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La pratique du Falun Dafa élève mon xinxing

22 mars 2023 |   Écrit par Ji Shan, une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) J’ai eu la chance de commencer à pratiquer le Falun Dafa en 1998, il y a plus de vingt ans. Mes collègues, mes parents et mes amis disent tous que la pratique du Falun Dafa m’a changée de façon très positive.

J’ai commencé à jouer au mahjong (une forme de jeu d’argent) en 1996. Au début, je jouais un yuan. Au bout de six mois, je jouais dix yuans chaque fois que je jouais. Je jouais principalement avec les personnes de mon unité de travail. Pendant les heures de travail, nous prenions secrètement rendez-vous pour jouer. Parfois, nous jouions toute la nuit. Je ne dépensais pas d’argent pour d’autres choses afin d’avoir assez d’argent pour jouer. Je jouais presque tous les jours. La première chose que je faisais en me réveillant chaque matin était de prendre rendez-vous pour jouer au mahjong.

À cette époque, j’étais responsable du syndicat des travailleurs et des femmes de mon unité. L’unité de travail nous a fait participer à un événement le 8 mars, la journée de la femme. Dès que le bus est arrivé, celles d’entre nous qui jouaient au mahjong sont allées dans une salle pour jouer. Lorsqu’il était temps de manger, nous étions réticentes à quitter la table de mahjong.

L’une de mes meilleures amies pratiquait le Falun Dafa, et elle m’a invitée à essayer. J’étais trop occupée à jouer au mahjong pour lui parler. Comme j’étais accro au jeu, elle n’avait pas beaucoup d’occasions de me parler du Falun Dafa.

Le 30 avril 1998, sa mère de 86 ans est venue de sa ville natale pour lui rendre visite. Quand je suis allée la voir, elle m’a montré le livre Falun Gong La Grande Voie de l’Accomplissement. Le livre affirmait que la pratique pouvait changer le cours de la vie, et j’étais très intéressée. J’ai emprunté le livre. Je l’ai lu cette nuit-là et j’ai décidé de pratiquer le Falun Dafa.

Dès que je me suis réveillée le lendemain matin, la première chose que j’ai faite a été de chercher la vidéo de présentation des exercices et je pratique le Dafa depuis lors.

Le Falun Dafa enseigne qu’il ne faut pas tuer, fumer, boire, jouer ou faire de mauvaises choses. Dès que j’ai commencé à pratiquer, j’en ai parlé à mes anciens amis : je pratique le Falun Dafa maintenant, donc je n’ai plus envie de jouer au mahjong.

Mais c’était difficile d’arrêter complètement. Nous vivions tous dans le même quartier, et parfois j’allais les voir jouer. Deux semaines après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, je suis allée payer mes dettes de jeu. Quelqu’un voulait que je joue au mahjong, mais j’ai dit que je ne pouvais pas. Il a insisté et j’ai joué trois tours avec lui. J’ai eu très mal au bas du dos cette nuit-là, ce que j’ai pris comme un message pour abandonner. Bien que je n’aie plus joué avec personne par la suite, j’ai continué à jouer avec mes enfants à la maison pendant deux années supplémentaires.

Un jour, à midi, mes enfants m’ont demandé de jouer au mahjong. J’ai promis de jouer avec eux après avoir lavé la vaisselle. Mais je me suis coupé le majeur en lavant un bol en porcelaine et j’ai beaucoup saigné. Je savais que je ne pouvais plus jouer au mahjong, alors j’ai dit aux enfants : «  Je ne peux pas jouer au mahjong. Je ne peux pas toucher les pièces parce que ma main saigne. » Depuis lors, ma famille a cessé de jouer au mahjong. Mais il m’arrivait encore de regarder les autres jouer. C’est parce que ma dépendance n’était pas entièrement supprimée. Plus tard, j’ai étudié et mémorisé davantage le Fa, et je n’ai plus voulu voir un plateau de mahjong par la suite.

Plus de jurons

Avant de commencer à pratiquer, je devais avoir le dernier mot sur tout à la maison. Je jurais lorsque les gens n’étaient pas d’accord avec moi. J’étais également autoritaire dans mon unité de travail et je ne pouvais pas tolérer des opinions différentes, je me plaignais fréquemment. Pour le chef d’unité, je le grondais dès qu’il me provoquait. J’étais une personne notoirement tordue dans mon unité de travail.

Dafa exige des pratiquants qu’ils soient de bonnes personnes selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, nous ne devons pas contre-attaquer quand nous sommes frappés ni riposter quand nous sommes insultés. Depuis le jour où j’ai commencé à pratiquer, je n’ai jamais grondé personne, mais il m’est arrivé de maudire.

En mars 2000, je suis allée à Pékin pour faire appel pour le Falun Dafa et j’ai été emmenée dans un centre de détention par la police et détenue pendant quinze jours. Des compagnons de pratique m’ont entendu dire de gros mots et me l’ont fait remarquer. Depuis lors, je n’ai plus jamais dit de gros mots.

Résoudre le ressentiment

Comme j’étais autoritaire et intelligente avant de pratiquer, je prêtais toujours attention aux affaires financières de mon unité de travail. La comptable et le caissier ont pris une place de cinéma supplémentaire. Je me suis disputée avec la comptable et nos relations ont été tendues. La comptable ne m’a pas parlé pendant plusieurs années et m’a traitée comme une ennemie.

Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, je savais que ce n’était pas acceptable. J’ai regardé à l’intérieur selon les critères de Dafa et j’ai réalisé du fond de mon cœur que j’étais autoritaire, tatillonne et déraisonnable, ce qui avait blessé ma collègue. J’ai eu des regrets.

Lors d’un événement organisé par mon unité à l’intention des administrateurs retraités, je me suis approchée de cette collègue avec humilité et j’ai sincèrement reconnu mes erreurs. Je lui ai présenté mes excuses devant plusieurs agents retraités. Elle a été émue. Par la suite, elle est devenue une de mes bonnes amies.

Plus tard, elle a raconté à tout le monde les changements qu’elle a constatés chez moi depuis que j’ai commencé la pratique du Falun Dafa. Elle pensait sincèrement que Dafa était bon. Avant qu’elle ne déménage dans la capitale provinciale, je lui ai donné une amulette et des documents de clarification de la vérité. Je l’ai aidée à démissionner des organisations du Parti communiste chinois (PCC) auxquelles elle avait adhéré. Aujourd’hui, elle a plus de 80 ans et est en bonne santé.

Plus besoin de lunettes

Quand j’avais 16 ans, en 1964, j’ai dû porter des lunettes à cause de ma myopie. Au fil du temps, la myopie s’est aggravée. Mon acuité visuelle était inférieure à 0,1. Avant de pratiquer, en plus de la myopie, je souffrais de presbytie. Lorsque je travaillais au bureau, je ne voyais pas mon écriture lorsque je portais mes lunettes. Je devais les enlever et baisser ma tête plus près de la page pour écrire. Lorsque j’enlevais mes lunettes, je ne pouvais pas reconnaître les gens à deux pieds de distance.

Six mois après avoir commencé la pratique, je faisais les exercices chez une pratiquante. Nous avons fait une pause pour nous préparer pour l’exercice de méditation. La lentille gauche de mes lunettes est soudain tombée. Je me suis sentie bizarre, pourquoi est-elle tombée sans raison ?

Je suis allée la faire réparer le lendemain. Un mois plus tard, j’ai lu l’enseignement du Maître et j’ai réalisé que je n’avais plus besoin de porter des lunettes. Je suis allée chez l’opticien pour tester ma vision, mon acuité visuelle avait atteint 0,7. J’étais tellement heureuse ! Je pensais que je devrais porter des lunettes pour le reste de ma vie, mais je les ai enlevées après avoir pratiqué le Falun Dafa pendant seulement six mois ! Je ne sais pas quand ma presbytie a disparu.

En bonne santé depuis 24 ans

J’ai pratiqué Dafa pendant plus de vingt ans, je n’ai jamais pris une seule pilule ni fait faire une injection. Ce n’est pas que je refuse de prendre des médicaments si je suis malade, mais je n’ai jamais été malade depuis que j’ai commencé à pratiquer. J’ai maintenant 74 ans, je ne suis pas malade, je marche d’un bon pas et je suis pleine d’énergie. Mes amis et mes proches m’envient d’avoir un corps sain.

Traduit de l’anglais