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Être plus diligente au milieu de la pandémie

2 mai 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Shandong, Chine

(Minghui.org) Au début de l'année 2020, lorsque le virus du PCC est apparu, de nombreux villages et communautés résidentielles ont bloqué leurs entrées. Cela ne me dérangeait pas ; je conservais une pensée unique ferme : nous devrions saisir l’occasion pour aider à sauver plus de gens !

Aider les gens avec la compassion

Un jour, j'ai rencontré un homme âgé à qui j'ai clarifié les faits et je lui ai remis un calendrier de Minghui pour son bureau. Il m'a reconnu : « Ma sœur, je suis si heureux de vous voir. Ce que vous m'aviez dit est vrai. »

« La pandémie est arrivée ! Je suis resté à la maison pendant plus de quatre mois et je vous rencontre aujourd'hui lors de ma première sortie. Vraiment, merci ! » Je lui ai dit de remercier Maître Li.

Près de chez moi, il y a une fruiterie, et beaucoup de gens s'y rencontrent pour jouer aux cartes. Je les ai aidés à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées et je leur donnais souvent des dépliants de Dafa.

Un jour, j'ai remis une carte à un vendeur de fruits avec de l'information pour briser le blocus de l'Internet et il m'a dit : « Je serai le premier à soutenir quiconque va réussir à faire tomber le Parti communiste ! »

Chaque fois que je vais là-bas, j'entends des gens maudire le PCC, ce qui montre à quel point le PCC n'est pas populaire. Plus tard, lorsque je me suis arrêtée à la fruiterie et que j’ai demandé comment allaient les affaires, il m'a répondu : « C'est comme de la magie ! Depuis que j'ai critiqué le PCC, ma compagnie va beaucoup mieux. »

Je lui ai dit : « Le Ciel va éliminer le Parti communiste et vous vous tenez du côté de la droiture ! » Il était content d'entendre cela.

Ne jamais abandonner face aux difficultés

Cette année, ma fille a engagé des travailleurs pour faire installer un nouveau chauffe-eau et pour peinturer sa maison. Ce projet a pris beaucoup de mon temps, car je devais travailler, cuisiner et sortir clarifier les faits aux gens.

J'ai fait de mon mieux pour essayer de bien équilibrer mon temps et arriver à faire toutes ces choses. Quand deux travailleurs sont venus installer le chauffe-eau, je leur ai souhaité la bienvenue et je leur ai offert de l'eau et des fruits. Quand ils ont commencé à travailler, j'ai changé le sujet pour leur parler de la démission du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.

Le plus jeune a parlé fort : « Je suis ici pour travailler, pas pour écouter ce que vous avez à dire. J'en ai assez entendu et je ne crois pas à ces choses ! »

En entendant cela, je me suis sentie découragée. J'ai souri : « Jeune homme, si tu ne veux pas écouter ce que je viens de dire, que penses-tu des compréhensions scientifiques actuelles versus les cinq mille années de la civilisation chinoise ? »

Il a répondu : « Je ne crois en rien, sauf à l'argent. » J'ai alors demandé au Maître dans mon cœur d'aider à sauver cet homme : « Il n'y a rien de mal à accorder de la valeur à l'argent. Toutefois, l'argent ne peut pas toujours tout régler. Beaucoup de gens sont morts en Chine et à l'étranger au cours de la pandémie. Peu importe combien d'argent tu as, pourras-tu éviter la maladie ? »

Il a ensuite demandé : « Si la pandémie vise le PCC, pourquoi les autres pays ont-ils également été touchés, alors qu'ils n'ont pas le PCC ? » J'ai répondu : « Bonne question ! Pensez-y ; quel pays n'a pas d'ambassade chinoise ? Quel pays n'a pas d'espions arrangés par le PCC ? » Il était d'accord.

J'ai continué : « Si tu crois aux divinités, tu seras béni après avoir démissionné du PCC. Les divinités ne veulent que voir si tu crois qu'Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ou pas. » Il a compris et a démissionné du PCC avec son vrai nom. Son coéquipier a également démissionné du PCC.

Il y avait encore un petit problème avec le nouveau chauffe-eau. Alors ma fille a rappelé de nouveau le plus jeune travailleur pour venir voir. Je lui ai posé des questions sur sa famille et j'ai appris que sa femme était membre de la Ligue de la Jeunesse communiste et que son enfant était très jeune. Ainsi, je lui ai demandé d’aider sa femme à démissionner du PCC également.

Je lui ai aussi remis une brochure intitulée Pandémie - Édition spéciale et lui ai dit de la faire lire aussi à sa femme. Je l’ai prévenu que démissionner du PCC fonctionne seulement quand les gens y croient réellement. Il m’a dit de ne pas m’en faire ; je voyais qu’il m’avait réellement comprise.

Récemment, deux autres travailleurs sont venus remplacer les conduits de chauffage. Peu importe à quel point je les accueillais chaleureusement, ils ne répondaient pas. J’ai ensuite commencé à parler au sujet de démissionner du PCC. L'un d’eux s’est soudain fâché : « Je ne veux pas écouter cela. Nous allons partir si vous continuez. »

À ce moment, mon beau-fils n'était pas content non plus et m'a dit : « Ils sont ici pour travailler, pas pour t'écouter. Va nous faire à dîner ; ce n'est pas de tes affaires ! »

Je n'ai pas été dérangée par leur comportement et j'ai simplement ressenti qu'ils étaient pitoyables. J'ai souri à mon beau-fils et lui ai dit : « C'est prédestiné pour eux de venir chez nous, et c'est leur choix d'écouter ou de ne pas écouter, mais c'est ma responsabilité de leur dire la vérité. »

En cuisinant, j'ai regardé à l'intérieur et émis la pensée droite pour éliminer toutes les interférences qui les empêchaient de se faire aider.

Ma fille est revenue à la maison et je ne lui ai pas mentionné ce qui s'était passé plus tôt ce matin, mais je lui ai simplement demandé de clarifier les faits aux travailleurs. Ma fille était d'accord. À l'heure du dîner, il était également temps d'émettre la pensée droite.

Je les ai tout d'abord invités à dîner puis, devant le portrait du Maître, j'ai demandé au Maître de renforcer ma pensée droite pour les aider. J'ai ensuite émis la pensée droite pendant plus d'une demi-heure.

Quand je suis allée dîner, j'ai trouvé ma fille et mon beau-fils en train de boire et de discuter avec les deux travailleurs. J'ai alors fait un signe à ma fille.

Elle a compris et a commencé à parler de mes problèmes de santé antérieurs et leur a dit que mon problème chronique du foie n’avait pas pu être traité à l'hôpital, mais que j'avais été guérie après avoir pratiqué le Falun Dafa.

Un des travailleurs a dit qu'il n'y croyait pas. Ma fille a dit : « Je ne l'aurais pas cru si ça s'était passé dans une autre famille, mais c'est arrivé à ma mère ! » Le travailleur ne voulait plus continuer la conversation et je me suis sentie bien triste en l'entendant.

Après le dîner, je suis retournée au portrait du Maître et j'ai pressé mes mains ensemble (en Heshi) : « Maître, ce serait vraiment dommage que je ne puisse pas les aider aujourd'hui, puisqu'ils sont déjà venus chez moi. S'il vous plaît, renforcez-moi. »

Puis, je suis retournée et j'ai vu qu'un des travailleurs ne buvait pas, parce qu'il ne se sentait pas bien. Je lui ai demandé s'il était correct et il m'a dit non. J'ai dit : « La deuxième vague de pandémie s'en vient. Les épidémies ont des yeux et les gens qui refusent de démissionner du PCC seront les plus touchés. Personne ne sera laissé pour compte. »

Je lui ai aussi dit que le Falun Dafa sauve les gens et que c'est la loi céleste qui veut que le bien soit récompensé par le bien et que le mal rencontre le mal. Je lui ai dit que lorsque les dynasties changent, cela est contrôlé par les divinités et que, quelle que soit la dynastie qui est venue ou partie, la Chine est toujours restée. Il a compris et a volontiers démissionné de la Ligue de la jeunesse.

Je lui ai aussi remis quelques dépliants, une amulette de Dafa et lui ai demandé de réciter : « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Il était d'accord.

Après le dîner, ma fille m'a dit de ne pas faire plus d'effort pour sauver l'autre travailleur. Je me sentais très mal, mais j'étais déterminée à ne pas le laisser tomber.

J'ai commencé en disant : « De nos jours, les désastres en Chine éliminent les gens qui se mettent du côté du PCC et les athées. »

Il s'est écrié : « Xi est le meilleur dirigeant de l'histoire. Je vais le suivre jusqu'à la fin ! »

Je lui ai demandé : « Si Xi était le meilleur dirigeant comme vous venez de le dire, il aurait dû amener la joie et la paix au peuple chinois. À présent, il y a des désastres naturels partout. » À ce moment-là, j'ai remarqué qu'il transpirait beaucoup et que ses vêtements étaient mouillés. Alors je l'ai rapidement éventé jusqu'à ce que ses vêtements soient presque secs.

J'ai senti que j'en avais assez dit. Puis il a demandé à son collègue de travail et à mon beau-fils de partir, mais m’a gardée dans la pièce. Il a fermé la porte et a complètement changé d’attitude : « Tante, vous être la personne la plus aimable que j'aie jamais rencontrée. S'il vous plaît, aidez-moi à démissionner du PCC avec mon vrai nom. »

J'étais totalement soulagée, parce qu'il avait réellement compris la vérité. Il était très fâché lorsque je lui ai dit que j'avais été emprisonnée pour avoir pratiqué le Falun Dafa. Il a finalement été sauvé et j’ai remercié le Maître pour son aide.

La maison était un peu en désordre pendant le projet de remodelage et ma fille et moi avons fait le ménage ensemble. Parce que je pratique le Falun Dafa, j'avais plus d'énergie qu'elle.

Une fois, mon beau-fils et moi avons transporté une table du garage jusqu'à notre demeure au quatrième étage. Il a eu besoin de prendre une pause, disant que la table était trop lourde, alors que je ne sentais pas du tout sa lourdeur. Ils sont jeunes, mais pas aussi capables que moi dans les tâches ménagères.

Tout d'abord, ma fille n'osait pas dire à ses collègues de travail que je pratique le Falun Dafa. Maintenant, elle leur dit que sa mère a retrouvé une bonne santé en pratiquant Dafa. Elle a même aidé ses trois collègues de travail à démissionner du PCC.

Croire dans le Maître et dans Fa ; nier la persécution

J'ai été illégalement arrêtée et condamnée plus de dix-sept fois à une peine de prison, pour avoir fait appel pour Dafa à Pékin après le début de la persécution du Falun Dafa le 20 juillet 1999.

Je vivais en campagne et ma résidence n'avait qu'un étage. Quand ils sont venus pour m'arrêter, un agent de police a grimpé sur ma maison et est entré dans ma cour pour ouvrir la porte aux autres policiers.

Alors que personne n'était chez moi, ils ont fouillé ma maison et volé beaucoup de mes effets personnels. Mes enfants ont aussi beaucoup souffert. Plus tard, ma fille m'a demandé de déménager chez elle. Peu importe où je reste, j'écoute le Maître et fais bien les trois choses.

Graduellement, les compagnons de cultivation sont venus à la maison de ma fille pour étudier le Fa ensemble. Nous avons été signalés par les voisins à quelques reprises. Une fois, quatre agents de police sont venus à la maison de ma fille après qu'on nous a signalés. Ils sont partis parce que je n'étais pas là.

Ma fille m'a alors appelée et m'a dit de me cacher et de ne pas revenir, parce qu'elle craignait que les agents de police reviennent. J'ai pensé au fait que mes compagnons de cultivation allaient venir chez moi pour l'étude du Fa en groupe, alors je ne pouvais pas juste me préoccuper de ma propre sécurité et pas de la leur.

Ce jour-là, mes compagnons de cultivation étaient censés venir ramasser des documents clarifiant les faits chez moi et je devais les leur remettre. Je devais les attendre, peu importe le danger que cela représentait.

Le Maître a dit :

« Le travail que nous menons ne tolère aucune déviation ; du moment que vous cultivez et pratiquez vraiment dans une voie juste, personne n’osera facilement s’en prendre à vous, d’ailleurs vous serez sous la protection de mes Corps de Loi et vous ne courrez aucun danger. » (Troisième Leçon, Zhuan Falun)

Dès que je suis arrivée à la maison, ma fille m’a demandé de partir sans délai. Elle a dit que les agents avaient ordonné que je me rende au poste de police et avaient demandé à la famille de coopérer.

J’ai dit que ce qu’ils voulaient ne comptait pas. Mais elle avait trop peur pour écouter et m’a juste demandé de partir.

Alors, des compagnons de cultivation ont commencé à arriver. Ma fille avait encore plus peur, et elle s’est mise à pleurer en voyant plus de dix pratiquants entrer chez elle.

Je leur ai alors dit de ne pas venir dans les jours qui allaient suivre.

J’ai essayé de trouver un autre endroit pour l’étude du Fa, mais je n’ai pas réussi. Finalement, j’ai pris une décision et j’ai dit à ma fille que je n’allais plus me cacher, puisque le Maître me protège.

Ma fille était d’accord avec moi. Je savais que le site d’étude du Fa collective est arrangé par le Maître et nous allons continuer, peu importe les difficultés qui surgissent.

Traverser les obstacles et bien faire les trois choses

Au cours la pandémie, toutes les communautés résidentielles ont été bloquées et les compagnons de cultivation ne pouvaient pas venir me livrer des documents. Nous ne nous appelions plus non plus par mesure de sécurité. Dans ces circonstances, j’ai récité trois conférences de Fa par jour pendant neuf jours.

J’ai ensuite pensé que je devais sortir pour aider les gens, quelles que soient les circonstances. Je n’avais pas les documents dont j’avais besoin, mais il me restait encore des amulettes de Dafa. Si je ne pouvais pas entrer dans les communautés résidentielles, je pouvais au moins parler aux gardes à l’entrée. Alors j’ai descendu les escaliers avec quelques bonbons qu’il me restait du Nouvel An.

J’ai approché le jeune garde à l’entrée : « Voici quelques friandises pour vous. En raison de la pandémie, plus personne ne vient nous rendre visite, alors ce sont des restants ; mais elles sont très bonnes. »

Il était heureux d’accepter les friandises. Je lui ai ensuite parlé des faits concernant Dafa et lui ai demandé de laisser entrer mes amis quand ils viendraient me rendre visite. Le garde était d’accord en voyant que j’étais si en forme pour mon âge.

Le Maître m’a ensuite donné l’indice de trouver la maison de la compagne de cultivation Yao. De loin, j’ai vu que l’entrée de chez elle était bloquée par des barbelés.

Par chance, j’ai vu qu’il y avait quelques houx près des barbelés. En m’approchant, j’ai vu qu’il y avait une petite ouverture du côté est du filet, qui était juste assez grande pour que je puisse m’y faufiler.

Grâce au Maître, la pratiquante Yao m’a rapidement préparé des dépliants clarifiant les faits et des exemplaires de l’Hebdomadaire Minghui. J’ai sincèrement remercié Yao pour son aide.

Nous comprenons tous que l’objectif d’aider les êtres à démissionner du PCC est pour leur faire comprendre la vraie nature du Parti et les garder en sécurité lorsque le Ciel l’éliminera.

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Traduit de l’anglais