(Minghui.org) Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa, a dit :
« L’histoire de l’humanité n’a pas pour but final d’être un être humain, l’histoire de l’humanité n’est pas là non plus pour offrir un paradis à la perversité pour sévir. L’histoire de l’humanité est créée pour la rectification de la loi, seuls les disciples de Dafa sont dignes de manifester ici leur splendeur et leur gloire. » (« À la conférence de Loi européenne 2005 », Points essentiels pour avancer avec diligence III)
Je suis une disciple de Falun Dafa qui cultive depuis 23 ans. Depuis le début de ma cultivation, j’ai expérimenté le fait d’aller sur la place Tiananmen pour brandir des banderoles validant Dafa, faire appel au bureau des pétitions et soumettre des lettres de pétition aux dirigeants de l’État. J’ai fait avec enthousiasme de nombreuses activités de rectification de Fa pendant 20 ans. Mes compagnons de cultivation me félicitaient aussi pour cultiver si bien. Cependant, j’ai récemment constaté que je traitais la cultivation comme « faire les choses » plutôt que de véritablement concentrer mon attention sur la cultivation de mon esprit.
Après le mouvement consistant à intenter des plaintes criminelles contre Jiang Zemin, l’ancien chef du Parti communiste chinois (PCC), un compagnon de cultivation de notre groupe d’étude du Fa m’a dit : « Ma mère m’a demandé de te rappeler que tu devrais aussi sortir et clarifier la vérité en personne. » Je me suis rappelé à ce moment que lorsque j’avais validé le Fa en 1999 pour la première fois, peu de pratiquants de la région avaient eu le courage d’aller à Pékin pour demander justice pour le Falun Dafa. J’y suis allée plusieurs fois toute seule. Lorsque je suis revenue, peu de personnes de la région avaient le courage de sortir et de distribuer des documents de clarification de la vérité. J’ai fabriqué et distribué des documents de clarification toute seule. Je devais porter le télécopieur où que j’aille. Par la suite, des sites de production de documents de clarification de la vérité ont été établis, dont un petit à mon domicile. N’était-ce pas clarifier la vérité ? Devait-on être face à face pour que cela soit considéré comme valider le Fa ? J’ai quitté mon travail à plein temps de manière à avoir plus de temps pour faire les trois choses durant les dernières années. Mon travail à temps partiel me faisait gagner seulement 1000 yuans par mois, et mon mari refusait de chercher du travail. Si je sortais chaque jour pour clarifier la vérité, je ressentais que je n’aurais plus de temps pour étudier le Fa.
En février 2017, la mère du pratiquant a remarqué que je n’étais pas sortie et elle s’inquiétait pour moi. Elle a demandé au pratiquant de me le rappeler. Il n’y avait nulle part où se cacher. Alors j’ai accepté de faire le premier pas et de sortir de chez moi pour aller clarifier la vérité.
Au début, il était vraiment difficile de sortir pour aller clarifier la vérité. Je n’ai pas réussi à ouvrir la bouche pendant quatre jours d’affilée. J’étais frustrée lorsque je rentrais chez moi. Je pleurais et ne pouvais pas manger. Je me demandais s’il était plus difficile d’ouvrir ma bouche pour clarifier la vérité que de brandir une banderole sur la place Tiananmen ? Afin de valider Dafa, je n’avais pas peur de la mort. Alors pourquoi ne pouvais-je pas ouvrir la bouche ? Avais-je peur de perdre la face en parlant à des inconnus ? Avais-je peur de perdre l’estime de moi-même ? Pour être honnête, durant les 23 années passées, j’estimais faire partie de ceux qui étaient très diligents dans leur cultivation. À cette époque, une voix dans mon cœur me suggérait que je n’avais peut-être pas vraiment fait de mon mieux. J’avais déjà tant fait dans la clarification de la vérité. Je préparais et distribuais des documents de clarification de la vérité et des magazines hebdomadaires, publiais la liste des noms de ceux qui avaient démissionné du PCC et accrochais des banderoles. Alors ne pouvais-je pas simplement sauter cette activité de clarification de la vérité ?
Un soir, j’ai allumé l’ordinateur et j’ai lu un article écrit par une compagne de cultivation. Elle partageait que bien qu’elle n’ait pu amener quiconque à démissionner du PCC pendant un mois, elle a persisté. Cela m’a inspiré. Si un mois d’échec ne l’avait pas découragée, pourquoi devais-je perdre confiance après seulement quatre jours ? Maître Li m’a fait confiance au ciel lorsque j’ai accepté de l’aider à rectifier le Fa dans ce monde et à sauver les êtres. Je devais être capable d’aider le Maître pour tout ce qui est nécessaire en ce moment.
Le cinquième jour, j’ai aidé trois personnes à démissionner du PCC. J’étais si contente pour eux ! Depuis, j’ai persisté à sortir et à clarifier la vérité face à face.
J’ai principalement coopéré avec des compagnons de cultivation pour clarifier la vérité et sauver les gens sur des sites touristiques pittoresques. Les compagnons de cultivation qui travaillaient avec moi avaient de très fortes pensée droite et ils m’encourageaient toujours. Finalement, j’ai ressenti que tant que je pouvais briser et dépasser l’attachement à moi-même clarifier la vérité n’était pas difficile. Il y avait beaucoup de gens qui venaient d’autres provinces. Nous devions faire face à la police en civil et aux agents de sécurité tous les jours. En fait, certaines fois, j’avais peur, mais je me disais que je devais éliminer cette peur. Je me rappelais aussi de n’avoir aucune mauvaise pensée contre les policiers parce que, une fois qu’ils persécutaient les disciples de Dafa, ils n’avaient plus d’avenir. Nous sommes ici pour aider le Maître à rectifier le Fa et sauver les êtres. Je ne peux pas blesser les êtres pour ne pas avoir bien cultivé moi-même.
Le Maître a dit :
« Clarifier la vérité et sauver les êtres, les forces anciennes n'osent pas s’y opposer, l’important est que l'état d'esprit au moment de faire des choses ne leur permette pas de pénétrer par une faille. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Boston en 2002 », Enseignement du Fa dans les conférences II)
Durant cette période, j’ai senti que je devais éliminer de nombreux attachements.
Un jour, le Maître a éliminé la peur pour moi. Je n’ai plus pu me souvenir de ce à quoi ressemblait la peur par la suite. Mon esprit semblait vide, comme si je n’avais plus d’attachements, seulement du bonheur, et uniquement du bonheur. Je sentais que le Maître m’avait soulevée, même si j’étais très fatiguée et occupée chaque jour au travail, m’occupant de mes responsabilités familiales et faisant les choses que je devais faire en tant que pratiquante de Falun Dafa. Cependant, je me sentais pleine d’énergie. Je marchais joyeusement aidant le Maître à rectifier le Fa et me sentais comme une fée marchant dans la foule. Sous la protection du Maître, nous avons tout traversé sans rencontrer le moindre danger.
Notre communauté était confinée durant l’épidémie du virus du PCC cette année. Chaque foyer de la communauté pouvait laisser une seule personne sortir pour aller faire les courses chaque jour. J’ai discuté avec mon mari lui disant que je devais être la personne qui devait sortir, et il a accepté avec joie. Il y avait très peu de passants dans les rues. Quiconque entrait dans le centre commercial devait scanner son code QR. Toutes les zones touristiques étaient fermées. La ville tout entière était confinée, et les gens qui venaient de l’extérieur ne pouvaient pas entrer. Alors de nombreux pratiquants et moi-même devions arpenter les rues pour trouver les gens prédestinés.
Le Maître a dit :
« Elle a le courage d’abandonner sa position divine, de sauter parmi les hommes pour être un être humain, ne serait-ce que pour ce point-là, les disciples de Dafa doivent aller les sauver. »
« Mais vous êtes venus, et c’est pareil pour elles, elles sont venues. Dans leur cœur, elles pensaient que ce Fa pouvait indubitablement les sauver, elles avaient pleinement confiance en ce Dafa, elles sont venues. Rien que pour ce point, ne devons-nous pas les sauver ? Nous devons absolument les sauver. À l’origine elles étaient toutes des divinités on ne peut plus sacrées. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2015 »)
Tant qu’il y a encore une chance de sauver les gens, peu importe combien d’années il nous reste, je continuerai de le faire et je serai à la hauteur du titre de disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa. Je pense que, comme nous avons osé prendre le risque de descendre et que la rectification de Fa n’est pas terminée, nous n’avons aucune raison de ne pas faire les choses qu’un disciple de Dafa devrait faire pour sauver les êtres.
Chaque minute et chaque seconde ont été prolongées grâce à l’immense endurance du Maître. Nous n’avons vraiment aucune raison de ne pas bien faire. Je crois que je ferai de mieux en mieux durant les jours qui restent. Être une pratiquante de Dafa durant la période de la rectification de Fa dans cette vie est une sorte de joie qui est difficile à décrire dans le langage humain. Je suis si reconnaissante envers le Maître pour donner aux pratiquants de Falun Dafa un si grand honneur et une si grande opportunité.
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Traduit de l'anglais