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Mes précieux souvenirs du Maître enseignant le Fa au Guizhou

19 août 2020 |   Écrit par Jing Lian, une pratiquante de Falun Dafa à Guiyang, province du Guizhou, Chine

(Minghui.org) Je suis une médecin à la retraite et j'ai la chance d'être une pratiquante de Falun Dafa depuis 1993. En fait, j'ai rencontré le Maître en personne cinq fois en assistant à quatre de ses stages d'enseignement du Fa à grande échelle et à une session d'enseignement du Fa spécifiquement pour les coordinateurs de Dafa. C'est un immense honneur d'avoir pu entendre le Maître expliquer le Fa en personne et d'être immergée dans sa grâce infinie.

Révélation en présence du Maître

En mai 1993, c'était la première fois que la province du Guizhou accueillait le stage de neuf jours du Maître. J'y ai participé, à partir du troisième jour du stage, après qu'un ancien professeur de l'école me l'a recommandé.

En regardant le podium, j'ai été frappée par l'air familier du Maître ; j'étais sûre de l'avoir déjà rencontré. J'ai trouvé une place libre à l'arrière et je me suis assise calmement. La première chose que je me souviens avoir entendue, c'est que le Maître a dit quelque chose comme : « Pour tous ceux ici qui ont pratiqué d'autres types de qigong, je m'occuperai de vous comme mes élèves si vous vous engagez à pratiquer le Falun Gong. Je vais purifier et ajuster vos corps en gardant le bon et en rejetant le mauvais. » C'était incroyable ! Le Maître savait que je pratiquais d'autres types de qigong avant. C'était le maître que je cherchais.

J'ai été profondément touchée par les paroles du Maître. Il a répondu aux nombreuses questions que je me posais sur notre existence. Par exemple, la raison pour laquelle nous, les êtres humains, souffrons de maladies et pourquoi nous sommes traités injustement, est que nous avons tous notre propre karma qui a été accumulé au cours de nombreuses vies.

« Si ces personnes veulent guérir de leurs maladies, conjurer le malheur et éliminer leur karma, elles doivent nécessairement s’engager dans la cultivation et la pratique, elles doivent retourner à leur origine première et retrouver leur authenticité première, voilà le point de vue de toutes les écoles de cultivation et de pratique. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Plus j'écoutais le Maître, plus je voulais en entendre. C'est pourquoi j'ai fait en sorte d'assister aux trois stages du Maître à Guiyang.

En décembre 1994, pour assister au dernier stage du Maître dans la ville de Guangzhou, j'ai pris congé du travail et j'ai voyagé jusque là. De plus, le 23 septembre 1997, j'ai eu la chance de rencontrer à nouveau le Maître à Guiyang lors d'une session d'enseignement du Fa pour les coordinateurs du Guizhou.

Je suis incroyablement chanceuse d'avoir pu voir le Maître en personne cinq fois.

Le Maître a dit :

« À mon avis, ceux qui peuvent m’entendre directement leur transmettre la méthode et leur expliquer la Loi sont vraiment, comment dire… Enfin, vous comprendrez tout cela plus tard et vous réaliserez que ces moments ont été extrêmement heureux. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Je suis tout à fait d'accord. Je chéris énormément les souvenirs de ces moments heureux.

Le Maître a éliminé toute interférence

Les trois stages d'enseignement du Fa au Guizhou ont été perturbés d'une manière ou d'une autre. Soit des coupures de courant se sont produites au milieu du stage, soit il y a eu des changements soudains de lieu. Cela s'est souvent produit au cours des deux premiers stages. L'électricité a soudain été coupée pendant que le Maître parlait, mais il n'y avait aucun problème avec l'électricité. Lorsque cela se produisait, le Maître attrapait quelque chose en l'air avec sa main droite, puis agitait sa main et le courant revenait et le Maître continuait avec un minimum d'agitation. Le Maître s'occupait de la même interruption de la même manière, encore et encore. Parfois, le Maître faisait une pause de quelques secondes et le courant revenait tout simplement.

Je me souviens que le Maître nous a dit quelque chose du genre : « Je sais qu'au Guizhou, il y a beaucoup de pratiquants qui sont cachés dans les montagnes profondes. Ils ont scellé leurs grottes avec leur pouvoir supranormal. Leur méthode de cultivation est très éprouvante. Les gens ordinaires ne peuvent pas les voir. Comme ils n'ont pas été guidés par le Fa juste, ils cultivent depuis longtemps sans succès. Il y a beaucoup de bons pratiquants parmi eux qui sont aussi venus écouter mes enseignements cette fois-ci. Mais il y en a aussi des mauvais. Il y a un de ces pratiquants à environ 17 kilomètres au sud-ouest de Guiyang. Il cultive depuis longtemps… Je n'aime pas me mettre à dos les autres. Je veux juste enseigner mon Fa et personne ne peut ou n'est autorisé à s'immiscer dans mes affaires. Cette personne voulait me défier et je l'ai mise en garde contre cela. »

Les deux premiers stages d'enseignement du Fa à Guiyang ont eu lieu l'un après l'autre en mai et juin. Le premier s'est tenu dans le Département de géologie de la province et le second dans une salle de l'École de médecine de Guiyang. Le troisième stage d'enseignement du Fa en août a attiré un grand nombre de participants et a dû se tenir dans la grande salle du siège du gouvernement provincial. Mais l'utilisation de ce lieu a été refusée après le premier jour. Cependant, un nouvel endroit a rapidement été trouvé au centre provincial d'activités pour la jeunesse, ce qui a permis de limiter au maximum les perturbations des conférences.

Nous avons découvert plus tard que toutes les perturbations étaient causées par un serpent de la dynastie Ming qui vivait dans la grotte de Huaxi. Il a également causé des problèmes lors du Salon oriental de la santé à Pékin en 1993. Le Maître avait été miséricordieux et lui avait donné de nombreuses occasions de s'éloigner, mais il n'avait pas tenu compte des avertissements du Maître et a finalement été éliminé par ce dernier. C'est le serpent dont parle le Maître dans la cinquième conférence du Zhuan Falun.

Mystères photographiés

À la fin du premier stage à Guiyang, quelques élèves ont eu la chance de prendre une photo avec le Maître devant la source Baixiang au parc Qianling (à l'époque, le grand espace vide était un site d'exercice de Falun Gong). Lorsqu'on nous a montré la photo plus tard, à notre grande surprise, nous avons vu non seulement le Maître debout avec nous, mais aussi une autre version de lui devant nous : assis dans la position du double lotus, portant une broche avec l'emblème du Falun Dafa. Dans le coin droit de la photo, on voit aussi clairement un taoïste derrière nous, qui pointe son fouet vers l'appareil photo.

À la fin du deuxième stage, le Maître m'a tapé sur l'épaule et m'a dit d'une manière gentille et attentionnée : « Contrôle ton xinxing et cultive avec soin. »Avec ce bourdonnement dans l'oreille, je ne pouvais pas rester tranquille une fois rentrée chez moi. J'avais une forte envie de voir le Maître partir à la gare. Je suis sortie sous une pluie fine avec un parapluie. En me précipitant vers la gare, j'ai soudain ressenti dans mon corps cette sensation décrite par le Maître : « Ils pourront sentir soudainement un fluide chaud qui descend du sommet de la tête et traverse tout le corps. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun) Depuis lors, la mauvaise circulation chronique dans mes membres a disparu pour de bon.

Le train s'est lentement éloigné. Le Maître se tenait à la porte et nous saluait de la main. Cette scène a été prise en photo. On pouvait y voir, sortant de la main du Maître, une tache de lumière blanche pure projetée sur les quelques élèves qui se tenaient sur le quai. Leurs contours et leurs visages étaient obscurcis par cette lueur blanche éblouissante. Le Maître nous renforçait par son énergie ! C'était une autre démonstration de l'altruisme du Maître envers ses élèves, que nous pouvons difficilement rembourser.

Je peux toujours sentir la grande compassion et la protection du Maître chaque fois que je regarde cette photo. Cela me réchauffe le cœur et me procure une joie incroyable. Mais elle me fait également sentir très coupable lorsque j'échoue à un test de xinxing et que je laisse tomber le Maître. Je suis désolée Maître !

Le Maître a purifié mon corps

Le Maître a dit :

« Bien sûr, il faudra tout d’abord éliminer les mauvaises choses dans votre corps, y compris les maladies. Pourtant nous ne sommes pas ici pour traiter vos maladies mais pour purifier votre corps ; le terme que nous employons n’est d’ailleurs pas “traiter les maladies”, mais “purifier le corps”, purifier le corps de ceux qui cultivent et pratiquent véritablement. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

J'avais une longue liste de maux avant de pratiquer le Falun Dafa. J'avais une lésion cérébrale post-traumatique, de l'arthrose cervicale, de la rhinite atrophique, de la tuberculose, de la costo-chondrite (une inflammation du cartilage de la cage thoracique), de l'arthrite rhumatoïde, un gonflement du rein gauche, de la rétention d'eau, une mauvaise circulation dans les membres, des rhumes constants, etc. J'étais maigre, avec un teint terne, et j'avais l'air bien plus âgée que mon âge.

Peu de temps après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, tous mes maux ont disparu les uns après les autres. Mon visage rayonnait de santé et mon niveau d'énergie a fortement augmenté. Je n'avais plus besoin de médicaments et je renaissais en tant que personne en bonne santé et heureuse. Ayant été témoins de mon extraordinaire transformation, ma famille, mes amis et mes collègues de travail m'ont félicitée et sont devenus eux-mêmes, au fil du temps, des pratiquants de Falun Dafa.

Il m'est arrivé quelque chose le lendemain de la conclusion du deuxième stage. Je faisais le ménage à la maison, fredonnant joyeusement une chanson alors que je passais la serpillière sur le sol. Sans aucun avertissement, j'ai ressenti une douleur aiguë à l'estomac. Cela m'a fait rouler sur le canapé et en un rien de temps, mes vêtements étaient trempés de sueur. Mon mari et mon fils couraient partout, cherchant désespérément quelqu'un pour m'emmener à l'hôpital. Je leur ai dit que je ne voulais pas aller à l'hôpital parce que je n'étais pas malade. La douleur était le signe que le Maître nettoyait mon corps et me débarrassait de la cause première de ma maladie. Quand la douleur est devenue insupportable, j'ai crié au Maître : « Maître, aidez-moi s'il vous plaît ! » Dès que j'ai prononcé ces paroles, ma douleur s'est arrêtée brusquement. Tout est revenu à la normale comme si rien ne s'était passé. J'ai pris ma serpillière et j'ai continué à faire mes corvées. En me regardant avec les yeux écarquillés, mon mari et mon fils ont admis qu'ils n'auraient pas cru ce qui s'était passé s'ils n'en avaient pas été témoins de leurs propres yeux.

Lors d'un autre incident, j'allais bien en allant travailler le matin, mais j'ai vite eu la diarrhée qui m'a fait faire des allers-retours aux toilettes. Les gens au travail m'ont conseillé de prendre des pilules, mais je leur ai dit que je m'en sortirais parce que je ne faisais qu'éliminer les mauvaises choses de mon corps. Le Maître a dit :

« Certaines personnes vomiront et auront de la diarrhée, de toute façon, il faut que les organes internes de ton corps soient purifiés avant que tu ne puisses cultiver et pratiquer véritablement. » (« Partie questions et réponses de l'enseignement du Fa à Guangzhou », Zhuan Falun Fajie – Le Fa du Zhuan Falun expliqué)

Bien que je n'aie pas fait le repas de midi ce jour-là et que j'étais allée aux toilettes quelques dizaines de fois, j'allais bien et j'ai continué à voir les patients comme si de rien n'était. Mes deux collègues médecins étaient intrigués : « C'est très étrange. Vous auriez dû être épuisée et abattue par la diarrhée intense et le manque de nourriture. Mais au contraire, vous avez l'air vive et bien portante. Le Falun Gong est incroyable ! » Plus tard, tous deux ont repris la pratique à mes côtés pendant un certain temps et en ont tiré profit à leur manière.

En tant que pratiquante de Falun Dafa, je ne peux pas commencer à compter le nombre d'échappées miraculeuses que j'ai eues. Je suis tombée deux fois dans les escaliers et j'ai été renversée ou écrasée par un véhicule trois fois. Tout d'abord, j'ai été heurtée par un taxi devant mon immeuble de travail. Ensuite, j'ai été heurtée et mes jambes ont été écrasées par une lourde moto devant un marché. La troisième fois, une voiture m'a écrasé le pied droit, mais j'étais indemne, bien que tout le monde autour de moi ait été alarmé. J'étais gênée et je me suis enfuie aussi vite que possible. Le conducteur qui m'a heurtée l'a aussi fait. Je sais qu'à travers ces accidents évités de justesse, le Maître a contribué à éliminer une grande partie de mon karma. Les souvenirs de ces incidents me font souvent verser des larmes de gratitude. Merci, vénérable Maître !

Rencontre avec le Maître à Guiyang

Un événement du 23 septembre 1997 est à jamais gravé dans ma mémoire. Le matin, une fois que nous avons terminé nos exercices sur le site de pratique, une coordinatrice m'a dit qu'il y avait une réunion pour les coordinateurs dans le hall de l'hôtel Renaissance Guiyang à 14 heures.

Cette coordinatrice m'a appelée plus tard pour me demander d'arriver plus tôt sur le site afin de l'aider à s'installer. Elle m'a dit qu'elle était tellement excitée qu'elle avait eu du mal à dormir la veille. Je me suis dit pourquoi était-elle si excitée ? Se pourrait-il que le Maître vienne ? Sans tarder, je me suis rendue directement sur les lieux après avoir mangé un peu et pris une douche rapide.

Une fois tous les préparatifs terminés, on m'a demandé d'attendre les autres coordinateurs à l'extérieur de l'hôtel au cas où ils ne nous trouveraient pas. Alors que je sortais du hall, j'ai aperçu le Maître, accompagné d'un coordinateur de site, qui marchait sur le chemin du jardin à quelques mètres de moi. Le Maître m'a vue et m'a souri alors qu'il marchait vers moi. Figée sur place, je me tenais là, les larmes aux yeux et je me serais agenouillée devant le Maître s'il n'y avait eu tous les gens ordinaires qui nous entouraient. « Qu'est-ce que tu fais encore debout là ? » La coordinatrice du site m'a réveillée de mon étourdissement avant que nous nous mettions tous à la suite du Maître.

Malheureusement, c'est la dernière fois que le Maître nous a rendu visite à Guiyang. J'étais béatement heureuse d'être à nouveau en présence du Maître, mais tout ce que j'ai pu dire au Maître a été : « Merci Maître ! », au moment où il est parti.

Traduit de l'anglais