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Histoires formidables au sujet de ma mère centenaire

1 février 2020 |   Écrit par Qinliu, une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Hebei, Chine

(Minghui.org) Ma mère a été adoptée très jeune par sa tante veuve. Ma mère était faible, elle avait beaucoup souffert et ne s'est pas mariée avant l'âge de 30 ans.

Après que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à diriger la Chine, les mouvements politiques se sont succédé. Mon père était droit et aimait redresser les torts chaque fois que c'était possible. Il a été persécuté par le PCC à chaque mouvement politique, parce que c'était une personne instruite.

Le PCC a provoqué une famine de trois ans à partir de 1959. Mon père a développé un ulcère du foie après avoir été contraint à faire des travaux forcés dans un camp de travail et il a été emmené à l'hôpital. Il s'est réveillé quatre jours plus tard après avoir été opéré. Ma mère a dû faire 60 kilomètres à pied jusqu'à l'hôpital pour aller voir mon père.

Nous étions six enfants dans notre famille. Mon frère aîné avait 12 ans et j'étais la plus jeune à un an. Ma mère, sa tante et les six enfants dépendaient des revenus de mon père, mais il était malade et à l'hôpital. Ma mère a donc trouvé des moyens de nous faire vivre et nous avons tous survécu à la famine.

Pendant la révolution culturelle, mon père a souvent été persécuté. La peur, la pauvreté et le désespoir étaient insupportables. Dans les moments les plus difficiles ou les plus effrayants, j'entendais souvent ma mère chuchoter : « Bouddha, Bouddha ». Elle attendait toujours avec impatience des temps meilleurs.

D'aussi loin que je me souvienne, ma mère avait les cheveux blancs, était frêle et malade et s'évanouissait souvent. Quand mon frère aîné a vu que notre mère était malade et que le médecin ne pouvait rien faire, il a secrètement décidé d'apprendre une pratique de qigong pour pouvoir la soigner. Il a également demandé à un maître de qigong de soigner notre mère, mais cette personne n'a pas pu l'aider à aller mieux.

Trouver le Falun Dafa

En 1997, mon frère aîné a trouvé le Falun Dafa. À cette époque, j'étais atteinte de maladies très graves. J'étais alitée avec une angine de poitrine, une néphrite chronique, une neurasthénie et des jambes qui me faisaient si mal que je ne pouvais pas marcher à cause de la douleur. J'étais aussi gravement myope. Mon frère m'a donné le livre Zhuan Falun, que j'étais trop gênée pour refuser.

Cependant, quand j'ai essayé de le lire, mes yeux ne pouvaient pas voir les mots et j'avais l'impression que ma tête allait se fendre. La douleur était insupportable. Malgré l'extrême douleur, j'ai persisté à lire le livre petit à petit. Au début, je ne pouvais lire qu'un court paragraphe, mais plus je lisais, plus je me sentais bien. J'ai commencé à lire le Zhuan Falun toute la journée et je me suis remise de mes maladies en deux mois. J'étais stupéfaite. Je n'avais même pas commencé à pratiquer et pourtant, rien qu'en lisant le Zhuan Falun, toutes mes maladies avaient disparu. Je souriais toute la journée et je voulais sauter en marchant.

Témoins de mes changements, mes parents, qui avaient plus de 80 ans, ont commencé à pratiquer Dafa eux aussi. Ma mère n'a plus été malade depuis et n'a pas pris de médicaments pendant tout ce temps. Elle a maintenant 102 ans !

Expérimenter le pouvoir de Dafa

Ma mère était analphabète. Elle était sourde des deux oreilles et ne comprenait pas les principes de haut niveau de Dafa. Cependant, elle croyait que Dafa est réel et n'avait aucune réserve sur le Fa. Elle a surmonté de nombreuses difficultés de vie et de mort, d'une manière qui ne peut pas être expliquée par la science moderne.

Ma mère a été heurtée par un petit tricycle en 1998. Elle s'est assise sur le sol et a redressé sa jambe tordue avec ses mains. La personne qui conduisait le tricycle a eu peur et lui a dit qu'il l'emmènerait à l'hôpital. Ma mère lui a dit qu'elle allait bien et lui a demandé de la ramener à la maison. À la maison, elle a étudié le Fa, a fait les exercices comme d'habitude et a récupéré en trois jours.

Quand le PCC a commencé à persécuter le Falun Dafa, mon père n'a plus osé pratiquer Dafa, parce qu'il avait peur de ce que le PCC pouvait faire de mal. Il a demandé à ma mère d'arrêter de pratiquer aussi. Ma mère a caché le portrait du Maître et les livres de Dafa pour les garder en sécurité. Elle n'a pas abandonné Dafa dans son cœur. Mais la santé de mon père s'est détériorée et il est mort en 2000.

Ma mère, qui avait 84 ans, a recommencé à avoir ses règles en 2000. Ma sœur aînée, qui était en visite, s'est inquiétée. La plupart des gens pensent qu'avoir ses règles à un tel âge signifie qu'on est en train de mourir. Ma sœur a voulu emmener ma mère à l'hôpital. Ma mère lui a dit : « Ne t'inquiète pas. Je n'ai pas d'inconfort. »

Lorsque cela s'est produit, j'ai été détenue illégalement dans un camp de travail pour ma pratique du Falun Dafa. Quand je suis rentrée chez moi, ma mère m'a raconté ce qui s'était passé. J'ai dit : « Le Maître est compatissant. Tu as pratiqué le Falun Dafa que pendant un peu plus d'un an et pourtant il s'est occupé de toi ».

Le Maître a dit :

« Les femmes d’un certain âge ont par ailleurs à nouveau leurs règles parce que dans une méthode de cultivation conjointe de l’esprit et du corps, on a besoin du qi du cycle menstruel pour cultiver le corps. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Quand ma mère avait 85 ans, elle est tombée du lit un soir et s'est cassé la hanche. Elle a sincèrement récité « Falun Dafa est bon ». Sa hanche s'est rétablie sans traitement et elle a pu marcher en peu de temps.

Lorsqu'elle avait presque 90 ans, ma mère a vécu dans la maison de ma quatrième belle-sœur. Au bout d'un certain temps, elle a commencé à tousser et à avoir le souffle court. Je me suis précipitée et j'ai vu qu'elle pouvait à peine respirer et que sa vie était en danger. J'ai dit à mon deuxième frère : « Je ne sais pas ce qui va se passer avec notre mère ce soir. Si je l'emmène chez moi, je suis presque sûre qu'elle ira bien ». Mon frère, qui avait entendu parler du pouvoir de Dafa, a dit : « Alors, emmène maman chez toi. »

Je lui ai proposé de venir chez moi. Elle s'est immédiatement assise, ce qui a fait sursauter tout le monde. Elle savait qu'elle pouvait pratiquer Dafa chez moi et que tout irait bien.

Mon frère lui a dit : « Je vais t'y porter. » Elle a répondu : « Non. Je vais marcher toute seule. » Sur le chemin de ma maison, je l'ai soutenue, j'ai émis la pensée droite et j'ai demandé au Maître de sauver ma mère. En arrivant chez moi, je lui ai fait écouter un enregistrement d'une conférence de Fa. Je suis restée à ses côtés, j'ai constamment émis la pensée droite et j'ai éliminé toutes les mauvaises choses qui la gênaient.

Mon frère est venu voir ma mère le lendemain matin. Quand il l'a vue assise sur le canapé, regardant la télévision et craquant des graines de melon, il a été étonné. « Comment notre mère s'est-elle remise si vite ? » Il ne pouvait pas s'empêcher de sourire.

La science ne peut pas expliquer le pouvoir de Dafa

Ma mère n'a aucun malaise dans son corps et sa vie a été prolongée par Dafa. Elle ne comprend pas les principes de Dafa, ne pratique pas les exercices et risque de perdre la vie à tout moment. À l'âge de 92 ans, elle a survécu à six tribulations. Je vais partager l'une d'entre elles.

Ma mère vit chez moi. Un jour, elle n'a pu reconnaître personne et n'a pas voulu manger. Nous pouvions à l'occasion lui donner un peu de nourriture. Cette situation a duré plus de vingt jours. Mon deuxième frère a amené un médecin qui a vérifié son pouls et lui a dit : « Tout va bien, tout est normal. » Il a dit que ses symptômes pouvaient être causés par la constipation et a suggéré des lavements.

Ma belle-fille est infirmière dans un hôpital. Elle a ramené à la maison l'équipement nécessaire pour nettoyer les intestins de ma mère et a inséré un tube en caoutchouc dans son anus. Ma mère est devenue anxieuse quand elle a réalisé qu'elle recevait un traitement. Elle a crié : « Je ne suis pas malade. Vous me détruisez ».

Mon frère aîné avait peur qu'elle ne meure chez moi alors, le lendemain, il l'a emmenée chez mon deuxième frère. J'ai discuté d'un plan avec mon frère aîné, ma sœur aînée, ma belle-sœur et quatre disciples de Dafa. Nous nous sommes divisés en deux groupes. Trois d'entre nous s'occupaient de notre mère pendant la journée et émettaient la pensée droite ; j'étais de service la nuit et je n'ai pas donné à la perversité l'occasion de prendre la vie de notre mère.

Cette nuit-là, je suis allée la voir avec ma fille et ma belle-fille. Dès que je suis entrée dans la pièce, j'ai vu que ses yeux étaient flous et je l'ai entendue parler à quelqu'un : « Viens, viens, ils sont tous là, avec des vêtements colorés. Ils sont ici depuis quelques jours. Ils sont venus pour moi, allons-y. Allons-y, je dois y aller. »

Elle m'a regardé et m'a dit : « Tu veux venir avec moi ? » Je n'ai pas répondu. Je me suis juste assise à côté d'elle et j'ai émis la pensée droite. Elle s'est tournée vers ma fille et lui a dit : « Veux-tu venir avec moi ? » J'ai dit à ma fille de ne pas répondre. J'ai continué à émettre la pensée droite alors que ma mère continuait à dire des bêtises.

Je me disais que je pratiquais la grande loi de l'univers. Pourtant, les esprits inférieurs osent faire du grabuge ici. Ce n'est pas juste. Qu'est-ce qui a mal tourné ? J'ai soudain compris que ces esprits étaient liés à ma mère. J'ai alors immédiatement émis une pensée : « Esprits de bas niveau, écoutez : retournez d'où vous venez ; quand les disciples de Dafa atteindront l'éveil, ils vous assureront un arrangement bienveillant. Si vous continuez à persécuter les disciples de Dafa ici, ou à interférer avec les disciples de Dafa qui valident Dafa ou sauvent des êtres, vous serez immédiatement détruits. »

Dès que j'ai émis cette pensée, j'ai vu ma mère regarder autour d'elle : « Hé, tu ne m'as pas dit d'aller avec toi ? Pourquoi tu t'enfuis ? » Elle était confuse et a dit : « Oh, ils sont tous partis. Ils m'ont demandé de les accompagner. » Je lui ai dit : « Ne va pas avec eux. Élimine-les. »

Elle a dit : « Les éliminer ? Mais ce sont des humains. » J'ai dit : « Ce ne sont pas des humains, ce sont des fantômes, ils veulent te faire du mal. » Ma mère m'a dit : « Oh, ils me font mal ? Ce n'est pas bien. » Elle s'est levée et a dit tout haut : « Mourir, détruire. Mourir, détruire. »

Quand j'ai vu que ma mère était rationnelle, j'ai récité un des poèmes du Maître et elle s'est jointe à moi :

« Apprendre la Loi, obtenir la Loi,

Comparer l'étude, comparer la cultivation,

Pour chaque chose on se réfère à la Loi,

Arriver à faire ainsi, c'est la cultivation. »

(« Cultiver réellement », Hong Yin Version A)

Elle a fini de réciter le poème, m'a regardée et m'a demandé quand j'étais arrivée. Elle a vu ma fille et ma belle-fille et s'est demandé pourquoi elles étaient là elles aussi. Je voyais qu'elle était revenue à la normale. Notre deuxième frère, qui ne pratiquait pas Dafa, a été très impressionné par ce qu'il a vu.

Traduit de l'anglais