(Minghui.org) Lorsque la deuxième vague de la pandémie de la COVID-19 a éclaté en Chine en novembre 2020, ma sœur aînée a été admise dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital du district en raison de difficultés respiratoires. Il s’est avéré que la cavité de son poumon gauche était pleine de liquide. L’hôpital a émis un avis d’état critique et lui a demandé de sortir rapidement, car ils ne pouvaient pas la soigner.

Lorsque la fille de ma sœur aînée m’a appelée le lendemain matin pour me faire part de sa situation, j’ai exhorté ma nièce à faire réciter à sa mère les phrases de bon augure du Falun Dafa, à savoir : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

« Je l’ai récité toute la nuit, et ma mère a survécu à la nuit », a dit ma nièce.

« Excellent, récitons-les ensemble. »

Quelques jours plus tard, ma sœur a récupéré et est sortie de l’hôpital.

Ma sœur aînée n’est pas la seule de ma famille élargie à avoir bénéficié du fait de réciter les phrases de bon augure. Malgré la persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois depuis 1999, de nombreux membres de ma famille savent que Dafa est excellent et me soutiennent dans ma pratique. En raison de leur gentillesse, ils ont également été bénis.

Le mari de ma deuxième sœur aînée a souffert d’un cancer du foie il y a six ans et est allé à Pékin pour être opéré. Cependant, un an plus tard, la tumeur s’est à nouveau développée dans le foie. Il avait peur, car sa famille n’avait pas les moyens pour qu’il se rende à nouveau à Pékin pour se faire opérer, il a donc subi sa deuxième opération dans la région. Il n’aurait jamais imaginé qu’un mois plus tard, trois petites tumeurs allaient à nouveau se développer, dont une sur le vaisseau sanguin du foie. Mon beau-frère avait peur de se faire opérer à nouveau dans la région, il a donc décidé d’aller à Pékin.

La veille de son départ pour Pékin, j’ai parcouru des centaines de kilomètres pour aller le voir chez lui, malgré le temps pluvieux et les routes glissantes. J’ai préparé un enregistrement des enseignements du Maître et j’ai raconté à mon beau-frère les nombreux cas où des parents de disciples de Dafa avaient reçu des bénédictions en récitant les phrases de bon augure, et je lui ai demandé de faire de même et d’écouter les enregistrements des enseignements du Maître. Lorsque mon beau-frère a passé un contrôle à Pékin, il a été surpris d’apprendre qu’il n’y avait plus de tumeurs dans son corps et qu’il pouvait rentrer chez lui.

Maintenant que huit années se sont écoulées, mon beau-frère va toujours bien et on n’a jamais trouvé d’autres tumeurs chez lui.

Ma belle-mère, âgée de 89 ans, a également bénéficié de Dafa. Chaque jour, en se réveillant, elle récite les phrases de bon augure pendant une demi-heure. Elle aime vivre chez moi, car elle dort profondément et se sent bien chez moi. Quoique je ne cuisine pas à son goût, elle n’est pas difficile à ce sujet. Lorsqu’elle ne se sent pas bien chez le frère aîné de mon mari, elle appelle mon mari pour qu’il vienne la chercher et l’amène chez nous. Chaque fois qu’elle retourne chez mon beau-frère, elle hésite à partir et me dit qu’elle sera de retour dans quelques jours.

En fait, avant que je ne pratique Dafa, ma belle-mère et moi avions un conflit profond. Ma belle-mère, qui préférait les garçons aux filles, m’a donné du fil à retordre pendant le premier mois qui a suivi la naissance d’une fille. Elle s’est moquée de moi et m’a ostracisée en disant que le bébé que j’avais mis au monde était un « démon » que je devais jeter. J’ai été victime d’intimidation et j’ai même fait une dépression nerveuse. J’ai été obligée de vivre loin de chez moi pour éviter ma belle-mère alors que mon bébé n’avait que dix-sept jours et j’ai tout géré sans son aide. J’avais beaucoup de ressentiment à son égard et je n’ai pas pu m’en défaire pendant de nombreuses années.

Ce n’est que lorsque j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa que je lui ai pardonné. Je me suis sentie soulagée parce que Dafa m’avait aidée à comprendre de nombreux principes. J’ai compris que les gens qui ont du ressentiment ne peuvent jamais être heureux ; ils ont du ressentiment tous les jours, souffrent et font souffrir les gens autour d’eux. Je crois que ma belle-mère savait que je la détestais et elle n’est pas venue chez moi pendant de nombreuses années. Lorsque j’ai complètement lâché ce ressentiment, ma belle-mère s’est excusée auprès de moi, et j’ai dit : « Ce n’est pas grave, tout le monde fait parfois des erreurs. C’est Maître Li (le fondateur de Dafa) qui m’a dit d’être gentille avec les gens, et je vais bien m’entendre avec vous. Remercions le Maître ! »

Une de mes anciennes collègues était incapable de manger et souffrait de douleurs à l’estomac depuis un certain temps. Après plus d’un mois de traitement, elle ne voyait toujours pas d’amélioration. En me tenant à côté d’elle, je pouvais sentir ses médicaments. Elle perdait du poids et souffrait d’insomnie. Je lui ai dit qu’elle pouvait essayer de réciter les phrases de bon augure et qu’elle pourrait obtenir des résultats inattendus.

Lorsque je l’ai vue devant le bureau quelques jours plus tard, l’expression amère de son visage avait disparu. Elle m’a dit avec un sourire éclatant : « Je vais bien ; je vais complètement bien ! » Elle a dit qu’elle comprenait maintenant pourquoi je persévérais à pratiquer Dafa malgré la persécution. Elle m’a remerciée et m’a demandé de rester en sécurité.

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Traduit de l’anglais