(Minghui.org) Bonjour, Maître ! Bonjour, compagnons de cultivation !

Lorsque j’ai commencé à m’impliquer dans la traduction du site web de Minghui, je participais également à d’autres projets. J’ai progressivement réalisé que même si j’y consacrais toute mon énergie après le travail, il me restait peu de temps à consacrer à la traduction si j’étais également impliquée dans d’autres projets.

J’ai essayé d’équilibrer la charge de travail entre la traduction des articles de Minghui et les autres projets, mais j’ai eu du mal à savoir combien de temps et d’énergie je devais consacrer à la traduction. À cette époque, le service des ressources humaines de mon entreprise m’a demandé d’augmenter ma charge de travail, en passant d’un emploi à temps partiel à un emploi à temps plein. L’entreprise m’a expliqué qu’un emploi à temps partiel ne fonctionnait que lorsqu’il n’y avait pas assez de travail. Elle a également déclaré que la gestion d’une équipe composée de nombreux travailleurs à temps partiel était moins efficace et plus difficile.

J’ai réalisé que rien n’était accidentel. J’ai regardé à l’intérieur et j’ai examiné les raisons pour lesquelles je voulais accepter plus de projets. Était-ce parce qu’il n’y avait pas assez d’attributions de traduction ? Au contraire, nous étions trop occupés pour terminer à temps les traductions qui nous étaient confiées. Alors pourquoi voulais-je accepter du travail d’autres projets alors que j’avais tant de traductions qui m’étaient attribuées ? En m’examinant de plus près, j’ai découvert que c’était parce que je manquais de confiance dans le projet de traduction Minghui. L’équipe de traduction étant très confidentielle, je ne pouvais pas savoir combien de personnes lisaient les articles que je traduisais, ni si mon travail permettait de sauver des gens. Pour cette raison, je n’avais pas confiance en l’importance de ce projet et je m’inquiétais souvent que si je ne participais pas à d’autres projets, je pourrais prendre du retard dans le processus de la rectification de Fa.

Le Maître a dit :

« Les disciples de Dafa, quoi qu’ils fassent, doivent impérativement être sérieux et appliqués, s’appliquer de tout leur cœur, sans s’attacher au temps, ne pas penser à trop de choses. Tu dois impérativement bien faire ce que tu dois faire de tout ton cœur, cette chose-là sera entièrement bien faite. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de New York 2014 » Enseignements du Fa dans les conférences XII)

J’ai découvert mon attachement à la conception de « le voir pour le croire », dont j’ai compris qu’elle provenait de la culture du Parti communiste chinois (PCC) et de l’athéisme. Après avoir identifié cet attachement, j’ai décidé de l’éliminer et d’être une traductrice entièrement dévouée à Minghui. Bien sûr, je ferais tout mon possible si mon aide est requise ailleurs, mais j’ai décidé de ne pas entreprendre d’autres projets à long terme à moins d’avoir peu d’attributions de traduction.

J’ai progressivement décidé de me concentrer sur la traduction pour Minghui. J’ai traduit des articles tous les jours à partir du jour où j’ai pris ma décision, tant que j’avais accès à un ordinateur.

Au début, il n’était pas facile de s’y tenir. Lorsque je sortais pour participer à d’autres activités de clarification de la vérité et que je rentrais tard, je voulais prendre une pause dans la traduction. Je pensais que j’avais déjà clarifié la vérité, ce qui est l’une des trois choses que le Maître nous a demandé de faire.

Je me suis dit que je ne suivrais pas cette pensée, car elle pourrait ne pas provenir de mon moi véritable. J’ai plutôt examiné ce qui avait généré cette pensée de ne pas vouloir travailler sur la traduction après une longue journée passée à faire d’autres activités de Dafa. J’ai découvert que je pensais souvent inconsciemment dans mon esprit à laquelle des trois choses j’avais faite ce jour-là. J’ai réalisé que derrière cette pensée se cachait l’idée de traiter ces trois choses comme un devoir supplémentaire. Quand j’ai eu cette pensée, me suis-je traitée comme une particule de Fa ? Cela ne venait-il pas de la nature égoïste de l’ancien univers ?

Puisque je suis une particule du Fa, saisir toutes les occasions que j’ai pour faire tout ce que je peux pour sauver les gens est la raison pour laquelle je suis ici. Après avoir réalisé cela, j’ai traduit tous les jours, quelle que soit ma fatigue, sauf lorsque j’étais en déplacement et que je ne pouvais pas accéder à Internet. Faire cela jour après jour est devenu une responsabilité, ma routine quotidienne, et une partie de ma vie.

Même si je me suis concentrée sur la traduction, je ne m’en suis pas servi comme excuse pour dissimuler mon attachement au confort et éviter de sortir pour parler aux gens du Falun Dafa et de la persécution. Je me rends dans les attractions touristiques locales chaque week-end, qu’il pleuve ou qu’il vente, pour clarifier la vérité en face à face. J’ai découvert que clarifier la vérité en personne m’aide beaucoup dans la traduction. En parlant avec des Occidentaux, j’ai vu les différences entre les cultures chinoise et occidentale et nos différentes façons de penser. J’ai mieux compris pourquoi nous, l’équipe de traduction, ne pouvons pas traduire mécaniquement du chinois en anglais. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour traduire l’article dans un langage que les Occidentaux peuvent facilement comprendre et accepter.

En remplissant ma promesse de faire les traductions du Minghui tous les jours et de les faire sincèrement, je suis devenu plus pragmatique et j’ai progressé dans ma cultivation.

Ne plus être contrôlée par les téléphones portables et cultiver la parole

De nos jours, les gens sont contrôlés par leurs téléphones portables. C’est comme s’ils ne pouvaient rien faire sans eux. Je n’ai jamais pensé que j’avais un attachement à mon téléphone portable, car je ne visitais pas les sites web ou les médias autonomes des gens ordinaires. Je n’ai découvert cet attachement caché qu’après m’être consacrée au travail de traduction de Minghui.

Un soir, alors que je traduisais des articles, ma productivité était faible, car je m’arrêtais souvent pour prendre des appels téléphoniques et répondre à des textos. J’ai travaillé pendant des heures, mais je n’ai pratiquement rien accompli. J’étais frustrée et j’avais l’impression de ne pas avoir tenu ma promesse envers le projet de traduction. J’ai pensé : « Le téléphone n’est qu’un appareil et un outil. En tant que disciple de Dafa, comment mon comportement peut-il être dirigé et contrôlé par un outil de communication ? »

Lorsque j’ai examiné mes appels entrants et sortants, j’ai été surprise de constater que la plupart des appels téléphoniques que j’avais passés, que ce soit avec des non-pratiquants ou des pratiquants, étaient complètement inutiles, et que beaucoup de choses que j’ai dites étaient inappropriées. De nombreux appels téléphoniques avec des non-pratiquants étaient motivés par ma recherche de la renommée, du gain personnel, et mon attachement à me faire valoir et à vouloir me mêler des affaires des autres. De nombreux appels téléphoniques avec des pratiquants ont commencé par un partage d’expérience, mais se sont vite terminés par des ragots insensés.

En me mesurant aux enseignements du Fa, j’ai réalisé que je n’atteignais pas le critère de la cultivation de la parole requis par le Maître. J’ai immédiatement ajusté la façon dont j’utilisais mon téléphone portable lorsque j’ai réalisé que j’avais cette grande faille dans ma cultivation. À partir de ce moment, j’ai mis mon téléphone portable en sourdine lorsque je travaille sur des traductions et je ne l’ai utilisé que lorsque je faisais la navette ou pendant ma pause au travail. J’ai mémorisé le Fa du Maître relatif à la cultivation de la parole. J’ai également émis la pensée droite pour éliminer les conceptions fausses, la culture du PCC et les attachements qui m’empêchaient de faire attention à ce que je disais.

Au début, les notifications fréquentes de mon téléphone portable m’attiraient, et je voulais le prendre et le regarder. Certaines personnes se sont plaintes que je ne répondais pas au téléphone. Mais après avoir élevé mon xinxing, et lorsque j’ai mieux cultivé la parole, je n’ai plus reçu d’appels téléphoniques sans signification.

Mes contacts avec mes compagnons de cultivation et mes amis n’ont pas été affectés du tout. En outre, mon esprit est devenu beaucoup plus calme et pur lorsque j’ai éliminé mes attachements, cultivé la parole et mesuré ce que je disais avec le Fa. J’étais plus concentrée lorsque j’étudiais le Fa, je faisais les exercices et j’émettais la pensée droite. Je voulais simplement faire plus de traductions et me concentrer tranquillement pour bien les faire. Grâce à cette pensée de responsabilité envers le projet, ma cultivation s’est grandement élevée.

Comprendre s’il faut ou non réécrire l’article chinois

Notre équipe a eu plusieurs discussions sur l’idée de réécrire ou non les articles chinois originaux lorsque nous les traduisons. J’aimerais vous parler du processus que j’ai suivi pour comprendre cette question.

J’ai appris les principes de traduction de la fidélité, de l’expressivité et de l’élégance en étudiant la traduction anglaise à l’université. Pendant de nombreuses années, je n’ai retenu que le principe de fidélité. Je pensais que nous devions traduire le texte original mot à mot.

Par conséquent, lorsque je traduisais, même si le texte chinois avait beaucoup de place à l’amélioration, je le traduisais quand même avec entêtement. Je pensais : « Ce n’est pas ma responsabilité. L’auteur l’a simplement écrit de cette façon. C’est aux lecteurs d’aimer ou pas. » Sur la base de cette pensée, les premières années, je n’acceptais souvent pas les modifications apportées par les éditeurs, car j’avais l’impression qu’ils changeaient les mots originaux.

Une fois, j’ai reçu un article écrit avec beaucoup de termes de dialectes. Je n’arrivais pas à comprendre complètement ce que l’auteur essayait de dire. Je ne savais pas quoi faire, alors je l’ai simplement terminé en utilisant une application de traduction et je l’ai remis. Le correcteur a choisi de refaire la traduction en disant qu’il devait essentiellement réécrire l’article en entier. Après avoir lu le commentaire, j’ai su que je n’avais pas bien travaillé. Mais je n’étais pas convaincue, pensant que je ne pouvais rien y faire. L’auteur avait simplement écrit de cette façon.

Toujours pas convaincue, j’ai dit à mon enfant, qui a grandi dans la culture occidentale, que j’allais partager une histoire avec lui. J’ai alors interprété l’article mot à mot, comme je l’aurais traduit. Mon enfant m’a regardé d’un air absent et n’a cessé de répéter « bizarre ». Il ne voulait pas l’écouter. Puis je lui ai lu l’article corrigé, et il a dit : « Oh, c’est donc comme ça. C’est génial. »

J’ai beaucoup appris de cette leçon. J’ai commencé à réfléchir à la raison pour laquelle nous traduisons. Quel que soit le type de public visé par nos articles, notre objectif ultime est d’aider les gens à apprendre la vérité.

La traduction ne consiste pas simplement à transformer des mots chinois en anglais. Si c’était le cas, nous pourrions utiliser une application de traduction. Nous devons plutôt jeter un pont entre les deux cultures pour aider à transmettre clairement le sens réel du texte original.

À partir de ce jour, j’ai commencé à combiner des phrases répétitives, à reformuler certains paragraphes ou à supprimer des détails inutiles pour clarifier le contenu. J’ai relu le brouillon plusieurs fois. J’espère que nos lecteurs prendront plaisir à lire les expériences des pratiquants.

Au cours de ce processus, j’ai également découvert en moi beaucoup de culture du Parti dont je n’avais pas conscience. Par exemple, j’ai découvert que la plupart des mots ou des détails que les correcteurs ont supprimés étaient des mots vides et des paroles en l’air. J’ai également découvert que les correcteurs laissaient souvent les faits parler d’eux-mêmes et reformulaient les spéculations vagues, comme les mots « penser » et « sentir ». Lorsque j’ai essayé de comprendre pourquoi ils procédaient à ce changement de cette manière, j’ai découvert la culture de suspicion et de pensée négative du Parti. J’étais contente, car sinon je n’aurais pas reconnu ces aspects de la culture du Parti que j’avais encore.

Éliminer l’illusion du karma de maladie en travaillant sur des traductions

Il m’arrive d’apprendre qu’un pratiquant est décédé. Chaque projet a besoin de plus de personnes, tant de personnes n’ont toujours pas été sauvées. La perte d’un pratiquant est donc une perte importante. Je veux vous raconter comment j’ai éliminé l’illusion du karma de maladie il y a plusieurs années, dans l’espoir que cela vous soit utile.

Il y a quelques années, j’ai été piquée par un moustique sur la jambe droite. Au début, je l’ai ignoré. En l’espace de trois jours, la piqûre est rapidement passée du stade de la rougeur à l’enflure des jambes, des genoux aux pieds. Le matin du troisième jour, je me suis réveillée en douleurs et j’ai constaté que mes jambes étaient tellement enflées que je ne pouvais même pas m’asseoir à cause de la douleur.

J’ai pensé : « Devrais-je prendre une journée de congé maladie ? » J’ai ensuite rapidement rejeté cette pensée, en me disant qu’elle ne venait pas de mon véritable moi et que je ne devais jamais l’accepter. Je me suis dit qu’il était temps de me lever et de faire les exercices. Mais lorsque j’ai bougé un peu, j’ai ressenti une douleur terrible dans mes jambes et tout mon corps. La douleur s’atténuait lorsque je m’allongeais, et il me semblait impossible de me lever ou même de m’asseoir.

J’ai pensé : «  Le Maître ferait-il des arrangements pour qu’un disciple ne puisse pas faire les exercices ? Certainement pas. Puisque ce n’est pas l’arrangement du Maître, je devrais faire ce qu’un pratiquant est censé faire. »

Je me suis levée lentement, je me suis mise debout, je me suis déplacée sur le côté du lit, et j’ai fait les exercices debout. Chaque mouvement était comme un million de couteaux coupant mes jambes et mes pieds. Après avoir terminé, un miracle s’est produit. La douleur insupportable a soudainement disparu. J’ai regardé mes jambes et j’ai vu qu’elles étaient encore enflées, mais elles ne me faisaient plus mal du tout.

Je me suis agenouillée devant la photo du Maître, les larmes aux yeux. Je savais que le Maître avait encore supporté cette douleur considérable pour moi. J’ai dit : « Maître, merci d’avoir pris soin de moi. Je ne laisserai pas tomber le Maître. Je serai certainement capable de passer cette tribulation. »

Ce jour-là, je suis allée au travail et j’ai fait les tâches ménagères comme d’habitude. En même temps, j’ai fait de mon mieux pour ne pas penser à mes jambes. J’ai utilisé chaque minute pour émettre constamment la pensée droite ou réciter des poèmes de Hong Yin. J’ai aussi regardé à l’intérieur de moi pour découvrir mes failles et j’ai éliminé mes attachements quand je les trouvais.

Cette nuit-là, j’ai eu du mal à me déplacer ou à m’asseoir, car mes jambes étaient encore très enflées. Au moment où j’hésitais à en parler à mon chef d’équipe et à prendre quelques jours de repos, on m’a confié un article urgent à traduire.

Je savais que je ne devais pas me désister de ce qui devait être fait, car c’était mon rôle. Je n’ai donc pas hésité et j’ai travaillé tard cette nuit-là pour terminer l’article.

Lorsque j’ai soumis cette traduction, je ne m’attendais pas à ce qu’on me confie une autre traduction urgente. Jour après jour, pendant plusieurs mois, notre chef d’équipe n’a cessé de me confier des articles urgents et diverses autres traductions urgentes. Même si je subissais une tribulation, j’ai en fait beaucoup plus que d’habitude.

Après avoir passé la tribulation et regardé en arrière, j’ai réalisé que les traductions de Minghui m’ont empêchée de m’allonger et de m’apitoyer sur mon sort. Ma tâche quotidienne de traduction me rappelait ma responsabilité et mon rôle en tant que disciple de Dafa et renforçait ma pensée droite.

Lorsque je voulais vraiment abandonner, mon engagement de traductrice me rappelait que j’étais une disciple de Dafa dans la période de la rectification de Fa, et que je ne cultivais pas seulement pour moi. Lorsque la situation semblait désespérée, j’ai pensé : « Si je meurs aujourd’hui, ma chef d’équipe ne le saura même pas ! Elle attendra que je rende mes traductions. Ne sera-t-elle pas inquiète et anxieuse ? Si elle doit attendre plusieurs jours avant de confier cette tâche à un autre membre de l’équipe, cette nouvelle deviendra désuète. Alors l’article n’aurait-il pas été fait pour rien ? »

Mon engagement dans la traduction m’a rapidement aidée à reconnaître que le karma de maladie que je vivais était en effet une illusion et m’a ainsi aidée à le briser complètement.

Mes jambes enflées étaient aussi lourdes que si elles étaient remplies de plomb. Les sensations de faiblesse et d’épuisement étaient réelles, même si je me répétais qu’il s’agissait d’une illusion.

Un jour, après le travail, j’ai couru à la gare routière pour attraper mon bus. Après être montée à bord, j’ai soudain réalisé que je courais à la gare routière tous les jours après le travail parce que je voulais rentrer plus tôt à la maison pour commencer à traduire. À ce moment-là, j’ai soudainement brisé ma mentalité humaine. Selon la conception humaine, l’état de mes jambes ne devrait-il pas s’empirer après une longue journée de travail ? Mais lorsque mon cœur était rempli de mon travail de traduction, le sentiment de soi-disant maladie disparaissait.

Sans surprise, je me suis rétablie rapidement après avoir changé mon état d’esprit. Juste après avoir passé la tribulation, la saison de traduction chargée s’est terminée. Mon chef d’équipe a cessé de me confier des traductions urgentes. Je ne sais pas comment exprimer ma reconnaissance pour l’arrangement et la compassion sans limites du Maître.

Je suis très reconnaissante pour le projet de traduction de Minghui et la patience infinie de nos chefs d’équipe et de nos correcteurs. Je pense souvent qu’avant de venir dans ce monde, nous avons tous dû faire le vœu d’utiliser tous les moyens pour nous soutenir mutuellement dans ce dernier moment crucial.

Conclusion

Le projet de traduction du Minghui m’a aidée à devenir humble et à bien collaborer. Je continue à identifier mes erreurs et à essayer de faire mieux la prochaine fois. Participer à la traduction de Minghui m’a fait comprendre ce qu’est une cultivation solide.

Chers compagnons de cultivation, chérissons cette occasion que le Maître nous a donnée de faire partie de l’équipe Minghui. Ne nous relâchons pas, même si parfois notre travail peut sembler répétitif. Rappelons-nous mutuellement de nous cultiver avec diligence en ce moment critique de l’histoire. Cultivons-nous vraiment tous, faisons de notre mieux, et accomplissons nos missions.

Merci, Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

(Présenté lors de la Conférence de partage d’expériences des équipes multilingues de Minghui 2022)

Traduit de l’anglais