(Minghui.org) C'est au collège que M. Shu Anqing a commencé la pratique du Falun Gong, qui est une discipline de l’esprit et du corps, également connu sous le nom de Falun Dafa. Sa rhinite a rapidement disparu, et sa mémoire, autrefois défaillante, s'est améliorée. Il a été tellement impressionné que, après avoir obtenu son diplôme, il a présenté le Falun Gong à ses parents lorsqu'il est retourné dans sa ville natale du district de Lu, dans la province du Sichuan.
Ses parents ont rapidement retrouvé la santé eux aussi. Son père, en particulier, a vu son dos voûté à 90 degrés se redresser, et son asthme disparaître. Il a pu à nouveau effectuer des travaux agricoles.
En vivant selon le principe du Falun Gong, Authenticité-Bienveillance-Tolérance, la famille est devenue plus harmonieuse et plus soucieuse des autres.
Cependant, après le début de la persécution du Falun Gong en 1999, M. Shu a non seulement été licencié, mais il a également été envoyé deux fois en camp de travail, suivi de trois ans et demi d'emprisonnement. Son père est mort en s'inquiétant de ses arrestations répétées.
M. Shu est devenu veuf lorsque son fils avait 4 ans. Sa mère l'aidait à s'occuper de son garçon lorsque M. Shu était au travail ou en détention pour sa croyance. Le garçon a grandi dans la peur.
À ce jour, la police locale a harcelé à plusieurs reprises M. Shu et sa mère, Mme Yang Wenxiu, âgée de 77 ans, au cours de la récente campagne « Plan zéro » visant à forcer tous les pratiquants de Falun Gong figurant sur la liste noire du gouvernement à renoncer à leur croyance.
Le dernier épisode de harcèlement a eu lieu le 24 mai 2021, lorsque la police a d'abord fait voler un drone au-dessus du domicile que partagent Mme Yang et son fils. Après avoir confirmé qu'il y avait quelqu'un à la maison, ils sont venus harceler Mme Yang. Celle-ci a refusé de renoncer à sa croyance, et la police a installé des caméras de surveillance autour de son immeuble quelques jours plus tard.
Stupéfait par une expérience étonnante avec le Falun Gong
M. Shu a grandi dans une petite ville appelée Shima, dans le district de Lu, et est allé à l'université en 1991. Mais le choc entre les valeurs traditionnelles et le matérialisme de la vie moderne l'a rendu confus et désorienté. Pour aggraver les choses, il souffrait de rhinite depuis six ans lorsqu'il a commencé l'université. Cette maladie lui a également causé des troubles de la mémoire. Il souffrait également de temps en temps d'un estomac ballonné.
Il a commencé à s'inquiéter pour son avenir, car il savait qu'il avait besoin d'une bonne santé et d'une bonne mémoire pour poursuivre son rêve, quel qu'il soit.
Il a pensé aux pratiques de qigong, mais a réalisé qu'il ne pouvait pas payer les cours. Heureusement, quelqu'un lui a recommandé le Falun Gong en 1995 et lui a dit que c'était gratuit.
Il a sauté sur l'occasion et a appris les exercices de Falun Gong auprès d'un bénévole. Ce soir-là, il est allé voir un film en plein air sur le campus et la température a soudainement chuté. Même s'il faisait très froid, il a été surpris de constater que son corps était enveloppé d'énergie et qu'il n'avait pas du tout froid. De plus, il a soudain senti des fleurs, alors qu'il souffrait de rhinite depuis des années. L'odeur l'a suivi jusqu'à son dortoir et y est restée pendant un bon moment. Il était étonné que tout cela se soit produit quelques heures seulement après avoir appris les exercices de Falun Gong.
Quelques jours plus tard, un pratiquant lui a prêté un exemplaire des livres Falun Gong et Zhuan Falun. Après avoir lu les livres, il a réalisé que le Maître avait purifié son corps.
Malgré cela, il était encore influencé par la science et les conceptions modernes et ne croyait pas vraiment que ce qui s'était passé était réel. Mais une autre expérience, environ une semaine plus tard, a totalement changé son état d'esprit.
C'était un dimanche matin, alors qu'il faisait le deuxième exercice de Falun Gong seul sur le campus. Lorsqu'il a changé la position de « Porter la roue devant le bas-ventre » à « Tenir la roue au-dessus de la tête », il a soudain vu un objet rond (Falun) tourner dans le sens des aiguilles d'une montre et dans le sens inverse entre ses bras. La force de la rotation faisait même légèrement trembler ses bras. Il a senti que ses bras devenaient très légers et incroyablement merveilleux. Il utilisait ses paumes pour presser doucement le Falun afin qu'il ne flotte pas vers le haut. Cet état a duré jusqu'à ce qu'il ait terminé le deuxième exercice.
Il était stupéfait par ce qu'il avait expérimenté et était totalement convaincu que ce que le Maître avait dit dans les livres était réel. Il s'est soudain rendu compte que les anciens principes selon lesquels le bien et le mal sont récompensés en conséquence étaient également réels. Sa vision athée du monde s'est immédiatement effondrée et il a commencé à croire en l'existence du divin.
Les parents en bénéficient également
M. Shu a obtenu son diplôme universitaire environ un mois après avoir commencé la pratique du Falun Gong. Il a trouvé un emploi dans sa ville natale et a présenté la pratique à ses parents.
Sa mère, Mme Yang, s'est rapidement remise de ses maladies chroniques. Le dos de son père, courbé à 90 degrés, est redevenu normal et son asthme a également disparu. M. Shu, plus âgé, a pu lui aussi effectuer des travaux agricoles.
L'amélioration morale de la famille était également considérable. Une fois, un voisin a déversé de l'eau dans la rizière de la famille pour irriguer ses propres terres. Au lieu de se disputer avec le voisin comme le feraient la plupart des villageois, la famille l'a simplement ignoré.
Une autre fois, Mme Yang a rencontré la belle-mère de M. Shu et a été injuriée par elle pour avoir « maltraité sa fille ». L'incident s'est produit sur un marché de producteurs, sous le regard de nombreuses personnes. Mais Mme Yang est restée calme et n'a pas répliqué. Plus tard, la belle-mère de M. Shu a réalisé qu'il s'agissait d'un malentendu et que sa fille n'avait jamais été maltraitée. Les deux familles se sont donc réconciliées.
Mme Yang a dit une fois : « Non seulement nous sommes en meilleure santé, mais nous avons aussi changé notre vision du monde après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong. Nous sommes devenus plus droits, plus gentils et plus tolérants. Nous ne nous plaignons plus des choses injustes et nous n'en voulons plus à ceux qui maltraitent les autres. Par conséquent, nous avons une famille harmonieuse et nous nous entendons bien avec nos voisins. Nous menons une vie heureuse et sans souci. »
Impressionnés par les changements de la famille, de nombreux villageois les ont rejoints dans la pratique du Falun Gong. Parfois, 70 ou 80 villageois font les exercices ensemble au domicile de Mme Yang. Ceux qui souffraient de maladies tenaces se sont rétablis. De nombreux fumeurs et buveurs excessifs abandonnèrent leurs mauvaises habitudes.
Perte d'emploi
Après avoir obtenu son diplôme universitaire, M. Shu a travaillé au bureau de l'énergie électrique de sa ville natale. En tant que directeur du poste de transformation de Linzhuang, il n'emportait aucun objet chez lui. Lorsque certains employés emportaient des ampoules chez eux et que cela affectait le travail, il apportait même ses propres ampoules de chez lui pour éviter les retards dans le travail.
En outre, en raison d'une erreur du Bureau du travail et de la gestion, il a obtenu le titre d'ingénieur un an plus tard que ses pairs, ce qui lui a fait perdre environ 10 000 yuans d'augmentation de salaire accordée aux personnes promues ingénieurs. Certains de ses collègues lui ont dit de se disputer pour récupérer l'argent, mais M. Shu n'en a tout simplement pas tenu compte. Il a dit : « Si je n'avais pas pratiqué le Falun Gong, je n'aurais pas été capable de gérer cette affaire de cette façon. Je me suis rendu compte que la personne en charge de la promotion n'avait pas provoqué ce retard volontairement. Je ne peux pas lui rendre la vie plus difficile à cause de moi. »
Le fait d'être moins obsédé par son intérêt personnel a fait de lui une personne plus heureuse, a dit M. Shu.
Avant que M. Shu ne devienne directeur, il y avait deux à quatre postes rémunérés au poste de transformation de Linzhuang. Cependant, après son arrivée, tous les autres postes ont été supprimés et il s'est retrouvé à faire tout seul le travail de deux personnes ou plus. En outre, il a obtenu le titre d'excellent expert technique au niveau de la province lors d'un concours technique, et a remporté la première place au concours technologique de transformation de l'énergie de la ville de Luzhou. Son poste de transformation a également reçu le prix du meilleur poste de transformation de la ville.
Cependant, M. Shu n'a pas reçu de prix en argent malgré ses réalisations, alors que tous les lauréats ont reçu des récompenses financières. M. Shu n'était pas du tout contrarié et a continué à travailler dur dans son travail. Il a dit qu'il ressentait de la joie au plus profond de son cœur en prenant à la légère la gloire et les intérêts personnels.
Mais tout cela a changé après le début de la répression du Falun Gong en juillet 1999. Les responsables ont alors parlé avec M. Shu tous les jours et l'ont exhorté à abandonner la pratique. Ils l'ont ensuite menacé pour qu'il démissionne, faute de quoi, ils ont dit qu'ils retiendraient les primes de tous les autres employés. Afin d'éviter que les autres employés n'en veuillent au Falun Gong, M. Shu a été contraint de démissionner.
Le jour où il a présenté sa démission, il a été arrêté par une collègue au moment où il rentrait chez lui. Elle lui a demandé de signer un document pour lui transférer le nouvel appartement qui lui avait été attribué. Elle avait la permission de son supérieur. Ainsi, M. Shu a perdu l'appartement financé par son employeur avant même d'y emménager.
Arrestation, détention et harcèlement
M. Shu et sa mère, Mme Yang, ont tous deux énormément souffert au cours des vingt-deux années qui ont suivi le début des persécutions, le 20 juillet 1999.
Deux jours après le début des persécutions, des fonctionnaires se sont rendus chez Mme Yang et ont confisqué ses livres sur le Falun Gong et le portrait du fondateur du Falun Gong. Ils sont revenus la harceler périodiquement.
Après avoir perdu son emploi, M. Shu a trouvé un poste d'enseignant dans un lycée professionnel. Un jour, en rentrant chez lui après le travail, il a été arrêté par des agents du Bureau de la sécurité d'État et du Bureau 610. Ils ont saccagé son domicile et l'ont détenu pendant la nuit.
En décembre 2000, la mère et le fils se sont rendus à Pékin pour faire appel en justice en faveur du Falun Gong. Mme Yang a été détenue pendant plus de trois mois avant de rentrer chez elle. M. Shu a été détenu au poste de police de Xicheng, à Pékin, où il a été battu par la police comme des dizaines d'autres pratiquants détenus. Après avoir été renvoyé, il a été condamné à un an et demi de camp de travail.
Les gardiens du camp de travail de Xinhua ont torturé M. Shu pour le forcer à renoncer à sa croyance. Les méthodes de torture comprenaient le tabassage, les humiliations, le fait de s'accroupir, de rester immobile pendant une longue période et le lavage de cerveau.
Tabassage
Un jour de novembre 2002, des agents du Bureau 610 du district de Lu et du poste de police de Yunjin se sont présentés au domicile de Mme Yang. Ils ont fouillé l'endroit, confisqué une cassette d'exercices et ont envoyé Mme Yang au centre de détention du district de Lu. Elle a ensuite été transférée au camp de travail de Nanmusi pour une durée d'un an. Pendant la détention de Mme Yang, les gardiens l'ont menacée, insultée, l'ont laissée sous le soleil pendant de longues périodes et l'ont forcée à rester assise sur un petit tabouret pendant une longue période.
Forcé de rester assis sur un petit tabouret pendant une longue période
Le harcèlement fréquent a fait perdre à M. Shu son emploi au lycée professionnel. Pour gagner sa vie, il a aidé des gens à réparer des appareils ménagers. M. Shu s'est progressivement forgé une bonne réputation dans la réparation d'appareils électroménagers. Ses clients étaient très satisfaits de la qualité de son travail, de son dévouement et de son prix raisonnable, et ils le recommandaient souvent à d'autres personnes.
Mais le Bureau 610 du district de Jiangyang, à Luzhou, n'a pas cessé de persécuter M. Shu. Ils ont posté des agents devant son atelier de réparation et l'ont surveillé pendant longtemps. Pour éviter d'être à nouveau arrêté, M. Shu a dû laisser ses parents âgés et son jeune enfant derrière lui, et se rendre à d'autres endroits.
En 2012, la police du district de Gulin a arrêté M. Shu et prévu de le condamner, ce qui a porté un coup dur à son père, qui avait déjà vécu en permanence dans le stress et l'inquiétude pour M. Shu et sa famille. L'homme âgé est tombé malade et est mort plus tard alors que M. Shu était en prison.
Après que la femme de M. Shu est morte à un jeune âge, son fils a été élevé par Mme Yang. Lorsqu'il a été contraint de s'absenter de la maison et a été placé en détention, la famille n'avait aucun revenu. Mme Yang et son petit-fils ont mené une vie pauvre et misérable. La famille autrefois heureuse était désormais brisée.
Le 30 juillet 2012, le tribunal du district de Gulin a jugé M. Shu et deux autres pratiquants au centre de détention de Luzhou. Mme Yang et son petit-fils sont également venus clarifier la vérité aux gens sur le Falun Gong à l'extérieur de la salle d'audience.
Mme Yang a dit à son petit-fils de dire à la police que son père était une bonne personne et qu'il n'avait enfreint aucune loi. Le garçon a relayé ces paroles à la police. Attristé par leur vie tragique, quelqu'un a offert 200 yuans à Mme Yang pour aider financièrement la famille.
Harcèlement fréquent
Ce n'est qu'en mai 2016 que M. Shu est rentré chez lui après trois ans et demi d'emprisonnement. Depuis, les autorités du PCC n'ont cessé de venir les harceler, lui et sa mère, surtout après qu'ils ont déménagé dans une communauté de Longnan Road il y a plusieurs années. Les policiers venaient souvent et à n'importe quelle heure, même à 21 heures.
Un jour en 2020, la police locale a demandé à M. Shu de venir pour une « discussion » après le travail. Pendant qu'un policier discutait avec lui, un autre policier prenait des photos. Il y avait une politique officielle qui exigeait que la police recueille les informations personnelles des pratiquants, leur numéro de carte d'identité, leur numéro de téléphone, leur adresse et leur photo, et qu'elle mène des « entretiens » périodiques.
En outre, la police a également appelé M. Shu à son travail et s'est rendue chez lui pour harceler sa mère.
Le harcèlement pendant la campagne « Plan zéro »
Ce harcèlement s'est aggravé en 2021. La police venait parfois une fois par semaine, mais Mme Yang refusait d'ouvrir la porte.
Le 24 mai 2021, la police a d'abord fait voler un drone au-dessus de la maison de Mme Yang pour vérifier s'il y avait quelqu'un à la maison. Après avoir confirmé que quelqu'un était à la maison, ils sont venus chez elle vers 16 heures. M. Yang n'a pas ouvert la porte.
Lorsqu'elle est sortie pour jeter les ordures une heure plus tard, sept ou huit hommes sont arrivés et l'ont encerclée. Un seul d'entre eux portait un uniforme de police.
Ces personnes ont dit qu'elles étaient du poste de police de Hongxing et lui ont demandé d'aller à l'intérieur de son appartement pour avoir une discussion. Mme Yang a répondu qu'ils pouvaient simplement parler dehors, et un policier a dit que ce ne serait pas bon pour les autres d'entendre leur conversation.
Mme Yang a répondu qu'elle n'avait rien à cacher au public, mais la police a insisté pour qu'ils entrent dans son appartement. Elle a accepté de ne laisser entrer que trois d'entre eux, mais ils ont tous suivi à l'intérieur. Elle a protesté et celui qui était en uniforme a fait partir les autres policiers.
Mme Yang a exigé de connaître le nom et le titre des trois hommes. Personne n'a répondu. Celui qui était en uniforme ne portait pas de badge de police. Ils ont dit qu'ils étaient venus pour lui faire signer des déclarations de renoncement au Falun Gong. Mme Yang leur a expliqué ce qu'était le Falun Gong et comment elle en avait bénéficié au fil des ans.
Elle a donné deux exemples : « Une fois, j'ai été renversée par une voiture et j'ai eu du sang dans mes selles pendant plusieurs jours. Je me suis rétablie sans aucun traitement médical. Je savais que mon Maître m'avait protégée. Après que mon fils et moi ayons emménagé dans cet appartement, j'ai fait une chute et me suis cassé la vertèbre lombaire. Je suis devenue grabataire, mais le Maître m'a encore aidée. Un jour, j'ai entendu des sons provenant de ma colonne vertébrale. Très vite, j'ai été capable de sortir du lit et de me tenir debout sans aucune aide. Sans l'aide du Maître, comment aurais-je pu, moi, une dame âgée de 70 ans, me rétablir aussi rapidement ? »
Elle a également expliqué comment le Falun Gong lui a appris, ainsi qu'aux autres pratiquants, à être de bonnes personnes qui ne profitent jamais des autres.
La police a répondu en disant que le Falun Gong avait commis les auto-immolations sur la place Tiananmen le 23 janvier 2001. Mme Yang a réfuté cela, disant qu'il s'agissait d'un coup monté mis en scène par le régime communiste pour diffamer le Falun Gong.
La police a refusé d'écouter et a sorti des déclarations préparées. Un policier a dit : « C'est la tâche qui nous a été donnée d'accomplir avant le centenaire du Parti communiste chinois. Chaque pratiquant doit signer. Je dis que vous devez simplement signer les déclarations. Je me moque que vous fassiez vos exercices à la maison. Dès que vous aurez signé les documents, nous partirons et nous ne vous ennuierons plus jamais. »
Mme Yang a refusé d'obtempérer et la police a menacé que son petit fils ait des difficultés à entrer à l'université ou à trouver un emploi à cause d'elle. Ils l'ont accusée d'être égoïste.
Ils lui ont demandé pourquoi elle s'était installée dans leur juridiction et n'était pas restée dans son propre village. Elle a répondu qu'il était tout à fait normal que les parents vivent avec leurs enfants adultes. Elle a déménagé ici pour vivre avec son fils, et il n'y a rien de mal à cela.
La police lui a alors dit qu'elle pouvait simplement dessiner un cercle ou apposer ses empreintes digitales au lieu de signer son nom.
Elle a répondu : « Même si vous obligez mon fils à me mettre dehors, je ne signerai toujours pas mon nom. »
Quelques jours plus tard, plusieurs caméras de surveillance ont été installées autour de l'immeuble de Mme Yang.
À partir de l'expérience de Mme Yang et de M. Shu, nous pouvons dire comment la police et les responsables locaux ont continué à harceler les pratiquants innocents de Falun Gong. Au lieu de suivre aveuglément le PCC pour persécuter les gens, nous espérons que davantage de responsables comprendront la situation et soutiendront les pratiquants et leurs droits fondamentaux.
Tous les articles, graphiques et contenus publiés sur Minghui.org sont protégés par les droits d'auteur. La reproduction non commerciale est autorisée, mais doit être accompagnée du titre de l’article et d'un lien vers l’article original.
Traduit de l'anglais