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« Le Maître m’a sauvé de la COVID-19 »

28 décembre 2021 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa au Mexique

(Minghui.org) L’auteur de cet article, M. Samuel Alvarado, âgé de 59 ans, est né à Teziutlán, au Mexique. Il est diplômé en administration des affaires et vit maintenant à Mexico avec sa femme et son fils. Il y a quatorze ans, en 2007, il a commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Même si M. Samuel Alvarado est le seul pratiquant de la famille, sa femme et son fils sont heureux qu’il pratique. Sa femme est d’accord pour dire que le Falun Dafa l’a sauvé et que sinon il aurait très bien pu mourir de l’infection au coronavirus pour laquelle il a été hospitalisé pendant dix-huit jours.

M. Samuel Alvarado montre son respect pour Maître Li.

Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2007, lorsqu’un ami d’enfance m’a donné un exemplaire du livre Zhuan Falun. J’ai commencé à le lire et à me rendre à un point de pratique, mais je n’étais pas persévérant.

Je ne comprenais pas combien l’opportunité de pratiquer le Falun Dafa était précieuse. Je me suis progressivement laissé aller. Ce n’est que lorsque j’étais mourant que je me suis réveillé.

Sauvé d’un grave accident

En janvier 2020, je suis tombé d’une échelle de deux mètres de haut. Ma tête a violemment heurté le sol et j’étais semi-conscient. J’étais désorienté, j’ai perdu la notion du temps et je me sentais perdu et étourdi. Je me demandais où j’étais et comment j’étais arrivé là.

Ma femme a été prise de panique et m’a immédiatement emmené à l’hôpital. Les médecins m’ont examiné et m’ont fait une IRM, mais ils n’ont rien trouvé. J’ai souffert pendant plusieurs mois. La chute était si grave qu’elle aurait pu me fracturer la tête et me coûter la vie. On m’a donné une deuxième chance. J’ai senti que c’était un avertissement. Je me suis éveillé au fait que le Maître m’avait sauvé.

S’écarter du chemin de la cultivation et m’égarer

En mars 2020, avant que la COVID-19 ne commence à se répandre au Mexique, tous les jours, je lisais le Fa et je pratiquais les exercices avec d’autres pratiquants. Tout semblait aller pour le mieux. En raison de la pandémie, les points de pratique ont été fermés. Des pratiquants ont commencé à utiliser les médias sociaux pour présenter la pratique aux autres gens.

Une compagne de cultivation m’a demandé de l’aider pour le côté technique, car elle n’avait aucune connaissance. J’ai accepté de l’aider, mais j’ai vite arrêté. Je suis devenu apathique et paresseux. Je n’en étais pas conscient, mais c’était mon attachement à l’égoïsme. J’ai à nouveau commencé à m’éloigner de Dafa. J’ai arrêté de lire les enseignements et de faire les exercices.

Au début du mois de septembre 2020, j’ai commencé à me sentir malade. Je pensais que j’irais bien, mais c’était tout le contraire. Après deux semaines, j’ai commencé à me sentir très mal, alors j’ai appelé les urgences. Une ambulance est arrivée et on m’a emmené à l’hôpital.

Le début d’un cauchemar – la COVID19

Les médecins m’ont fait un scanner, qui a révélé que mes poumons étaient très endommagés. L’inflammation sévère rendait la respiration difficile, même avec l’apport d’oxygène. Les médecins m’ont dit que le seul recours était de m’intuber et d’éviter ainsi un collapsus pulmonaire ou une défaillance qui entraînerait la mort.

On m’a donné des papiers d’autorisation à signer pour la procédure d’intubation. Lorsque j’ai refusé, on m’a dit d’y réfléchir, sinon le personnel de l’hôpital ne pouvait prendre aucune responsabilité. Tous les jours, ils me pressaient de signer les papiers.

Je me sentais horriblement mal, comme si j’étais en train de mourir. J’ai vu comment d’autres personnes de mon service déclinaient. Un patient est mort deux jours après avoir été intubé, et un autre, qui ne voulait pas être intubé, se noyait lentement dans ses propres fluides. J’ai vu les médecins enfermer les morts dans des sacs et les faire sortir sur des roulettes. J’avais l’impression d’être dans une prison dont je ne pouvais pas m’échapper.

J’avais l’impression d’être en train de mourir. Le personnel médical ne cessait de faire pression sur moi pour que je signe l’autorisation d’être intubé. Dans mon esprit, je me voyais au milieu d’une mer sombre, agitée et tumultueuse pendant une grande tempête. J’avais l’impression de couler et de me noyer.

À ce moment-là, j’ai demandé au Maître de m’aider. J’ai répété avec beaucoup de force et de croyance « Falun Dafa est bon, Zhen-Shan-Ren est bon ». J’ai pu voir mes erreurs et j’ai compris pourquoi j’étais là. Je me suis repenti du fond du cœur et j’ai demandé au Maître de me pardonner et de me donner encore une chance.

J’ai émis la pensée droite. Pendant les cinq premières minutes, j’ai nettoyé mon corps. Je me suis surtout concentré sur mes poumons. Je répétais « mie » (éliminer) que tous les organismes pathogènes, virus ou bactéries soient complètement éliminés.

Le Maître nous a enseigné :

« En fait, les épidémies surviennent en soi pour viser le cœur de l’homme, la dépravation de la moralité et le karma devenu énorme. »

« L’homme doit sincèrement confesser aux divinités là où il n’a pas bien fait, en espérant qu’on lui donne une chance de se corriger, voilà le moyen, là est le vrai remède qui guérit tout miraculeusement. » (« Rationalité »)

Le Maître et Dafa me sauvent

Ma famille ne m’avait pas vu depuis plusieurs jours et ne savait pas grand-chose, à part les rapports médicaux de l’hôpital. Ils m’ont envoyé un téléphone portable pour que nous puissions communiquer.

J’avais du mal à parler. Je leur ai dit que les médecins voulaient que je signe une autorisation pour m’intuber. Ils m’ont demandé de ne pas le faire. Leurs encouragements m’ont beaucoup remonté le moral.

Mon fils m’a dit au téléphone : « Je vais t’apporter ton livre de Dafa. » Quand il l’a apporté à l’hôpital, le médecin responsable lui a dit qu’il était très rare qu’une personne dans ces circonstances demande un livre. Il l’a ouvert, l’a examiné et l’a autorisé ainsi qu’une paire de lunettes et d’autres choses.

Le lendemain, on m’a donné un sac avec le livre. Une infirmière me l’a remis et, quand je l’ai reçu, j’étais très heureux. J’ai serré le Zhuan Falun dans mes bras et j’ai eu l’impression que c’était comme une bouée de sauvetage, un filet de sécurité au milieu de cette mer terrible, sombre et tumultueuse !

Les médecins m’avaient ordonné de rester allongé sur le ventre aussi longtemps que possible, car cette position aidait à réduire l’inflammation des poumons et à faciliter la respiration. Alors, même si j’étais dans une position aussi inconfortable, j’ai commencé à étudier le Zhuan Falun.

C’était comme si je lisais le livre pour la première fois et c’était une expérience très différente et spéciale.

Un jour, trois médecins sont arrivés ensemble, deux hommes et une femme. Le plus jeune a recommencé à faire pression sur moi pour que je signe les papiers pour être intubé. Ils disaient que cela empêcherait une insuffisance respiratoire, une crise cardiaque ou une attaque.

L’autre médecin a dit : « Il ne peut même pas respirer, regardez son ventre monter et descendre. Il va s’étouffer. » Le troisième médecin m’a tendu un stylo et le papier à signer.

Je leur ai dit : « Je ne vais pas signer, car je vais être guéri. » Le jeune médecin a répondu : « Il n’y a pas de remède pour ça. »

Je lui ai demandé : « Et ceux qui ont quitté l’hôpital ? » Il a répondu : « C’est parce qu’ils ont guéri. » J’ai dit : « Je vais aussi guérir. » Ils n’ont rien dit d’autre. Ils ont fait demi-tour et sont partis.

Un miracle arrive

Un matin, après avoir pris mon petit-déjeuner et avoir repris la routine de m’allonger sur le ventre, j’ai mis mes lunettes et j’ai commencé à chercher le dernier paragraphe que j’avais lu.

Les lignes étaient toutes floues, mais soudain, une ligne est apparue très clairement. J’ai lu cette ligne claire et précise : « J’ai guéri vos maladies à la racine. » J’ai été surpris et j’ai remercié le Maître. Plus tard, j’ai voulu relire cette ligne et je l’ai cherchée, mais je ne l’ai pas trouvée. J’ai été encore plus étonné lorsque j’ai réalisé que cela ne figurait pas dans le livre.

Guérir après avoir étudié le Fa et pratiqué les exercices

Dès que j’ai pu bouger mon corps, je me suis assis sur le bord du lit. Bien que je n’arrive pas à me tenir debout, j’ai fait le premier exercice du Falun Dafa. Peu à peu, j’ai commencé à les pratiquer, jusqu’à ce que je puisse me tenir debout et faire la série complète des exercices.

Trois jours plus tard, et après avoir été hospitalisé pendant plus de deux semaines, un médecin m’a dit : « Vous avez réussi. Vous n’avez plus la COVID. Je vais m’occuper de votre sortie d’hôpital et la semaine prochaine, vous pourrez rentrer chez vous. »

Après dix-huit jours d’hospitalisation, j’ai quitté l’hôpital. La personne qui m’a fait sortir en fauteuil roulant m’a dit dans l’ascenseur : « Je viens de faire sortir un patient qui n’a pas survécu. Vous avez vaincu la maladie. » Ma seule pensée était que ce n’était pas moi. Le Maître s’était occupé de tout !

J’étais très faible et je pouvais à peine bouger. J’ai dû utiliser de l’oxygène pendant deux mois. J’ai continué à étudier le Fa. La première chose que j’ai faite lorsque j’ai pu quitter mon domicile a été de me rendre au point de pratique et faire les exercices.

En arrivant au point de pratique, j’étais rempli d’une gratitude infinie envers le Maître et mes larmes coulaient. À ce moment-là, j’ai abandonné tous les sentiments que j'avais retenus pendant mon séjour à l’hôpital. J’ai ressenti une grande libération et un grand changement dans ma vie.

La leçon que j’ai apprise est que l’on doit suivre la voie de la cultivation du Fa avec respect, droiture et diligence. Si quelque chose est incorrect ou en dehors du Fa, veuillez me le faire savoir.

Merci Maître, pour votre infinie et divine miséricorde ! Merci compagnons de cultivation !

(Présenté lors de la conférence de partage d’expériences sur le Falun Dafa au Mexique 2021)

Traduit de l’anglais