(Minghui.org) Dans le passé, je souffrais d’une multitude de symptômes et de maladies qui rendaient ma vie insupportable. La douleur durait pendant des jours et entravait ma capacité à travailler.
Le pire dans mon état s’appelait la « dermatite récurrente », une éruption cutanée purulente qui me démangeait et me tourmentait depuis plus de quarante ans. Mon état s’est rapidement détérioré au point que toute la peau découverte était affectée, incluant mon visage, mes mains, mes pieds et mes jambes. J’ai cherché à me faire soigner dans divers hôpitaux et j’ai consulté de nombreux médecins, y compris des spécialistes du prestigieux hôpital de la peau Ganshuiqiao de Pékin. Toutefois, les médicaments n’ont eu aucun effet pour me guérir, et les prises prolongées d’antibiotiques et d’injections anti-inflammatoires m’ont rendue partiellement sourde.
Ma vie était si misérable à cette époque — jusqu’à ce que je commence la cultivation et pratique du Falun Dafa. Je suis maintenant en santé, âgée de quatre-vingt-un ans, et une fidèle pratiquante de Falun Dafa.
Au mois de février 1997, ma fille a quitté la ville où elle vit pour me rendre visite et m’a dit : « Il y a un nouveau qigong appelé Falun Gong, aussi connu sous le nom de Falun Dafa. Les gens en ville le pratiquent et beaucoup ont obtenu des résultats étonnants en matière de guérison des maladies et d’amélioration de la santé. Après avoir visionné les vidéos des neuf conférences du Maître cinq fois et pratiqué les exercices pendant moins d’une semaine, toutes mes maladies ont disparu. Je n’ai plus besoin de me rendre à Pékin pour me faire opérer. Tu devrais aussi essayer de pratiquer. » J’ai demandé à ma fille combien cela coûtait et elle m’a rassurée : « La pratique est enseignée gratuitement. Ils ne veulent rien en retour. » J’ai accepté d'essayer.
Ma fille m’a apporté un exemplaire du livre Zhuan Falun, une affiche illustrant les mouvements des exercices, une photo de Maître Li Hongzhi (le fondateur du Falun Dafa), et un enregistrement de la musique des exercices. Aussitôt que j’ai vu la photo du Maître, j’ai senti une sensation de proximité, de confort et de respect. Ma bonne impression du Maître et de Dafa associée à mon empressement à guérir de mes maladies ont stimulé ma détermination. J’ai commencé à pratiquer les exercices le soir même, apprenant les mouvements à l’aide de l’affiche. Bien que mes mouvements aient été mal faits, j’ai exceptionnellement bien dormi cette nuit-là.
Alors que ma confiance augmentait, j’ai commencé à étudier les enseignements du Fa et à faire les exercices quotidiennement. J’ai appris la façon d’être une bonne personne selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, à prendre en considération les autres, et à faire de bonnes actions pour accumuler de la vertu. Le Maître décrit dans Zhuan Falun :
« C’est uniquement à cause du karma accumulé par de mauvaises actions commises dans le passé qu’on est affecté par des maladies ou qu’on rencontre des épreuves dues aux démons. » (Première Leçon, Zhuan Falun)
Avec le temps, ma maladie a disparu, et j’ai remarqué des améliorations dans mon appétit et mon sommeil. Ma tête a cessé de me faire mal et ma maladie de peau a finalement été guérie. Juste comme ça, sans médications, sans injections, sans avoir besoin de dépenser d'importantes sommes d’argent en consultations de spécialistes de la médecine. Tout cela a été obtenu grâce aux miraculeux pouvoirs de guérison de Dafa.
Peu après que le Maître a éliminé mon karma et guéri mes maladies, j’ai pensé que ce serait une bonne chose si plus de gens pouvaient être sauvés par Dafa. Quelques jours plus tard, alors que je ne m’y attendais pas, un membre de ma famille à Pékin m’a fait parvenir un magnétoscope avec des cassettes vidéo des conférences de Fa du Maître.
Le lendemain, j’ai invité plus de vingt voisins chez moi pour visionner les vidéos. Nous avons visionné deux conférences par jour et tout le monde a appris les mouvements des exercices ensemble. Ma fille a par la suite obtenu vingt exemplaires du Zhuan Falun et nous nous sommes réunis chez moi quotidiennement pour étudier le Fa et pratiquer les exercices. Le nombre de participants a augmenté jusqu’à ce que nous soyons plus de quatre-vingts personnes à étudier le Fa et à pratiquer chez moi.
Le malveillant Parti communiste chinois (PCC) a commencé la persécution des pratiquants de Falun Dafa le 20 juillet 1999 et notre famille s’est retrouvée tout particulièrement visée. Notre maison a été saccagée à trois reprises et nous avons souffert d'une perte financière de plus de 30 000 yuans. Mon mari et moi avons été illégalement emprisonnés de nombreuses fois. Mon mari a été enlevé au mois de février 2000 et gravement persécuté au camp de travail Tuanhe à Pékin pendant un an et demi. Ce n'est que lorsqu'il a été sur point de mourir qu'il a finalement eu l'autorisation de rentrer chez lui. Bien qu’il ait reçu les meilleurs traitements pouvant être achetés, mon mari est finalement décédé moins d’un an plus tard. Les autorités ont alors porté leur attention sur moi et j’ai été illégalement arrêtée et emprisonnée pendant plus de deux ans.
Pendant près d’un an, j’ai été illégalement détenue dans un centre de détention. J’avais alors déjà mémorisé les enseignements de Hong Yin et de Points essentiels pour avancer avec diligence. C’était au plus fort de la persécution, et le centre de détention avait habituellement seize ou dix-sept pratiquants de Dafa en permanence. Pour faciliter notre étude du Fa en continu, j’ai enseigné chaque jour à tout le monde les enseignements de Hong Yin et Points essentiels pour avancer avec diligence, jusqu’à ce qu’ils puissent les avoir mémorisés collectivement. Durant les pauses, nous nous asseyions ensemble et récitions de mémoire les enseignements. Notre étude du Fa régulière a eu pour effet de dissuader les mauvaises influences et très peu d’entre nous ont subi la persécution.
En 2003, j’ai été envoyé au camp de travaux forcés pour femmes de Pékin. Il n’y avait pas de possibilité d'étudier le Fa ensemble, mais chaque prisonnière avait droit à un crayon et une feuille de papier. Il y avait au total dix pratiquantes de Dafa dans mon bloc cellulaire, et chaque soir j’écrivais un poème ou un article de Hong Yin ou de Points essentiels pour avancer avec diligence et je le donnais aux autres pratiquantes. Tout le monde passait la journée à mémoriser le contenu avant de détruire le morceau de papier. J’ai continué à écrire et distribuer ces notes de papier jusqu’à ce que tout le monde soit capable de réciter de mémoire un grand nombre des enseignements du Maître. Parfois, quelques pratiquantes en ont profité pour se rassembler, discuter, et partager leurs récents apprentissages et expériences de xiulian. Nos efforts diligents de cultivation ont restreint toutes interférences des forces anciennes dans le camp et ainsi nous avons rarement fait face à de graves persécutions de la part des autorités.
Au mois d’août 2004, après avoir été libérée du camp de travail, j’ai pu être réunie avec mon fils et sa famille dans une grande ville. Je me suis souvenue que le Maître avait mentionné à plusieurs reprises que les pratiquants de Dafa doivent sauver les gens. Cependant, que devais-je faire pour y parvenir ? Une idée m’est rapidement venue à l’esprit. Je pouvais écrire des lettres aux gens clarifiant la vérité à propos de la persécution. J’ai tout d’abord écrit à ma famille et à des membres du public, mais comme je gagnais en confiance, j’ai commencé à écrire aux brigadiers de la police et aux directeurs des postes de police. J’ai rapidement rédigé des lettres destinées au Bureau de la sécurité publique, à la Brigade de la sécurité nationale, à divers centres de détention, au tribunal local et au Bureau du procureur général. J’ai écrit à toute personne qui travaillait pour l'une de ces unités, même si les seules informations que j’avais pu obtenir étaient leur titre et leur unité, car même les hauts responsables méritent d’avoir l'occasion d’être secourus. Après tout, seuls ceux avec beaucoup de vertu peuvent devenir de hauts responsables. Peut-être que ces personnes sont venues en ce monde avec l’espoir d’obtenir le Fa, puis se sont perdues dans la société des gens ordinaires.
J’ai également consacré plus de temps et d’efforts à écrire des lettres aux membres du Bureau de la sécurité publique et de divers postes de police. Ces responsables sont directement impliqués dans la persécution des pratiquants de Falun Dafa, j’ai donc fait de mon mieux pour empêcher le PCC malveillant de détruire leur avenir. Si mes lettres pouvaient convaincre le directeur provincial ou un haut responsable de la bonté de Dafa, les régions sous la juridiction de cette personne deviendraient plus sûres pour les pratiquants de Dafa, leur permettant ainsi de bien faire les trois choses.
En plus de présenter mon dossier d’un point de vue juridique, mes lettres contenaient aussi des exemples de la persécution subits par les pratiquants de Dafa. Dans mes colis, j’incluais aussi un rapport hebdomadaire et un calendrier mural ou de bureau clarifiant la vérité.
Sans le Falun Dafa, une maladie grave aurait volé ma vie il y a longtemps. Ma longévité est un témoignage des pouvoirs miraculeux de Dafa. Le Maître m’a sauvé, a éliminé mon karma, a purifié mon corps et continue à prolonger ma vie. Je suis incapable de rembourser tout ce que le Maître a fait pour moi. Cependant, je peux faire de mon mieux pour bien cultiver, sauver plus de gens, et m’élever selon les exigences du Maître.
Traduit de l’anglais