(Minghui.org) On a soudain frappé à ma porte un après-midi. Un de mes proches m’avait prévenue plus tôt que la police pourrait venir m’arrêter parce que j’étais une pratiquante de Falun Dafa. Je n’ai pas ouvert la porte, j’ai récité le Fa dans mon cœur et j’ai essayé de me débarrasser de l’interférence reliée à la peur.
Au bout d’un moment, le policier a appelé ma mère, qui est rentrée à la maison et lui a ouvert la porte. Ma mère croyait à la propagande du Parti communiste chinois (PCC) et croyait que la persécution était justifiée. Elle avait fait beaucoup de choses irrespectueuses envers Dafa. Je trouvais qu’elle n’était pas facile à vivre et nous n’étions pas en bons termes. J’éprouvais un certain ressentiment envers elle.
Je me suis souvenue de l’enseignement du Maître,
« En aucune circonstance on ne doit coopérer aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante », Points essentiels pour avancer avec diligence II)
Je n’ai pas coopéré avec le policier. Ma mère n’arrêtait pas de me blâmer et disait que j’avais des problèmes mentaux et que je n’étais pas gentille avec elle, etc. J’ai réalisé que c’était dangereux si je n’harmonisais pas les choses à la maison. Mais le policier ne l’a pas écoutée et a demandé : « Si elle avait des problèmes mentaux, pourrait-elle passer les examens d’entrée à l’université ? » Mais ma mère continuait de se plaindre.
Puis ma tante est venue chez moi. Elle a essayé de convaincre le policier que j’avais cessé de pratiquer le Falun Dafa. Je l’ai arrêtée plusieurs fois. Elle s’est fâchée. Ils m’ont blâmée tous ensemble, mais je n’ai pas pris ça à cœur et je suis restée calme. Personne ne pourrait jamais m’empêcher de pratiquer. Quoi qu’ils aient dit, cela ne m’a pas affectée.
Un policier a exigé que je coopère avec eux, puis m’a demandé si j’avais l’intention d’étudier à l’université. Je leur ai rappelé le principe selon lequel le bien sera récompensé et le mal sera puni. Je leur ai dit que de toute évidence je voulais aller à l’université et qu’ils feraient une mauvaise action s’ils m’en empêchaient, que cela leur causerait du tort.
Ils m’ont traînée dans la voiture de police. J’ai émis la pensée droite et demandé à Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) de m’aider. Quand nous sommes arrivés au poste de police, ils m’ont amenée dans une salle d’interrogatoire. Ils ont exigé que je déverrouille mon téléphone portable, mais j’ai refusé.
Plusieurs d’entre eux m’ont attrapé la main pour toucher l’écran de mon téléphone portable. Je serrai fort mon poing pour les arrêter. Ensuite plusieurs fois, ils ont appuyé de force mon pouce sur l’écran, mais mon téléphone portable ne se déverrouillait pas. Quand j’ai repensé à cet incident, j’ai réalisé que c’était très étonnant. Le Maître a dû me protéger. Maintenant, je peux facilement déverrouiller mon téléphone portable lorsque mon pouce touche l’écran, même légèrement. Lorsque mon téléphone ne s’est pas déverrouillé au poste de police, cela devait être parce que j’avais demandé au téléphone de répéter « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », il a alors eu la sagesse d’empêcher la police de commettre de mauvaises choses.
Ensuite, ils ont essayé d’utiliser la reconnaissance faciale pour déverrouiller mon téléphone portable. Ils ont essayé d’enlever mon masque, mais j’ai refusé de coopérer. Ils ont essayé avec force, mais n’ont pas réussi. Ensuite, ils ont essayé de m’interroger, mais je n’ai répondu à aucune de leurs questions. Le Maître me renforçait tout du long. Je n’avais pas peur.
Je leur ai dit à plusieurs reprises que je ne coopérerais pas parce que je ne voulais pas qu’ils fassent de mauvaises choses, ce qui leur causerait du tort dans le futur. C’était très important que je leur dise. Sinon, ils auraient pensé que j’étais intentionnellement contre eux.
Ils m’ont demandé pourquoi je pratiquais le Falun Dafa. Je leur ai dit : « Avant, j’étais déprimée et je voulais me suicider. Le Maître du Falun Dafa m’a dit de ne pas me suicider, donc je suis toujours en vie. Je vis maintenant une vie heureuse et belle. Falun Dafa m’a sauvé la vie. Sinon, je ne serais plus là. »
Je n’avais pas peur de la persécution, mais j’ai compris que je ne devais pas être persécutée non plus. Je suis venue ici pour valider le Fa et sauver les êtres, pas pour endurer la persécution. Je ne la reconnaîtrais absolument pas. Je ne laisserais pas les forces anciennes détruire les êtres. Cette persécution m’a été imposée par les forces anciennes. Je ne l’ai définitivement pas acceptée et j’étais déterminée à la nier et à la dissiper.
Je n’arrêtais pas de demander au Maître de m’aider. J’ai émis la pensée droite, j’ai récité le Fa et j’ai regardé à l’intérieur. Dans ma région, il n’y avait que deux pratiquants de Dafa : un autre pratiquant et moi-même. Si j’étais détenue, comment l’autre pratiquant se sentirait-il ? Je me sentais triste et désolée, mais j’ai réalisé que j’étais trop dans la sentimentalité, ce que je devais rectifier.
J’ai alors regardé à l’intérieur. Récemment, j’ai passé beaucoup de temps à regarder les sites Web des gens ordinaires. J’avais du ressentiment envers ma mère. Je n’ai pas fait attention à la sécurité. Parfois, je ne respectais pas suffisamment le Fa et le Maître. Je n’avais pas fait les exercices pendant longtemps. Je n’étais pas concentrée lorsque j’émettais la pensée droite. Je n’étais pas propre et ma chambre était en désordre. J’avais aussi l’attachement à la complaisance, au désir et à la luxure, à la jalousie, à la recherche du confort, à la paresse, etc. J’avais beaucoup de problèmes. Mais ma croyance en Dafa était ferme. Peu importe les omissions que j’avais, peu importe leur nombre, je ne voulais pas que les forces anciennes profitent de moi ; je veux que le Maître s’occupe de moi.
Je dois regarder à l’intérieur si je suis persécutée ou non. Je ne devrais pas attendre qu’un gros problème surgisse. Je dois me rectifier au plus vite.
Je leur ai dit à plusieurs reprises que le Falun Dafa est légal en Chine. Je leur ai demandé de me montrer tout document indiquant que le Falun Dafa était illégal. Ils ne m’écoutaient pas. Je sentais que ma compassion n’était pas assez grande. J’ai demandé au Maître de m’accorder de la compassion. Je dois cultiver la compassion. Je me sentais triste pour ces policiers. Ils m’ont demandé pourquoi je pleurais. J’ai dit que je pleurais pour eux et je leur ai demandé de ne plus continuer à faire de mauvaises choses.
Peu importe combien ils ont essayé, les policiers n’ont pas réussi à ce que je coopère avec eux. Seulement un policier et une policière sont restés. J’ai clarifié la vérité au policier et il a accepté ce que je lui ai dit. Ensuite, d’autres policiers sont entrés et m’ont dit de signer une déclaration de verdict, mais j’ai refusé.
Malgré leurs efforts pour m’intimider, je n’avais pas peur. Ils ont lu le verdict et un autre document. Leur décision finale a été de retarder la peine en raison de la pandémie. Un policier m’a fait sortir et j’ai quitté le poste de police en toute sécurité.
J’ai compris que ce n’était pas qu’ils reportaient la sentence, mais que le mal dans d’autres dimensions était dissous. J’ai expérimenté ce détour dans la cultivation parce que j’avais des omissions. Je n’ai pas pris la cultivation au sérieux et cela ne devrait plus se produire. Cela a provoqué des incompréhensions parmi les gens ordinaires. J’ai terni la réputation du Falun Dafa. J’ai aussi expérimenté les arrangements du Maître. Si j’avais déverrouillé mon téléphone portable, les choses ne se seraient pas passées de la même manière. Merci Maître de me protéger.
Ma mère et un autre proche m’attendaient dehors. Ils ne comprenaient pas bien le Falun Dafa et disaient des choses irrespectueuses. Quand je me suis dirigée vers eux, ils n’ont rien dit. Ma mère m’a serrée dans ses bras et j’ai fait de même. Nous marchions silencieusement dans l’obscurité de la nuit. Je sentais que le côté conscient de ma mère attendait que je la sauve. Ils ont dû comprendre la vérité et voir la perversité du PCC, bien qu’ils n’aient pas osé le dire.
Je vais essayer d’être une pratiquante diligente. Je vais étudier le Fa sérieusement, regarder à l’intérieur, nier complètement la persécution perverse, valider le Fa et marcher sur le chemin droit et étroit de la cultivation. Je ne devrais plus trébucher. Merci, Maître, pour votre protection compatissante et votre renforcement !
J’espère que d’autres pratiquants pourront apprendre de mon expérience et nier la persécution.
Merci de bien vouloir signaler tout ce qui est inapproprié. S’il vous plaît, rappelez-vous que nous devrions prendre le Fa comme maître.
Traduit de l’anglais