(Minghui.org) Une fois, j'ai parlé du Falun Dafa à un homme dans un marché. Je lui ai demandé s'il savait qu'il serait en sécurité en démissionnant du Parti communiste chinois (PCC).
« Savez-vous qui je suis ? », a-t-il demandé. « Vous osez me dire cela ? »
« Pour moi, cela n'a pas d'importance qui vous êtes », ai-je répondu. « Vous êtes tout d'abord une personne et vous avez le droit de vous protéger. » Il a dit qu'il était le chef du poste de police.
« Cela n'a pas d'importance si vous êtes le directeur du Département de police », ai-je répondu calmement. « Je vais quand même vous dire ceci, parce que je veux que vous soyez sauvé et ne commettiez pas un péché. »
Il m'a demandé d'où je venais. Quand je le lui ai dit, il a souri et dit qu'il avait un parent dans le même village. J'ai dit : « Cela signifie que nous avons une affinité prédestinée, et cela me donne d'autant plus de raisons de vous parler. »
Je lui ai demandé s'il savait que la Chine était appelée la terre du divin.
Il a eu l'air surpris et n'a rien dit, alors j'ai continué : « Puisque c'est la terre du divin, cela suggère qu'il y a des êtres divins ici, mais le PCC ne veut pas que nous y croyions. »
« Pourquoi vous opposez-vous au PCC ? », a-t-il demandé.
« Tout le monde devrait s'y opposer », ai-je répondu. « Le gouvernement a déployé beaucoup d'efforts pour s'opposer au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et il est responsable de la dégradation morale de la société. N'est-ce pas un désastre pour notre pays et pour le peuple ? Ne devrions-nous pas tous nous y opposer ?
« Depuis que le Parti a pris le contrôle en Chine, ses mouvements politiques en cours ont contribué aux décès de plus de 80 millions de personnes. Éliminer le PCC est la volonté du ciel. Démissionner du PCC sauvera votre vie. Démissionner du PCC laisse le ciel connaître votre position. »
Il a dit : « Je comprends, mais je ne peux pas démissionner du PCC parce que j'ai besoin de mon emploi. »
J'ai répondu : « Il n'y a pas de mal à ce que vous démissionniez du Parti. Le statut de votre emploi ne changera pas, mais vous obtiendrez un avenir sûr. » Finalement, il a accepté de démissionner.
« Le Maître a le dernier mot »
En avril 2018, je parlais aux gens du Falun Dafa et je distribuais des documents d'information dans un marché quand on m'a signalé à la police. J'ai été arrêté et emmené au poste de police. J'ai été menotté à une chaise de fer et interrogé. Ils m'ont dit de signer leur rapport, mais à la place j'ai écrit « interrogatoire illégal ».
On m'a emmené dans un centre de détention et détenu pendant quinze jours avant que ma famille ne paie ma caution.
J'ai regardé à l'intérieur après mon retour chez moi. Quelle lacune avais-je manqué dont les forces anciennes ont tiré avantage ? J'avais fait les trois choses que les pratiquants devaient faire, alors pourquoi étais-je encore persécuté ? J'ai trouvé de nombreux attachements, comme se faire valoir, le ressentiment, la luxure, l'arrogance, etc.
En regardant à l'intérieur, j'ai appris que la cultivation n'était pas seulement une question de tâches à accomplir – je devais élever mon xinxing. Je n'ai pas regardé à l'intérieur et je n'ai pas éliminé mes attachements. Au lieu de cela, j'ai accepté les arrangements des forces anciennes, mais je ne m'en suis pas rendu compte.
J'ai augmenté le nombre de fois où j'émettais la pensée droite et le temps que je passais à étudier le Fa.
Pendant l'émission de la pensée droite, j'ai vu une grande zone d'insectes ressemblant à des crapauds et je les ai éliminés dès leur apparition. Cela ne m'a pas pris beaucoup de temps pour les éliminer.
Le chef du poste de police local est venu à mon domicile en avril 2019, et m'a dit de venir au poste de police. Il a dit : « Votre caution est arrivée à expiration. On doit transférer votre affaire au parquet pour le procès. »
J'étais confus.
Plus tard j'ai demandé à un autre pratiquant : « J'ai été libéré par le bureau du procureur, alors pourquoi dois-je faire face à un procès ? Est-ce le bureau du procureur ou le poste de police qui a le dernier mot ? »
Le pratiquant a répondu : « Le Maître a le dernier mot. »
Après avoir entendu cela, ma pensée droite est devenue plus forte. J'ai pensé : « Oui ! Le Maître est responsable de tout. »
Après être rentré chez moi, j'ai récité l'article du Maître « Dao Fa (Parler de la Loi) ». Plus je le récitais, plus ma pensée droite se renforçait.
Quand le chef du poste de police est revenu, je lui ai dit : « Vous ne pouvez pas continuer à harceler les pratiquants. Non seulement vous me persécutez, mais vous persécutez Authenticité-Bienveillance-Tolérance, qui est la vérité de l'univers. Vous persécutez la bonté au nom de la loi. Vous ne pouvez pas faire ça. »
Il avait de la sueur sur le front et n'a rien dit. J'ai su qu'il avait compris.
Quelques jours plus tard, il est encore revenu et a dit : « Cette fois tout est correct. On ne vous dérangera plus. »
À travers cette tribulation, j'ai appris à traiter ceux qui sont chargés de faire appliquer la loi sans peur et sans haine, mais avec compassion. Quand nous avons de la compassion, de la bonté et que nous nions la persécution, le Maître nous aidera à résoudre les tribulations.
Traduit de l'anglais