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[Fahui international en ligne] Apprendre le chinois et aider les touristes chinois à démissionner du PCC à un stand d'information

20 juin 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Corée du Sud

(Minghui.org) Bonjour, Maître ! Bonjour, compagnons de cultivation !

J'ai entendu parler du Falun Dafa pour la première fois en août 2004, lorsque j'avais 54 ans. Je l'ai beaucoup chéri et suis restée diligente pour faire les trois choses. J'aimerais partager ici l'importance de la pensée droite dans ma cultivation et ma pratique.

C'est dans un petit parc que j'ai connu Dafa. Cet après-midi-là, un pratiquant plus âgé m'a enseigné quelques exercices, m'a dit que c'était le Falun Dafa et m'a donné un dépliant. Sur le chemin du retour, j'ai vu quelque chose d'extraordinaire. C'était comme s'il y avait une boule de feu (ou une boule de lumière) qui tournait dans le ciel, ce qui a illuminé ma route jusqu'à ce que je rentre chez moi.

En suivant les instructions du dépliant, j'ai trouvé le livre Zhuan Falun sur Internet et j'ai fini de le lire en trois jours. Depuis que je suis jeune, je m'intéresse à la cultivation et à la pratique, et j'attends quelque chose de droit depuis plus de vingt ans. Je savais que le Falun Dafa était ce que j'attendais et j'en étais très heureuse. Au cours des quelques mois suivants, mon bonheur a continué et j'ai également été le témoin de nombreux miracles.

Le Maître a dit :

« Dans les milieux des pratiquants, il y a pas mal de gens qui ont toujours voulu cultiver et pratiquer vers un niveau élevé. Ils ont voyagé partout pour chercher la Loi et ont dépensé beaucoup d’argent, ils ont parcouru le pays en tous sens à la recherche d’un maître célèbre, mais ils n’ont pas trouvé. Être bien connu ne signifie pas forcément bien connaître. » (Huitième Leçon, Zhuan Falun)

Installer un stand d'information dans un lieu touristique

J'ai pris une retraite anticipée en 2009, afin d'avoir plus de temps pour la cultivation et pratique. À cette époque, environ un million de touristes chinois visitaient la Corée du Sud chaque année, et ce nombre augmentait de 20 à 40 % par an. Pour aider les Chinois à connaître les faits sur la persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC), je me suis inscrite à un programme de formation comme guide touristique. Bien que je sois relativement âgée et que le chinois soit difficile à apprendre, je ne craignais pas de perdre la face et j'ai tout de même étudié le chinois pendant deux ans.

Myeong-dong est le centre commercial le plus fréquenté de Séoul. Il est bondé de touristes chinois et l'ambassade de Chine n'est pas loin. C'est donc un endroit important pour informer les gens sur le Falun Dafa et la persécution en Chine, et les aider à se libérer du vicieux PCC. Il y a là deux stands d'information, l'un d'eux était tenu par un couple, qui a ensuite quitté Séoul. Une autre pratiquante et moi-même l'avons alors repris. Mais nous ne pouvions venir que le samedi et le dimanche. Lorsque davantage de pratiquants ont participé aux efforts, une autre pratiquante et moi avons commencé à explorer de nouveaux endroits.

Le Bukchon Hanok Village est un lieu touristique gratuit entretenu par le gouvernement de Séoul. L'architecture et les bâtiments traditionnels attirent chaque jour de nombreux touristes, y compris des Chinois. Lorsque j'ai approché le poste de police responsable de la zone, on m'a dit que les stands d'information n'étaient pas autorisés, car il n'y avait qu'une allée sans trottoirs. Je ne savais pas quoi faire. Puis un policier s'est approché et a dit qu'il avait vu quelqu'un distribuer des dépliants à cet endroit auparavant, et qu'il était donc possible d'obtenir une autorisation. Obtenir l'aide de ce policier n'était pas un hasard et nous l'avions déjà rencontré deux semaines plus tôt.

À ce moment-là, un fonctionnaire chinois de haut rang était en visite en Corée du Sud. Trois d'entre nous, tous pratiquants, sont restés près de l'hôtel, en émettant une forte pensée droite. Trois heures plus tard, cinq policiers nous ont trouvés à l'intérieur. Invoquant une violation des règles, ils nous ont renvoyés de force chez nous dans un fourgon de police.

Il y avait trois policiers dans le véhicule et ils étaient tous silencieux au début. Mais après m'être présentée comme une fonctionnaire à la retraite, ils sont devenus respectueux et la situation a changé. J'ai ensuite raconté comment j'avais commencé à pratiquer le Falun Dafa et les bienfaits physiques et spirituels que j'avais reçus, ainsi que la persécution en Chine. Ils ont écouté attentivement, ont posé des questions, et la conversation s'est très bien passée. L'un des policiers était celui que j'ai rencontré plus tard lorsque j'ai demandé une autorisation pour le Bukchon Hanok Village.

Le policier m'a reconnue à ce moment précis et a approuvé le stand d'information. Selon moi, ce n'était pas un hasard.

Le Maître a dit :

« Clarifier la vérité est la clé aux dix mille pouvoirs. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Loi à Atlanta 2003 », Enseignement du Fa dans les conférences IV)

Le Maître a également dit :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Ma compréhension est que tant que nous avons le cœur pour clarifier la vérité, le Maître nous aidera à transformer quelque chose d'apparemment impossible, en quelque chose de possible.

C'est ainsi que nous avons obtenu un permis pour installer un stand d'information à la petite entrée de Bukchon Hanok Village. La situation s'est améliorée par la suite. Le long de la route, nous avons posé des affiches contre le mur sur 40 mètres de long et avons pu parler aux gens de Dafa ainsi que de la persécution sur le côté de l'entrée de 6 mètres de large.

Les affiches étaient le fruit d'une collaboration entre pratiquants, certains étant chargés de les concevoir et de les produire. Nous avons également mis à jour le contenu de temps en temps. Toute l'année, les pratiquants chinois clarifient les faits aux touristes chinois, tandis que les pratiquants coréens le font avec les autres touristes. C'est devenu un lieu important à Séoul, où les gens peuvent s'informer sur Dafa.

C'est un processus de cultivation, avec des pressions à la fois externes et internes. Un jour, j'ai été convoquée au bureau chargé de ce lieu touristique et réprimandée. On m'a dit que le dépliant que nous avions distribué et les photos exposées contenaient de la violence et des scènes sanglantes, qui ne convenaient pas aux enfants, et que le bureau avait été critiqué par les bureaux supérieurs. Bien qu'un policier m'a crié dessus bruyamment, j'ai écouté calmement. À la fin j'ai répondu : « Donc, le PCC tue des pratiquants innocents et vend leurs organes pour de l'argent, et nous nous contentons de laisser faire ? ». À ces mots, le policier furieux est devenu silencieux et n'a pas pu dire un mot. Cela m'a appris qu'une seule phrase prononcée par un pratiquant ayant une pensée droite a le pouvoir de supprimer les mauvais éléments derrière les gens.

J'ai proposé de remplacer les affiches en question. Mais le pratiquant chargé des documents n'était pas d'accord, et a insisté pour garder le contenu. Je me suis sentie lésée, mais j'ai laissé faire. Après tout, cultiver signifie de se défaire de ses attachements, y compris de renoncer à son ego et de se concentrer sur la collaboration. Avec le pardon et la tolérance, au moins mon xinxing allait s’élever. Plus tard, ce pratiquant a également modifié le contenu des affiches et en a produit d'autres avec le contenu révisé. Elles ont bien fonctionné et, avec le recul, je savais qu'il s'agissait d'un processus de cultivation.

Porter le fardeau et protéger le stand

Il y a un grand espace café dans le centre culturel qui peut accueillir jusqu'à 500 personnes, avec un stationnement pouvant contenir 30 bus touristiques. Il s'agit d'un grand espace café pour les touristes et 90 % des clients viennent de Chine.

Il y a une longue allée jusqu'à l'espace café qui convient à la clarification de la vérité. Au début, seuls deux ou trois pratiquants venaient. Plus tard, lorsque leur nombre est passé à six ou sept, des problèmes sont apparus. Certains pratiquants ont élevé la voix et se sont même disputés avec les touristes. Certains ont même suivi les touristes jusqu'au stationnement pour poursuivre leurs conversations.

Le propriétaire du café était contrarié, disant que cela pouvait diminuer le flot de touristes ou causer des problèmes de sécurité. Certains pratiquants les ont rejetés en disant que c'était important pour nous d'aider les touristes chinois à connaître les faits et à se libérer du PCC. Le propriétaire du café, ainsi que le personnel du centre culturel et du stationnement ont appelé la police pour nous faire partir. Trois employés du café tenaient également des couteaux à la main pour nous menacer. Ils ont dit qu'ils avaient payé un loyer de 20 millions de wons sud-coréens (soit 17 600 dollars ou 14 800 euros) pour cet endroit et que nous ne pouvions pas rester là gratuitement. Agitant un bâton de sécurité à la main, le propriétaire du café nous a également crié dessus en disant que nous devions avoir l'approbation du centre culturel.

Théoriquement, les choses seraient plus faciles si nous pouvions obtenir un permis pour cela. Comme il s'agit d'une propriété privée, ce n'était pas possible. Six d'entre nous sont alors allés voir le président du centre culturel. Trois d'entre nous émettaient la pensée droite et les trois autres se sont rendus au bureau. J'ai expliqué que le centre était une installation parmi les plus grandes installations de Corée du Sud qui sauvegardaient la liberté et la démocratie. Conformément à cela, nous étions des volontaires pour promouvoir la liberté et les droits de l'homme auprès du peuple chinois. Le secrétaire du président a fait signe au président, lui suggérant de ne pas nous approuver. Le président a alors délégué cette tâche à un directeur.

Le directeur et moi avons eu une longue conversation et il a dit non. Je ne me suis pas laissée décourager. « Dans l'espoir d'une société meilleure, nous faisons cela pour embrasser la vertu et apporter des bénédictions », ai-je dit doucement et sérieusement, « si vous pouviez nous aider, vous seriez vous aussi béni… » Avant que je ne m'arrête, le directeur a dit qu'il était catholique et qu'il croyait aussi à la vertu et aux bénédictions. Il nous a raconté quelques histoires du passé et a approuvé notre demande.

Le propriétaire du café en était mécontent. Mais nous avons quand même conclu un accord. C'est-à-dire que nous ne pouvions pas avoir plus de quatre pratiquants à la fois, et nous ne pouvions pas suivre les touristes jusqu'au stationnement.

Grâce aux fortes pensées droites de tous les pratiquants et à l'aide du Maître, nous avons pu conserver ce stand d'information. C'était une occasion pour nous de nous élever ensemble. Mais quand les choses se sont calmées, le harcèlement est arrivé.

Un jour, un groupe de touristes chinois est venu manger. Ils étaient plus d'une vingtaine, relativement jeunes, ils étaient vêtus de vêtements identiques avec les cheveux courts. Alors que le groupe sortait du café, l'un d'entre eux est venu directement et il a écrasé une affiche par terre. J'ai essayé de l'arrêter, mais le reste du groupe s'est approché, me frappant à la tête et me donnant des coups de pied. Une pratiquante a aussi essayé de les arrêter, mais elle a été repoussée et les documents se sont éparpillés sur le sol.

Le chauffeur du bus touristique m'a appelée pour que je signale cette violence collective le plus rapidement possible. Mais le propriétaire du café est venu me prier de ne pas le signaler à la police, car cela ne ferait rien de bon ni à lui ni à moi. J'ai réfléchi pendant un moment. Signaler cela à la police compliquerait les choses, alors que notre objectif était seulement de parler des faits aux touristes chinois.

« Je vous en prie, signalez cela à la police. Je suis votre témoin », a répété le chauffeur de bus.

J'ai dit non. Je n'ai pas du tout ressenti de douleur à ce moment-là. Mais dans les mois qui ont suivi, l'une de mes jambes boitait en marchant à cause de l'inconfort.

Bien que j'ai été battue, je pouvais ressentir la difficulté du propriétaire du café et je ne voulais pas lui causer de problèmes. J'ai donc laissé tomber. Si je pouvais échanger ma souffrance contre l'occasion pour que plus de personnes puissent être sauvées, cela en valait la peine. En regardant à l'intérieur, je me suis rendu compte que je nourrissais un fort attachement – j'avais peur de perdre cet emplacement, ce qui me mettait souvent mal à l'aise. Après cet incident, cependant, je suis devenue beaucoup plus soulagée. Le propriétaire du café ne nous a plus mené la vie dure non plus.

« Peu importe comment une personne cultive et pratique, elle ne peut cacher les cœurs qui n’ont pas été éliminés. Peu importe comment elle cultive et pratique, j’utilise toutes sortes de méthodes pour exposer ses cœurs les plus obstinés, même quand elle pense qu’elle fait le travail le plus sacré. Même quand vous faites du travail pour Dafa, je les ferai quand même se manifester. Cela ne va pas si le travail lui-même ne l’aide pas à s’élever, l’élévation de son xinxing est la priorité numéro un, sa sublimation est la priorité numéro un. » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa des assistants à Changchun)

J'ai trouvé que c'était une occasion que le Maître compatissant utilisait pour m'aider à éliminer l'attachement. De nombreux touristes chinois déjeunent et dînent sur place. Beaucoup d'entre eux y ont appris les faits et ont décidé de démissionner des organisations du PCC.

Surmonter la barrière de la langue et continuer à clarifier les faits

Quand nous parlons avec des Chinois sur les sites touristiques, nous, les Coréens, sommes aux prises avec une importante barrière de langue. Certains pratiquants chinois ont traduit certaines phrases courantes en chinois et ont même fait des enregistrements audio, ce qui m'a beaucoup aidée. Les phrases courantes que je dis souvent aux gens sont : « Je suis Coréenne. La Corée du Sud est un pays démocratique qui bénéficie de la liberté d'expression et de la liberté de croyance. Pourquoi devez-vous démissionner des organisations du PCC ? Parce que la Chine a une histoire de milliers d'années de culture d'inspiration divine. Nous croyons à la culture traditionnelle chinoise, pas au marxisme ni au léninisme. Le communisme est athée et ses membres ne seront pas protégés par le divin quand les catastrophes arriveront. »

En voyant une Coréenne parler chinois, ces touristes sont souvent curieux et posent beaucoup de questions : « Où ai-je appris le chinois ? Combien d'argent est-ce que je gagne par jour ? Quel est mon salaire à mon travail journalier ? » Je leur dis que je suis une pratiquante de Falun Dafa et je leur explique comment Dafa est arrivé en Corée du Sud. Ces mots sont très efficaces. Puisque je leur parle comme à des amis, ils n'ont pas peur et démissionnent facilement des organisations du PCC. Certains d'entre eux disent que mon chinois est très bon, et certains veulent me serrer la main. D'autres me font le signe du pouce en l'air.

Une fois, il y avait un jeune homme qui lisait les affiches. J'ai discuté avec lui pendant un moment et il a accepté de démissionner des organisations du PCC. Fait intéressant, chaque fois que je disais quelque chose, il le répétait. En conséquence, plus d'une vingtaine de touristes derrière lui ont aussi entendu ce que j'ai dit. « L'incident des auto-immolations a été mis en scène par le PCC. Pensez-y, la place Tiananmen est si grande, comment la police pourrait-elle trouver des extincteurs et des couvertures anti-feu en une ou deux minutes ? » et j'ajoute : « Les gens disent que le bien est récompensé par le bien et le mal par le mal. C'est une loi du ciel. Le PCC a commis de nombreux méfaits, s'il vous plaît, ne le suivez pas et ne devenez pas ses boucs émissaires… » Les gens ont entendu notre conversation et environ la moitié d'entre eux ont démissionné des organisations du PCC.

Une autre fois, j'ai vu un jeune homme assis par terre en train de lire des documents. Après que je l'ai salué, il m'a posé quelques questions telles que l'endroit où je vivais, quand j'ai commencé à pratiquer, et où se trouve Maître Li (le fondateur du Falun Dafa). Il a aussi posé quelques questions personnelles. Bien que soupçonnant qu'il puisse être un espion, j'ai quand même répondu à ses questions et lui ai expliqué le Falun Dafa. Soudain, j'ai remarqué des larmes dans ses yeux. Après son départ, j'ai réfléchi et j'ai deviné qu'il avait peut-être été un pratiquant dans le passé. J'aurais dû lui dire : « Tu sais, le Maître t'attend. »

Un cœur pur est la clé. Lorsque je parle avec des touristes chinois, je les regarde et j'explique les choses sincèrement. Ils me regardent aussi dans les yeux et voient mon honnêteté. Si j'ai l'attachement à l'exaltation en pensant que cette personne devrait être sauvée, la plupart du temps, les choses ne fonctionnent pas.

Un jour, il y a eu beaucoup d'interférences. Alors que j'expliquais la persécution et le fait de démissionner du PCC à un touriste, des personnes –des membres de sa famille, ou d'autres touristes – venaient interrompre la conversation. Trois personnes, seulement, ont démissionné des organisations du PCC ce jour-là. La même chose s'est reproduite le lendemain. En regardant à l'intérieur, j'ai compris que je n'avais pas suffisamment étudié le Fa et que je m'étais juste concentrée sur l'action. Le troisième jour, j'ai étudié le Fa avant de sortir. Quarante-trois personnes ont démissionné des organisations du PCC ce jour-là, et 35 le lendemain. Ma compréhension est que le Maître nous aide toujours. Nous avons juste besoin de faire en sorte que cela se produise. En fait, lorsque je clarifie les faits aux gens, je peux me déplacer avec agilité et je ne me sens pas du tout fatiguée.

Les guides touristiques mangent souvent rapidement et ils sortent les premiers pour attendre les touristes. Je discute souvent avec eux. « J'aime beaucoup votre travail. Vous savez, nous sommes aussi ici pour faire de bonnes actions, aider les autres et accumuler de la vertu », leur dis-je souvent. « Peut-être que des personnes intelligentes comme vous connaissent bien le Falun Dafa. Mais beaucoup de touristes ordinaires ne croient que la propagande du PCC. Puisqu'ils sortent [de Chine], c'est une bonne occasion pour eux de découvrir les faits. »

Je continue en disant : « Accumuler de la vertu quand on est jeune nous apportera plus tard des bienfaits de santé et de bonheur. » Les guides touristiques acceptent alors et permettent aux touristes d'accepter des documents d'information. De nombreux guides touristiques ont également démissionné du PCC.

Nous donnons aussi des DVD contenant des informations sur le Falun Dafa en cadeau à certains chauffeurs de bus qui ont l'esprit ouvert. Après que les guides touristiques, les chauffeurs et les policiers ont appris les faits, nous avons subi peu de pressions extérieures.

Mon intention était qu'une fois que j’aurais atteint mon objectif d’augmenter le nombre de personnes démissionnant du PCC, je l'augmenterais. Après avoir dépassé le chiffre de 5000, j'ai augmenté mon objectif à 10 000. J'ai maintenant atteint 87 % de mon objectif. Il y a des jours où je n'ai pas envie de sortir pour clarifier la vérité, comme quand il neige ou qu'il pleut et les jours fériés. Et je me rappelle toujours que je dois surmonter l'attachement au confort et sortir plus souvent.

Résumé

Un jour, nous avons signé un contrat pour afficher 800 photos dans 100 wagons de métro afin de dénoncer la brutalité du PCC concernant les prélèvements forcés d'organes. Le lendemain de la signature du contrat, dès que je suis sortie, un parfum de paix et de fleurs de lilas m'a envahie. Tout mon corps s'est détendu, ma peau est devenue plus lisse. À travers mon œil céleste, j'ai pu voir une couche de substance semblable à un filet de pêche m'enveloppant remonter à partir de mes chevilles, passer devant ma tête et se diriger vers le ciel avant d'y disparaître. J'ai alors ressenti une sensation sans précédent d'être tellement détendue et libre. Ce sentiment de libération était indescriptible. Nous savons qu'une fois que nous faisons quelque chose de bien, le Maître nous donne encore davantage.

Les principes du Falun Dafa sont profonds. En continuant à lire ces livres, toutes mes questions ont trouvé des réponses. Plus j'abandonne mes attachements, plus je gagne en compréhension. La cultivation est si merveilleuse.

J'ai passé environ huit mois à copier à la main le Zhuan Falun. J'ai aussi passé deux ans à mémoriser le livre, paragraphe par paragraphe. J'ai pu apprendre le chinois et le Fa en même temps. Je suis très contente.

En faisant la méditation un jour de juillet 2019, j'ai vu un nuage blanc dans le ciel. J'ai eu le sentiment que le ciel était comme mon vrai moi, et que les nuages pouvaient représenter mes attachements, mes désirs et toutes sortes de conceptions. À ce moment-là, j'étais dans le nuage qui descendait petit à petit. Si cela continuait ainsi, mon corps physique mourrait. Au sommet du nuage, je continuais à sauter vers le haut. À ce moment-là, j'ai instantanément perdu connaissance, comme si j'avais été électrocutée à mort.

J'ai alors compris que puisque j'avais déjà une existence physique entre le ciel et la terre, de quoi d'autre avais-je besoin ? J'ai eu la sensation que mon véritable moi et mon corps physique avaient fusionné.

Après cette expérience, je suis devenue très heureuse au plus profond de mon cœur. Beaucoup de choses, y compris la solitude, ne me dérangent plus.

Sur le chemin de cultivation arrangé par le Maître, lorsque nous rencontrons des difficultés, nous devons constamment nous donner des défis et faire des percées. Il peut y avoir de la peur et des difficultés, mais pas de danger. Ma compréhension est que la pensée droite inclut le courage et l'élévation constante de nous-mêmes.

Merci, Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

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Traduit de l'anglais