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Une jeune professeur de musique : Dafa m'a apporté une bonne santé et une vie heureuse

16 mars 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Ma mère et moi pratiquons le Falun Dafa ensemble depuis que je suis toute petite. J'ai maintenant une vingtaine d'années et je suis professeur de musique. J'aimerais faire un compte rendu de certains de mes souvenirs de cultivation jusqu'à ce jour.

Une enfance remplie de maladies

Je suis née prématurément et donc, j'ai été fragile dès mon plus jeune âge. Je toussais ou j'avais de la fièvre qui se transformait facilement en pneumonie ou en convulsions. Les médicaments que j'ai utilisés sont devenus chers et les effets secondaires de plus en plus graves.

Au cours de l'automne précédant mon obtention du Fa, j'ai eu une pneumonie, et ma forte fièvre a entraîné des crampes et un coma. Les médecins ne savaient pas quoi faire. Comme mes parents étaient encore jeunes à l'époque, ils pensaient que je ne pouvais pas être sauvée et ils étaient effrayés. Mon père s'est agenouillé sur le sol à côté de mon lit et a crié : « Oh, Seigneur, qu'ai-je fait ? Pourquoi suis-je puni de cette façon ? » Le sauvetage a duré quarante minutes. Puis j'ai finalement cessé d'avoir des crampes. Le médecin m'a fait une injection et a dit à mes parents qu'à mon réveil, je pourrais peut-être parler de façon inintelligible, ce qui était un effet secondaire du médicament. Ma mère s'est souvenue de cette situation et a dit que je disais n'importe quoi et que mon discours manquait de logique. Mes parents pleuraient souvent tristement.

J'allais à l'hôpital une fois par mois. La médecine chinoise à base de plantes sombres était quelque chose de si horrible que je m'en souviens encore aujourd'hui. Le docteur Wang disait généralement : « Salut, c'est encore toi ! » Comme j'étais toujours malade, ma mère était souvent inquiète. Elle était si inquiète qu'elle ne pouvait ni manger ni dormir, et finissait par avoir des problèmes d'estomac. Quand j'étais malade, ses problèmes d'estomac se manifestaient, et quand je n'étais pas malade, ma mère se sentait bien.

Apprendre à s'asseoir avec les jambes croisées en méditation

Quand j'avais cinq ans, j'ai officiellement commencé la cultivation et la pratique du Falun Dafa. À l'époque, la principale raison pour laquelle ma mère et moi avons commencé à cultiver était pour que je sois en bonne santé.

En fait, au début, je ne comprenais pas bien ce qu'était la cultivation. Ma mère lisait le Fa à haute voix pour moi et je l'écoutais attentivement, et quand elle me demandait de faire les exercices, je la suivais simplement. Elle était satisfaite de mon obéissance et de ma volonté à endurer les difficultés. Quand j'étais malade, je prenais souvent des médicaments hormonaux pour éviter les crampes, ce qui me rendait relativement grassouillette. C'est pourquoi il m'était difficile de m'asseoir en tailleur pendant la méditation ; je pleurais du début à la fin pendant toute la demi-heure de l'exercice de méditation. Pourtant, je supportais l'inconfort et je ne décroisais pas les jambes.

J'ai persisté dans mes efforts pendant plus d'un an, mais j'avais encore beaucoup de douleurs et je pleurais en faisant l'exercice des jambes croisées. Rien n'avait changé. Un jour, ma mère m'a dit : « Chérie, ça fait mal de toute façon. Tu peux t'asseoir pendant une heure aujourd'hui. Demande à Maître Li (le fondateur) de t'aider. » Elle s'étonne aujourd'hui du courage dont elle a fait preuve en prononçant de tels mots à l'époque, car cela était totalement contraire à la sagesse conventionnelle humaine.

Heureusement, j'étais encore jeune et je n'avais pas de notions humaines. J'ai hoché la tête sans trop réfléchir, et on m'a donné une pile de mouchoirs comme d'habitude, pour que je puisse essuyer mes larmes à la minute où j'allais lever la jambe gauche. J'ai donc d'abord levé la jambe droite et me suis reposée un moment, puis j'ai lentement levé la jambe gauche. J'attendais que les larmes viennent, mais, contre toute attente, un miracle s'est produit ; ça n'a pas fait mal du tout ! Maman et moi étions stupéfaites, car cela ne s'était jamais produit auparavant ! Quoi qu'il en soit, nous avons continué l'exercice et nous n'avons pas dit un mot. Ce jour-là, je me suis assise avec les jambes en position croisée pendant une heure entière et ça n'a pas fait mal du début à la fin. Depuis lors, je pratique volontiers la méditation assise avec les jambes croisées, comme les adultes.

En grandissant, j'ai davantage étudié le Fa. Ce n'est qu'alors que j'ai compris que le Maître compatissant prenait soin de moi. En voyant ma persévérance, le Maître m'a enlevé mon karma. Merci, Maître !

Respecter le Maître et le Fa

Durant tout l'hiver qui a suivi le début de ma cultivation et pratique, je ne suis pas du tout allée à l'hôpital. Mais l'esprit de ma mère n'était pas si stable. Les antipyrétiques, les anti-inflammatoires et les thermomètres de la maison n'ont pas tout de suite été jetés. Au cours des deux premiers mois qui ont suivi le début de ma pratique, j'éternuais de temps en temps et ma mère me donnait un ou deux comprimés pour éviter la fièvre. Mais après cela, je n'en ai plus jamais pris. Physiquement, j'étais plus forte et mon visage était rose. Je n'ai plus jamais eu d'injections ni pris de médicaments depuis lors. Mes parents n'étaient plus tristes. Pour finir, tous les médicaments ont été jetés.

Au début de ma cultivation, je n'étudiais pas beaucoup le Fa parce que j'étais jeune. Ma compréhension du Fa n'était pas aussi profonde que celle des adultes. Mais chaque fois que le mot Maître était prononcé, je pleurais. Je faisais attention à la façon dont mon comportement montrait mon respect pour le Maître et le Fa. Par exemple, je me lavais les mains avant de lire le Fa, et mes doigts n'appuyaient sur aucun mot des livres. Lorsque je m'asseyais pour lire le Fa, mes mains ne touchaient jamais mes pieds. Je m'asseyais dans une position ferme, les jambes en double lotus, et mon dos était toujours droit, les deux mains tenant le livre. Lorsque le mot « Maître » était prononcé, j'appuyais automatiquement mes mains l'une contre l'autre pour faire un geste de salutation.

En fait, aucun adulte ne me disait de faire toutes ces choses. C'était juste du fond de mon cœur parce que le Maître est si compatissant et si grand. Il nous a donné beaucoup de choses sans rien demander en retour.

Quelques expériences extraordinaires en matière de cultivation

Une expérience de cultivation s'est produite lorsque j'étais au collège. Le travail scolaire était très chargé, alors je n'avais le temps d'étudier le Fa et de faire les exercices que le week-end. Un vendredi après l'école, j'ai soudain ressenti une douleur aiguë dans les oreilles et j'ai eu l'impression qu'elles étaient infectées. C'était tellement douloureux que j'ai pleuré. Mes parents m'ont dit d'endurer la douleur parce qu'ils devaient aller travailler. Ils pensaient que la douleur finirait par disparaître, alors ils n'y ont pas prêté beaucoup d'attention.

La douleur était si forte que je ne pouvais pas étudier le Fa ni faire les exercices. Je me suis juste allongée sur le lit et je ne pouvais pas non plus faire mes devoirs. Deux jours se sont écoulés. Mon oncle a pensé à un remède populaire qui consistait à enfoncer deux échalotes dans les oreilles. Mais il n'y a pas eu d'effet. Quand ma mère est rentrée du travail, elle m'a dit de réciter le poème « Tempérer la volonté » de Hong Yin, car c'était ainsi qu'elle s'était remise d'un mal de dents ; elle ne l'avait récité que trois ou quatre fois et la douleur avait cessé. J'ai donc essayé de faire de même pendant que ma mère était assise à côté de moi. Je l'ai récité quatre ou cinq fois et la douleur a cessé. Je me suis endormie paisiblement. La douleur n'est plus jamais revenue.

Une autre expérience s'est produite au cours des deux dernières années. C'était quand ma mère a été enlevée et détenue par les autorités pour sa pratique du Falun Dafa, et je n'ai pas pu faire autrement que de quitter notre ville natale. J'avais l'impression que le ciel me tombait sur la tête. À l'époque, la situation financière de notre famille n'était pas très bonne, alors je suis allée travailler pour gagner un peu d'argent. Sans un environnement de cultivation et sans le contrôle de mes parents, je suis lentement devenue fascinée par la vie des gens ordinaires. Quand j'étais malade, on me faisait des piqûres et je prenais des médicaments.

Pendant un certain temps, mes gencives ont enflé et m'ont fait mal. Je suis allée à l'hôpital et j'ai découvert que mes dents postérieures (« dents de sagesse ») sortaient. De plus, les dents poussaient en biais. Le dentiste m'a dit qu'il fallait les arracher, sinon les dents de devant se briseraient lentement. J'avais tellement peur que je les ai fait arracher rapidement et j'ai dépensé près de mille dollars pour extraire chaque dent. Le dentiste m'a fait une injection anesthésiante, mais j'ai quand même ressenti la douleur. Puis il m'a fait une autre injection et m'a retiré une autre dent. Quand il a eu fini, il a recousu ma gencive et m'a dit de retourner au cabinet pour enlever les points de suture au bout de quelques jours. J'avais trop mal pour ne serait-ce qu'imaginer retourner pour les points de suture.

Quand ma mère a été libérée et que j'ai pu rentrer chez nous, les dents de droite ont soudain poussé de côté aussi. L'idée d'une autre extraction de dents m'a fait frissonner de terreur. Ma mère m'a dit : « N'aie pas peur. Ne les fais pas extraire. Tu es une pratiquante et tout est sous la responsabilité du Maître. Tes dents iront bien. » Bien sûr, après deux mois, mes dents se sont améliorées et je n'ai pas eu mal pendant qu'elles poussaient.

La troisième histoire concernait mon poids. Comme je travaillais en dehors de la ville et que je n'avais pas d'environnement de cultivation, la forme de mon corps a changé. Quand j'étais enfant, j'étais malade et avec tous les médicaments hormonaux, je devenais de plus en plus grassouillette. Après avoir rejoint le monde du travail, je suis devenue encore plus ronde. J'avais l'intention de perdre du poids en marchant. Mais après avoir marché pendant plus d'un an, j'étais plus ronde au lieu de devenir plus mince. Plus tard, j'ai entendu dire que les substituts de repas pour perdre du poids étaient efficaces. J'en ai mangé pendant quelques mois et c'était un peu efficace, mais le processus était très lent et le coût était élevé.

De retour chez moi, j'ai lu sérieusement le Zhuan Falun et j'ai eu des pensées profondes sur la cultivation. J'ai décidé de continuer à cultiver et à pratiquer. J'ai commencé à corriger mes pensées, mes paroles et mes actes en respectant strictement Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour me purifier. Comme mon caractère s'est amélioré, j'ai pu me concentrer davantage lorsque je faisais les exercices. Peu à peu, j'ai perdu du poids. Mon teint était meilleur qu'avant et mon état mental a également changé de manière positive. Ma personnalité est devenue aussi optimiste et détendue que lorsque j'étais enfant. En quatre mois environ, j'ai perdu près de 7 kg, ce que je n'aurais jamais imaginé.

Je comprends d'après le Fa que lorsque notre esprit est vraiment purifié, nous atteignons un bon état. Ensuite, notre corps physique est également dans un bon état. C'est pourquoi de nombreux pratiquants deviennent plus jeunes et plus beaux une fois qu'ils commencent la cultivation et pratique. Bien sûr, c'est aussi la raison pour laquelle certains pratiquants ne peuvent pas atteindre un bon état.

Continuer à bien marcher sur mon chemin

Dafa est extraordinaire, mais il y a des principes surnaturels que nous sommes tenus de suivre. Grâce à notre Maître compatissant, mon corps et mon esprit ont été purifiés. Lorsque je travaillais en dehors de la ville, je faisais mon travail avec sérieux et responsabilité, car je me souvenais encore que je devais être une bonne personne et être gentille avec les autres. C'était le fondement de nombreuses années d'étude du Fa. Mais en sortant lentement de la cultivation, j'ai aussi développé de mauvaises habitudes et j'ai eu toutes sortes de mentalités de gens ordinaires comme la manigance, la compétitivité et l'orgueil. Quand je gagnais de l'argent, je voulais parfois réduire le stress et me détendre. Toutefois, une pensée soudaine m'est venue, et j'ai pensé à ma mère qui souffrait encore et se sentait triste.

Ma mère me dit que je suis maintenant redevenue comme avant. Je suis devenue une personne sage qui fait preuve d'une piété filiale envers les anciens, qui est prévenante et qui sait faire preuve de retenue.

Je voudrais remercier le Maître de m'avoir aidée à revenir à la cultivation et pratique. C'est le Maître qui me permet d'assister à la magie de Dafa encore et encore, et qui m'aide à comprendre le vrai sens de la vie.

Traduit de l'anglais