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Le Falun Dafa m'a sauvée de la dépression – Ma vie est remplie de soleil

8 février 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Le temps file. J'ai atteint la trentaine en un clin d'œil. Je suis reconnaissante au-delà des mots envers Maître Li Hongzhi de m'avoir protégée et de m'avoir guidée pour revenir à la cultivation et pratique après m’être égarée, et pour m’avoir sortie d'une grave dépression.

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997, alors que j'avais neuf ans. Le régime de Jiang Zemin a commencé à persécuter le Falun Dafa et ses pratiquants en juillet 1999. Ma famille et moi avons peu à peu abandonné Dafa. J'ai fréquenté une école secondaire loin de ma ville où je ne connaissais aucun pratiquant. Mais dans mon cœur, je savais encore que le Maître et le Falun Dafa étaient grandioses.

Durant la période où j'ai délaissé Dafa, j'étudiais beaucoup, je rivalisais avec les autres pour avoir des notes élevées, mais la maison me manquait. J'étais anxieuse et dépressive. J'avais la nostalgie des jours où ma mère me lisait le Fa à voix haute.

J'ai étudié la musique. Je suis passée au deuxième cycle universitaire en 2011. Une de mes collègues m'a aidée à revenir à la cultivation et pratique de Dafa. Je me rappelle encore clairement comment je me suis sentie quand je suis revenue à Dafa. J'étais tellement enthousiaste et contente.

Quand j'étais enfant, je me fiais aux membres de ma famille pour ma cultivation, alors je ne savais pas comment me cultiver quand je suis revenue à Dafa. J'avais de nombreux attachements humains. Au cours des années qui ont suivi, je ne me cultivais pas avec diligence, je suis tombée dans une grave dépression et j'ai touché le fond de l'abîme à deux reprises.

Sauvée d'une grave dépression

L'été 2015, j'ai fréquenté un garçon qui n'était pas un pratiquant. Comme je ne me cultivais pas solidement, j'ai fait de nombreuses erreurs et je suis tombée dans une grave dépression. Un jour, quand j'étais en train de faire le second exercice, mes bras étaient si lourds que je pouvais à peine les lever. J'ai compris que je n'avais pas fait les exercices et étudié le Fa avec un esprit concentré depuis longtemps. Je me sentais perdue et pessimiste. Je n'étais pas capable de faire les exercices. Comment pouvais-je continuer dans ma cultivation ?

Même si j'ai échoué à faire les exercices ce jour-là, le Maître m'a encouragée en me permettant de voir de petites fleurs d'Udumbara sur des raisins que j'avais achetés. Les raisins avaient été lavés, mais les fleurs d'Udumbara y étaient toujours. C'était remarquable. J'ai réalisé que le Maître m'encourageait et que je ne devais pas perdre espoir. J'ai mis les raisins avec les fleurs d'Udumbara dans une petite boîte et je les ai gardés. Les raisins n'ont pas pourri, mais ont séché. Les fleurs blanches d'Udumbara fleurissent sur les raisins encore aujourd'hui.

Plus tard, le Maître a arrangé pour moi que je partage un appartement avec plusieurs pratiquants. Ils m'ont grandement aidée dans ma vie quotidienne et dans ma cultivation. Quand j'étais dans la souffrance et que je voulais abandonner la cultivation, une seule pensée m'empêchait de laisser tomber, c'était que je ne pouvais pas ternir la réputation de Dafa. J'ai rompu avec mon petit ami. Pour la première fois, je me sortais du marais de la dépression.

Mais peu de temps après, j'ai été à nouveau attaquée par la dépression. Comme je ne me cultivais pas solidement, j'ai eu des symptômes d'hyperthyroïdie. J'ai compris que c'était une dette que j'avais et que je devais la rembourser. Parce que je ne me cultivais pas bien, j'étais donc tombée dans cette épreuve Le Maître ne m'a jamais abandonnée, il a arrangé que d'autres pratiquants m'accompagnent et je me suis élevée dans ma cultivation.

Une pratiquante âgée paraissait très jeune et gentille. Elle a entendu dire par un autre pratiquant que j'étais en dépression et que je prenais des médicaments. Elle était inquiète et elle est venue me voir. Elle a étudié le Fa avec moi et m'a beaucoup aidée. Elle et d'autres pratiquants sont venus étudier le Fa avec moi chaque jour. Nous partagions nos expériences et nos réalisations.

Bientôt mon esprit s'est ouvert. J'ai pensé aux indications que le Maître m'avait données avant de revenir à Dafa. J'ai vu le Maître dans mon rêve. Le Maître avait des cheveux bleus bouclés et il portait une robe jaune de moine. Il se tenait debout sur une terrasse de lotus dans les airs et il me regardait avec compassion. Le ciel était rempli de Falun qui tournaient et de symboles . Le halo lumineux autour du Maître, les Falun tournoyants et les symboles 卍 illuminaient tout le ciel.

Je me suis rappelé à quel point j'étais diligente au début de ma cultivation et pratique. Que je sois dans un cours ou dans le bus, je parlais toujours du Falun Dafa aux gens. J'aidais mes proches à revenir à Dafa. Je faisais de beaux rêves quand je cultivais et pratiquais bien.

Mon esprit et ma pensée droite sont devenus de plus en plus forts. Mon corps n'était plus enflé. Je suis devenue mince et je paraissais bien. Les pratiquants étaient contents de voir ces changements chez moi.

J'ai arrêté de prendre des médicaments. Mais les avertissements du médecin apparaissaient dans mon esprit. Je savais que c'était le karma de la pensée. J'émettais une forte pensée droite du plus profond de mon cœur : « Toutes les substances et les êtres dépressifs, négatifs et passifs n'ont rien à faire avec moi, je suis une disciple de Dafa et je ne serai pas restreinte par les principes des gens ordinaires. » Pour la première fois en deux ans, je niais l'interférence du karma de pensée avec détermination et puissance.

Dans les jours qui ont suivi, quand j'étudiais le Fa, je sentais chaque phrase du Maître entrer directement dans mon cœur. Le Maître a commencé à purifier mon corps. J'ai eu des symptômes de vomissements, de diarrhée et d'étourdissements. Je n'osais pas boire de l'eau. Même si je me sentais inconfortable, mon cœur était léger. Je continuais d'étudier le Fa avec d'autres pratiquants.

Le Maître a dit :

« Quand vous vous sentirez au plus mal, cela signifie qu’une chose parvenue à l’extrême se transforme en son contraire ; tout votre corps va être purifié, il doit être totalement purifié. La racine de la maladie a déjà été extirpée, il ne reste qu’un peu de qi noir qui se dégage tout seul, il est là pour que vous enduriez un peu de difficultés et que vous éprouviez un peu de souffrances, car il n’est pas possible que vous n’enduriez rien du tout. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

Je savais que le Maître m'encourageait et me disait de ne pas m'inquiéter. Le Maître était en train de purifier mon corps. Après trois jours, les symptômes de vomissements et de diarrhée ont disparu.

Éviter la détention avec la pensée droite

Une pratiquante que j’appellerai Hélène m'a invitée dans sa ville natale à la fin de septembre 2017. Nous avons acheté des billets de train le 29 septembre. Pendant le trajet en train, j'ai étudié le Fa. Un gardien est venu près de moi en criant mon nom. J'ai dit : « C'est moi. » Il m'a dit de prendre avec moi toutes mes affaires et de le suivre. Nous nous sommes arrêtés à la salle des gardiens. Il a ouvert mon sac, il a pris ma carte d'identité et une clé USB, une carte mémoire avec la musique des exercices et mon livre électronique.

Puis il m’a emmenée dans un wagon à l'arrière dont le rideau était fermé. Un chef était assis à l’intérieur. Il paraissait avoir une quarantaine d'années. Il a dit que j'étais très jeune et m'a demandé quand j'avais commencé à pratiquer. Je lui ai dit que j'avais commencé à pratiquer à neuf ans et que j'avais laissé Dafa peu à peu quand j'étais à l'école dans une autre ville après que la persécution a commencé.

Je lui ai parlé paisiblement et je lui ai dit comment j'étais revenue à Dafa et comment Dafa m'avait aidée à sortir de ma grave dépression. Je lui ai dit sincèrement : « Si le Falun Dafa ne m'avait pas sauvée, je ne sais pas où je serais aujourd'hui. Je n'aurais peut-être plus été de ce monde, alors je n'aurais pas eu cette occasion de vous parler. »

Il a dit au gardien : « S'il te plaît, appelle-les et dis-leur que nous n'avons rien trouvé. Rends le livre électronique à cette dame. » Le gardien a immédiatement fait un appel téléphonique.

Il a appris que j'étais diplômée d'une école de musique et que je travaillais bien dans ma profession et dans mon entreprise. Il me regardait comme s'il m'admirait. Je pouvais dire d'après ses paroles qu'il pensait du bien des pratiquants.

Après un certain temps, un homme et une femme sont entrés et se sont assis près de nous. Ils ont dit qu'ils étaient des camarades de classe et qu'ils venaient tout juste d'obtenir leur diplôme de l'université. Ils étaient perdus concernant leur avenir et ils ont voulu parler avec moi. Nous avons bavardé un peu. L'homme a demandé en quoi il devait croire sur cette terre. J'ai dit : « Suivez le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. » Le chef m'a demandé si les prélèvements forcés d'organes existaient vraiment. Je lui ai parlé des faits et il a compris.

Le train était sur le point d'arriver à la gare où nous devions descendre. Il était environ 18 h. J'ai demandé ma carte d'identité, ma clé USB et ma carte mémoire. Le gardien ne me les a pas données et il m'a demandé de suivre deux policiers en civil quand je suis descendue du train. J'ai demandé à Hélène d'aller chez elle sans moi.

Il commençait à faire sombre. En arrivant au poste, ils m’ont fouillée. Un jeune policier a ouvert mon sac et il a trouvé des billets de banque avec des messages de Dafa imprimés dessus. Il a demandé où je les avais obtenus. J'ai dit que je les collectionnais et je lui ai dit que le Falun Dafa était ma croyance. Il m'a regardée comme s'il avait été frappé par la foudre. Il s'est levé, ne sachant pas comment me traiter.

Puis il m'a accusée de propager le Falun Dafa dans le train et il a dit qu'ils avaient des témoins et des témoignages. Donc, ces deux jeunes personnes dans le train avaient été envoyées par eux. Il m'a demandé de bien coopérer. Je lui ai dit que non, parce que je n'étais pas une criminelle et que je n'avais rien fait de mal.

J'ai été enfermée dans une petite chambre pour la nuit. Je ne pouvais pas dormir. J'ai vérifié chacune de mes pensées pour voir si j'avais des attachements. Dans le train, quand le chef s'était comporté gentiment avec moi et qu'il avait demandé au gardien de me retourner mon livre électronique, je l'avais remercié et il y avait eu une sorte de sentimentalité. Alors j'ai émis une forte pensée droite pour nettoyer la mauvaise substance de l'émotion.

J'ai aussi trouvé que j'avais un cœur de ressentiment. Je me plaignais dans mon cœur que je n'aurais pas eu à traverser cette situation si Hélène ne m'avait pas invitée dans sa ville natale. Il y avait la substance de la plainte dans mon subconscient et je l'ai éliminée immédiatement. Peu importe ce que j'avais à traverser, cela devait arriver de toute façon. Je ne devais pas me plaindre à propos de ceci ou de cela. J'étais perturbée par les deux hommes, la femme et le chef dans le train. Ils paraissaient gentils et compréhensifs, mais ils m'avaient en fait piégée. J'ai vu mon cœur de ressentiment et j'ai immédiatement rectifié ma pensée. Alors ma compassion a émergé et mon cœur de haine a été nettoyé.

Je me suis demandé ce qui était le plus difficile pour moi à éliminer. Depuis longtemps, je ne m'intéressais plus à avoir une situation prospère et beaucoup d'argent, parce que ma situation était très bonne et j'avais beaucoup d'étudiants à ce moment-là. La seule chose que je n'arrivais pas à éliminer était ma sentimentalité pour mon père. Je me suis demandé si je pouvais abandonner ce sentiment. Alors je me suis dit fermement : « Oui, je le peux ! » J'ai éliminé cet attachement avec détermination.

Toute la nuit, j'ai regardé à l'intérieur et j'ai récité continuellement le Fa. Je me sentais en paix. Même si j'étais enfermée, je me sentais libre et lumineuse. Je ne me sentais pas dépressive.

À midi, le lendemain, un policier âgé a dit qu'ils allaient me faire un test sanguin. Cela m'a alertée. Je me suis rappelé un article sur le site Minghui qui disait que les pratiquants subissaient des tests sanguins pour les prélèvements d'organes. J'ai demandé : « Pourquoi un test sanguin ? Je ne vais pas le faire. » Le policier a dit : « Vous devez le faire. Tout le monde doit le faire ! » Il m'a avertie de ne pas en parler aux autres gens après ma libération. Le médecin à l'hôpital de la police m'a fait une prise de sang de force et a fait un test sanguin. Quand le résultat est sorti, le policier m'a dit que je devais être détenue pendant 15 jours. J'ai pensé que le Maître arrangerait mon chemin.

Le policier m'a demandé si j'aimerais aviser un membre de ma famille de ma détention. J'ai dit non. Ils m'ont emmenée au centre de détention. Il y avait un grand trou dans la route à mi-chemin. L'auto s'est arrêtée. Le policier âgé a dit que c'était étrange, parce qu'il avait voyagé sur cette route récemment et qu'il n'y avait pas de trou. Alors nous avons dû faire un détour. Quand nous sommes arrivés au centre de détention, il a donné une note à un policier à l'intérieur qui parlait au téléphone. Je me tenais debout à la barrière et j'ai vu la porte de fer à l'intérieur. Je n'avais pas peur.

Le téléphone portable du policier âgé a sonné. Il est sorti pour répondre au téléphone. Une pensée m'est venue à l'esprit : je serai libérée et en sécurité. À son retour, il est allé voir le policier au téléphone et a repris la note. J'attendais à l'extérieur de la barrière et je clarifiais la vérité à un jeune policier. Il était très compréhensif, il a dit qu'il viendrait me chercher après les 15 jours et il m'a donné son numéro de téléphone portable.

Le policier âgé est sorti et a dit qu'il avait reçu l'ordre de me ramener. Il m'a dit que je devais le remercier parce qu'il avait intentionnellement pris la mauvaise route et retardé les choses. Sinon, j'aurais été détenue si on m'avait laissée au centre de détention. Je savais au fond de moi que le Maître me protégeait.

Le Maître a dit :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciples », Hong Yin II)

En tant que disciple de Dafa, je crois complètement en cela. J'en ai fait l'expérience personnellement et je suis témoin de la puissance du Falun Dafa.

J'ai vu Hélène et j'ai appris qu'elle avait parlé de moi à ma mère et aux autres pratiquants. Ils ont émis la pensée droite pour moi.

Bénie par le Falun Dafa

J'ai déménagé dans une autre ville et j'ai commencé une nouvelle vie. Mon état de cultivation s'est de plus en plus amélioré et j'avais de plus en plus d'élèves. Grâce aux arrangements du Maître, j'ai acheté un appartement sans aucun problème. J'ai vu par hasard un appartement à vendre et j'ai immédiatement compris que le Maître avait arrangé cela pour moi, car le lieu, le style et son état étaient tout ce qu'il y avait de plus souhaitable pour moi.

Le directeur de l'école d'art où j'avais déjà travaillé m'a rendu visite et m'a demandé d'accepter un poste dans son école. Il m'offrait une augmentation de salaire et me demandait d'enseigner la théorie à une classe d'élite et en même temps d'enseigner des cours de compétences professionnelles. Il a dit : « Normalement nous n'inviterions pas une personne qui a autant d'élèves à enseigner dans notre école. Mais je crois en vous et j'apprécie vos compétences. » J'étais la seule enseignante qui enseignait à la fois la théorie et les cours de compétences professionnelles et j'étais la mieux payée.

Au cours de la même période, le directeur du département de l'université où j'avais étudié m'a contactée, car il voulait que j'enseigne à l'université. Il m'a dit de n'apporter que mes qualifications, et qu'il signerait le contrat directement avec moi. Je n'avais pas besoin de passer d'entretiens ni de vérification de mes antécédents politiques. Normalement, il est difficile d'être accepté par une université, parce que cela implique de nombreux aspects tels que les qualifications, le pouvoir, les relations et l'argent. Mais je suis devenue enseignante dans la meilleure université de ma province sans avoir eu à passer par tout cela.

Superficiellement, c'était parce que j'étais une excellente étudiante, que le directeur me faisait confiance et qu'il m'avait recommandée. En réalité, je ne l'avais contacté que rarement depuis que j'avais obtenu mon diplôme. J'ai compris que tout était arrangé par le Maître.

Quand je me suis trouvée sur le podium à l'université pour la première fois après avoir récupéré de la dépression, j'étais calme et j'ai parlé avec aisance. Le Falun Dafa a ouvert ma sagesse. J'ai demandé à enseigner à deux classes de plus l'année suivante. Ainsi j'enseignais à cinq ou six cents étudiants par semaine.

De nombreux étudiants et enseignants étaient impressionnés par ma lourde charge de travail. En plus, j'étais dynamique. Durant la période où j'ai fait une dépression, je me sentais fatiguée et misérable après avoir donné un cours. Ma voix devenait rauque si je parlais davantage. Maintenant je ne me sentais plus fatiguée, même après avoir donné autant de cours. Beaucoup d'étudiants aiment que je fasse référence au principe du Falun Dafa en lien avec diverses questions.

Merci, Maître, pour toutes les bénédictions tout le long de mon chemin. Je suis vraiment bénie d'être une pratiquante de Falun Dafa. Je n'ai pas intentionnellement gagné de l'argent ou entretenu mes relations. Je suis simplement le cours naturel des choses et je suis dans un état simple qui est paisible, calme, aimable et discipliné.

J'ai connu des hauts et des bas sur mon chemin de cultivation. Mon cœur est toujours rempli de soleil grâce à ma croyance. Chaque fois que je pense au Maître, les larmes me montent aux yeux. Je voudrais dire : « Merci Maître pour votre protection ! J'aimerais vous offrir mes respects les plus distingués ! »

Traduit de l'anglais