(Minghui.org) Il y a vingt-cinq ans, ma vie était comblée et heureuse. De nombreuses personnes m’admiraient. Cependant, une fois quadragénaire, les choses ont changé. J’ai commencé à avoir le vertige et je n’osais pas bouger quand la maladie me frappait. Si je bougeais, je vomissais. J’ai commencé à avoir des maux d’estomac et à transpirer beaucoup. Pendant des années, je n’ai pas bien dormi.
On m’a diagnostiqué une hernie discale lombaire en 1995 et j’ai été traitée dans plusieurs grands hôpitaux. Rien n’aidait et mon état s’est aggravé. Je ne pouvais pas faire de travaux ménagers ni m’occuper de mon enfant. On devait plutôt s’occuper de moi et j’ai apporté beaucoup de difficultés dans ma famille. J’étais irritable et je perdais mon sang-froid. J’étais déprimée et en colère et je pleurais beaucoup. La vie était devenue dénuée de sens.
Ma famille était presque brisée lorsqu’un ami m’a rendu visite et m’a parlé du Falun Dafa. Après avoir pratiqué le Falun Dafa pendant un mois, mes maux d’estomac et mon vertige ont disparu. La hernie discale lombaire qui me torturait depuis six mois est devenue moins grave. Je pouvais recommencer à marcher, m’occuper de mon enfant et de ma famille ! J’étais très émue et j’ai pleuré, je me suis prosternée devant le Maître pour lui présenter mes respects. Merci Maître de me donner une seconde vie. Je disais à tous ceux que je rencontrais que le Falun Dafa est merveilleux et miraculeux.
Dénoncer le PCC
En 1999, par jalousie et malgré les objections de millions de gens, l’ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), Jiang Zemin, a commencé à persécuter les pratiquants de Falun Dafa dans tout le pays.
Un jour, la secrétaire du Parti de mon entreprise m’a montré une feuille de papier sur laquelle il était écrit que j’étais une bonne personne, comment j’ai bien accompli le travail et comment j’étais consciencieuse. Au bas, il était mentionné que, plusieurs fois, les dirigeants m’ont parlé ainsi qu’à mon mari concernant ma pratique du Falun Dafa et qu’ils m’en parleraient encore le lendemain. En raison de mon manque de compassion et de mon esprit combatif, j’étais agitée. « Une pure absurdité ! » ai-je dit. Cela a mis en colère la secrétaire du Parti. Elle n’a rien dit. Je lui ai posé des questions : « Quand m’avez-vous parlé ? Quand avez-vous parlé à mon mari ? Pourquoi lui avez-vous parlé puisqu’il ne pratique pas le Falun Dafa ? » Elle est restée sans voix. En tant que cadre du PCC, elle a ouvertement menti afin de maintenir son pouvoir.
Le lendemain, les dirigeants m’ont parlé et m’ont avertie que je serais rétrogradée et mon adhésion au Parti serait annulée si je ne renonçais pas à ma croyance. On m’a dit de faire un choix. Je savais certainement à quel point Dafa était précieux. J’étais inébranlable et j’ai dit sans aucune hésitation : « Je choisis le Falun Dafa ! » La secrétaire du Parti était furieuse et m’a critiquée pour mon obstination. J’ai été rétrogradée au niveau le plus bas.
Je suis une disciple de Dafa et je ne ternirai pas Dafa. Avec un cœur pour sauver les êtres et abandonnant l’attachement d’avoir peur de perdre la face, je suis venue travailler avec aisance. J’ai considéré cet endroit comme une énorme occasion de cultiver et un endroit pour sauver les êtres. J’ai pensé que les travailleurs étaient les membres de ma famille. Je leur ai dit les faits sur le Falun Dafa et je leur ai donné des documents clarifiant la vérité quand l’occasion se présentait.
Un jour, tous mes collègues étaient au bureau. Ils m’ont posé beaucoup de questions. Le Maître a ouvert ma sagesse ce jour-là, et les réponses ont surgi dans mon esprit. Nous avons parlé tout l’après-midi. Après cette conversation, trois collègues ont lu le Zhuan Falun et deux ont obtenu le Fa et sont devenus de véritables pratiquants de Falun Dafa.
Après la publication de l’article du Maître « Faire tourner la roue en direction de ce monde », les pratiquants ont aidé tous les membres du personnel de notre lieu de travail à démissionner du PCC. J’ai senti un tel soulagement. Je n’ai pas regretté mon choix. Même si j’ai souffert un peu au niveau le plus bas, j’ai aidé deux personnes à obtenir le Fa et des dizaines à renoncer à leur adhésion au PCC.
Surmonter des épreuves familiales
Les épreuves familiales sont plus difficiles à endurer. Mon mari est une personne gentille, honnête et prévenante. Il avait une bonne impression du Falun Dafa en voyant mes grands changements après que j’ai commencé la pratique. Il était d’un très grand soutien. Avant le 20 juillet 1999, plus de 30 pratiquants sont venus à mon domicile pour étudier le Fa et pratiquer les exercices. Il ne s’est pas plaint du tout. Il a aidé à nettoyer notre domicile et mis des coussins sur le sol. En été, il a balayé la cour et l’a gardée propre et bien rangée pour nous. Les compagnons de cultivation lui ont fait des éloges et le respectaient.
Après le début de la persécution, je lui ai demandé ce qu’il ferait s’il était impliqué et perdait son emploi. Il a répondu : « Je peux trouver un emploi ailleurs. » J’ai été émue presque aux larmes.
Il a changé complètement après que j’ai été détenue illégalement. Il avait si peur qu’il ne me permettait pas d’étudier le Fa ou de faire les exercices. Je ne pouvais même pas mentionner le Falun Dafa. Il savait que Dafa a été lésé, mais il savait à quel point le PCC était pervers et il était terrifié. Quand les programmes à la télévision ont calomnié Dafa, il a commencé à se quereller avec moi. Afin de mettre la pression sur moi pour abandonner la pratique, il a juré après moi et m’a battue. Il m’a frappée si fort avec une ceinture qu’elle s’est brisée. Mais je ne le détestais pas. Je savais qu’il avait peur du PCC.
Un jour, quand il a essayé de me forcer à abandonner, j’ai dit : « Ce Fa, je vais l’étudier certainement. Cet exercice, je le pratiquerai certainement. Il m’est absolument impossible d’abandonner. Alors, tu fais ce que tu veux ! » Entendant cela, il a plutôt ri. Il n’a plus interféré avec moi. Parfois, il m’exhortait à me lever tôt pour faire les exercices le matin. Ma vie est redevenue normale. J’ai passé ce test avec détermination.
L’importance de clarifier la vérité
Un jour, un bon ami de mon mari est venu nous rendre visite. Je lui ai clarifié la vérité. Mon mari avait peur et a essayé de m’en empêcher. Il a dit que son ami était un candidat pour un poste de secrétaire du Parti. J’ai pleuré après qu’il est parti. Mon côté conscient savait peut-être ce qui allait lui arriver bientôt. Plusieurs jours plus tard, nous avons appris qu’il est tombé malade et était dans un état végétatif. J’ai dit à mon mari qu’il avait fait une erreur et peut-être cela ne serait pas arrivé à son ami s’il ne m’avait pas empêchée de lui clarifier la vérité. Mon mari était sidéré et n’a plus interféré avec ma clarification de la vérité aux gens.
Un des collègues de mon mari nous rendait souvent visite. D’une façon ou d’une autre, je ne lui ai pas clarifié la vérité. Il a été envoyé dans une ville dans le sud pour suivre des sessions de formation. Soudain, il est tombé par terre au cours d’une réunion, avec de l’écume dans la bouche et en convulsion. Son état ne s’est pas amélioré après son admission à l’hôpital. Mon mari a reçu un appel téléphonique d’un autre collègue disant que l’hôpital avait émis une notice de maladie critique. J’étais triste quand j’ai entendu cela. Pourquoi ne lui ai-je pas clarifié la vérité ? J’ai imploré le Maître dans mon cœur : « Maître, je n’ai pas bien fait. Pouvez-vous me donner une autre chance et lui donner une autre chance s’il vous plaît ? S’il va mieux, j’irai certainement lui clarifier la vérité ainsi qu'à ses collègues. »
Le mot « méningite » a traversé mon esprit. J’ai dit à mon mari que son collègue souffrait d'une méningite et lui ai demandé de dire au médecin de donner un traitement en conséquence. Mais une autre collègue nous a dit que le médecin a dit que les médicaments qu’il a pris pourraient avoir causé sa maladie. Le médecin a émis une autre notice de maladie critique et une troisième notice le soir. Je lui ai demandé d’urgence de dire au médecin de le traiter pour la méningite.
Le lendemain matin, la collègue a appelé et a dit qu’il a finalement reçu le diagnostic de méningite. Il s’est senti mieux après le traitement et il est sorti de l’hôpital dix jours plus tard. Le médecin a déclaré qu’il a rarement vu quiconque se rétablir si vite. Le collègue est venu me voir en premier après son retour chez lui et il était très reconnaissant. Je lui ai dit de remercier notre Maître parce que le Maître m’a demandé de le sauver. Je lui ai clarifié la vérité et lui ai donné un exemplaire du Zhuan Falun. Il a tenu le livre fermement.
J’ai saisi cette occasion pour clarifier la vérité à mes collègues et à beaucoup d’autres personnes. Ils ont su que le Falun Dafa sauve les êtres.
Dissoudre des entités négatives avec la pensée droite
Mon mari est une personne gentille et respecte les bouddhas. Mais il ne savait pas que les bouddhas n’habitent plus les statues de bouddha. Dans d’autres dimensions, des renards, belettes, fantômes et serpents et d’autres choses chaotiques habitent les statues de bouddha. Un jour, il a insisté pour apporter une statue de bouddha à notre domicile. J’ai essayé de l’en empêcher.
J’étudiais le Fa vers 10 h, quelques jours avant le Nouvel An chinois. Mon mari est arrivé en portant joyeusement une statue de bouddha. Un homme et une femme le suivaient. Ils ont placé la statue dans un bon endroit. La femme a utilisé un miroir pour faire la consécration, et l’homme a murmuré quelques mots à la statue de bouddha, lui disant qu’il devait écouter le PCC.
De quoi parlaient-ils ? Je ne permettrais pas ces choses chaotiques à mon domicile. Je suis allée dans une autre pièce et j’ai émis une forte pensée droite. J’ai demandé au Maître et aux divinités justes de me renforcer et d’éliminer ces choses malsaines. J’ai émis la pensée droite pendant cinq minutes. J’ai entendu l’homme crier à l’aide. J’étais surprise et je ne voulais pas que quiconque meure à mon domicile. J’ai cessé d’émettre la pensée droite et je suis allée dans l’autre pièce. Le visage de la femme était pâle. Elle était allongée au sol avec ses yeux fermés et transpirait beaucoup. Mon mari était debout là sidéré. Quand mes yeux ont rencontré ses yeux, il a tout compris.
La femme a repris conscience après un moment. Nous l’avons aidée à s’asseoir sur une chaise. Les pratiquants savent que les esprits pervers sur son corps ne pouvaient pas endurer ma pensée droite. Après que les esprits pervers ont été enlevés, elle est devenue normale. Je leur ai dit ce qu’est le Falun Dafa et ce qu’est le bouddha. J’ai expliqué que la Loi de bouddha enseignée par Shakyamuni existait depuis plus de 2000 ans, tandis que le Parti communiste n’existait que depuis des décennies. Comment le bouddha peut-il écouter le Parti communiste ? Je leur ai clarifié la vérité pendant trente minutes. Ils ont progressivement compris.
Ne pas rater des occasions de clarifier la vérité
Ma mère habitait au 15e étage. Soudain, il y a eu une coupure de courant pendant qu’elle déménageait vers une autre maison. Beaucoup de choses étaient entassées dans le corridor, mais nous devions arrêter. La dame face à notre appartement est venue. Elle avait l’air fragile et m’a dit d’une voix faible : « Pouvez-vous venir et jeter un coup d’œil à mon air conditionné s’il vous plaît ? Il ne fonctionne pas. » J’ai constaté que le climatiseur ne pouvait pas être éteint parce que le courant était coupé.
Elle était très accueillante, a déplacé une chaise et m’a demandé de m’asseoir à côté d’elle. C’était une occasion créée par le Maître pour que je lui parle de Dafa, n’est-ce pas ? Alors je lui ai dit comment les gens dans lemonde pratiquent Dafa, pourquoi l’incident des « auto-immolations à Tiananmen » était un coup monté, ce qu’est le Falun Dafa, ce qu’est le communisme, pourquoi Jiang Zemin a persécuté le Falun Dafa, et pourquoi les gens doivent renoncer à leur adhésion au PCC et de ses organisations affiliées. J’ai parlé d’une façon ordonnée. Elle m’a écoutée attentivement et avait l’air de mieux en mieux.
Finalement, elle a dit : « J’ai fait un rêve hier soir qu’un grand dieu viendrait me sauver. Alors, le grand dieu, c’est vous ! » Elle a démissionné avec joie du PCC et de ses organisations affiliées et m’a remerciée toujours et encore du fond du cœur. Je lui ai demandé de remercier le Maître du Falun Dafa, car le Maître avait tout arrangé. Elle a sincèrement dit : « Merci Maître » deux fois.
Le courant est ensuite revenu. J’ai remercié le Maître pour cette occasion de la sauver.
Mon mari
La police est venue me harceler chez moi plusieurs fois au cours des vingt dernières années. Mon mari a vu combien le communisme est terrible et a développé progressivement une pensée juste. Un agent de police a appelé mon mari puisqu’ils n’arrivaient pas à me trouver pendant les Jeux olympiques de Pékin en 2008. Mon mari les a réprimandés durement. La police ne l’a jamais recontacté.
Un jour, un agent de police a essayé d’arrêter une pratiquante, mais l’a manquée. Il a décidé de venir à mon domicile pour jeter un coup d’œil. Quand il est entré dans notre cour, mon mari revenait à la maison et m’a demandé qui il était. J’ai crié qu’il était un agent de police et voulait fouiller notre domicile. Mon mari s’est mis en colère et l’a réprimandé : « Qui êtes-vous ? Comment vous appelez-vous ? Pourquoi venez-vous à mon domicile ? » Le policier a dit qu’il pensait que ce n’était pas le bon moment et est parti hâtivement.
Mon mari et son ami ont ouvert un petit salon de thé. Un soir, il est revenu tard et a dit qu’il avait parlé du Falun Dafa aux gens. Il parlait souvent de la bonté du Falun Dafa et combien je m’étais améliorée après avoir commencé la pratique. Il a même donné un lecteur audio avec les conférences du Maître et la musique des exercices à une ex-pratiquante et l’a exhortée à revenir à Dafa.
Mon mari allait souvent dans des fêtes et parlait du Falun Dafa et combien Dafa était bénéfique à sa famille. Plusieurs fonctionnaires et leur famille ont organisé une fête et invité mon mari. Il m’a demandé de l’accompagner. Je ne voulais pas y aller juste pour manger et m’amuser, mais il a insisté pour que j’y aille. Un fonctionnaire a mentionné le Falun Dafa. Il a demandé d’où venons-nous, quel est le but de venir dans ce monde, où allons-nous après la mort ? J’ai répondu à ses questions une par une selon les principes du Falun Dafa.
Il a aussi mentionné la philosophie. Je lui ai dit que Newton, le grand scientifique, était un chrétien pieux et qu’Einstein a aussi cru en Dieu dans ses dernières années. Pourquoi ? Quand la science atteint ses limites, elle ne peut pas tout expliquer parce que la science est limitée. Mon mari a dit que ce que j’avais dit était correct. Tout le monde autour de la table a levé le pouce en ma direction. Après le repas, j’ai parlé du mouvement de démissions du PCC et je leur ai donné des souvenirs avec des mots sur Dafa. Mon mari a dit que je n’étais pas venue en vain et m’a suggéré d’assister à d’autres fêtes.
J’ai assisté à une autre fête sans hésitation. Quand le Falun Dafa a été mentionné, mon mari leur a raconté deux histoires : celle où j’ai diagnostiqué une maladie et celle où j’ai aidé à éliminer une entité négative. Tout le monde a dit que le Falun Dafa était puissant. Je leur ai dit que c’était notre Maître qui l’avait fait, pas moi.
J’ai profité de l’occasion et j’ai clarifié la vérité à trois personnes, je leur ai donné des souvenirs et je les ai aidées à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Un responsable m’a remerciée à maintes reprises. J’étais ravie pour ces personnes et j’ai remercié mon mari de m’offrir des occasions et de m’aider à clarifier la vérité. Il a souri.
Un jour, j’ai rencontré un ancien camarade de classe qui travaillait dans un ministère. Pendant que je lui parlais, mon mari m’a aidée et a dit : « Oui, démissionne du PCC. C’est la tendance maintenant. » Encouragé par mon mari, mon camarade de classe a accepté de démissionner du PCC sans aucune hésitation.
Mon mari m’accompagne quand je distribue des documents clarifiant la vérité. Il a donné des cartes à code QR et des souvenirs à ses amis et leur a demandé de trouver plus d’informations en ligne en contournant le pare-feu du PCC. Certaines personnes ont scanné le code immédiatement.
Les pratiquants locaux disent que mon mari a l’air plus jeune et énergique. Certains ont dit que même s’il ne cultive pas, il est dans un état de cultivation. Je lui ai demandé de pratiquer le Falun Dafa. Il a répondu qu’il avait sa propre mission. J’ai compris qu’il voulait dire que les forces anciennes ne lui feraient pas de mal parce qu’il n’était pas un pratiquant. Sa mission consistait à me protéger.
Traduit de l’anglais