(Minghui.org) J'ai suivi des cours de niveau universitaire en autoapprentissage il y a environ trente ans. Dans l'un de ces cours, j'ai écrit un article intitulé « Se dépasser soi-même », qui a reçu des commentaires positifs de mon conseiller. Le contenu de l'article était que l'on doit surmonter sa paresse et sa faiblesse pour réussir dans une carrière professionnelle.
Je n'ai pas réussi à entrer à l'université après avoir obtenu mon diplôme d'études secondaires en 1979, alors je suis rentré chez moi et je suis devenu agriculteur. Mais je suis devenu dépressif parce que je ne voulais pas être agriculteur pour toujours. Ils sont souvent fatigués, sales et pauvres à cause du travail dans les champs. Face à un avenir aussi sombre, j'ai commencé à pratiquer l'écriture et j'ai suivi des cours d'agriculture de niveau universitaire en autodidacte. Je sentais que c'était mon seul espoir.
Avec cet espoir en tête, que ce soit à la maison ou dans un bâtiment d'usine sombre et malpropre, peu importe les conditions météorologiques extrêmes, ou le fait de devoir endurer des piqûres de moustiques, j'ai persisté à écrire et à étudier. Mes efforts n'ont pas été vains puisque cinq ans plus tard, j'ai été sélectionné pour être professeur dans une école rurale et mes écrits ont été publiés.
La raison pour laquelle j'ai écrit cet article est que je pratique le Falun Dafa et que je suis aux prises avec un problème similaire de dépassement de soi. Bien que j'aie des objectifs différents par rapport à ceux que j’avais il y a trente ans. À l'époque, me dépasser était pour obtenir un gain personnel. Aujourd'hui, me dépasser, c'est valider la grandeur de Dafa, remplir ma mission historique et aider à offrir le salut à davantage de gens.
Au cours des cinq dernières années, j'ai persisté à pratiquer les exercices à l'heure mondiale unifiée. Lorsque le réveil sonnait, je sortais de mes rêves. Et après m'être lavé le visage à l'eau froide, je devenais plus énergique.
Quand je voulais me rendormir, je me forçais à rester debout. J’ai pu persister dans cette démarche quand je n'étais pas pratiquant. Pourquoi ne pouvais-je pas faire la même chose en tant que pratiquant qui aidait Maître Li à rectifier le Fa ?
Pendant la méditation, je ne décroisais pas mes jambes avant que la musique finisse, même si elles me faisaient mal. Je pensais que si je les décroisais une fois, cela se produirait une deuxième fois, et que je ne devais pas céder.
Ma femme a été asthmatique pendant plus de trente ans. Il n'y avait pas beaucoup de bons jours pour elle dans une année. Elle pouvait s'évanouir quand elle avait une crise d'asthme. Après avoir pratiqué Dafa, sa maladie n'a pas disparu parce qu'elle n'arrivait pas se défaire de ses attachements humains ordinaires. Cependant, depuis qu'elle a participé aux exercices matinaux unifiés de Dafa, son asthme a été complètement guéri.
Un jour, j'ai eu une douleur inexplicable aux pieds, et un autre jour, une douleur aux jambes, au dos ou à la tête. Je savais que ces tribulations étaient arrangées par le Maître pour tester mon xinxing. Avec un cœur ferme, les symptômes de maladie ont disparu sans que je m'en rende compte.
Lorsque mes intérêts personnels ont été perdus, je savais que c'était dû à mon karma et que c'était fait pour rembourser les autres. Je suis resté calme et j'ai laissé les choses se faire. Quand mes proches m'accusaient de quelque chose et se mettaient en colère contre moi, je savais que c'était aussi un test destiné à élever mon xinxing.
Je me sens privilégié de pratiquer Dafa, ce qui ne s'était jamais vu dans cette période historique. Il n'y a aucune raison pour que je me relâche et aucune raison pour que je ne puisse pas rentrer chez moi. Si nous ne parvenons pas à nous dépasser, nous aurons des remords pour toujours. Je ne peux pas laisser cela m'arriver !
Traduit de l'anglais