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Fahui de Minghui | Aller de l’avant avec une pensée droite face aux tests

28 décembre 2020 |   Écrit par un jeune pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Je suis né en 1980. Alors que j’étais au secondaire, j’ai eu un accident de voiture, mais contre toute attente, ce fut une bénédiction déguisée, puisque j’ai eu la chance de commencer à pratiquer le Falun Dafa. Non seulement j’ai rapidement et miraculeusement guéri de mes blessures causées par l’accident, mais mon corps initialement frêle est aussi devenu plus fort et en meilleure santé. Le plus important, c’est que j’ai compris que le vrai sens de la vie est de retourner à son vrai moi originel.

Toutefois, le régime chinois a commencé la persécution du Falun Dafa peu après le début de ma pratique. Par peur, je me suis progressivement éloigné de Dafa et je me suis égaré dans le monde humain. Mais le Maître ne m’a jamais laissé tomber et s’est toujours occupé de moi, me donnant des indices et faisant en sorte que des pratiquants m’aident à revenir.

Enlever la peur en retirant une affiche perverse

Quand je suis allé chez un pratiquant pour étudier le Fa, une personne de sa famille m’a dit avoir découvert près de chez elle, en allant se promener, un panneau d’affichage avec une affiche diffamant Dafa. Après l’étude du Fa, j’ai suivi ses indications et j’ai trouvé le panneau en question.

Le panneau d’affichage était très grand, près de deux mètres de long et un mètre et demi de largeur, et l’affiche était enfermée derrière une vitre entourée d’un solide support en acier inoxydable. Le panneau faisait face à la route, et devant lui se trouvait une grande place avec un flot incessant de gens, venant chaque jour faire des exercices. On pouvait voir une caméra de la CCTV non loin en face du panneau d’affichage. En le voyant, je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir peur. J’ai voulu abandonner et j’ai pensé en moi-même : « Laisse les autres pratiquants enlever cette affiche. Tu n’as pas les capacités pour le faire. »

Quelques jours plus tard, mon père est revenu après ses exercices matinaux et était soudain furieux contre moi : « Ne pratique plus le Falun Gong. N’as-tu pas vu ce qui est écrit sur le panneau d’affichage ? »

J’ai compris que mon père avait aussi vu cette affiche et j’étais plutôt surpris parce qu’il n’était jamais passé devant ce panneau d’affichage auparavant pour aller faire ses exercices matinaux. Pourquoi avait-il changé son itinéraire aujourd’hui ?

Les coïncidences n’existent pas dans la cultivation. J’ai compris que le Maître utilisait la bouche de mon père pour me donner un indice. En tant que disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa, comment avais-je pu laisser cette affiche empoisonner les êtres ? N’était-ce pas irresponsable ? Puisque je savais pour l’affiche, je devais m’en débarrasser. Comment avais-je pu rejeter le danger vers les autres pratiquants en raison de ma peur ?

Puisque je m’y étais éveillé, je devais m’en charger sans tarder. Si l’affiche existait un jour de plus, elle pourrait détruire plus d’êtres. Cette nuit-là, j’ai pris un tas d’outils et je suis sorti. Je sentais mes dents claquer alors que je roulais à vélo, et mes mains et mes jambes tremblaient sans arrêt. Je savais que c’était l’attachement à la peur. J’ai commencé à réciter le Fa du Maître :

Qu’y a-t-il à craindre

Si tu as peur elle t’attrapera

Quand les pensées sont droites la perversité s’écroule

Ceux qui cultivent et pratiquent sont remplis de la Loi

En émettant la pensée droite les diables pourris explosent

Divinités dans ce monde validez la Loi

(Hong Yin II)

Je l’ai récité à répétition et mon cœur s’est peu à peu calmé. J’ai senti que le Maître avait enlevé un peu de la substance de la peur.

Alors que je récitais le poème, soudain, un vélo électrique a fait marche arrière comme s’il avait perdu le contrôle et s'est dirigé droit vers moi à toute vitesse. Au moment où il allait me heurter, j’ai crié et fermé les yeux. J’ai entendu un grand bruit. Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai vu que le vélo électrique et le cycliste étaient tombés près de moi, mais que rien ne m’était arrivé.

Je n'ai pas compris ce qui s’était passé, j’étais sous le choc. Ma peur a refait surface et j’ai pensé que peut-être je ne devais pas y aller ce jour-là. Peut-être était-il préférable de retourner à la maison pour étudier le Fa et de réessayer plus tard, lorsque mon cœur serait plus stable. Mais j’ai alors réalisé que cela traînait depuis si longtemps déjà et que je ne devais pas retarder davantage. Quoiqu’il arrive, je ne dois qu’avancer, et non pas reculer. J’ai continué à rouler devant moi. Mes mains et mes jambes ne tremblaient plus, car le Maître avait encore une fois retiré une partie de la substance de la peur. Plus tard, je me suis éveillé au fait que la perversité avait voulu utiliser l’accident pour me faire barrage, mais le Maître m’avait aidé à résoudre la tribulation.

Je me suis approché du panneau d’affichage et me suis dirigé vers l’arrière pour éviter la caméra et les gens. Il y avait trois panneaux au total, et l’affiche de propagande se trouvait sur celui du milieu. Je me suis approché et j’ai touché le bas de ce panneau. Il y avait un cadenas, mais il n’était pas verrouillé. J’ai retiré le cadenas et j’ai poussé vers l’avant avec ma main. La fenêtre en verre s’est ouverte et j’ai pu atteindre l’intérieur du panneau pour y retirer l’affiche. Tout s'est passé à merveille.

Étant donné que l’affiche était trop grande, elle pouvait attirer l’attention. J’ai rapidement tiré l’affiche et l’ai cachée dans la verdure sur le côté du panneau. L’affiche était faite en styromousse avec une feuille de plastique collée dessus. J’ai enlevé la feuille de plastique et l’ai mise dans mon sac une fois plié sur elle-même. J’ai pensé que je ne pouvais pas juste laisser la styromousse dernière où quelqu’un allait le voir le lendemain. Par chance, la styromousse n’était pas très épaisse et j’ai pu la casser en morceaux. Le Maître me protégeait, car il n’y avait pas beaucoup de monde alentour comparé aux autres jours. Même s’il y a eu un gros bruit lorsque j’ai cassé la styromousse, les passants n’ont pas eu l'air de le remarquer. Une fois la styromousse brisée en morceaux, je l’ai mise dans le grand sac marin que j’avais préparé pour ça.

Je m’inquiétais de ce que j'allais devoir répondre à mon père s’il me posait des questions sur mon sac. Mais en arrivant chez moi, j’ai ouvert la porte et j’ai vu que mon père était déjà endormi. En temps normal, il n’aurait pas été couché. Je dois vraiment remercier le Maître ! Je me suis vite retiré dans ma chambre. Je me suis assis et j’ai haleté fortement après avoir fermé la porte. En rétrospective, ce qui s’était passé était plus excitant qu’un thriller.

Une fois mon cœur calmé, j’ai sorti la styromousse et j’allais la détruire. Cependant, j’ai été abasourdi en la voyant — l’affiche n’était pas celle que j’avais vue ce jour-là ! Que s’était-il passé ? J’ai essayé de me souvenir et je me suis soudain rendu compte que la vitrine en verre contenait plus d’une affiche, et que les anciennes affiches étaient encore à l’intérieur et n’avaient pas été retirées. Comme j'étais tellement nerveux, j'avais pris la mauvaise. Plus tôt, j’étais comme un général triomphant, mais à cet instant je me suis senti découragé. Je me suis reproché d'avoir été si négligent.

Quoi faire ? Recommencer ? J’étais réticent. Soudain, je me suis souvenu que dans La Pérégrination vers l’ouest, le moine Tang et ses disciples ont finalement rapporté les écritures bouddhistes après un voyage ardu. Remplis de joie, ils étaient sur le chemin du retour, lorsqu’une rafale a soudain fait disparaître les écritures. Ils ont découvert que les écritures étaient toutes vierges sans rien d’écrit dessus. Quand ils ont rebroussé chemin pour obtenir les vraies écritures, ils ont accidentellement mis en colère la tortue qu’ils chevauchaient et ont été jetés dans la rivière. En réalité, dans une autre dimension, ils devaient surmonter quatre-vingt-une tribulations et il leur en manquait qu’une. Ainsi, il leur fallait encore traverser une dernière tribulation avant de compléter leur cultivation.

Le Maître a dit :

« C’est parce qu’il a une bonne prédisposition et qu’il a atteint un certain niveau que cette situation apparaît. Mais comment cela pourrait-il être le critère final de la plénitude parfaite pour un pratiquant ? On est encore loin d’avoir cultivé jusqu’en haut ! Vous devez continuer à vous élever. Vous aviez seulement quelques prédispositions en vous, elles ont produit de l’effet, vous avez pu alors atteindre cet état, mais si vous voulez monter plus haut, vos critères doivent s’élever aussi. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Je me suis éveillé au fait qu’il était possible que mon xinxing n’ait pas encore atteint le standard et donc j’avais pris la mauvaise affiche. Le Maître en avait profité pour me tester et me permettre de continuer d’élever mon xinxing. Ayant eu cette pensée, ma frustration a disparu et je n’avais plus peur. J’ai immédiatement commencé à préparer mon prochain voyage. Avec l’expérience précédente, j’ai fait des préparatifs plus minutieux cette fois.

Ce jour-là, il pleuvait beaucoup. J’ai pensé : « C’est un cadeau du ciel. Je le ferai ce soir. » En raison de la forte pluie, il n’y avait personne sur la place. J’ai facilement enlevé l’affiche selon la procédure précédente, l’ai brisée en quelques morceaux et l’ai mise dans mon sac de voyage, après m’être assuré qu’il s’agissait de la bonne. J’ai rapidement apporté mon sac dans le garage d’un pratiquant du coin (je l’avais contacté au préalable). Quand j’ai coupé la feuille de plastique de l’affiche, celle-ci a émis un son étrange, j’ai émis la pensée droite vers l’affiche pour éliminer les facteurs pervers derrière elle.

Bien que j’étais trempé par la pluie, je n’avais pas du tout froid. Mon corps entier était chaud, comme s’il y avait du chauffage autour de moi. Pendant tout le processus, mon esprit était stable et paisible, sans la nervosité et la confusion de la fois passée.

Éliminer l’attachement à sauver la face lors de la coordination

Il y a quelques années, un coordinateur local a été arrêté et condamné à trois ans de prison. En conséquence, nos pratiquants locaux étaient tous comme du sable meuble. Alors que les documents clarifiant la vérité s’empilaient au site de production de documents, nous avions des pratiquants qui n’arrivaient pas à obtenir les documents nécessaires pour sauver les êtres.

Étant donné que j’offrais du soutien technique à cette époque, j’étais le seul, à part le coordinateur, qui savait où se situait le site de production de documents. À partir d’alors, j’ai pris la responsabilité de la coordination. Après avoir commencé à coordonner, j’ai trouvé qu’il n’était pas facile d’être un coordinateur, parce que le travail était non seulement exigeant, mais en plus il n’y avait pas de reconnaissance.

J’étais déjà très occupé parce que j’avais un emploi le jour et je proposais également du soutien technique pour le site de documents. Maintenant, en plus de coordonner à la fois les choses triviales et compliquées, j'étais devenu encore plus occupé et je n’avais plus le temps de manger. Souvent, j’achetais un pain à la vapeur pour le manger en marchant. Certains pratiquants étaient mécontents et me reprochaient de leur faire perdre leur temps lorsqu’il m’arrivait d’être en retard pour livrer les documents ; certains pratiquants perdaient patience et disaient que je les retardais si j’oubliais quelque chose. Je devais m’excuser à profusion et trouver un moment pour leur faire la livraison.

Une fois, je suis allé chez la pratiquante Feng pour étudier le Fa. Étant donné que j’étais en vacances, j’avais dit à tout le monde durant la précédente étude collective du Fa qu’il y aurait quelques changements à l’heure de l’étude habituelle du Fa. Toutefois, en arrivant chez Feng, elle m’a reproché devant les autres pratiquants : « Pourquoi tout le monde était-il au courant du changement d’heure, sauf moi ? Pourquoi ne m’as-tu pas informée ? » J’étais perplexe et j’ai pensé : « Je t’ai informée. Pourquoi me blâmes-tu ? »

Voyant le visage agité de Feng, je me suis mis en colère et je me suis disputé avec elle : « Je te l’avais dit ! Je t’ai informée... » Avant d'avoir pu terminer ma phrase, la pratiquante Bing m’a arrêté et a récité calmement à mon oreille le Fa du Maître :

« C’est lui qui a raison, C’est moi qui ai tort, Qu’y a-t-il à débattre ». (« Qui a raison, qui a tort », Hong Yin III)

J’ai vite compris et j’ai dit à Feng : « Je suis désolé. » En entendant mes excuses, elle a arrêté. Après avoir étudié le Fa, Feng s’est excusée auprès de moi et a dit qu’elle se rappelait maintenant que je lui avais dit, mais elle avait oublié et m’avait fait des reproches. Je n’ai rien dit, mais j’ai pensé en moi-même : « Merci de m’avoir aidé à élever mon xinxing. »

Depuis ma jeunesse, j’ai toujours eu d’excellents résultats scolaires, et je me suis habitué à entendre les félicitations de mes enseignants et camarades de classe. Les compliments que j’ai reçus en grandissant avaient nourri mon attachement à écouter les louanges ainsi que l’attachement à l'orgueil et à sauver la face. Après avoir commencé à faire le travail de coordination, j’étais souvent critiqué par les pratiquants, voire même lésé et mis à l’écart. Je me sentais souvent déprimé et triste, et j’ai songé de nombreuses fois à arrêter le travail de coordination.

Après avoir étudié le Fa, j’ai progressivement appris à utiliser les critères d’un pratiquant pour envisager les choses et traiter la souffrance et la fatigue comme une bonne chose dans la cultivation. Quand j’ai visionné la vidéo de la conférence du Maître « Enseignement du Fa à la conférence de Fa d’Australie », un pratiquant a posé une question à propos d’être traité comme un espion par les autres pratiquants. Le Maître a donné une longue réponse, et ça m’a ouvert l’esprit. Par la suite, j’ai rarement porté attention à l’attitude des pratiquants à mon égard. Je tentais de rester imperturbable lorsque les pratiquants me critiquaient. Je changeais si j’avais tort et je faisais attention dans le cas contraire. Que j’aie raison ou tort n’a aucune importance. Le plus important, c’est d’élever mon xinxing.

Éliminer l’égoïsme en aidant les compagnons de cultivation à surmonter leurs tribulations

La pratiquante Cai de ma région vivait dans un village isolé et venait souvent en ville pour l’étude du Fa en groupe. Toutefois, il y a eu une longue période où elle n’est pas venue. J’ai appris plus tard qu’elle souffrait de karma de maladie. De la perspective d’une personne ordinaire, son état était très grave, étant donné que son cancer des poumons était devenu un cancer des os et que les cellules cancéreuses s’étaient répandues dans tout son corps. Ses enfants l’avaient envoyée à l’hôpital, mais les docteurs avaient dit qu’il n’y avait rien à faire et avaient refusé de la traiter. On lui avait dit de retourner chez elle et de vivre ses derniers jours. Sa famille avait déjà préparé ses funérailles.

J’ai profité des longs jours fériés de début octobre pour lui rendre visite. J’ai vu que Cai était émaciée et au bord de la mort. Sa fille la nourrissait, mais elle ne pouvait pas manger plus que quelques cuillerées. Je lui ai demandé à l’oreille : « Te souviens-tu toujours de la phrase de bon augure ? » Elle a acquiescé et a dit doucement : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » J’ai dit : « C’est ça, récite là dans ton cœur et le Maître va prendre soin de toi. »

Cai a soupiré et a dit : « Je suis déjà ainsi : le Maître va-t-il tout de même s’occuper de moi ? » J’ai dit d’un ton affirmatif : « Bien entendu, le Maître est ici pour nous sauver. Tant que tu crois en Maître et le Fa, le Maître va absolument s’occuper de toi. Tu n’as qu’à réciter les phrases dans ton cœur et je vais venir demain étudier le Fa avec toi. » J’ai vu une étincelle dans ses yeux et elle a hoché la tête.

Elle vivait très loin de chez moi, et il me fallait plus d’une heure et quelques transferts pour arriver chez elle en autobus. Le prix du billet était assez élevé. Mais je me suis rappelé que nous devions sauver même les gens ordinaires, sans parler des pratiquants !

Le lendemain, je suis arrivé chez Cai et j’ai vu qu’elle était plus énergique que la veille. J’ai dit : « Émettons tout d’abord la pensée droite. » Elle a demandé à sa fille de lui mettre sa couverte et son oreiller derrière le dos, et elle s’est à moitié assise à moitié couché pour émettre la pensée droite. Alors que j’émettais la pensée droite, j’ai demandé silencieusement au Maître de la sauver.

Après avoir émis la pensée droite, elle pouvait s’asseoir toute seule. Nous avons commencé à lire le Zhuan Falun, mais elle ne pouvait plus continuer après avoir terminé Lunyu. Alors, j’ai lu et elle a écouté. Après que j’ai lu la moitié de la première conférence, environ 20 pages, sa fille est entrée et s’est inquiétée du fait qu’elle était restée assise trop longtemps et voulait qu’elle se repose. Notre étude du Fa s’est alors arrêtée.

Quand j’y suis retourné le troisième jour, Cai était plus énergique et avait beaucoup mangé. La douleur dans son corps s’était estompée. Auparavant, elle devait avoir deux injections de péthidine par jour pour dormir, mais maintenant elle n’en avait besoin que d’une seule. Cette fois, elle a terminé la première conférence du Zhuan Falun.

Le quatrième jour, Cai a pu sortir de son lit et nous avons terminé la deuxième conférence.

Comme j’étais occupé le cinquième jour, j’ai demandé à un autre pratiquant d’y aller en mon nom. À son retour, le pratiquant m’a dit : « Cai ne va pas bien ? Quels symptômes a-t-elle ? »

En quelques jours, Cai a vécu une transformation sous la protection du Maître. Tout en l’aidant, mon xinxing s’est également élevé. Grâce à ses changements, j’ai pu sentir que lorsque nous sommes vraiment désintéressés et croyons vraiment en Maître et dans le Fa, le pouvoir de Dafa va se manifester.

Sur le chemin de la cultivation, la protection du Maître est partout. En raison de la limitation dans la longueur des articles, je n’ai pas pu aller dans les détails de chacune des histoires. Je ne peux qu’utiliser le cœur le plus sincère pour faire de grands efforts pour bien accomplir les trois choses pour ainsi rembourser le salut compatissant du Maître.

Merci Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

Traduit de l’anglais