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[Fahui de Hong Kong] La grâce infinie forge les pratiquants

26 mars 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa à Hong Kong

(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître et compagnons de cultivation !

Obtenir le Fa

J’ai obtenu le Fa le 30 mars 1999 en Chine continentale après avoir vu les vidéos des neuf conférences du Maître et j’ai immigré à Hong Kong en 2013.

Un pratiquant m’a dit que si je pouvais supporter la douleur pendant la méditation, le karma serait éliminé. Donc, pendant que j’écoutais le Fa du Maître, je suis restée assise en position du lotus complet pendant quarante-cinq minutes. Mes pieds faisaient mal et sont devenus engourdis. La douleur grinçait dans mon esprit et je transpirais abondamment. Un pratiquant m’a dit que le Maître s’occupait déjà de moi.

Alors que j’écoutais le Fa du Maître pendant la soirée, j’ai été impressionnée par le principe Zhen-Shan-Ren de Dafa. C’était quelque chose que je voulais suivre. Donc, j’ai emprunté le Zhuan Falun et j’ai fini la lecture du livre en l’espace d’une semaine.

Le Maître a dit :

« La nature Zhen-Shan-Ren est le critère qui permet de juger ce qui est bon et ce qui est mauvais dans l’univers. » (Zhuan Falun)

Il me semblait que le Maître était un membre de la famille. Quand j’ai vu sa photo la première fois, j’ai eu l'impression qu’il était quelqu’un que j’avais vu auparavant. Pendant la lecture du Zhuan Falun, j’ai appris que le but de la vie est de cultiver, de retourner à son origine première et de retrouver son authenticité première. J'ai aussi appris que le Falun Dafa (aussi appelé Falun Gong) est une méthode de cultivation et pratique de l'esprit et du corps qui peut élever la moralité humaine et rétablir la santé – c'est un très bon chemin de xiulian. À l'époque, j'ai eu la diarrhée pendant un mois, et je savais que j'éliminais le karma et étais purifiée.

Arrêtée, détenue et virée de mon lieu de travail

Avant le début de la persécution le 20 juillet 1999, je me suis jointe aux exercices collectifs dans le parc chaque matin à 4 heures et le soir. J'ai aussi participé à un groupe d'étude du Fa et aux activités pour promouvoir Dafa. Je suis allée travailler chaque matin après les exercices. J’étais heureuse, et mon tempérament s’est amélioré. Tous mes problèmes physiques chroniques ont disparu. Je regardais à l'intérieur chaque fois qu'un problème surgissait. Cependant, le 20 juillet, après le début de la persécution, nous n’avons entendu que des mensonges sur le Falun Gong à la télévision, à la radio et dans les journaux. Grâce aux encouragements de mes compagnons de cultivation, je suis restée ferme dans ma croyance.

Je voulais aussi présenter le Falun Gong à ma famille. J’ai dit à ma sœur : « Le Zhuan Falun est un livre précieux : vraiment précieux et inestimable. » Par curiosité, ma sœur a lu le Zhuan Falun jusqu'à la fin et est aussi devenue une pratiquante. Le livre de Falun Gong est un trésor si inestimable que même des milliards en or ne peuvent être comparés à lui.

Faire face à la persécution

Le personnel du Bureau 610 a demandé à ma sœur et moi de se rendre au poste de police pour une brève conversation le 19 juillet 2000. Quand nous sommes arrivées, la police nous a menacées, disant que si nous continuions à cultiver, nous serions détenues et notre libération serait conditionnelle à notre renonciation au xiulian. Ma sœur et moi avons dit : « Nous continuerons à cultiver avec un cœur inébranlable. Le Falun Gong enseigne aux gens à être bons et les exercices nous gardent en bonne santé. » Cette nuit-là, ma sœur et moi avons été emprisonnées dans des cellules différentes parce que nous pratiquons le Falun Gong. Nous avons été illégalement détenues pendant quinze jours.

En octobre 2000, pour éviter des policiers en civil, quelques pratiquants et moi avons fait des transferts dans de nombreux autobus, fait des détours dans de nombreuses villes et finalement sommes arrivés place Tiananmen à Pékin où j’ai brandi une banderole avec écrit dessus : « Falun Dafa est bon », et j’ai hurlé : «Blanchissez notre nom ! »

De nombreux pratiquants de toute la Chine étaient sur la place, certains faisant les exercices, d'autres tenant des banderoles. Des voix criant : « Falun Dafa est bon » résonnaient à travers la place. Ensuite, la police a commencé à nous arrêter. Étant sans expérience, je ne suis pas partie, mais j’ai attendu que la police m’arrête.

La police m’a emmenée au centre de détention du canton de Pinggu à Pékin, où j’ai été détenue pendant dix jours. Je n’ai pas donné mon nom et mon adresse, alors j’ai été battue un certain nombre de fois. On a pris une photo de moi, pris mes empreintes digitales, et j’ai commencé une grève de la faim de neuf jours. On m’a gavée par une sonde naso-gastrique avec de l’eau de riz blanc et j’ai saigné. J’ai été libérée au bout de dix jours. Après être arrivée chez moi, j'ai été congédiée par mon employeur à cause de ma croyance.

Je suis retournée à Pékin le 31 décembre 2000, mais la police m’a stoppée à la gare de Guangzhou. Puis j’ai été ramenée par la police locale. Ils m’ont accusée d’avoir troublé l’ordre public sous prétexte de faire respecter la « loi sur les sanctions administratives de la sécurité publique de la République populaire de Chine ». J’ai été détenue pendant quinze jours.

Le 14 février 2001, le personnel du Bureau 610 nous a encore arrêtées, ma sœur et moi. Nous étions assises dans la position du lotus complet et avons été tirées en bas depuis le 5e étage. Nous avons continué à crier : « Falun Dafa est bon », « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et « La police arrête de bonnes personnes ! » Nous avons attiré beaucoup de passants.

Le personnel du Bureau 610 a fait une brève pause, mais nous a ensuite poussées dans le véhicule. On nous a emmenées au poste de police, puis au centre de détention de Heshan le soir même, avec l’excuse de « faire illégalement un exercice collectif ». J’ai été détenue pendant quinze jours. J’ai refusé de renoncer au xiulian, alors j’ai été détenue pour un total de trente jours. Ma sœur a été détenue pendant une année au camp de travaux forcés pour femmes de Sanshui. Elle a été torturée pour avoir fait une grève de la faim. Elle est devenue émaciée. Ils ont mis de lourdes barres de fer sur elle.

Après mon retour chez moi le 16 mars 2001, j’ai entendu que plus de dix pratiquants ont été arrêtés le 14 février et emmenés dans un camp de travail. Alors, j’ai quitté ma ville natale. Depuis lors, j’ai écrit aux habitants locaux et je les ai sensibilisés à la persécution.

Emprisonnée et torturée

Pour avoir écrit des lettres clarifiant la vérité et maintenu ma croyance dans le Falun Gong, j’ai été arrêtée et emmenée au centre de réadaptation de la toxicomanie de Jiangmen : un centre de lavage de cerveau. Le personnel du Bureau 610 a essayé de me « transformer » et a exigé que j’écrive une déclaration de garantie.

« Le Falun Gong est le plus droit », ai-je écrit, « le meilleur, le plus grand et le plus glorieux. Il bénéficie à la société et il est inoffensif. Je défendrai Dafa avec ma vie, ce qui est le plus grand honneur. Je maintiendrai ma croyance dans le Falun Dafa. »

Je n’avais pas peur et je ne m'inquiétais même pas de la durée de ma détention. L'unique pensée dans mon esprit était que j’étais libre de croire, je n’avais aucun sentiment de culpabilité à cultiver et pratiquer, et que le Maître arrangerait tout. J’ai été libérée un mois plus tard, après quoi j’ai quitté mon domicile et j’ai erré.

Quand je suis retournée chez moi le 13 août 2002, j’ai été arrêtée par le personnel du Bureau 610 et emmenée au centre de détention de la ville de Heshan, où j’ai été détenue pendant un mois. Puis j’ai été transférée au camp de travaux forcés pour femmes de Sanshui et emprisonnée pendant une année et demie. Parce que j’ai refusé de renoncer au Falun Gong et à ma croyance en Authenticité-Bienveillance-Tolérance, on m’a inscrite sur une liste noire comme activiste et frappée d’interdiction de quitter le pays.

Pendant mon emprisonnement, les persécuteurs ont essayé de me laver le cerveau et m’ont forcée à faire un travail acharné. On m’a fait subir de multiples examens physiques et l'on m'a prélevé du sang deux fois. La personne responsable a dit que les pratiquantes qui n’auront pas été « transformées » seraient emmenées dans le nord-ouest.

J’ai été enfermée à la « base de transformation », aussi connue sous le nom de : « prison dans l’eau » ou « l’équipe de transformation des inébranlables », pendant neuf jours sur dix. On m’a interdit de dormir, d’utiliser les toilettes et de déambuler. J’ai été forcée de m’accroupir au sol avec les deux mains menottées derrière le dos, avec un bras par dessus l’épaule et l’autre tirée au niveau de la taille. Chaque fois que je bougeais, on m’infligeait une décharge avec une matraque électrique. Je n'avais parfois qu'une seule pause par jour pour les toilettes, et j’étais obligée de regarder des vidéos de lavage de cerveau, de lire des documents ayant le même effet et aussi d’écouter des enregistrements audio diffamatoires à plein volume.

Quatre gardes et deux détenus m’ont torturée à tour de rôle 24 heures sur 24. Je me suis frappé la tête contre le mur en signe de protestation parce que j’étais vraiment blessée par ce qu’ils m’avaient fait spirituellement et physiquement.

Le centre de détention de Heshan a facturé des frais obligatoires de 120 yuans pour les repas. J’ai persévéré dans la pratique du Falun Gong, mais je n'ai pas respecté les règlements ni fait du travail pendant ma détention.

On m'a mis de lourdes chaînes de métal, et mon cou, mes mains et pieds étaient enchaînés ensemble. Les chaînes n'étaient enlevées que tous les sept à huit jours. Après la pause de vingt minutes pour la douche, on me remettait tout de suite les chaînes. J'avais de la peine à utiliser les toilettes et je ne pouvais que m'accroupir sur le sol en béton à côté des toilettes. Certaines prisonnières gentilles m'ont aidée à laver mon visage et m'ont aidée à utiliser les toilettes. Pendant ma période au centre de détention, j'ai clarifié la vérité, alors la plupart des détenues ont appris la vérité sur le Falun Gong.

Les épreuves de mon mari, M. Wang Bin, pour pratiquer le Falun Gong

Mon mari, M. Wang Bin, est en Chine. Il a commencé à cultiver en 1996. Il a été suivi, harcelé et surveillé de nombreuses fois. Il a été arrêté le 20 décembre 2000 pour avoir distribué des dépliants sur la persécution. Il a été emmené au camp de travaux forcés de Sanshui pour trois années, où il a été torturé.

Le 1er novembre 2006, mon mari a été signalé à la police pour avoir parlé du Falun Gong aux gens. La police du Bureau 610 de Jiangmen et du poste de police de Huayuan a saccagé notre domicile et confisqué nos effets personnels. Mon mari a été violemment battu, arrêté et emmené au centre de lavage de cerveau de Sanshui. Notre fille n'avait que cinq mois à l'époque. Portant ma fille sur le dos, je suis allée avec ma belle-sœur au poste de police et au centre de lavage de cerveau, où j'ai demandé qu'ils libèrent mon mari. Avec l'aide de personnes vertueuses de tous les milieux, ainsi que de pratiquants, il a été libéré six mois plus tard.

Mon mari a été de nouveau arrêté le 22 mai 2017, et emmené au centre de détention de Jiangmen. Après plus d'une année et sept mois, le verdict criminel du tribunal du district de Pengjiang, ville de Jiangmen, est arrivé. Le tribunal a prétendu que mon mari avait installé des groupes WeChat sur deux téléphones portables pour répandre des informations sur le Falun Gong. Mon mari a été condamné à huit ans de prison et a payer une amende de 30 000 yuans. Plus tôt ce mois-ci, j'ai appris indirectement que mon mari venait d'être transféré à la prison de Shaoguan.

Ma fille a 12 ans et habite en Chine avec un proche. Elle attend désespérément d'être réunie avec ses parents. Nous lui manquons chaque jour et je suis inquiète pour sa sécurité.

Après l'emprisonnement de mon mari, le Bureau 610 a menacé notre propriétaire. Donc, nous avons dû déménager en l'espace de deux mois. À l'époque, j'ai ressenti de la pression du fait de toutes les épreuves, des innombrables tests et de l'adversité. J'ai récité « Faire souffrir le cœur et la volonté » et « Vertu majestueuse » de Hong Yin et finalement j'ai surmonté ces tribulations.

Sa fille est bénie par Dafa

Ma fille est bénie par Dafa. Elle grandit dans la paix et la santé. Quand elle a appris à parler pour la première fois, la première phrase que je lui ai enseignée était : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Chaque fois qu'elle était malade, je lui lisais le ZhuanFalun et lui faisais écouter le Fa du Maître, et elle se rétablissait en un ou deux jours.

Quand ma fille était en première année, tous les élèves ont été obligés de se joindre aux Jeunes pionniers, une organisation pour la jeunesse du Parti communiste chinois (PCC), sans avis préalable. Ce jour-là, ma fille est rentrée chez nous avec un foulard rouge, mais elle savait que le foulard rouge porte un mauvais message, alors elle voulait renoncer à son adhésion aux Jeunes pionniers.

Le lendemain, j'ai appelé l'enseignante et je lui ai dit qu'en tant que parent, je ne voulais pas que ma fille participe à la politique et je voulais qu'elle se retire de cela. L'enseignante a dit qu'après s'être retirée, ma fille serait frappée d'interdiction de se joindre aux activités des Jeunes pionniers. J'ai dit qu'il n'y avait aucun problème. Nous devions aussi retourner le foulard rouge.

Chaque semaine, au cours de la cérémonie de lever du drapeau, ma fille était la seule qui ne portait pas de foulard rouge et la seule qui n'avait pas besoin de saluer le drapeau du Parti communiste. Une fois, on a demandé à ma fille de saluer, mais elle a expliqué qu'elle avait démissionné des Jeunes pionniers, alors elle n'avait pas besoin de le faire. L'enseignante a accepté son explication. Quand tous les élèves chantaient l'hymne du Parti, ma fille chantait Falun Dafa est bon et souhaitait que le drapeau du Parti pervers ne se lève pas.

Ma fille a eu des symptômes de rougeole à huit ans, avec des plaques rouges créant des démangeaisons partout sur son corps. J'ai pris un congé et je suis allée en Chine depuis Hong Kong pour m'occuper d'elle. J'ai émis la pensée droite pour elle pendant une longue période et je lui ai fait écouter le Fa du Maître. Je lui ai dit que nous étions des pratiquantes, que le Maître et Dafa étaient avec nous, alors que tout irait bien pour nous. Elle a récité sincèrement « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », et elle s'est rétablie en l'espace de trois jours environ.

J'ai travaillé comme ouvrière dans la construction de 2013 à avril 2018. J'ai glissé plusieurs fois, et mes pieds étaient meurtris. Ma première pensée était : « En tant que disciple de Dafa, tout ira bien. » Merci, Maître, de me protéger.

Contrer la persécution depuis Hong Kong

Avec l'aide d'autres pratiquants, je suis retournée en Chine le 15 juin 2015 et j'ai réussi à déposer une plainte pénale contre Jiang Zemin, l'ex-dirigeant du régime communiste qui a ordonné la persécution du Falun Gong. Un exemplaire a été expédié au Parquet populaire suprême chinois et l'autre expédié au parquet de Pékin. Pendant que je remplissais le formulaire au bureau de poste, mon cœur cognait dans ma poitrine et mes mains tremblaient. Je me suis rendu compte que cela résultait de la peur, alors j'ai imploré le Maître de me renforcer et de faire cesser le tremblement de ma main. J'ai récité : « Qu'y a-t-il à craindre » de Hong Yin II.

Après avoir quitté le bureau de poste, mes mains ont cessé de trembler. L'attachement à la peur a été éliminé.

Je me suis jointe à une marche de protestation devant le Bureau de liaison – le Bureau du PCC à Hong Kong – le 30 mai 2017, avec d'autres pratiquants. Nous avons demandé à des gens de tous les horizons de sauver mon mari de la prison chinoise et de laisser ma fille venir à Hong Kong pour une réunion familiale.

Quelques jours avant la marche, j'ai commencé à avoir peur, inquiète d'être arrêtée par le Bureau 610 si je tenais une banderole. Qu'arriverait-il à ma fille ? Toutes sortes de sentiments humains ont surgi. J'ai émis la pensée droite pour dissoudre la peur et éliminer tous les êtres déviants et les substances. J'ai aussi imploré l'aide du Maître. Mon mari est persécuté, donc en tant qu'épouse et compagne de cultivation, je me dois de le secourir. Quand j'ai eu cette compréhension, la peur a disparu.

Après que l'emprisonnement de mon mari a suscité l'attention des autres, les pratiquants du monde entier ont participé à son sauvetage. J'ai aussi engagé un avocat pour lui.

Le Maître a dit :

« Au-delà de l’espace et du temps rectifier impétueusement le Fa

En dépit d’immenses épreuves la volonté ne plie pas

Au sein de la perversité déchaînée, ne jamais perdre le chemin

Éliminer le mal est juste comme épousseter la poussière

Lorsque les disciples avancent avec droiture sur le chemin de Dafa

Leur lumière illumine Ciel et Terre, purgeant complètement le mal

Disciples de Fa avançant diligemment – fleurs de prunier dans le froid glacial

Des éons d'efforts et de difficultés n'ont été que pour cette fois-ci »

(« Seulement pour cette fois-ci », Hong Yin III)

Je crois que c'est le chemin sur lequel les disciples de Dafa doivent marcher.

À Hong Kong, je me suis aussi jointe à la distribution mobile du journal. Je dis aux passants : « Monsieur, madame, veuillez prendre un exemplaire [de l'Hebdomadaire Minghui], une publication qui dit les faits sur le Falun Dafa. Le Falun Dafa enseigne aux gens à être bienveillants, à cultiver pour devenir de meilleures personnes, et à faire les exercices pour garder la forme et être en santé. Quiconque lit le journal en bénéficiera beaucoup, car connaître la vérité c'est l'espoir du salut. » Beaucoup de gens aiment mes paroles et ont pris avec joie le journal. Certains ne l'ont pas pris, mais sont revenus plus tard pour en prendre un.

Un jour, pendant que je distribuais près d'un marché du centre-ville (Sham Shui Po), une dame a pris un exemplaire et a dit que ce qu'elle avait lu dans le journal du Falun Dafa était bon et qu'elle nous soutenait. Je l'ai remerciée et j'étais contente pour elle. J'ai senti que le Maître nous encourageait.

Avoir affaire à des criminels

Un autre jour, dans une station de métro de banlieue (Sheung Shui), deux membres du PCC sont venus me harceler. Ils ont pris des photos, m'ont injuriée, et ont passé une bande-son diffamatoire attaquant le Falun Dafa avec un haut-parleur à plein volume. La femme m'a suivie de près et a empêché les gens de prendre mes journaux. J'ai continué à émettre la pensée droite et je n'ai eu aucun ressentiment envers elle. Je n'avais que de la pitié pour elle. Elle a commis un péché contre Dafa parce qu'elle a été aveuglée par les mensonges.

Un jour, je distribuais des journaux devant un marché (Tsuen Wan) quand une femme m'a crié dessus pendant quinze minutes puis est partie. Peu de temps après, elle est revenue et a crié pendant quinze autres minutes. J'ai continué à émettre la pensée droite. Elle faisait une scène qui attirait beaucoup de spectateurs. Beaucoup de gens sont venus et m'ont pris des journaux. Elle ne m'intimidait pas du tout, car je dois faire connaître la vérité. J'ai appris du Fa que diffuser la vérité est notre grande mission.

Le Maître a dit :

« Dans les actions magnifiques d'utiliser la raison pour valider le Fa, d'utiliser la sagesse pour clarifier la vérité et d'utiliser la compassion pour que le Fa soit immensément répandu et pour donner le salut aux gens de ce monde, le chemin de la plénitude parfaite de chaque disciple de Dafa s'est perfectionné. » (« La grandeur des disciples », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Merci au Maître et aux compagnons de cultivation !

(Présenté au Fahui 2019 de Hong Kong)

Traduit de l'anglais