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Fahui de Minghui | Sauver les agents de police et les procureurs avec bienveillance

6 décembre 2020 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Bonjour bienveillant Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

Quand une compagne de cultivation de notre région a été arrêtée plus tôt cette année, nous sommes passés par un processus consistant à utiliser la loi pour sauver la pratiquante et pour contrer la persécution.

Avec le renfort du Maître, nous avons utilisé une approche proactive dans nos contacts avec la police et les procureurs de notre région et graduellement, nous les avons aidés à comprendre le caractère illégal de la persécution. Sans embaucher un avocat, nous avons empêché les responsables de persécuter nos compagnons de cultivation, ce qui a eu un très bon impact dans notre région.

L'arrestation d'Anping

Anping, notre compagne de cultivation, a été arrêtée en avril de cette année pendant qu'elle distribuait des documents pour exposer la persécution. Elle a expliqué aux policiers que la persécution du Falun Dafa manquait de base légale dès le départ, et elle a été remise en liberté le lendemain.

J'ai trouvé un article de partage d'expériences sur Minghui.org qui mentionnait l'existence d'un guide juridique qui avait été établi par des compagnons de cultivation pour contrer la persécution. Cela nous a été très utile pour secourir nos compagnons de cultivation illégalement détenus. J'ai cherché le guide, je l'ai téléchargé et je l'ai donné à la police. À partir de là, ils n'ont plus harcelé Anping pendant quelques mois.

Confrontée à la persécution

Fin septembre, Anping a tout d'un coup reçu un appel téléphonique du parquet de la localité et on lui a dit que la police leur avait soumis son dossier. Nous avons tous eu le cœur lourd quand nous avons appris cela.

Nous avons réalisé que nous ne devrions pas attendre que les choses empirent avant de réagir. Il fallait que nous nous basions sur la loi pour contrer la persécution. Nous voulions sauver les procureurs avant qu'ils n'aient la possibilité de commettre des crimes. Comme la semaine de congé national était début octobre, nous avions un délai serré pour agir.

Contrecarrer la persécution à l'aide de la loi

J'ai également pensé à engager un avocat pour Anping, mais cela allait prendre trop de temps, d'énergie, de main d'œuvre et d'argent. Il allait également falloir que nous commencions par clarifier la vérité à l'avocat. Nous n'avions tout simplement pas assez de temps pour le faire. Soudain, je me suis rappelé le guide juridique des compagnons de cultivation – il listait très en détail toutes les procédures légales et tous les points d'action que nous devions prendre, ainsi que des arguments logiques et raisonnables pour défendre nos compagnons de cultivation.

J'ai prié le Maître de m'aider à établir un document de défense puissant et touchant qui pourrait aider les procureurs à comprendre la persécution illégale et les empêcherait de commettre des crimes contre le Falun Gong.

J'ai lu le guide attentivement. Il expliquait que le dépôt de plaintes contre les personnes chargées de l'affaire était le moyen le plus puissant pour dissuader les fonctionnaires de commettre des crimes, car il ne nous obligeait pas à engager un avocat ou à suivre le format compliqué des formes juridiques.

Mais, concernant le fait de déposer plainte, nous étions inquiets parce que nous avions déjà expliqué beaucoup de choses sur la persécution au chef du Service de la sécurité intérieure dans le passé, et nous ne savions pas ce que notre plainte ferait de plus pour le changer.

Avant de faire quoi que ce soit, nous avons demandé à Anping d'aller d'abord lui parler.

Anping l'a trouvé et a demandé : « Était-ce votre idée ou celle de quelqu'un d'autre de soumettre mon dossier au parquet ? »

« C'est bien sûr un ordre provenant du département de police. Je fais tout simplement mon travail », a-t-il répondu.

« Je vois. Cela ne vient donc pas de vous ? »

« Savez-vous que vous pouvez engager un avocat ? Vous en avez le droit. »

« S'il le faut, je vais engager un avocat pour présenter un plaidoyer de non-culpabilité », a dit Anping.

Un jeune agent de police qui avait entendu leur conversation s'est joint à eux : « Sachez que vous ne pourrez peut-être pas trouver de tels avocats dans notre région. »

« Eh bien, j'irai alors à Pékin ou Shanghai. De nombreux avocats là-bas ont représenté des milliers de pratiquants de tout le pays », a répondu Anping.

Lors de son retour, Anping nous a parlé de la situation. Nous avons à nouveau discuté et décidé de ne pas déposer plainte contre le chef de la division locale de la sécurité intérieure, car cela risquait de le rebuter. Quoi que nous décidions de faire, nous devrions le faire avec bienveillance et penser à les sauver, lui et les autres agents. Nous ne pouvions pas les pousser de l'autre côté.

Nous avons également compris qu'avec les différentes personnes des forces de l'ordre et du parquet, nous allions devoir leur parler de façon à ce qu'elles puissent comprendre, et que nous allions peut-être être amenés à faire les choses de différentes façons pour clarifier la vérité à différentes personnes.

Nous avons décidé d'écrire une « motion de réexamen » à la division de la sécurité intérieure et au ministère public, demandant au procureur de revoir et d'abandonner les poursuites contre Anping. Nous avons cité onze termes juridiques pertinents pour démontrer l'innocence des pratiquants de Falun Gong et l'illégalité de la persécution.

Le chef de la Division de la sécurité intérieure : « On dirait que j'ai échoué ! »

Le lendemain, la veille des vacances nationales, Anping a remis la motion à la Division de la sécurité intérieure et au ministère public. Le chef de la Division a eu l'air de paniquer après l'avoir lue, en particulier la partie concernant la violation de la loi.

Il a levé les yeux de temps en temps vers Anping : « Ce n'est certainement pas vous qui avez écrit ceci. »

« Cela n'a aucune importance, mais j'ai une base juridique pour la demande de réexamen de mon dossier. »

« Nous avons essayé de vous “transformer”, mais on dirait que j'ai échoué ! »

Anping a dit qu'elle était heureuse que le chef de la Division de la sécurité intérieure ait admis qu'il n'avait pas réussi à la « transformer », sinon cela aurait été un autre crime pour lui. Elle a poursuivi : « Je suis venue ici aujourd'hui dans votre intérêt. Vous avez déjà persécuté une pratiquante de Falun Gong [moi]. Je ne veux pas que vous fassiez une autre erreur. Quand vous me persécutez, vous ne devez pas seulement porter la responsabilité légale, mais vous devez aussi porter le péché commis contre le Falun Gong. C'est quelque chose de difficile à rembourser. »

Alors qu'elle parlait, Anping a vu que les yeux du chef de la sécurité intérieure étaient grands ouverts et il n'arrêtait pas de hocher la tête dans sa direction.

« En fait, nous n'avions pas vraiment l'intention de vous faire quoi que ce soit », a-t-il dit.

« C'est la raison pour laquelle je suis venue vous voir en premier et vous rappeler de ne pas faire d'erreur. »

Il était très inquiet de savoir si Anping l'avait exposé sur Minghui.org, mais Anping lui a dit qu'elle espérait ne jamais avoir besoin de le faire.

Des efforts continus pour réveiller les coupables

Empêcher les auteurs de persécuter les pratiquants de Falun Gong n'est qu'une première étape. Il reste encore beaucoup à faire pour les sauver. Au cours des vingt et une dernières années, ils ont subi un lavage de cerveau constant avec la propagande du Parti communiste chinois (PCC). Ils sont profondément empoisonnés et ont vraiment besoin d'un processus pour accepter la vérité. Ils doivent non seulement comprendre qu'ils commettent un crime, mais ils doivent aussi comprendre qu'ils sont aussi des victimes qui souffrent aux mains du PCC. Ce n'est qu'après avoir compris la vérité et avoir démissionné du PCC et de ses organisations connexes qu'ils seront vraiment sauvés.

Pendant les longues vacances nationales, j'ai passé en revue de nombreux articles sur Minghui.org sur la façon dont les pratiquants ont persuadé avec compassion les auteurs de crimes de ne pas faire le mal. Inspiré par leurs histoires, j'ai écrit une lettre à la Division de la sécurité intérieure et au ministère public, espérant promouvoir la bonne volonté auprès des fonctionnaires.

Dans cette lettre, j'ai exposé les mensonges du PCC d'un point de vue juridique et j'ai étayé mes arguments par des preuves. J'ai décrit comment le PCC visait le Falun Gong depuis juillet 1999 et quelles tactiques il utilisait dans la persécution. J'ai également souligné la ferme croyance et la persévérance des pratiquants dans la défense de la vérité et de leur foi, ainsi que leurs efforts persistants pour réveiller les gens et les persuader de démissionner du PCC. J'ai rappelé aux auteurs que, bien qu'il semblait à première vue que ce soient les pratiquants qui souffraient, les victimes ultimes de la persécution étaient ceux qui menaient les politiques de persécution. Pour stimuler davantage leur conscience, j'ai énuméré de nombreux exemples de policiers, de procureurs et de juges qui avaient choisi de ne pas arrêter ou de ne pas persécuter les pratiquants, mais de les protéger secrètement.

En écrivant la lettre, j'ai prêté une attention particulière à mon ton afin de ne pas exprimer de ressentiments à leur égard. Je voulais simplement les réveiller avec ma compassion. J'ai demandé la bénédiction du Maître afin que la lettre puisse aider à exposer la perversité et à sauver les êtres. Le but superficiel de la lettre était d'amener les procureurs à abandonner les charges et à classer l'affaire, mais le sens profond était d'éveiller leur conscience et de les sauver.

Clarifier les faits au directeur adjoint de la Commission des affaires politiques et juridiques

Quelques jours après qu'Anping a envoyé la lettre à la police et au procureur, Sheng, la directrice adjointe de la Commission locale des affaires politiques et juridiques (une agence extrajudiciaire supervisant la persécution) est allée rendre visite aux beaux-parents d'Anping et a tenté de persuader le couple âgé d'abandonner la pratique du Falun Gong. Le couple a rejeté sa demande et a dit à Sheng comment la pratique du Falun Gong leur avait donné une bonne santé. Avant de partir, Sheng a arraché une affiche contenant des informations sur le Falun Gong qui se trouvait sur la porte d'entrée du couple.

Quand Anping et moi en avons entendu parler, nous avons tous deux ressenti le besoin de clarifier les faits à Sheng. Le lendemain, Anping s'est rendue au bureau de Sheng et lui a parlé. Elle a déclaré : « Bien que nous nous connaissions depuis longtemps, c'est en fait la première fois que nous nous rencontrons. »

Sheng lui a dit : « Mon superviseur a vu l'affiche de Falun Gong que vous avez affichée et nous a demandé d'enquêter. C'est mon travail. Que puis-je faire alors ? Si vous pensez que le Falun Gong est bon, vous pouvez le pratiquer chez vous et nous ne vous ennuierons pas pour cela. Mais pourquoi devez-vous sortir et mettre des affiches ? Je sais que vous pratiquez le Falun Gong depuis de nombreuses années, et je ne pense pas pouvoir vous faire changer d'avis [pour y renoncer]. »

Sheng a ajouté qu'il y avait une campagne « Plan zéro » et qu'ils devaient aller voir tous les pratiquants de la liste du gouvernement, y compris les beaux-parents d'Anping, et leur faire renoncer au Falun Gong.

Anping a pensé en elle-même : « C'est notre Maître qui prend la décision. Nous allons changer ton cœur et te sauver. »

Elle a dit à Sheng : « C'est alors vraiment une bonne occasion pour que vous entendiez d'autres avis. Vous devez réfléchir à la raison pour laquelle, après tant d'années de persécution féroce, nous n'abandonnons toujours pas notre croyance, ainsi qu'à la raison pour laquelle le Parti communiste chinois a tellement peur que les gens apprennent la vérité. »

Après avoir parlé à Sheng, Anping a constaté que la directrice adjointe avait été largement influencée par les mensonges du PCC. Elle a continué à émettre la pensée droite et lui a donné quelques documents. « Tout ce que je veux vous dire se trouve ici. S'il vous plaît, lisez-les attentivement. »

Sheng a pris tous les documents et a dit : « Je vais les lire. »

Le troisième jour, Anping est allée au parquet pour répondre à quelques questions. Un fonctionnaire lui a dit qu'ils avaient l'intention de l'inculper et de transmettre son dossier à la cour. « Si vous voulez engager un avocat, il faudra agir vite. Mais il faut nous le signaler si vous en engagez un. »

Ils ont également révélé qu'ils avaient accusé Anping d'avoir violé l'article 300 de la loi pénale : « Saper l'application de la loi avec une organisation sectaire. »

Anping a dit : « La loi ne dit pas un mot du Falun Gong. Vous voyez bien, je n'ai pas violé la loi. »

Le membre du personnel a répondu : « Si vous n'avez pas violé la loi, pourquoi la police nous a-t-elle alors soumis votre dossier ? Ne vous ont-ils pas donné un avis de sanction ? »

Anping leur a dit que la police l'avait remise en liberté le lendemain de son arrestation et ne lui avait infligé aucune sanction.

Le fonctionnaire a consulté son dossier et a déclaré : « C'est tellement bizarre qu'ils n'aient pas inclus les informations sur les sanctions ici. Peut-être l'ont-ils simplement oublié. »

Anping a été amusée d'entendre cela.

De retour, Anping était plutôt calme quand elle nous a raconté ce qu'elle avait vécu au parquet : « Ils étaient juste inquiets que j'engage des avocats et n'arrêtaient pas de me poser des questions là-dessus. Vous n'avez pas à vous inquiéter pour moi. Ils ne peuvent rien me faire. Si mon affaire passe devant le tribunal, c'est une occasion pour nous de sauver les êtres qui s'y trouvent. »

J'étais légèrement déprimé, car j'avais espéré que les procureurs abandonnent le dossier après avoir reçu ma lettre. Je ne comprenais pas pourquoi ils insistaient encore à suivre la persécution alors que nous leur avions si clairement expliqué qu'il était tout à fait illégal pour eux d'agir ainsi. Pendant les semaines précédentes, je savais parfaitement quoi faire quand il y avait des problèmes dans le dossier, mais maintenant, je ne savais plus quoi faire.

Je me suis calmé pour étudier les enseignements du Fa. Je me suis rendu compte du fait qu'il ne fallait pas être attaché au résultat. J'ai commencé à émettre la pensée droite avec Anping et des compagnons de cultivation. J'ai réalisé que c'était ce qui allait vraiment avoir de l'effet et c'était là où je n'avais pas bien fait.

J'ai trouvé un article de partage sur comment les pratiquants hors de Chine téléphonaient aux personnes qui participaient à la persécution. Après avoir discuté avec les pratiquants de notre secteur, nous avons envoyé les données de contact des malfaiteurs de notre région à Minghui.org et nous leur avons demandé d'aider à transmettre les informations à l'équipe qui passait les appels.

Après cela, Anping a aussi dit aux pratiquants locaux d'augmenter l'émission de la pensée droite afin de former un corps uni avec les pratiquants hors de Chine et sauver les êtres ensemble.

Le chef du Service de la sécurité intérieure demande à être retiré de la plainte

Après avoir lu davantage d'articles de partage sur Minghui, Anping avait toujours le sentiment qu'il fallait empêcher les procureurs de commettre le crime de l'inculper.

Elle est allée trouver le chef de la Division de la sécurité intérieure et lui a dit qu'elle avait l'intention de déposer plainte contre les procureurs. Il a été surpris d'entendre cela et a dit qu'elle devrait attendre les résultats de sa requête pour reconsidérer son cas avant de faire quoi que ce soit.

Anping a dit : « Je vais probablement inclure dans ma plainte des personnes de la Commission des affaires politiques et juridiques et d'autres qui sont impliquées. »

Le chef de Division a plaidé : « Pourriez-vous ne pas faire apparaître mon nom dans la plainte ? »

« Je dépose la plainte sous mon vrai nom, et je dois détailler tout ce qui s'est passé. C'est vous qui avez soumis mon dossier au parquet, donc il n'est pas question que je laisse tomber votre nom. Je ne peux pas rester à la maison et attendre que le juge me condamne. Je dois utiliser la loi pour me protéger », lui a expliqué Anping.

Affaire abandonnée

Anping, une fois rentrée chez elle, a eu la visite de Sheng, de la Commission des affaires politiques et juridiques, et d'un agent de police. Bien que Sheng n'ait pas mentionné la plainte d'Anping, Anping a senti que Sheng venait lui signaler son intention d'abandonner l'affaire.

Avec la protection du Maître, la tentative de la perversité d'inculper et de condamner Anping a finalement échoué.

Au fil des ans, j'ai toujours essayé d'éviter de clarifier la vérité à la police et aux procureurs. J'ai toujours pensé qu'il était très difficile de les sauver, car ils avaient été empoisonnés trop profondément pendant trop longtemps. Après une période d'interaction avec la police et les procureurs locaux, j'ai découvert que certains d'entre eux ont encore un cœur bienveillant. Ce sont aussi des êtres qui sont venus ici pour Dafa, et leur côté conscient nous demande de les sauver.

C'était le Maître qui avait arrangé que nous les trouvions un par un. Ceci était pour leur salut. En particulier pendant la pandémie de coronavirus, si nous ne leur apportons pas la vérité, ils risquent de finir par être éliminés. Ce serait bien dommage.

Pendant le processus, peu importe à quel point la difficulté était grande, nous sommes restés clairs concernant notre but : faire en sorte que la police et les procureurs apprennent la vérité pour qu'ils soient sauvés. Peu importe ce que nous faisons en surface, c'est le soutien du Maître et la pensée droite des compagnons de cultivation qui ont réellement fait le travail. Entretemps, Anping s'est personnellement adressée aux policiers et aux procureurs pour leur expliquer la vérité. Elle ne s'est pas considérée comme quelqu'un de persécuté. Elle croit que tout a été arrangé par le Maître et que nous avons simplement saisi les occasions pour sauver davantage de gens.

Nous avons tous réalisé l'importance d'une étude de Fa diligente. Cela nous a aidés à rester fermes dans notre croyance. Le Fa nous a également éveillés et inspirés en cours de route. Si nous nous relâchons dans l'étude du Fa, nous serons facilement affectés par des difficultés superficielles et nos cœurs seront affectés facilement. Je savais qu'Anping et sa mère étudiaient chaque jour deux enseignements du Zhuan Falun. J'étudiais toujours le Fa avant de travailler sur les articles et les lettres, alors que j'étais très occupé pendant la journée. Parfois, je travaillais jusqu'à 3 heures du matin et cependant, je ne me sentais pas fatigué.

Mon cœur est plein de reconnaissance pour cette expérience. Pendant les six derniers mois, les compagnons de cultivation ont coopéré inconditionnellement et ont clarifié les faits aux gens. Je suis très reconnaissant envers les compagnons de cultivation qui ont établi le guide juridique et ceux qui ont téléphoné à la police et aux procureurs. Bien que nous ne nous connaissions pas et qu'un océan nous sépare, nous assumons la même responsabilité : d'éveiller les êtres qui sont dans l'illusion.

Traduit de l'anglais