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Les pratiquants de Falun Dafa aident partout où il y a besoin

30 août 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Shandong, Chine

(Minghui.org) Je suis une femme de 68 ans qui vit à la campagne. J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Maître Li (le fondateur) nous enseigne à être de bonnes personnes en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J’étudie le Fa, je fais les exercices, je pense tout d’abord aux autres et j’élève mon xinxing.

Avant, j’habitais près d’un chemin de terre dans notre village, et ce n’était pas facile de le parcourir les jours de pluie. Les pratiquants et moi avons pavé la route.

Après une grosse tempête de neige, les pratiquants déblayaient d’abord les rues du village. Puis, certains pratiquants continuaient à dégager les routes à l’extérieur du village vers le nord et d'autres vers le sud. Les pratiquants dans les deux villages voisins faisaient la même chose. Finalement, les routes allant de notre village aux villages voisins dans les deux directions étaient dégagées.

Même aujourd’hui, certaines personnes que nous rencontrons lors de la clarification de la vérité sur Dafa se souviennent encore de nous. Quand ils apprennent d’où nous venons, ils disent : « Oh, je connais ce village dans ce bourg. Il y a des pratiquants de Falun Dafa dans les villages voisins qui ont pavé la route et déblayent après chaque chute de neige. Les gens des alentours envient tous les gens de ce village. Ils ont tellement de chance. Ce serait bien s’il y avait des pratiquants de Falun Dafa dans notre village. » Les gens parlent encore des bonnes actions faites par les pratiquants.

Une fois, une compagne de cultivation est allée voir un patient à l’hôpital. Quand l’infirmière de service a appris d’où elle venait, elle a immédiatement dit : « La famille de ma mère vient de ce bourg. Les gens des villages voisins sont vraiment bénis. Les pratiquants de Falun Dafa dégagent les routes quand il y a besoin. »

Je ne le ferais pas si je ne cultivais pas dans Dafa. Dans le passé, je souffrais de maladies multiples et j’étais incapable de m’occuper de moi. Après avoir pratiqué le Falun Dafa, j’ai complètement guéri de mes maladies.

Considérer Dafa comme étant le plus important

Je me suis rendue deux fois à Pékin pour faire appel pour Dafa depuis 2000, et j’ai été envoyé dans un camp de travaux forcés chaque fois, pour une période totale de six ans. Étant donné que je continuais à clarifier les faits sur Dafa, j’ai été détenue sept fois, pour un total de plus de cent jours de détention.

Dans le camp de travaux forcés, étant donné que je refusais d’être « transformée », je devais visionner des vidéos diffamant Dafa. J’ai dû me tenir debout pendant trois jours et trois nuits et mes jambes ont enflé. On m’a privée de sommeil et interdit de prendre une douche ou d’aller aux toilettes. J’étais obligée de faire des travaux forcés pendant 13 à 14 heures par jour. Quand mon fils est venu de loin pour me rendre visite, on l’a empêché de me voir.

Pendant ces années où j’ai été détenue pour avoir fait connaître aux gens la situation de la persécution, j’ai manqué le mariage de mon fils et la naissance de mon petit-fils. De plus, je ne l’ai pas beaucoup aidé financièrement.

Chaque Nouvel An chinois, mon fils revient me rendre visite. Mon petit-fils va à l’école maintenant. Mon fils m’a demandé de rester avec sa famille, pour qu'il puisse ainsi me soutenir financièrement. Il pensait que c’était trop difficile pour moi de m’occuper seule des pommiers. Mon petit-fils m’a dit que son père avait « réservé une chambre pour Grand-maman ».

J’ai dit à mon fils qu’il n’avait pas besoin de venir me rendre visite chaque année, ce qui serait plutôt coûteux. Il fait assez froid ici l’hiver. Sa femme et son enfant ne sont peut-être pas habitués à ce genre de température, et sa belle-mère se sentirait seule durant le Nouvel An chinois. J’ai la mission d’éveiller la conscience des gens et j’ai beaucoup à faire. Je ne pouvais pas m'arrêter tant que la rectification du Fa continuait. Les voisins pouvaient m’aider dans les champs, et je pouvais engager des travailleurs temporaires pour arroser. Il y avait assez de revenus avec la récolte des pommes. J’ai préparé pour lui 50 kg d’huile d’arachide et 1000 yuans pour mon petit-fils. En plus de mes propres dépenses, j’avais de l’argent pour réaliser des documents clarifiant la vérité. Je ne me sentais pas seule et il y avait un groupe d’étude du Fa à la maison. Il n’y avait aucun besoin de s’en faire pour moi.

Mon fils a eu l'esprit apaisé et il m'a envoyé 5000 yuans pour tout ce qui pouvait me faire plaisir.

Éveiller la conscience des êtres

Après la publication par le Maître de l’article « Abandonner le cœur de l’homme, sauver les gens de ce monde » (Points essentiels pour un avancement diligent III), j’ai commencé à expliquer les faits et conseillé aux gens de démissionner du Parti communiste chinois (PCC). Avec l’aide des pratiquants, ma maison est devenue un site de production de documents clarifiant la vérité. Après l’étude collective du Fa, les pratiquants partaient avec des documents. À cette époque, étant donné que j’avais des difficultés financières, les pratiquants m’ont aidée à acheter un ordinateur, une imprimante et du papier. J’avais les documents à distribuer et j’en fournissais aussi à des pratiquants d’autres villages.

Quand l’imprimante avait des problèmes, je l’apportais en ville pour que des pratiquants m’aident ou encore je l’amenais dans un centre de réparation. La boîte de papier à imprimer était lourde à transporter. Je demandais au propriétaire du magasin de m’aider à la porter jusqu'à la station d’autobus. En sortant de l’autobus, j’attachais la boîte à mon vieux vélo pour l’apporter à la maison. Peu à peu, j’ai pu mettre de l’argent de côté pour acheter en 2018 un vélo électrique de seconde main.

Une fois, je n’arrivais pas à trouver la clé du tricycle électrique quand je suis revenue à lui. Il allait faire nuit si je marchais jusqu'à la maison pour aller chercher le double de la clé. J’ai ôté ma veste en coton et mon foulard et je les ai attachés ensemble avec une extrémité sur le guidon du tricycle et l’autre sur mon épaule. Une femme de plus de soixante ans a traîné le tricycle sur une route de campagne sinueuse, montant et descendant les côtes, et cela jusque chez moi.

Peu importe où je vais, j’apporte des amulettes et des documents clarifiant la vérité chaque fois que je participe à des activités ou lorsque je rends visite à des amis ou des membres de ma famille. J’explique les faits et conseille aux gens de démissionner du PCC.

Une fois que le coronavirus du PCC s’est propagé, les villes et villages ont été verrouillés. Le Maître a dit :

« Si vous pouvez être tout à fait résolu – aucune difficulté ne peut vous arrêter – alors je vous le dis, il n’y aura aucun problème. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

J’ai suggéré à des compagnons de cultivation de distribuer des documents concernant le virus dans le village étant donné que nous ne pouvions pas en sortir. Ceux qui avaient démissionné du PCC allaient avoir une compréhension plus profonde, et ceux qui ne l’avaient pas fait allaient peut-être s’éveiller à la vérité. Nous avons distribué les documents à plus de 200 foyers du village. L’effet a été vraiment bon.

J’ai décidé de préparer des documents pour deux villages voisins aussi puisque l’effet avait été très bon dans notre village. J’ai tout d’abord emprunté du papier, et plus tard j’en ai acheté une boîte. Quand les documents ont été prêts, et que j’étais sur le point de les distribuer, il y a eu une grosse chute de neige. C’était la première neige de l’hiver. À cause du confinement de la ville, il y avait des gens qui surveillaient la route jusqu’au village nuit et jour. Ce serait trop difficile de marcher dans les montagnes avec de la neige sur le sol. J’y ai pensé et j’ai décidé de prendre la route puisque nous faisions un acte noble.

J’ai demandé à Maître Li de m’aider et j’ai emporté les documents avec moi. Je voulais juste livrer les documents à temps, et ne pas retarder l’éveil de la conscience des gens. Personne n’était sur la route du village. Il n’y avait pas d’empreintes de pas sur la route. J’ai fait un pas à la fois. Cela m’a pris près d’une heure pour atteindre le domicile de la pratiquante. Elle était surprise de me voir et m’a demandé d’entrer pour me reposer et me réchauffer. Je lui ai dit que je voulais retourner avant l’émission de la pensée droite de midi. En partant, il neigeait toujours. J’ai récité : « C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun) Je suis arrivée chez moi dix minutes avant l’heure d’émettre la pensée droite.

Traduit de l’anglais