(Minghui.org) La soudaine épidémie de coronavirus a semé la confusion chez de nombreuses personnes. C'est aussi un test de taille pour les pratiquants de Falun Dafa qui ont travaillé dur pour dénoncer la persécution de nos convictions spirituelles par le régime communiste chinois. Alors comment pouvons-nous surmonter cette difficulté et valider le Fa ? Voici quelques exemples.
Relever les défis
Les tests proviennent de nombreuses sources, y compris de nos familles. Par exemple, le mari d'Aimei ne pratique pas le Falun Dafa, et il ne lui a pas permis de sortir par peur qu’elle soit infectée. « Ce que je fais est important et tout ira bien », a déclaré Aimei avec détermination. « Si tu as vraiment peur, je peux sortir et louer un endroit pour moi. J'ai seulement besoin de ma carte bancaire et de quelques vêtements. » Son mari l'a comprise et lui a dit qu'elle pouvait sortir avec un masque facial.
Mais une autre pratiquante, Bei, est restée coincée à la maison et ne peut pas sortir. Chaque fois qu'elle veut sortir, son mari se querelle avec elle.
Surmonter les conceptions humaines
Les rues semblent désertes, avec très peu de monde. L'épidémie continue de sévir – qui voudrait nous parler et nous écouter ? De telles pensées dérangent Chen, qui sortait presque tous les jours pour parler du Falun Dafa et de la persécution. Comme sa ville est fermée, elle s'est enfermée chez elle.
Un autre pratiquant, Ding, n'a cependant pas été restreint par le confinement. Le lendemain du Nouvel An chinois (26 janvier 2020), il a voulu sortir pour sauver des gens et a demandé de l'aide à Maître Li. Bien qu'il semblât y avoir moins de passants dans la rue, il a distribué plus de 50 exemplaires de la documentation du Falun Dafa et plus de 30 personnes ont accepté de démissionner des organisations du Parti communiste chinois (PCC). Ces chiffres étaient supérieurs à ce que Ding réalisait les jours habituels. « Les gens sont plus préoccupés par leur sécurité dans les circonstances actuelles, ce qui constitue une bonne occasion pour les sauver », a expliqué Ding.
Sortir de l'isolement
Avec la propagation de l'épidémie, de plus en plus de villes ont eu recours à des mesures de quarantaine et de confinement plus strictes. Il faut un laissez-passer pour entrer et sortir de leur communauté résidentielle, et il est interdit de se rendre dans d'autres communautés. Cela a presque mis fin à notre groupe d’étude du Fa et à d'autres projets.
Mais en tant que pratiquants marchant sur le chemin du divin, devons-nous le reconnaître ? Pas vraiment, à moins que nous ne voulions pas le surmonter.
C'est le moment de faire appel à notre pensée droite et à nos pouvoirs supranormaux, ou de demander l'aide du Maître. C'est ce que fait la pratiquante Fei, qui a pu rencontrer n'importe quel pratiquant si nécessaire. Soit il n'y avait pas de garde de sécurité à l'entrée de la commune où elle avait l'intention de se rendre, soit on lui a donné l'accès après avoir fourni une justification.
J'ai également fait la même expérience. Les jours où je voulais sortir et parler du Falun Dafa aux gens, il n'y avait pratiquement personne pour me bloquer. Trois ou quatre agents de sécurité étaient là, mais c'était comme s'ils ne me voyaient pas. Quand je suis sortie de ces quartiers, ils ont seulement suivi la procédure de base consistant à mesurer ma température et m'ont laissée sortir.
L'aide du Maître
J'ai compris que la situation épidémique est un test pour nous. Mais en tant que pratiquants, les exigences envers nous ne changeront pas, et elles pourraient même être plus élevées. J'ai donc établi une règle pour moi-même : si pour une raison quelconque je ne peux pas sortir, je distribuerai des documents dans ma propre zone résidentielle. C'est-à-dire que je ne peux pas perdre mon temps à ne rien faire.
Un matin, j'ai fait une chute en attrapant mon ordinateur pour télécharger une nouvelle brochure sur Minghui.org. Cela m'a alertée, bien que je n'aie pas compris quelle sorte d’allusion c’était. Après le déjeuner, je suis sortie pour distribuer des documents dans les quartiers résidentiels. Mais après avoir terminé un étage, je suis tombée de nouveau.
Pensant que c'était un autre signe, je suis rentrée chez moi. Plus tard dans l'après-midi, j'ai pensé à sortir de nouveau. Puis j'ai découvert que j'avais oublié de prendre un stylo. Juste après que je sois rentrée, quelqu'un a frappé à la porte et mon mari a répondu. Des policiers du quartier sont venus vérifier si j'étais restée à la maison au sein de l'épidémie. J'ai tout de suite compris que j'avais dû être signalée pour avoir distribué des documents, car j'étais la seule dans cette commune à avoir été envoyée dans un camp de travail auparavant pour ma pratique du Falun Gong. J’ai compris que le Maître m'avait indiqué qu'il ne fallait pas sortir. Plus tard, j'ai vu des policiers en patrouille près de mon immeuble.
Une autre fois, je prévoyais d'aller dans un immeuble de 30 étages pour distribuer des brochures. Comme je n'avais pas de carte pour activer l'ascenseur, j'étais un peu hésitante en pensant que je devrais monter et descendre les 30 étages. À l'heure du déjeuner, j'ai entendu quelqu'un frapper à la porte. J'ai ouvert, mais il n'y avait personne. Comprenant que c’était un rappel du Maître pour que j’aille distribuer les documents, je suis allée à l'immeuble de 30 étages. Dès que j'y suis arrivée, quelqu'un est sorti de l'ascenseur au premier étage. Il a utilisé sa carte pour renvoyer l'ascenseur au 30e étage. Je suis ainsi montée au dernier étage sans avoir à monter tous ces escaliers. Je savais que le Maître avait tout arrangé pour moi.
Nous ne savons peut-être pas combien de temps l'épidémie va durer. Mais nous devons poursuivre nos efforts en faisant bien les trois choses et en sauvant les gens. Nous devons aussi nous aider les uns les autres afin de nous améliorer en tant que corps entier.
Traduit de l'anglais