(Minghui.org) Quand je suis devenu médecin hospitalier, j'avais un conflit : je voulais fournir les meilleurs soins pour mes patients, mais je voulais aussi satisfaire les intérêts financiers de l'hôpital.
La priorité de mon employeur était combien d'argent les médecins rapportaient. Comme médecin, je voulais fournir les meilleurs soins à mes patients au plus bas coût. J'ai perdu la foi dans ma profession parce que les médecins malhonnêtes recevaient généralement les meilleures évaluations des hôpitaux.
Commencer à pratiquer le Falun Dafa
Plusieurs membres de ma famille ont commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996. Basé sur le Fa, j'ai compris qu'Authenticité-Bienveillance-Tolérance est le plus haut principe universel de l'univers et il ne change pas. J'ai découvert ce que je cherchais et je me suis engagé à suivre le chemin de cultivation que Maître Li Hongzhi (le fondateur) a arrangé pour moi.
Sous la direction du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j'ai remis mon professionnalisme au plus haut niveau. J'ai commencé à dire rigoureusement la vérité. J'étais capable de penser selon la perspective de mes patients et de les traiter avec une attitude positive. Obtenir les meilleurs résultats au meilleur coût est devenu ma priorité. Je laissais mes patients sortir de l'hôpital aussitôt qu'il était sécuritaire de le faire pour leur faire sauver de l'argent. Je refusais aussi les pots-de-vin et les cadeaux.
Peu à peu, ma rhinite et mon asthme chronique ont disparu. L'amélioration de ma santé m'a donné l'assurance que j'étais sur le droit chemin.
Mon corps et mon esprit sont devenus sains – c'était la plus heureuse période de ma vie ! J'appréciais passer du temps avec d'autres pratiquants. Nous étudiions les enseignements, faisions les exercices et faisions connaître le Falun Dafa afin que davantage de gens bénéficient de la pratique.
Protéger ma croyance et répandre la vérité
Des pratiquants de Falun Dafa ont été arrêtés et battus les 23 et 24 avril 1999 à Tianjin, une ville à environ 120 kilomètres de Pékin. Mes parents, ma sœur et moi sommes allés à Pékin pour protester contre ce traitement injuste de gens qui croient en Authenticité-Bienveillance-Tolérance.
Nous sommes arrivés à Pékin le 26 avril. Alors que nous nous rendions de la gare de train au centre-ville, nous avons vu des agents de police ratisser les rues et beaucoup de pratiquants de Falun Dafa étaient arrêtés. Nous avons été arrêtés par la police ce jour-là et renvoyés au poste de police de notre ville.
De retour à la maison, nous avons posté des lettres aux fonctionnaires du gouvernement local. Nous voulions leur faire savoir que le Falun Dafa est bon et qu'il était mal d'arrêter des gens innocents.
En juillet 1999, le PCC (Parti communiste chinois) a commencé à arrêter les pratiquants qui coordonnaient les activités liées au Falun Dafa. Le PCC a aussi annoncé que pratiquer le Falun Dafa était illégal. Des pratiquants de notre région et moi sommes allés à Pékin, espérant convaincre le gouvernement de cesser la persécution.
Le PCC a commencé à diffuser la propagande diffamant le Falun Dafa – c'était partout. Toutes les forces de police du Parti ont été mobilisées pour traquer les pratiquants. Chaque personne était encouragée à signaler leurs activités. Des points de contrôle ont été installés à chaque arrêt de bus, port et coin de rue. Les cartes d'identité de tout le monde et les sacs étaient fouillés.
Nous avons été détenus dans une école élémentaire. Il fait chaud et humide à la fin juillet à Pékin. Plusieurs centaines de pratiquants de Falun Dafa de tout le canton étaient détenus là. Nous nous sommes immédiatement sentis proches, comme de vieux amis. Nous avons partagé nos expériences de cultivation et encouragé chacun à rester ferme dans notre croyance.
Finalement, chacun a été renvoyé à son centre de détention local. De nombreuses méthodes, incluant les menaces et la violence, ont été utilisées sur nous dans le but de nous faire abandonner notre croyance.
J'étais enlevé au milieu de la nuit et parfois au travail par des gardes de sécurité de l'hôpital. Ils me plaçaient au centre de détention et ensuite au centre de lavage de cerveau. Mon salaire et mes bénéfices étaient retenus. Je recevais seulement 50 dollars par mois pour vivre.
Moi et d'autres pratiquants sommes allés à Pékin pour faire appel plusieurs fois. J'ai été détenu et finalement licencié de mon travail.
Au lieu d'aller à Pékin, nous avons commencé à parler aux gens autour de nous, leur faisant savoir que le Falun Dafa est persécuté à tort, et que toute la propagande est fausse.
Lire les Neuf commentaires sur le Parti communiste nous a aidés à voir la vraie nature du PCC. Des pratiquants locaux ont travaillé ensemble pour diffuser la vérité derrière la persécution. Nous avons fabriqué et distribué des documents à tous les gens que nous rencontrions lors de rassemblements familiaux, de réunions, de mariages, sur notre lieu de travail et dans les marchés.
Beaucoup de mes patients et collègues avaient une compréhension claire de la persécution du Falun Dafa et ont renoncé à leurs liens avec les organisations affiliées au PCC auxquelles ils avaient préalablement adhéré.
J'ai la chance d'avoir une famille heureuse, une maison confortable et un enfant qui se comporte bien. Je parle de toutes mes bénédictions lorsque je parle aux gens.
Parfois, je rencontre des gens qui refusent d'accepter la vérité. Ils m'insultent même. Lorsque cela arrive, je cherche à l'intérieur. Ai-je été irrespectueux ? Leur ai-je fait la morale ? J'essaie toujours de corriger mes erreurs.
Avec le temps, j'ai remarqué que mes compétences à parler en public se sont améliorées. Le Maître me donne la sagesse de savoir quoi dire lorsque je parle aux gens. J'espère faire connaître le Falun Dafa à plus de gens. Je sais aussi que le Maître est toujours avec moi et m'aide.
Il y a plus de cent personnes dans ma famille élargie, et 40 d'entre eux pratiquent le Falun Dafa. Environ 300 de mes collègues connaissent la vérité derrière la persécution. Parmi les 120 fonctionnaires au niveau de l'administration de mon hôpital, plus de 70 d'entre eux ont renoncé aux organisations du PCC auxquelles ils avaient adhéré.
J'ai refusé de signer toute déclaration qui ternirait Dafa. Un groupe de policiers est venu à mon bureau pour me photographier pour leurs dossiers. J'ai souligné que ce qu'ils faisaient était illégal et j'ai demandé à voir leurs cartes d'identité. Je les ai exhortés à protéger leur propre futur en ne faisant pas de mal aux bonnes personnes. Le lendemain, j'ai signalé l'incident au président de mon hôpital et au département de police.
Je pratique ce en quoi je crois avec fierté et dignité. Lorsque je rencontre des gens pour la première fois, je leur dis que je suis un pratiquant et que le Falun Dafa est bon.
Les gens autour de moi sont bénis
Mme Wang est l'une de mes amies et elle dit souvent : « Falun Dafa est bon. » Quand sa petite-fille lui a demandé : « Nana, à qui parles-tu ? » Elle a répondu : « Je parle aux divinités. » Quand Mme Wang a découvert qu'elle avait une tumeur pelvienne, son opération a été un succès et la tumeur était bénigne.
Un proche, M. Lee, travaille aussi dans le domaine médical. Il dit fréquemment : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Son talent et son bon caractère ont été reconnus et il recevra bientôt son doctorat en médecine.
Mme Liu, une autre proche, ne pouvait marcher depuis des années à cause de la douleur dans sa jambe. Elle a pu marcher à nouveau après avoir récité : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle a maintenant 89 ans et n'a aucun problème pour marcher.
Mme Zhang est enseignante. Un mois après s'être retirée du PCC, elle a eu un accident. Elle était en motocyclette avec son mari lorsqu'un camion les a frappés. Ils n'ont pas subi d'autres blessures, juste des égratignures. Après cela, Mme Zhang m'a dit : « C'est vrai ! Renoncer au PCC peut nous protéger ! »
Traduit de l'anglais