(Minghui.org) Cette année, j’aurai 69 ans, j’ai commencé à cultiver et pratiquer le Falun Dafa en 1995. J’ai une éducation limitée, mais je peux lire plus de 40 livres de Dafa. Une vie immergée dans le Fa est merveilleuse.
La joie après la tristesse
Alors que j’avais deux ou trois ans, ma grande sœur jouait à un jeu avec ses amies tout en me portant sur son dos. Quand elle a sauté par-dessus une fosse, je suis tombée de son dos et j’ai atterri dans la fosse, la tête en bas. À cause de mes blessures, j’ai eu des convulsions jusqu’à l’âge de neuf ans.
J’ai commencé l’école à dix ans, et au cours de mes deux premières années d’école, je ne savais ni additionner ni soustraire, et il m’a fallu des années pour lire certains caractères chinois. Puis j’ai quitté l’école à cause de mes mauvais résultats.
J’ai eu trois filles après mon mariage. Mon mari voulait un fils, il était déçu par nos filles et n’a pas aidé à les élever.
Après la naissance de ma deuxième puis de ma troisième fille, je n’ai pas eu le temps de récupérer, et j’ai contracté de graves maladies, notamment des rhumatismes.
Le 15 novembre 1995, une amie m’a dit que le Falun Dafa pouvait guérir les maladies. Voulant régler mes problèmes de santé, chaque soir, je me suis rendue chez mon amie pour l'apprendre. Quinze jours plus tard, je n’étais toujours pas capable de faire les exercices correctement, mais je n’avais plus de maladies.
Avec le soutien de mon mari, les compagnons de cultivation du voisinage sont venus chez moi pour faire collectivement les exercices. Au travers de l’étude du Fa, j’ai appris que la cultivation est pour retourner à son origine première, ce qui est le vrai but de l’être humain.
En réalisant cela, j’ai commencé à encourager les gens que je connaissais à venir apprendre le Falun Dafa. J’avais une voisine qui faisait vraiment pitié, car elle souffrait d’un cancer du sein à un stade avancé. Après son opération, les médecins ont découvert que le cancer s’était propagé.
Un jour, je l’ai vu par la fenêtre. Voyant qu’elle était toujours en vie, je lui ai dit que le Falun Dafa pouvait la sauver, et elle a voulu essayer.
Sa fille et moi l’avons transportée chez moi. Elle n’était même pas capable de se tenir stable au sol. Mes enfants avaient peur qu’elle tombe et décède chez moi.
Je n’ai pas beaucoup réfléchi, je savais simplement que le Falun Dafa était bon et pouvait la sauver. Vingt-cinq années ont passé. Cette voisine qui souffrait d’un cancer du sein à un stade avancé a maintenant 80 ans. Elle est très énergique et a fait beaucoup pour assister le Maître pendant la rectification de Fa.
Faire l’expérience du pouvoir de Dafa
Aux alentours de la fête de la Mi-Automne de 2002, ma gorge était enflée et, pendant quelques jours, j’ai eu de la difficulté à avaler. L’eau que je buvais sortait même par mon nez.
Un compagnon de pratique m’a invitée à aller coller des affiches de clarification des faits pendant la nuit. Je suis donc sortie la nuit et j’ai placardé une vingtaine d'affiches contenant les mots « Falun Dafa est bon » sur des poteaux électriques.
Le lendemain, je suis rentrée chez moi. Cette nuit-là, alors que j’étais à moitié endormie, j’ai vu trois enfants d’environ huit ou neuf ans, en train de déterrer quelque chose.
L'un d’eux a sorti un morceau de papier qui brillait d’une lumière dorée. Dessus, il était écrit : « Le Fa rectifie le Ciel et la Terre ; tous les maux sont éliminés. » J’ai regardé l’heure et il était 23 h 30.
J’ai pensé que je ne devrais pas rester chez moi pour me reposer, mais que je devais plutôt sortir pour valider Dafa. Je suis sortie et j’ai affiché des autocollants disant : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » sur presque tous les bâtiments à proximité. En revenant chez moi, ma gorge allait bien et j’ai pu de nouveau manger.
Rembourser le Karma
En 2007, j’ai senti mon cœur trembler et j’ai eu un sentiment de panique. Ma tête et mon visage étaient engourdis.
Je n’y ai pas trop réfléchi et, comme prévu, je suis allée rendre visite à ma belle-sœur avec mon conjoint. Le temps de cette visite, j’ai fait les exercices chaque jour et je suis allée distribuer des documents de clarification des faits avec mon mari.
De retour chez moi, mon état s’était aggravé. Des compagnons de cultivation sont venus chez moi pour étudier le Fa et émettre la pensée droite. En même temps, j’ai aussi regardé à l’intérieur. Je me sentais mieux lorsque les pratiquants étaient à proximité, mais dès qu’ils étaient partis, je recommençais à me sentir mal.
Un jour, j’ai dit à Maître Li (le fondateur de Dafa) : « Je ne vais pas demander à mes compagnons de cultivation de venir demain. Ils ont des choses plus importantes à faire... »
J’ai croisé mes jambes et je me suis assise en position de méditation avec l’intention de parler aux êtres que j’avais blessés dans mon passé : « Je ne sais pas combien de mauvaises choses j’ai faites dans ma vie qui vous ont rendus malheureux. Mes souffrances actuelles sont mon propre karma. Il s’agit de mon propre fardeau et je dois le surmonter par moi-même... »
Je me sentais alors très triste et désolée pour les vies que j’avais blessées. Je sentais que Maître Li m’observait. Tout à coup, j’ai senti quelque chose se déverser du sommet de ma tête, et en quelques secondes seulement, tous mes symptômes avaient disparu.
Un de mes neveux est venu me rendre visite lorsqu’il a appris de ma belle-sœur que je n’allais pas bien. Il ne savait pas que je m’étais déjà remise. En apprenant, la façon miraculeuse dont j’avais récupéré, il a vraiment cru en Dafa. Je lui ai aussi suggéré d’apprendre le Falun Dafa.
Il a mentionné qu’il tentait de vendre un appartement qu’il avait acheté pour les affaires. L’argent manquait à présent et il avait vraiment besoin de le vendre. Il m’a dit que cela faisait environ un an qu’il essayait sans succès.
Je lui ai suggéré de réciter : « Falun Dafa est bon. » Cependant, de retour chez lui, il a commencé à prier pour l’aide du Maître : « Professeur Li, ma tante croit réellement en vous. Je crois aussi en vous. Pouvez-vous m’aider s'il vous plaît ? »
C’était le premier mois de l’année lunaire et il n'y avait pas beaucoup d'occupations au magasin, alors il a fait une sieste. Dans un état de semi-éveil, il a vu un vieil homme qui lui a dit de passer une annonce et que l'appartement serait vendu le 12 du mois.
Il est allé demander à son père de l’aide pour l’annonce, et son père lui a demandé qui, selon lui, allait acheter un logement le premier mois de l’année. Toutefois, un acheteur potentiel s’est présenté le lendemain et trois jours plus tard, son appartement était vendu.
En 2010, mon cou a tellement enflé que je ne pouvais plus voir ma clavicule. Ma tête était devenue si lourde que j’avais de la peine à la soutenir. Mon mari a suggéré d’aller voir un médecin, nous sommes donc allés dans le plus grand hôpital de la ville. Le médecin a examiné mon cœur et m’a fait une prise de sang.
Quand nous attendions les résultats, nous avons vu une personne sur un lit d’hôpital qui se faisait pousser le long du corridor par quatre ou cinq aides-soignants. La personne dans le lit gémissait.
En voyant cela, j’ai été choquée et je me suis souvenue que j'étais une pratiquante : « Les gens ordinaires viennent à l’hôpital avec une maladie. Je suis une pratiquante. Pourquoi suis-je ici ? »
C’est alors que nous avons été appelés pour voir le médecin. Il a regardé les résultats et a suggéré que je me fasse hospitaliser immédiatement.
Il y avait deux tumeurs de chaque côté de mon cou. Mon mari a demandé si je pouvais me faire traiter dans le petit hôpital près de chez moi, car nous n’avions pas amené assez d’argent pour le dépôt.
Je n’ai plus rien entendu de ce qu’il a dit par la suite et, à ce moment-là, je me suis complètement éveillée. J’ai pris le bras de mon mari et je lui ai dit : « Retournons à la maison. Je ne suis pas malade. »
J’ai oublié que je pouvais à peine tenir ma tête et je l’ai tirée pour partir. Il se trouve qu'au moment où nous sortions, un taxi venait tout juste de déposer quelqu’un à la porte de l’hôpital.
De retour à la maison, à part l’enflure, tous les autres symptômes inconfortables avaient disparu, et je n’ai plus eu de problèmes avec mon cou depuis.
Nettoyer mon corps
En 2013, il y avait quelque chose qui poussait sur l'un des doigts de la main droite de mon mari et il ne pouvait plus la plier. Nous sommes allés consulter de nombreux hôpitaux et on nous a dit que ça pouvait être un cancer des os ou la tuberculose osseuse.
Nos enfants ont réussi à prendre rendez-vous chez un spécialiste pour confirmer le diagnostic. C’était loin, nous avons alors décidé de partir un jour à l’avance et de faire une halte chez nos enfants en chemin. Je suis restée chez ma fille aînée et mon mari chez notre cadette. Dans la matinée, j’ai fait une sieste après avoir terminé les exercices.
J’ai vu un homme de grande taille, avec des habits gris-bleu et aux cheveux peignés, qui tenait la main de mon mari et la lissait.
J’étais enthousiaste et j’en ai parlé à ma petite-fille qui faisait ses devoirs : « Ton grand-père est guéri ! Ton grand-père va bien. » Ma petite-fille a dit : « Grand-maman, tu me fais peur. Qu’est-ce qui se passe ? » Je lui ai raconté ce que j’avais vu.
Quand mon mari nous a rejoints pour le déjeuner, je lui en ai parlé et je lui ai suggéré que Maître Li l’avait guéri et qu’il n’était plus nécessaire de voir le médecin. Il m’a cru, mais notre gendre a insisté pour conserver le rendez-vous.
Le docteur a examiné les doigts de mon mari et a dit que c’était dû au fait d'avoir été frappé plusieurs fois et que ce n’était pas grave. Il n’était pas nécessaire de prendre de médicaments, ou quoi que ce soit d’autre.
Dans le passé, mes jambes étaient régulièrement glacées, peu importe comment j’essayais de les réchauffer. Après ce rêve, mes jambes n’ont plus été froides.
Se rapprocher des enfants
Mes enfants voulaient que nous nous rapprochions d’eux pour que ce soit plus pratique. Notre appartement a été vendu le lendemain de la publication de l'annonce, et nous avons rapidement cherché un nouveau logement.
J’ai prié le Maître pour qu’il y ait une autre pratiquante près de notre nouvelle demeure. Quand nous sommes allés visiter le premier appartement de la liste, le vendeur n’était pas là.
Une voisine nous a laissés entrer chez elle pour visiter un agencement similaire. C’était incroyable – il y avait la photo du Maître sur le mur.
Bien que nous n’ayons pas vu l’appartement en question, nous avons décidé de l’acheter sans négocier. Avec l’aide du Maître, nous avions une pratiquante comme voisine.
Après avoir déménagé dans notre nouveau logement, nous avons formé un groupe d’étude du Fa avec notre voisine pratiquante. Quand elle a vu que je mettais des mouchoirs devant moi avant d’étudier le Fa pour moucher mon nez de temps à autre, elle a commenté : « Tu es prête comme tu le demandes. »
J’ai alors compris que je ne devais pas préparer de mouchoirs. J’avais ce problème de nez qui coule depuis quelques années.
Une fois que j’ai cessé de préparer les mouchoirs, le symptôme a disparu. Dans ce nouvel environnement, je n’ai pas beaucoup fait pour clarifier la vérité au début, contrairement à ce que je faisais dans ma ville natale.
Je restais à la maison pour copier le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa. Un jour, j’ai senti ma main gauche devenir engourdie et mes pieds me donnaient la sensation de marcher sur une pile de coton.
J’ai compris que je ne devais pas rester chez moi, et que je devais sortir pour clarifier les faits et éveiller la conscience des gens.
J’ai profité de chaque occasion pour faire les trois choses, distribuer des dépliants, mettre des affiches et des autocollants, ainsi que clarifier les faits en personne.
Une nuit, alors que j’émettais la pensée droite avec des compagnons de cultivation, j’ai senti que le centre de mon front s’était ouvert d’environs cinq centimètres, juste au-dessus de mes yeux. Il y avait des Falun (roues de la Loi) à l’intérieur qui tournaient dans le sens des aiguilles d’une montre puis dans le sens inverse.
Il y a beaucoup d’histoires incroyables. Je pense que tant que nous croyons fermement en Maître et Dafa, il n’y a rien que nous ne puissions faire. Le Maître est toujours à nos côtés. Le chemin de la cultivation a été arrangé et le Maître est omnipotent.
J’ai de la chance parce que j’ai le Falun Dafa. Ma famille et mes proches ont de la chance, car ils ont été témoins de la puissance de Dafa et en ont bénéficié. Tant que vous comprendrez Dafa sans aucune conception, votre vie ne sera pas vaine.
Traduit de l’anglais