(Minghui.org) Je suis un jeune pratiquant de Falun Dafa qui a émigré de la Chine vers les États-Unis en janvier 2020. Malgré l'apparition du coronavirus, également connu sous le nom de virus du PCC, j'ai pu venir aux États-Unis avant que l'entrée ne soit interdite. C'est parce que le Maître m'a protégé avec compassion et m'a renforcé. En conséquence, ma sagesse s'est ouverte. Malgré mon anglais très limité, après avoir étudié pour l'International Language Testing System (IELTS) pendant seulement un mois, j'ai miraculeusement réussi l'examen et j'ai été admis à l'école supérieure.
En ce moment final, j'espère que nous pourrons affermir notre pensée droite, être à la hauteur de notre mission et coopérer pour remplir nos vœux préhistoriques.
Dès l'âge de 4 ans, j'ai été très malade. J'avais besoin d'injections tous les mois et j'étais rempli d'une tonne d'antibiotiques. De fréquentes piqûres rendaient les veines de ma main épaisses et raides. Il fallait donc toujours un certain temps aux infirmières pour me faire les injections. En outre, ma toux et ma fièvre constantes ont troublé les médecins spécialistes, car ils ne pouvaient pas en trouver la cause ni le remède.
Je me souviens encore de la douleur que je devais endurer lorsque je devais tousser. Pour cette raison, j'évitais de manger pendant la journée, sinon je finissais par vomir tout ce que je mangeais quand je commençais à tousser. Une fois au lit, ma situation s'aggravait. Comme à chaque toux, je sentais que mes poumons allaient quitter ma poitrine. Je ne pouvais pas pleurer non plus. Les sanglots ne faisaient qu'aggraver la toux.
Pour me soulager, lorsque ma mère faisait la cuisine, elle n'utilisait que très peu de sel ou d'autres assaisonnements. Au bout d'un certain temps, les poils de mon corps sont devenus blancs à cause du manque de sel. Cependant, cela n'a pas changé grand-chose à la situation. Peu importe la saison, tant que je rencontrais le vent, je me mettais à tousser.
Ma grand-mère est une pratiquante qui a commencé la cultivation de Dafa en 1996. Depuis juillet 1999, date à laquelle la persécution a été lancée sous le régime de Jiang, elle s'est rendue à Pékin plusieurs fois. À quelques reprises, elle a été détenue illégalement au poste de police.
Après le divorce de mes parents, ma mère m'a emmené chez ma grand-mère en juillet 2004. En août, ma grand-mère a été libérée et est retournée chez elle après avoir été détenue pendant deux ans au camp de travaux forcés de Wangcun dans la ville de Zibo, province du Shandong. Quand nous l'avons vue, bien qu'elle soit un peu émaciée, elle était en bonne forme.
Après avoir été témoin de la préciosité de Dafa, ma mère a commencé à suivre ma grand-mère et a commencé à cultiver dans Dafa. En ce qui concerne la musique des exercices, je n'avais jamais entendu quelque chose d'aussi merveilleux. Ainsi, je leur demandais toujours de m'attendre jusqu'à ce que je rentre de l'école avant de pratiquer les exercices. J'aimais aussi écouter les conférences du Maître et sa voix était réconfortante.
Environ un mois et demi plus tard, j'ai commencé à cultiver dans Dafa avec elles. Ensuite, j'ai pratiqué les exercices tous les jours. Après être rentré de l'école, j'étudiais le Fa pendant une heure avant de faire mes devoirs et je suis devenu l'un des meilleurs élèves de ma classe.
Quelques semaines plus tard, un matin, j'ai soudain eu envie de vomir. Quand ma grand-mère m'a apporté une bassine, tout de suite, un épais pus jaune a jailli de ma bouche. Après avoir arrêté, j'ai touché ma poitrine et j'ai dit, « C'est si confortable ! » Je savais que c'était le Maître qui purifiait mon corps. Avant cela, parce que j'avais pris tant de médicaments, maintes et maintes fois, cela avait retardé l'apparition de mon karma de maladie à la surface.
Je suis vraiment reconnaissant envers le Maître pour mon rétablissement de ma grave maladie. Après cela, je n'ai plus toussé et j'ai jeté tous mes médicaments. Depuis que j'ai commencé à pratiquer dans Dafa, je ne prends plus de médicaments ni d'injections.
Quand j'étais enfant, ma grand-mère était très stricte avec moi. Lorsque je lisais le Fa, elle me grondait pour chaque erreur que je faisais. Elle disait que c'est le Dafa le plus précieux, donc personne n'est censé faire d'erreur. En étudiant davantage le Fa, j'ai peu à peu réussi à la comprendre. Comme c'est le Dafa le plus précieux, nous devrions utiliser nos cœurs les plus purs pour le considérer ainsi. Quand je faisais une erreur en lisant le Fa, c'était parce que j'étais distrait.
Avec d'autres pratiquants, je pouvais passer toute la journée à lire le Zhuan Falun – l'enseignement principal du Falun Dafa. Quand j'avais 9 ans, je suis allé avec ma mère sur la place Tiananmen pour faire appel au gouvernement. J'ai crié aussi fort que je le pouvais, « Falun Dafa est bon ! »
Chaque année, je rejoignais le groupe d'étude du Fa des jeunes pratiquants pendant mes vacances d'été. Pendant les vacances, je me rendais avec ma mère et ma grand-mère dans les hôpitaux, les centres commerciaux et les immeubles résidentiels pour distribuer des brochures de clarification de la vérité. En raison de mon âge, les gens ne prêtaient généralement pas beaucoup d'attention à moi. Afin de pouvoir servir de personne de liaison pour aider d'autres pratiquants à transmettre des documents d'information, j'ai utilisé mes vacances pour faire des appels téléphoniques pour informer les gens de la persécution et les aider à démissionner du PCC.
La cultivation de Dafa a complètement changé ma vie. Non seulement j'ai retrouvé la santé, mais mes notes scolaires se sont aussi considérablement améliorées. Par exemple, j'ai été dispensé de l'examen d'entrée au lycée.
En tant qu'étudiant en art, avant de passer l'examen d'entrée au lycée, j'ai dû passer le test en art. À cette époque, je voulais vraiment aller dans une certaine université. Malheureusement, je n'ai pas obtenu d'assez bons résultats à l'examen. En juin, cependant, cette école a annoncé que le score nécessaire pour l'admission avait miraculeusement baissé de près de 10 points sans raison. En plus, le quota d'admissions dans cette école en provenance d'une autre province a également été transféré dans ma province, passant de six à treize élèves. J'ai été admis.
Lorsque j'ai commencé l'université, j'ai réalisé que le chemin des arts que j'avais poursuivi était plein de corruption et qu'il plaisait aux autres. Les professeurs masculins ont transformé une salle de classe en un lieu où les étudiantes apprenaient à fumer et à boire. Ils sont même allés jusqu'à dire que les filles qui ne buvaient pas ne connaissaient pas la vie et n'avaient aucun espoir de devenir artistes. J'ai vraiment vu le déclin de la moralité dans la société actuelle. Lorsqu'un professeur guide ses élèves à faire de mauvaises choses, c'est la plus grande tristesse du monde actuel.
Lorsque je travaillais pour un institut de formation artistique pour enfants affilié à une chaîne de télévision, l'objectif de chacun était de poursuivre ses propres intérêts en sabotant les bénéfices des autres et en ternissant la moralité. C'est pourquoi, à plusieurs reprises, j'ai engagé notre personnel de direction dans des conversations sur la moralité. Je suis même monté sur le podium pour m'adresser au public, afin de souligner que le mode de fonctionnement actuel n'était pas raisonnable puisque, sans moralité, il est impossible pour une entreprise d'atteindre une croissance à long terme. Ils pensaient tous que je faisais des histoires pour rien.
Voyant que le propriétaire était appelé le « chef de la société clandestine », j'ai remis ma démission. À son tour, ils ont déduit plus de 10 000 yuans de mon salaire. Mais ce qui a pris les gens au dépourvu c'est que l'institut, une grande société avec des filiales qui pénétraient dans toute la ville, a fermé un mois plus tard. Lorsque les membres du personnel ont fait appel à leurs droits, ils ont fini par être emmenés au poste de police par des agents affectés à la chaîne de télévision.
À ce moment-là, je suis retourné dans ma ville natale. Je préparais mon examen d'école supérieure et je prévoyais de partir à l'étranger. Pourtant, j'ai dû faire face à une grande difficulté, qui était : « Depuis la douzième année, je me concentrais sur le test d'admission aux arts. À l'université, aucun cours d'anglais n'était proposé dans mon programme. Au total, je n'avais pas touché à l'anglais depuis six ans. Mais j'ai quand même dû passer l'IELTS.
Mais après m'être remis les idées en place, grâce à l'aide du Maître, mon niveau d'anglais s'est incroyablement amélioré. Je suis passé de la difficulté à dire une phrase complète, à parler couramment. Dans le test d'écoute, je n'ai pu saisir qu'un seul numéro de téléphone au début, mais j'ai ensuite pu comprendre l'idée principale. Tout ce processus n'a pris qu'un mois après avoir commencé à apprendre l'IELTS.
Pendant ce temps, je pratiquais les exercices de Dafa le matin et j'allais à l'institut de formation pour étudier l'après-midi. Ensuite, le soir, j'étudiais le Fa avec ma grand-mère et ma mère. Bien que j'étais inquiet du résultat du test, je n'ai jamais pensé à abandonner. J'ai renforcé ma conviction que le Maître m'a donné une nouvelle vie et je suivrai certainement le chemin tracé par le Maître à l'avenir. J'ai donc réussi l'examen IELTS dès la première fois. Lors de mon entretien pour le visa, l'examinateur n'a fait que regarder ma lettre d'admission et les formulaires de demande, puis m'a délivré le visa.
L'examen d'entrée à l'université et le test d'admission aux études supérieures peuvent tous deux constituer les principaux tournants de la vie d'une personne. J'ai réussi à les passer avec succès sous la protection du Maître.
Le Maître nous a dit :
« Comme la cultivation dépend de soi et que le gong dépend du maître, il vous suffit d’avoir la volonté de cultiver. » (Première Leçon, Zhuan Falun)
Ce n'est qu'en adoptant un point de vue juste, en croyant fermement dans le Maître et Dafa, que nous pouvons vraiment sentir la grâce salvatrice du Maître.
J'étais très attaché à ma mère depuis qu'elle m'avait élevé. Peu de temps après mon arrivée aux États-Unis, l'ordonnance sur les séjours à domicile a été promulguée et j'étais le seul à rester dans la résidence du campus. Face à des rues vides et au calme tout autour de moi, j'ai eu du mal à m'y habituer.
La solitude soudaine a rendu mon attachement pour ma mère encore plus fort. Quand j'étudiais le Fa et pratiquais les exercices, je n'arrivais pas à apaiser mon esprit. Même si j'étais clair dans mon esprit qu'il s'agissait d'une grande interférence, je pouvais difficilement m'éloigner de la sentimentalité. Cela est devenu encore plus fort quand j'ai appris que ma famille était à nouveau harcelée.
Dans cet état, je ne pouvais qu'étudier le Fa davantage pour m'aider. Pendant cette période, j'ai étudié le Fa pendant trois heures chaque jour. Et je pouvais vraiment ressentir la compassion du Maître et j'ai eu honte de mon état de cultivation instable. Avec cela, j'ai progressivement laissé tomber ma sentimentalité.
À ce moment-là, le Maître m'a encore aidé. Des compagnons de cultivation de quelques équipes de projet ont pris contact avec moi. Et j'ai été ensuite présenté à un club de jeunes pratiquants. Lorsque nos jeunes pratiquants ont échangé, je me suis senti très léger. En voyant les pratiquants travailler avec soin sur les projets sans se plaindre, lorsqu'ils se souciaient de moi et me réconfortaient, je pouvais clairement voir mes lacunes.
Après avoir coupé court à ma sentimentalité envers ma mère, j'ai commencé à lui écrire des lettres pour lui faire part de mes réflexions sur l'étude du Fa. Avant ma naissance, ma grand-mère rêvait que le cyclamen poussait dans ma maison. Chaque fois que j'y pensais, j'affermissais ma pensée droite que la relation prédestinée entre nous est Dafa.
Le Maître a dit :
« S’attacher au sentiment parental, on en sera certainement importuné, ligoté et tourmenté, ceux qui s’y attachent auront toute leur vie troublée par cette affection, l’âge passant, il sera trop tard pour regretter. » (« Abstinences pour les pratiquants », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Chaque fois que je suis tombé sur ce passage, j'ai senti que c'était le bâton et le khat pour moi. Tant de pratiquants ont sacrifié leurs vies pour défendre leur croyance et, pourtant, je suis resté bloqué dans la sentimentalité de cette société libre.
Cette opportunité ne durera pas longtemps. Pour obtenir le Fa, nous avons subi de nombreuses tribulations. Dans la dernière étape de la rectification du Fa, avançons vigoureusement et accomplissons nos vœux préhistoriques.
Traduit de l'anglais