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L'histoire de la violence et de la tromperie du Parti communiste chinois

28 mai 2020 |   Écrit par Shu Tong

(Minghui.org) Le Parti communiste chinois (PCC) s'est toujours considéré comme un « sauveur » du peuple chinois dans les manuels scolaires et la propagande contrôlée par l'État, tout en trompant les gens en exagérant « l'invasion de la Chine par les puissances étrangères occidentales », « l'agression japonaise contre la Chine » et le sentiment « anti-Chine » des États-Unis.

En même temps, ses crimes de pillage et de meurtre du peuple chinois au cours des 70 dernières années sont considérés comme tabous.

Des recherches montrent que plus de la moitié du peuple chinois a souffert de persécution de la part du PCC après sa prise de pouvoir en 1949, et qu'environ 60 à 80 millions de personnes sont mortes de causes non naturelles, ce qui est plus que le nombre total de morts des deux guerres mondiales.

Cependant, ce n'est pas seulement le peuple chinois qui a souffert aux mains du PCC, mais le reste du monde a également été victime de la dissimulation par le PCC des informations sur le coronavirus. La vie telle que nous la connaissions a été bouleversée, avec plus de 4,2 millions de cas d'infection et de 290 000 décès dans près de 200 pays.

Il est de la plus haute importance que les populations du monde entier perçoivent la nature criminelle du PCC et rompent avec lui. Nous ne devrions pas permettre au PCC, un spectre maléfique, de continuer à ruiner les normes de notre société et à entraîner l'humanité dans la destruction.

Voici un bref rappel de l'histoire de la violence et de la tromperie du PCC.

« Réforme agraire » – éliminer la « classe des propriétaires » et voler les terres rurales

Le PCC a lancé une campagne nationale de « réforme agraire » dans la Chine rurale en 1950, quelques mois après sa prise de pouvoir.

Avec le slogan « la terre au laboureur », il a incité les paysans sans terre à se soulever contre leurs propriétaires par la violence et le vol illégal de leurs terres et autres propriétés privées.

Des dizaines de milliers de propriétaires ont été torturés et tués pendant cette campagne. Leurs femmes et leurs filles ont été victimes d'abus et d'agressions sexuelles, souvent en public. Dans certaines régions, des familles entières de propriétaires ont été tuées, indépendamment du sexe ou de l'âge, afin d'éradiquer complètement la classe des propriétaires terriens.

Selon le Cambridge of History of China, entre 100 000 et 200 000 propriétaires terriens sont morts pendant la campagne de réforme agraire.

Le but de l'assassinat des propriétaires terriens par le PCC était multiple : consolider son pouvoir par la violence ; faire en sorte que les paysans aient du sang sur les mains pour qu'ils soient liés au PCC et montrent leur loyauté ; éliminer la classe des propriétaires terriens et confisquer toutes leurs terres, et détruire la culture traditionnelle et la structure sociale dans la Chine rurale.

Deux ans après que les paysans se sont vu attribuer les terres volées à leurs propriétaires, le PCC a mis en place une série de politiques coopératives et toutes les terres sont devenues propriété de l'État sous son contrôle. Les paysans sont redevenus le prolétariat.

Le « quota de tuerie » dans le mouvement de répression des contre-révolutionnaires

En mars 1950, le Comité central du PCC a publié « Activités contre-révolutionnaires et instructions pour la répression » afin de supprimer les personnes que le PCC considérait comme une menace, notamment les membres du Kuomintang (KMT), les « bandits », les groupes religieux, etc.

Dans les grandes villes, la plupart des personnes tuées étaient d'anciens membres du KMT, des hommes d'affaires, d'anciens employés de sociétés occidentales et des intellectuels dont la loyauté était suspecte. Parmi les victimes, on compte un certain nombre de généraux de haut rang, qui ont apporté une contribution importante à la révolution de 1911, qui a renversé la dynastie Qing et instauré la République de Chine.

Pendant la campagne, le PCC a mis en place un quota d'exécutions en fonction des populations locales. Mao a fait valoir que les contre-révolutionnaires de la ligne dure représentaient moins de 1 % de la population dans toutes les régions et qu'environ 0,1 % de la population devrait être exécuté afin de se débarrasser des pires éléments contre-révolutionnaires.

Chiang Kai-shek, président de la République de Chine, qui s'est enfui à Taïwan, a affirmé que pas moins de 3,83 millions de personnes non communistes ont été exécutées entre février 1951 et février 1952.

Dans le cadre des mouvements « Réforme agraire » et « Répression des contre-révolutionnaires » le PCC a envoyé des troupes pour « résister aux États-Unis et aider la Corée » une guerre d'invasion contre la Corée du Sud initiée par le communiste Kim Il Sung.

Selon des documents déclassifiés de l'ex-Union soviétique, le nombre de morts de « l'Armée des volontaires » du PCC s'élevait à un million, et beaucoup d'entre eux servaient dans l'armée nationale sous le commandement de Tchang Kaï-shek.

Persécution de 2,62 millions d'intellectuels en 1957

Mao Zedong a dit un jour : « Plus on a de connaissances, plus on est contre-révolutionnaire. »

Tirant les leçons de la révolution nationale en Hongrie déclenchée par le Cercle Petofi formé par des intellectuels, le PCC a lancé le « Mouvement anti-droitiste » en 1957, en commençant par encourager les intellectuels à exprimer leurs points de vue pour « aider le PCC à se rectifier », ce qui s'est avéré être un mauvais tour pour « attirer les serpents hors de leurs trous ».

Des dizaines de milliers d'intellectuels ont subi de graves persécutions simplement parce qu'ils avaient émis des critiques modérées sur le style de travail bureaucratique de certains responsables du PCC. Un grand nombre de « droitistes » ont été emprisonnés ou envoyés dans des régions éloignées pour « réformer la pensée » par le biais des travaux forcés, et beaucoup d'entre eux ne sont jamais revenus.

Lors d'une réunion élargie du Politburo du PCC le 3 mai 1958, il a été annoncé que le PCC avait réussi à « attraper » 3 178 470 droitistes.

Cependant, 21 ans plus tard, seuls 550 000 « droitistes » ont finalement été « réhabilités » en 1978. Qu'est-il arrivé au reste des intellectuels, environ 2,62 millions d'entre eux ?

Un reportage sur un camp de travail à Jiabiangou, dans la province du Gansu, peut apporter un peu de lumière.

Près de 3000 « droitistes » ont été détenus dans ce camp de travail entre octobre 1957 et la fin de 1960, et lorsqu'une « équipe de secours » y a été envoyée en novembre 1960, ils n'ont trouvé que 300 ou 400 « squelettes », qui ont finalement été autorisés à rentrer chez eux.

La plus grande famine et le plus grand mensonge de l'histoire de l'humanité

Le PCC a faussement qualifié la grande famine de 1959 à 1961 de « catastrophe naturelle de trois ans ».

Il était écrit dans le livre d'histoire du lycée : « À cette époque, les catastrophes naturelles étaient très graves et le gouvernement soviétique a déchiré les accords de coopération économique et technique entre les deux pays. Tout cela a entraîné de graves difficultés dans l'économie nationale de 1959 à 1961. »

Le manuel ne mentionne pas les catastrophes d'origine humaine provoquées par des politiques ridicules telles que le Grand Bond en avant. Le bilan des morts de ces années-là a été soigneusement dissimulé au public.

Yang Jisheng, un ancien journaliste de haut niveau de l'agence de presse Xinhua, l'a révélé dans son livre Pierre tombale : La grande famine chinoise, 1958-1962, on estime qu'environ 36 millions de Chinois, hommes, femmes et enfants, sont morts de faim pendant le Grand Bond en avant de la Chine à la fin des années 1950 et au début des années 1960, soit l'équivalent de la population totale du Canada aujourd'hui.

Pendant le Grand Bond en avant, les responsables du PCC ont d'abord faussement exagéré les rendements de production, comme « 65 000 kilos de riz paddy par mu (0,165 acre) », puis lorsque le gouvernement a commencé à taxer sur ces rendements exagérés, les responsables locaux du PCC ont confisqué toutes les rations de céréales, les semences et les aliments de base des paysans, les laissant sans rien pour vivre.

Lorsque les gens ont essayé de cacher certaines céréales pour se nourrir, le PCC a lancé un mouvement dit « anti-conspiration » et a forcé les gens à rendre tout ce qu'ils avaient par la violence.

« Les gens étaient attachés, pendus, battus tout en étant critiqués en public ; certains étaient même battus à mort sur place », a révélé l'universitaire indépendant Yan Zhihua.

Les victimes affamées n'étaient pas autorisées à fuir la famine et à aller mendier ailleurs, car le PCC considérait cela comme une honte pour son prestige. Ceux qui essayaient de fuir étaient soit abattus, soit capturés, enfermés dans leur maison et laissés à mourir de faim.

Taux de mort pendant la Révolution culturelle : « Astronomique »

Au cours des dix ans de « Révolution culturelle », de mai 1966 à octobre 1976, d'innombrables livres anciens, reliques culturelles et lieux d'importance historique ont été détruits.

Sous l'instigation du PCC dirigé par Mao Zedong, les jeunes ont été transformés en truands en tant que gardes rouges, et les valeurs culturelles et éthiques traditionnelles ont été complètement ruinées.

D'innombrables personnes ont perdu la vie au cours de cette tourmente sanglante. En même temps, le PCC a implanté le gène maléfique de la culture du Parti dans l'esprit du peuple chinois.

Aujourd'hui encore, l'ombre fantôme de la Révolution culturelle est toujours présente dans les différentes activités promues par le PCC.

Combien de personnes sont réellement mortes pendant la Révolution culturelle ?

Ye Jianying, un haut responsable du PCC, a déclaré dans son discours à la Conférence centrale du travail du PCC le 13 décembre 1978 : « Après deux ans et sept mois d'enquête approfondie du Comité central, on estime que 20 millions de personnes sont mortes pendant la Révolution culturelle, plus de 100 millions de personnes ont été soumises à des persécutions politiques, ce qui représente 1/9 de la population totale de la Chine, et 800 milliards de yuans ont été gaspillés. »

Lorsque la même question a été posée à Deng Xiaoping lors d'une interview avec la célèbre journaliste italienne Oriana Fallaci en août 1980, Deng a déclaré : « C'est un chiffre astronomique qui ne pourra jamais être estimé. »

Le déni du massacre de Tiananmen en 1989

Le massacre sanglant des étudiants sur la place Tiananmen le 4 juin 1989 a bouleversé le monde entier, et pourtant le porte-parole du gouvernement du PCC a déclaré que « personne n'a été tué lorsque l'APL a nettoyé la place, pas un seul coup de feu n'a été tiré. »

Selon un rapport publié dans le magazine Next à Hong Kong en 2014 pour célébrer le 25e anniversaire du 4 juin, des archives déclassifiées de la Maison-Blanche américaine ont enregistré que pas moins de 40 000 civils ont été victimes du massacre du 4 juin, dont 10 454 ont été tués.

Un document britannique déclassifié en 2017 a également montré qu'au moins 10 000 personnes ont été tuées par l'armée du PCC pendant le massacre du 4 juin.

La persécution incessante du Falun Gong

Depuis le début de la persécution du Falun Gong par le PCC en juillet 1999, il a été confirmé que plus de 4000 pratiquants au moins sont morts des suites de la persécution.

Le rapport Minghui – 20 ans de persécution du Falun Gong en Chine souligne qu' « entre le 10 juillet 1999 et le 10 juillet 2019, il y a eu au moins 2 500 000 à 3 000 000 d'arrestations de pratiquants de Falun Gong (certains ont été arrêtés à plusieurs reprises). Ces arrestations se répartissent principalement en quatre catégories : la détention administrative, la détention arbitraire dans des centres de lavage de cerveau, la détention dans des camps de travail aujourd'hui disparus et l'emprisonnement. »

Le rapport souligne également : « En outre, jusqu'à dix millions de pratiquants anonymes du Falun Gong ont été arrêtés pour avoir fait appel de leur croyance et emmenés dans des camps de concentration secrets, où ils deviennent des cobayes dans la recherche scientifique du PCC et des sources de dons d'organes involontaires. Un nombre inconnu d'entre eux sont morts, leurs corps ont été incinérés à l'insu de leurs familles. »

La persécution du Falun Gong par le PCC se poursuit pendant l'épidémie de coronavirus de Wuhan.

Selon Minghui.org, au moins 282 pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés illégalement en février 2020, lorsque l'infection par le virus était la plus grave, et 51 pratiquants ont été condamnés à tort en janvier et février 2020.

Couverture de la pandémie de coronavirus

La pandémie dévastatrice de coronavirus fait rage dans le monde entier, tuant plus de 290 000 personnes, au 12 mai 2020. Cependant, le bilan de 4633 morts en Chine fourni par le PCC a été irréellement bas, ce qui a été qualifié par le sénateur américain Ben Sasse de « propagande des ordures ».

« Sans commenter aucune information classifiée, il est douloureusement évident que : le Parti communiste chinois a menti, ment et continuera de mentir sur le coronavirus pour protéger le régime », a déclaré le sénateur Ben Sasse lors d'un point de presse à la Maison-Blanche le 1er avril 2020.

La communauté internationale s'est rendu compte que le PCC n'a cessé de couvrir l'épidémie. Huit médecins ont été réprimandés par la police pour avoir partagé des informations sur le coronavirus avec d'autres collègues sur les médias sociaux ; le Dr Ai Fen a été invitée à un « chat » et menacée par le comité de discipline et d'inspection simplement parce qu'elle partageait ses inquiétudes concernant certains patients présentant des symptômes semblables au « SRAS ».

En Chine, non seulement le partage d'informations véridiques est « illégal », mais la conservation de telles informations peut aussi causer des problèmes.

On rapporte que trois jeunes femmes (Chen Mei, Cai Wei et leur amie Tang), toutes bénévoles dans la lutte contre l'épidémie de coronavirus, ont été détenues illégalement par les autorités du PCC parce qu'elles avaient sauvegardé des données tout en aidant à recueillir des informations sur l'infection par le virus.

La réunion d'urgence du cabinet britannique du 24 avril n'a même pas pris la peine d'inclure les données sur le coronavirus chinois dans le tableau en raison de leur caractère peu fiable.

Le journal allemand Bild a publié à la mi-mars un article intitulé « La Chine a trompé le monde avec un sourire », dans lequel il critiquait non seulement la mauvaise gestion par le PCC de l'infection de coronavirus, mais remettait également en question la coopération entre l'Allemagne et la Chine communiste.

Celui qui continue à commettre des méfaits le fait à ses risques et périls

Récemment, le journal français Le Figaro a commenté qu'en Chine, la tradition de Mao Zedong de s'appuyer sur des mensonges et des tromperies dans la gouvernance n'est pas morte avec lui. La pratique courante de la tromperie dans la gouvernance commence par la fabrication de chiffres, que ce soit en rapport avec la pandémie de coronavirus ou quoi que ce soit d'autre.

Il existe un vieux dicton en Chine : « Celui qui continue à commettre des méfaits le fait à ses risques et périls. »

Les gens ont commencé à se demander sérieusement combien de temps encore le PCC va durer alors qu'il a son dernier souffle de violence et de tromperie ?

Traduit de l'anglais