(Minghui.org) Le Falun Gong est une discipline spirituelle basée sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Mais depuis le 20 juillet 1999, soit vingt et un ans, en raison de sa popularité et de ses valeurs traditionnelles, le Parti communiste chinois (PCC) persécute ses pratiquants.
Il est confirmé que plus de 4500 pratiquants de Falun Gong ont perdu la vie du fait de la persécution, bien que le nombre réel soit probablement de nombreuses fois plus élevé. Des centaines de milliers de pratiquants ont été enfermés dans des camps de travaux forcés, torturés physiquement et mentalement, et même tués pour leurs organes.
Aux alentours du 20 juillet, date qui marque le début de la persécution, les pratiquants de Falun Gong à travers le monde organisent des activités visant à sensibiliser sur la situation en Chine. Des responsables, membres du Parlement, membres de législatures d’État et autres dignitaires, passés ou actuels, ont ouvertement exprimé leur soutien au Falun Gong et condamné la persécution.
Des élus d’Autriche soutiennent le Falun Gong
Du 18 au 21 juillet, les pratiquants de Falun Gong ont organisé une série d'événements marquant les vingt et un ans de la résistance pacifique à la persécution. Six responsables ont envoyé des lettres de soutien aux pratiquants, condamnant la persécution par le PCC. Un conseiller municipal a pris la parole lors de l'activité du 21 juillet.
Les pratiquants ont organisé un rassemblement devant Stephansplatz et une veillée aux chandelles devant la célèbre Colonne du Mémorial de la Mort noire de la rue Graben le 18 juillet, afin de commémorer les pratiquants ayant perdu la vie sous la persécution. Ils ont également organisé un rassemblement et une veillée aux chandelles devant l'ambassade de Chine durant 24 heures le 20 juillet.
Soutien des membres du Conseil national et du conseiller de la ville de Vienne
Dr Gudrun Kugler, membre du Conseil national
« [Le PCC] commet des crimes dans ses violations graves et systématiques des droits de l'homme à l'encontre les pratiquants de Falun Gong », a déclaré, dans sa lettre, le Dr Gudrun Kugler, membre du Conseil national.
« Par conséquent, nous devons travailler ensemble pour mettre fin à cette persécution cruelle. Je suis heureuse de soutenir l'opposition des citoyens aux prélèvements d'organes à vif du PCC ; j'ai donc soumis le 23 juin, un projet de loi à la Commission des droits de l'homme. Ce projet de loi a été soutenu et approuvé par toutes les parties. »
Dr Ewa Ernst-Dziedzic, membre du Conseil national et du Comité des droits de l'homme
Le Dr Ewa Ernst-Dziedzic, membre du Conseil national et du Comité des droits de l'homme, a écrit : « Soyez assurés que je continuerai à vous soutenir pour atteindre votre objectif de mettre fin à la persécution inhumaine du Falun Dafa. Je ne cesserai de rappeler aux dirigeants chinois que le Pacte international relatif aux droits civils s’applique également aux pays autoritaires. »
Petra Bayr, membre du Conseil national et porte-parole pour le développement mondial
Petra Bayr, membre du Conseil national et porte-parole pour le développement mondial, a écrit : « La liberté culturelle et religieuse sont des droits de l'homme. La liberté d'expression est un droit de l'homme. Les droits de l'homme sont universellement applicables et indivisibles et doivent être respectés dans chaque pays. »
Faika El-Nagashi, membre du Conseil national et porte-parole de la société civile
Faika El-Nagashi, membre du Conseil national et porte-parole de la société civile, a écrit : « Les violations des droits de l'homme dans le monde sont systémiques. Le but est de maintenir le pouvoir, de réprimer les critiques par la peur et d'empêcher les changements de système. La situation des droits de l'homme en Chine est préoccupante, cela a été largement documenté au fil des ans. »
Petra Wimmer, membre du Conseil national et porte-parole des affaires familiales du Parti social-démocrate
Petra Wimmer, membre du Conseil national et porte-parole des affaires familiales du Parti social-démocrate, a écrit : « J'exprime mes condoléances aux parents des pratiquants de Falun Dafa morts sous la torture, en prison, dans les camps de concentration ou lors du trafic illégal d'organes. L'attention de la communauté internationale peut attirer l'attention des citoyens sur ces questions, augmentant ainsi la pression sur le gouvernement chinois pour qu'il cesse [la persécution]. »
Dans sa lettre, Christoph Wiederkehr, conseiller municipal de Vienne, a condamné la persécution.
Caroline Hungerländer, conseillère municipale de Vienne, s'exprime lors de l'activité du 22 juillet.
Soutien du public aux efforts des pratiquants pour mettre fin à la persécution
Les pratiquants de Falun Gong ont fait des démonstrations des exercices, recueilli des signatures et simulé un prélèvement d'organes à vif perpétré par l’État sous le PCC, afin de sensibiliser sur ces atrocités.
« C'est fou ! Je n'aurais jamais pensé qu'une telle chose ait pu se produire », a déclaré un homme venant de Hongrie, à propos des prélèvements d'organes par le PCC. Il a dit qu'il informerait davantage de personnes sur ce crime.
Reconstitution de prélèvements d'organes à vif sur des pratiquants de Falun Gong
Démonstration des exercices du Falun Gong
Les activités des pratiquants attirent l'attention des passants.
Signer une pétition contre la persécution
Un pratiquant prend la parole devant l'ambassade de Chine.
Événements en Belgique
Le 16 juillet, les pratiquants de Falun Gong ont organisé des activités à Bruxelles pour protester contre la persécution. Alors que plus de 600 parlementaires et membres des assemblées législatives de 36 pays, anciens ou en fonction, ont signé une déclaration commune condamnant la persécution.
Plusieurs responsables belges ont également signé, dont Petra De Sutter, eurodéputée de Belgique, Mark Demesmaeker, Bert Anciaux et Freya Perdaens, sénateurs du Parlement belge, ainsi que Michael Freilich, Tom Van Grieken et Nahima Lanjri, membres de la Chambre des représentants.
Démonstration des exercices devant le Parlement européen
Les pratiquants discutent du Falun Gong et de la persécution avec les passants, devant le Parlement européen.
Un pratiquant représentant l'Association belge de Falun Dafa a expliqué de quelle manière le gouvernement du pays soutient les pratiquants : « Le Sénat belge a adopté la résolution 162 condamnant les prélèvements d'organes par le PCC sur les pratiquants de Falun Gong et les minorités ethniques. »
Un homme s'appelant Joël a expliqué : « Je suis juif. Je pense que personne ne devrait être persécuté à cause de sa religion ou d'un certain mode de vie. Ça n'est pas correct. J'ai des amis venant du Tibet, de Chine, et il y a la persécution là-bas. »
« Le problème avec la Chine, c'est que vous ne savez pas ce qui s’y passe parce qu'ils [le PCC] censurent les informations. C'est pourquoi de nombreuses personnes en Europe ne sont pas au courant de la persécution en Chine. Ces persécutions ne devraient pas avoir lieu. »
Dans l'après-midi, les pratiquants ont organisé une manifestation pacifique devant l'ambassade de Chine.
Les pratiquants manifestent contre la persécution devant l'ambassade de Chine.
Soutien d'élus italiens
Les 20 et 21 juillet, les pratiquants de Falun Gong ont manifesté devant l'ambassade de Chine et sur la place Monte Citorio, proche de la Chambre des députés italienne.
Plusieurs parlementaires ont participé à l'activité du 21 juillet. En outre, 24 membres du Parlement italien accompagnés d'autres élus ont signé une déclaration commune avec plus de 600 élus dans plus de 30 pays.
Lucio Malan, sénateur de Forza Italia et coprésident de l'Alliance interparlementaire sur la Chine, a déclaré : « L'acte terroriste extrême consistant à utiliser des organes humains pour en faire commerce est impensable, véritablement terrible et même difficile à exprimer. Mais nous devons en tirer les leçons, car ce fait peut nous aider à comprendre qu'un régime qui n'a aucun respect pour les gens peut se livrer à n’importe quelle extrémité. »
Giulio Maria Terzi di Sant'Agata, ancien ministre italien des Affaires étrangères, principal diplomate et président du Comité mondial pour l'État de droit (GCRL) a également rejoint le rassemblement. Il a condamné la persécution du Falun Gong par le PCC, comme l'ont fait plusieurs autres membres du Parlement, anciens ou en fonction.
(Des articles connexes sont disponibles dans la version chinoise.)
Traduit de l'anglais