(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis 1998. J'ai toujours voulu écrire les nombreuses expériences extraordinaires que j'ai rencontrées au fil des années, mais comme je n'ai eu que quelques années de scolarité, je suis pratiquement analphabète. Heureusement, un compagnon de cultivation est venu me seconder et a mis mon histoire par écrit pour moi.
Disparition des notations phonétiques dans le Zhuan Falun
Je n'ai eu que quelques années de scolarité de niveau élémentaire avant que la Grande Révolution culturelle ne frappe. Il m'a donc été difficile au début de lire le texte sacré du Falun Dafa, le Zhuan Falun, et mon mari n'a pas voulu m'aider. J'ai demandé à mon fils de m'aider et il m'a dit de mettre des notations phonétiques à côté des mots qu'il m'avait appris. J'ai pensé que c'était une bonne idée et j'ai donc commencé à écrire dans le livre.
Je travaillais sur la cinquième leçon lorsqu'une compagne de cultivation m'a surprise en train d'écrire sur le livre alors qu'elle me rendait visite : « Ne dessine pas dans un livre de Dafa ! Tu ne dois faire aucune marque dans le livre ! » J'ai rapidement posé mon stylo.
Peu de temps après, j'ai eu les symptômes de la grippe et ma température a grimpé à plus de 40 degrés Celsius. Ma nièce est venue chez moi et pendant qu'elle était là, elle a pris mon exemplaire du Zhuan Falun et m'a demandé : « Tante, as-tu acheté un nouveau livre ? » Je lui ai répondu que non, mais elle était curieuse, car les notes phonétiques que j'avais faites dans le livre avaient disparu. J’ai pu voir qu'elle disait vrai. C'était devenu comme un nouveau livre sans aucune marque. Tous les membres de ma famille étaient stupéfaits.
L'hémorragie s'est arrêtée après trois semaines
J'avais un saignement vaginal anormal et je perdais une énorme quantité de caillots de sang. Mon mari a insisté pour que j’aille à l'hôpital. Je lui ai dit : « C'est pour me débarrasser de mon karma. Je n'irai pas à l'hôpital. C'est mon propre karma que je dois endurer. Je ne peux pas laisser Maître Li (le fondateur) endosser davantage de mon karma. »
Le même jour, une compagne de cultivation m'a demandé d'aller distribuer des brochures clarifiant la vérité avec elle. J'ai hésité : « Tu penses que je peux sortir avec ces saignements abondants et constants ? » « Tu iras bien », m'a-t-elle dit. « Nous faisons cela pour éveiller les gens. Il ne t'arrivera rien. »
Chose incroyable, le saignement s'est arrêté alors que j’allais ici et là une partie de la journée, mais dès que je suis rentrée chez moi, cela a repris. En ignorant toute possibilité de traitement, j'ai enduré cela pendant trois semaines, ensuite le saignement s'est abruptement arrêté.
Cet incident a chassé tous les doutes que ma famille pouvait avoir sur le pouvoir extraordinaire de Dafa. Tout le monde a acheté un exemplaire du Zhuan Falun et s'est mis à pratiquer.
Mon scooter électrique m'a évité des ennuis
Je rentrais d'un village après avoir rendu visite à mes parents. Il commençait à faire nuit, mais je voulais finir d'afficher un lot d'autocollants clarifiant la vérité que j'avais apporté avec moi. Avec mon scooter électrique, j'ai suis allée coller les autocollants sur les murs bordant les routes et sur les lampadaires.
J'étais à cinq kilomètres de chez moi quand le scooter électrique s'est arrêté net. J'ai vérifié l'huile du moteur et il n'y avait aucun problème. J'ai parlé au scooter : « Tu dois être fatigué. Tu sais que nous travaillons ensemble pour éveiller les gens. Beaucoup de gens seront sauvés quand ils liront ces messages le matin. Nous ne sommes pas loin de chez nous. Toi et moi, on pourra se reposer quand on rentrera à la maison. » Et voilà que le moteur s'est remis en marche et a avancé lentement pendant que je collais mon dernier autocollant. J'ai dit au scooter : « Passons par les routes principales maintenant que j'ai fini de coller les autocollants, plutôt que par les petites routes secondaires. » Il a dû être très content, car il a décollé lorsque j'ai appuyé légèrement sur l'accélérateur.
J'ai repéré une voiture de police garée sur une des petites routes secondaires près de chez moi. Trois policiers se tenaient à côté et quelques autres étaient dans la voiture. Je suis passée à toute vitesse devant eux et j'ai réalisé que mon scooter électrique m'avait permis d'éviter les ennuis.
Le Maître nous a couverts d’un bouclier de protection
J'habite près de la frontière avec une province voisine et j'ai fait la connaissance de quelques compagnons de cultivation qui vivent dans cette autre province. Ils ne recevaient aucune nouvelle de Dafa et n'avaient aucun document imprimé à donner au public. J'ai donc pris contact avec des pratiquants qui impriment des documents dans ma province. Je distribue maintenant des livres de Dafa imprimés, les nouvelles conférences du Maître et d'autres documents clarifiant la vérité de l'autre côté de la frontière aux pratiquants qui en ont besoin.
Un jour, j'ai promis à une pratiquante de l'autre côté de la frontière que je lui ferais une livraison le lendemain. Mais il a commencé à pleuvoir à verse ce soir-là et je me suis inquiétée. La persécution des pratiquants de Dafa était alors très intense. J'étais sous surveillance et il n'était pas question de leur téléphoner. J'ai décidé de sortir, parce que cela aurait été plus sûr que de rester à l'intérieur. Le matin, j'ai pris les documents imprimés avec moi, enveloppés dans des tas de feuilles de plastique, et je suis allée à la rencontre de la pratiquante comme prévu. Bien qu'il ait cessé de pleuvoir, des nuages sombres ont envahi le ciel, accompagné d'éclairs et de tonnerre. Je me suis dit que j'allais attendre 10 minutes et y aller seule si l'autre pratiquante ne se présentait pas. Mais elle est arrivée : « Pouvons-nous quand même y aller avec un ciel comme celui-ci ? » a-t-elle demandé. « Tout ira bien. Le Maître va veiller sur nous pendant que nous nous efforçons d'éveiller les gens », lui ai-je dit.
Nous marchions péniblement sur les routes inondées alors que la pluie recommençait à tomber, mais nous n'avons pas été mouillées et nos chaussures sont restées sèches !
Lorsque nous sommes arrivées chez la pratiquante, elle a été surprise : « Comment avez-vous échappé à la pluie ? » « Nous n’avons pas essayé d’échapper à la pluie. Les routes ici sont très accidentées », a dit l'autre pratiquante. La pratiquante locale nous a dit que la pluie venait de s'arrêter. Nous avons réalisé que le Maître nous avait couvertes d’un bouclier protecteur.
Éveiller les gens avec la protection du Maître
Je suis allée avec quatre autres pratiquants pour distribuer des documents clarifiant la vérité. Nous nous sommes divisés en deux groupes. Mon groupe, composé de moi-même et d'un autre pratiquant, est allé à l'ouest, et l'autre groupe est allé à l'est. Nous avons couvert les allées une par une. Avant d'avoir pu terminer la distribution de mes documents, j'ai senti que ma jambe gauche était tout à coup saisie par une grande main invisible, et j'ai été clouée sur place. Je me suis dit que le Maître nous avertissait de ne pas continuer. Mais mon compagnon a ignoré mon avertissement, alors j'ai dit : « Si tu ne veux pas m'écouter, je fais demi-tour toute seule. » C'est alors que sa moto s'est arrêtée et qu'il a pris conscience de la même chose : « Faisons demi-tour. Mais ma moto ne veut pas bouger. » Je lui ai dit de soulever sa moto et de faire demi-tour. Dès qu'il l'a fait, la moto a redémarré.
En sortant du village, un grand projecteur nous a éclairés, nous aveuglant. Nous nous sommes rapidement retrouvés sur une petite route secondaire. Devant nous, environ 20 à 30 personnes fouillaient les environs avec leurs torches et criaient qu'elles avaient vu deux personnes s'enfuir. Nous avons cherché refuge dans la maison d'une pratiquante locale. Son mari nous a dit que les trois autres pratiquants avaient eu des ennuis. L'un d'eux s'était enfui, l'autre avait été arrêté et le dernier se cachait chez un parent. La pratiquante et son mari se sont arrangés pour que nous restions chez ses parents.
Nous avons appris plus tard que la pratiquante qui s'était échappée avait passé la nuit cachée dans un tas de maïs. C'était effrayant pour elle lorsque les fermiers ont amené leurs véhicules le lendemain matin pour charger les tas de maïs afin de les moudre. Tous les tas ont finalement été chargés, sauf celui dans lequel elle se cachait. Elle a attendu jusqu'à midi, heure à laquelle tout le monde était allé au marché local, puis elle s’est mêlée aux gens du marché.
Le pratiquant qui avait été arrêté a été libéré dix jours plus tard après avoir entamé une grève de la faim. Dans un souci de prudence, il a fait 25 km à pied pour rentrer chez lui.
Les pratiquants ont fait l’expérience d'un grand nombre d'histoires miraculeuses. Nous sommes encore ici aujourd'hui, tous grâce à la protection du Maître. Merci, Maître vénérable !
Traduit de l'anglais