(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa qui vit dans une région rurale. Je lisais avant les livres de Falun Dafa et je cultivais Dafa. Après mon mariage, à cause de la persécution, mon mari avait peur et ne me permettait pas de pratiquer Dafa. J’ai arrêté de cultiver pendant plus de dix ans.

Il y a quelques années mon mari est mort dans un accident de voiture, nous laissant, moi et notre fils.

Je me suis récemment remariée. Mon mari actuel et moi vivons dans le même village, et il a un fils de sept ans. Nos fils ont trois ans d’écart. Mes parents m’ont dit de prendre soin de son fils comme je le fais pour mon propre enfant.

Ma mère cultive le Falun Dafa. Elle m’a dit d’être gentille et tolérante envers tout le monde. Je lui ai promis que j’allais bien faire, car je cultivais le Falun Dafa avant.

Lorsque mon premier mari est décédé, j’ai été tellement sous le choc et bouleversée que mes règles se sont soudain arrêtées. Je suis allée dans de nombreux endroits pour me faire soigner, mais rien n’a fonctionné.

Ma mère m’a dit que seul Dafa pouvait m’aider à me rétablir. Je savais que j’irais bien si je cultivais sincèrement Dafa et que je suivais le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Peut-être que le Maître a donné un indice à ma mère pour me persuader de reprendre la cultivation de Dafa. En conséquence, je suis retournée à Dafa.

Notre famille vit heureuse depuis que j’ai épousé mon mari actuel. Nos deux enfants s’entendent très bien. Je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et il n’y a aucune différence dans la façon dont je traite le fils de mon mari et le mien.

Je suis très patiente avec nos enfants, et je m’occupe très bien de tout à la maison. Ainsi, mon mari n’a pas besoin de s’inquiéter de notre foyer lorsqu’il est au travail. Tous les villageois ont dit que mon mari avait épousé une femme vertueuse.

Nous savons tous qu’il n’est pas facile d’être une belle-mère, surtout que de nos jours, les enfants sont choyés et volontaires. J’ai donc enseigné à nos enfants à suivre le principe de Dafa, Authenticité-Bienveillance-Tolérance, afin qu’ils apprennent à se comporter et à s’entendre avec leurs parents.

Mon beau-fils me raconte tout ce qui se passe à l’école. Personne ne peut savoir que je suis sa belle-mère.

Je sais que je peux bien gérer cela parce que je me cultive dans Dafa. Le Maître nous dit d’être de bonnes personnes et de penser d’abord aux autres, afin d’atteindre l’éveil juste de l’altruisme et du désintéressement.

Ma belle-mère sait aussi que « Falun Dafa est bon ». Elle était paralysée et avait du mal à marcher. Ma mère lui a dit de réciter sincèrement « Falun Dafa est bon ». Elle l’a fait, et maintenant elle marche beaucoup mieux qu’avant.

Ma mère a été persécutée pour avoir distribué des documents de clarification de la vérité, alors mes beaux-parents avaient très peur. Ils ne me permettaient pas de distribuer des documents de clarification de la vérité, craignant que je n’affecte l’éducation de leur petit-fils.

Mon beau-père disait souvent du mal de Dafa. Plus tard, j’ai parlé à mon mari et à ma belle-famille des changements que j’ai connus depuis que je cultive Dafa.

Je leur ai dit que je m’occupais de toute la famille de manière très responsable, et que tout cela était une bénédiction résultant de la cultivation de Dafa. Par la suite, ils ne se sont plus opposés à ma cultivation de Dafa, et mon mari m’a particulièrement soutenue.

Comme mon père n’est pas le fils biologique de mon grand-père, mes grands-parents ne se sont pas occupés de mon père quand il s’est marié, surtout après notre naissance.

Au début, mes parents se plaignaient de mes grands-parents. Plus tard, ma mère a commencé à cultiver Dafa et a commencé à suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans sa vie quotidienne.

Sous l’influence de ma mère, mon père a cessé de se plaindre de mes grands-parents. Il les a aidés chaque année à effectuer de nombreux travaux, comme les travaux agricoles et la préparation du foin pour nourrir les vaches chaque automne.

Les quatre autres enfants de mes grands-parents sont occupés par leur propre vie et n’ont jamais le temps d’aider leurs parents. Mon grand-père a donné à son plus jeune fils tout l’argent qu’il avait durement gagné, alors que ce dernier ne s’est jamais occupé de son père.

Beaucoup de villageois avaient de la peine pour mon père. Plus tard, ma grand-mère est décédée et a laissé mon grand-père seul.

Ma mère et moi, nous nous occupons souvent de lui. Plus tard, mes oncles m’ont demandé de préparer tous les jours à manger pour mon grand-père.

J’ai accepté, parce que je cultive Dafa. Si je n’étais pas une pratiquante, je n’aurais pas accepté, car j’ai ma propre vie et ma propre famille dont je dois m’occuper.

Les gens du village disent que je suis une bonne personne. Je suis reconnaissante envers le Maître d’avoir fait de moi une bonne personne.

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Traduit de l’anglais