sais, la nuit dernière, je n'ai pas bien dormi. Je pensais au fait que j'ai déjà plus de 80 ans. Il n'y a plus rien qui puisse me faire peur. »
« Alors, je viens te dire oui, aide-moi à démissionner du PCC, avec mon vrai nom », a-t-il dit en me tenant les mains, les yeux remplis de larmes.
J'étais aussi en larmes. J'étais reconnaissante envers le Maître, car après de nombreux jours, une personne de plus s'était éveillée à la vérité.
J'ai travaillé dans ce restaurant pendant cinq ans. Je ne sais pas combien de billets de banque avec des messages du Falun Dafa ont circulé, et je ne me souviens pas non plus combien ont démissionné des organisations du PCC avec mon aide. Je sais seulement que j'ai traité tout le monde comme ma famille. Je suis une pratiquante de Dafa et je suis ici pour aider à sauver les gens.
Sauver les gens pendant une pandémie
La maladie du coronavirus a éclaté au début de cette année et presque tout a été bloqué. Une autre pratiquante âgée et moi-même sortions souvent ensemble, pour discuter avec les gens et leur parler du Falun Dafa. Nous allions à la gare d'autobus, chez les vendeurs ambulants ou partout où nous pouvions trouver des piétons.
Au bout d'un moment, le confinement du parc local a été levé et plus de gens sont venus profiter du parc. Un jour, je suis allée au parc et j'ai vu deux septuagénaires, assis sur un banc. Je les ai salués et leur ai demandé si je pouvais m'asseoir avec eux pour discuter.
« Bien sûr, a dit l'un d'entre eux, tant que vous ne nous dites pas de démissionner du PCC. » Je n'ai pas été dissuadée et je leur ai dit qui j'étais et d'où je venais. Je leur ai dit qu'il y avait eu un bon nombre de pratiquants de Falun Dafa dans mon village natal et qu'ils étaient tous des gens bien. « Je pratique aussi le Falun Dafa depuis vingt-deux ans. Dans le passé, j'avais plusieurs maladies et j'étais allergique à de nombreux médicaments. C'est le Falun Dafa qui m'a donné une bonne santé », ai-je expliqué.
J'ai dit que le Falun Dafa est devenu très populaire en peu de temps grâce au bouche-à-oreille depuis sa présentation au public en mai 1992. En date de juillet 1999, environ 100 millions de citoyens dans la Chine entière, exerçant diverses professions, pratiquaient le Falun Dafa. Par jalousie, Jiang Zemin, le dirigeant du PCC de l'époque, a lancé une persécution nationale du Falun Dafa en juillet 1999. J'ai rappelé aux deux hommes que le PCC encourage la violence et la haine, ce qui est totalement contraire aux valeurs traditionnelles adoptées par le Falun Dafa.
Parce qu'il est contre l'humanité, le PCC est condamné. « Nous ne voulons pas couler avec, n'est-ce pas ? » ai-je dit.
« D'accord, mais nous ne sommes que des citoyens ordinaires, même pas des dirigeants du PCC. Pourquoi cela nous concerne-t-il ? » a demandé l'un des deux hommes.
« Chacun peut décider de son propre chef - soit en suivant sa conscience, soit en suivant le PCC pervers », ai-je dit. « Quand nous avons rejoint les organisations du PCC, nous avons tous fait le vœu d'y consacrer notre vie. Si c'est vrai, n'allons-nous pas le suivre quand il sera éliminé de l'histoire ? » ai-je continué.
« Je veux démissionner du PCC », a dit l'un d'entre eux.
« Moi aussi », a suivi l'autre.
Un autre jour, j'ai vu une personne assise sur un banc qui ressemblait à un fonctionnaire du gouvernement. Je l'ai salué et je me suis approchée. Après quelques mots, j'ai commencé à parler du Falun Dafa.
« Le Falun Dafa est bien, sinon, comment se fait-il qu'il y ait tant de gens qui le pratiquent ? » Il m'a dit : « Mais pourquoi êtes-vous contre le PCC ? »
Je lui ai expliqué que nous, les pratiquants, voulons simplement devenir des citoyens meilleurs et en bonne santé. C'est le PCC qui fait du tort aux citoyens chinois et réprime les gens, y compris les pratiquants de Falun Dafa. « Pour justifier la persécution, le PCC a inventé des mensonges, tels que l'incident des immolations sur la place Tiananmen, pour inciter à la haine, détournant un grand nombre de Chinois d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance », ai-je dit. « De plus, les responsables du PCC tuent même des pratiquants, et vendent leurs organes pour faire du profit. C'est quelque chose que seule la perversité pourrait faire. »
Tout au long de son histoire, au cours des dernières décennies, le PCC a inventé beaucoup de mensonges. « Par exemple, nous savons tous que les œufs sont pondus par des poules. Mais si le PCC prétend qu'ils proviennent de l'arbre, personne ne peut le contester. Pensez-vous que c'est normal ? » J'ai dit : « Ce n'est pas que nous soyons contre le régime. Nous disons juste aux gens les faits et les gens ont besoin de connaître la vérité. »
Il s'est levé et m'a dit tout en s'inclinant : « Oui, aidez-moi à démissionner du PCC. »
Je pense qu'en tant que disciples de Dafa, nous devons bien faire dans notre cultivation personnelle. Quel que soit l'aspect, nous devons répondre aux attentes et faire les choses solidement. Je planifie bien faire sur ce qu'il me reste à faire sur mon chemin de cultivation.
(Dix-septième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)
Traduit de l'anglais