(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa fin 2012. J'ai enduré avec la protection du Maître, mais j'ai le sentiment de ne pas avoir bien cultivé.
Le Maître a dit :
« Hier un journaliste m’a demandé : quelle est la chose dont tu es le plus heureux, bien sûr toute ma vie je ne me consacre qu’à cette affaire, j’ai répondu qu’il n’y avait rien dont j’étais le plus heureux vis-à-vis des choses des gens ordinaires, mon plus grand réconfort consiste à écouter ou à voir les élèves parler de leurs expériences. » (Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de la région Midwest des États-Unis)
J'ai pleuré quand j'ai lu ceci parce que je cultive depuis plus de sept ans, et pourtant je n'ai jamais soumis un article de partage d'expérience. Considérant que le Maître m'a bénie pendant tant d'années, j'ai écrit cet article.
Les épreuves et tribulations des débuts
Chaque tribulation que j'ai vécue lorsque j'ai commencé à pratiquer m'a semblé être une épreuve de vie et de mort.
Mon mari m'a gravement battue à de multiples reprises pour essayer de me forcer à abandonner ma pratique. Je ne me suis jamais défendue et je n'ai jamais bronché. Il m'a emmenée de nombreuses fois au poste de police. Il a même conspiré avec le Bureau 610 pour essayer de me faire envoyer dans un centre de lavage de cerveau.
Je lui ai dit fermement : « Je n'irai pas, point final ! »
J'ai dit au Maître : « Je n'irai pas au centre de lavage de cerveau. Je dois faire connaître la vérité aux gens pour les aider à les sauver. » J'ai aussi dit aux forces anciennes : « Je n'irai pas au centre de lavage de cerveau. Ce que vous dites ne compte pas. Le Maître prend les décisions et je n'écoute que lui. »
Ma pensée droite était forte à l'époque. Chaque fois qu'il m'emmenait au poste de police, je pouvais partir avec l'aide miséricordieuse du Maître.
Mon mari a tenu un couteau de cuisine sous ma gorge
Quand j'ai commencé à pratiquer Dafa, un jour mon mari m'a dit et répété : « Je dois te tuer aujourd'hui, même si je finis par le payer de ma vie. » Il a alors fermé mon petit salon de coiffure de l'intérieur.
La boutique était au niveau de la rue et avait une porte vitrée, ce qui fait que les gens pouvaient voir ce qui se passait de l'extérieur. Mon mari a pris un couteau de cuisine et l'a tenu sous ma gorge.
Je suis restée immobile et j'ai fermé les yeux pour émettre la pensée droite jusqu'à ce qu'il pose le couteau. Puis il a commencé à me frapper.
Les gens se sont rassemblés dehors pour regarder. Un voisin a frappé à plusieurs reprises sur la porte et a imploré mon mari d'arrêter de me battre.
Il n'en a pas tenu compte et a continué à me battre. Il était clairement influencé par des facteurs pervers.
C'était le début de l'hiver et j'ai passé deux heures sur le carrelage froid. Sauf quand je récitais en silence la formule pour émettre la pensée droite, je n'ai pas arrêté de penser aux paroles du Maître :
« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)
J'avais la sensation que mes bras et mes jambes avaient disparu, je n'avais plus qu'une petite pensée. Je ne ressentais pas non plus le froid ni la douleur alors que j'étais allongée par terre. Je savais que le Maître endurait la douleur pour moi. Plus tard, quand j'ai appris le Fa à cet égard, j'ai été très émue.
Peu de temps après cet incident, mon mari a de nouveau appelé la police pour qu'ils m'arrêtent pour ma pratique de Dafa. Il a remis mon livre de Dafa à la police comme preuve.
Il m'a dénoncée à la police à de nombreuses reprises, me donnant ainsi l'occasion de leur dire la vérité sur le Falun Dafa.
Mon fils et moi au poste de police
Je rêvais d'inondations, de tremblements de terre et d'éruptions volcaniques lorsque j'ai commencé à pratiquer Dafa. Dans ce rêve, beaucoup de gens fuyaient, dont moi. Le Maître me suggérait d'emmener mon fils avec moi. Par peur et par sentimentalité, je ne voulais pas qu'il subisse des épreuves.
Mon fils m'a demandé : « Maman, dans quel pays se trouve Maître Li ? » Je lui ai dit que le Maître était en Amérique.
Il m'a répondu : « Je dois bien réussir à l'école pour pouvoir aller étudier en Amérique plus tard. Père ne pourra pas me contrôler quand je serai là-bas. Je cultiverai et ma femme, mon enfant et toute ma famille le feront aussi. »
En 2013, je lui ai dit que de nombreux pratiquants de Falun Dafa étaient emprisonnés. Il a dit : « Je veux être le président du pays quand je serai grand et permettre à tous les pratiquants de sortir de prison. Je permettrai à toute la nation de pratiquer le Falun Dafa. »
Il avait neuf ans à l'époque. J'ai pleuré quand il a dit cela.
Pourquoi devrais-je avoir peur ? De quoi avais-je peur ? J'ai immédiatement laissé mon fils lire le Zhuan Falun.
Il lui a fallu trois jours pour terminer les deux premières leçons du Zhuan Falun. Pendant ce temps, le Maître a guéri ses maux d'estomac.
Son œil céleste s'est ouvert et il pouvait communiquer avec les plantes et les animaux, ce qui m'a permis d'assister à de nombreux miracles. Lorsque je travaillais dans mon salon de coiffure, il émettait la pensée droite pour me soutenir lorsque je parlais de la persécution à mes clients.
Lorsque mon mari a appris que notre fils avait commencé à cultiver, il nous a frappés avec une ceinture en cuir.
Il a également brisé le miroir du salon de coiffure et d'autres choses dans la boutique. Je crois qu'un voisin a appelé la police après avoir entendu toute cette agitation et nous avons tous les trois été emmenés au poste de police.
La police a appris que mon fils et moi pratiquions le Falun Dafa. Ils ont appelé le Bureau 610 et le comité local de quartier et leur ont dit de s'en occuper.
Lorsque les agents du Bureau 610 se sont présentés, ils nous ont conduits dans une salle avec une chaise de torture.
Je n'ai pas eu peur. La police a déplacé une chaise et je me suis assise avec mon fils sur les genoux.
Un agent de police a commencé à m'interroger : « Pratiquez-vous le Falun Dafa ? Savez-vous qu'il est illégal de pratiquer le Falun Dafa ? »
J'ai répondu : « Oui, la pratique de Falun Dafa permet de rester en bonne santé, d'être une bonne personne en accord avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance »
Puis je lui ai demandé : « Je ne vole pas, ni ne fraude, ni ne tue. Puis-je vous demander quelle loi et quel règlement j'ai enfreints ? Dites-le-moi, s'il vous plaît. » Le policier n'a rien répondu.
« Depuis que je pratique le Falun Dafa, j'ai fait beaucoup de bonnes actions. J'accorde une réduction aux personnes âgées et aux jeunes dans mon salon. Je ne me dispute jamais avec mes voisins. »
Le policier a écouté, n'a pas réussi à répondre et est parti. Deux femmes du comité de quartier sont alors entrées. J'ai rapidement pressé la paume de la main de mon fils, lui faisant signe d'émettre la pensée droite. Il a fait un signe de tête.
Les femmes sont entrées et ont dit : « Savez-vous que l'État ne vous permet pas de pratiquer le Falun Dafa ? Vous devriez arrêter puisque l'État ne le permet pas. »
Je leur ai expliqué que le Falun Dafa nous apprend à être bons et j'ai donné quelques exemples. Je leur ai raconté comment je suis restée à l'hôpital pour m'occuper de mon beau-père lorsqu'il a été opéré d'un cancer de l'œsophage. J'ai raconté comment j'ai offert une bague en or à ma belle-mère pour son 60e anniversaire. Et comme mon mari ne faisait jamais de travaux ménagers à la maison, je les faisais tous.
Je leur ai ensuite raconté comment j'ai aussi aidé mon fils à étudier fort et qu'il s'est ainsi classé parmi les deux meilleurs élèves de sa classe.
La femme du comité de quartier m'a crié dessus, avec une main sur la hanche et me montrant du doigt, mais je n'ai pas élevé la voix. Finalement, l'autre femme a suggéré qu'elles partent puisqu'elles n'arrivaient pas à me convaincre. Mon fils et moi sommes restés seuls.
La police est arrivée plus tard et nous a dit de rentrer chez nous. À la porte, le directeur du comité de quartier et deux responsables du gouvernement sont sortis avec mon mari. Le directeur a suggéré à mon mari de me préparer un bon repas. Mon mari a dit qu'il ne savait pas cuisiner.
J'ai commencé à leur dire que j'avais toujours fait les tâches ménagères. Le directeur m'a dit : « Nous savons tous que tu es bonne. »
Diffuser Dafa
Mon mari et moi avons ensuite divorcé. J'ai trouvé un emploi en dehors de la ville et j'ai travaillé dans un salon de beauté pendant quatre ans.
J'ai expliqué les faits concernant le Falun Dafa à mes clientes, à tous les employés et à la directrice du conseil d'administration de l'entreprise et je leur ai dit fièrement que je le pratiquais.
Quelqu'un de la ville de Shanghai qui me connaissait par Internet m'a signalée pendant cette période. Le Bureau 610 de Shanghai a appelé ma supérieure et lui a dit de me renvoyer à cause de ma croyance.
J'ai dit la vérité sur le Falun Dafa à ma supérieure, j'ai continué à émettre la pensée droite et, pendant ce temps, je me suis harmonisée avec le Fa. Ma supérieure m'a dit plus tard : « Vous avez raison. Nous savons tous que vous êtes bonne, que vous traitez votre travail avec sérieux et que vous traitez tout le monde avec gentillesse. Ils sont vraiment déraisonnables. »
Cette supérieure a pris un congé de maternité et une nouvelle patronne a été engagée. Le Bureau 610 de Shanghai a appelé ma nouvelle patronne pour la pousser à me licencier, en la menaçant de fermer le salon de beauté si elle ne le faisait pas.
Je lui ai expliqué ce que j'avais dit à l'ancienne supérieure et j'ai ajouté : « Si ma présence a un effet négatif sur votre salon, je peux démissionner ».
Elle m'a répondu : « Oh, vous ne pouvez pas partir. Lors de la réunion des employés cet après-midi, vous allez recevoir un prix en reconnaissance de vos compétences et de vos services. Comment pourrions-nous vous laisser partir ? La prochaine fois qu'ils m'appelleront, je refuserai. Nous ne pouvons pas licencier une employée aussi excellente. Je leur dirai : “Plus d'appels”. »
Je n'étais pas attachée à ce poste, donc les forces anciennes ne pouvaient utiliser aucune excuse contre moi.
Je me suis éveillée à ceci à mon niveau actuel : il faut améliorer son caractère et abandonner les attachements pour passer toutes les épreuves et les tribulations.
Traduit de l'anglais