(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Dafa ont organisé une activité à Helsinki, la capitale de la Finlande, pour présenter cette méthode spirituelle pour le corps et l’esprit et dénoncer la persécution en cours en Chine. Le 18 mars 2023, en face du centre commercial Forum, ils ont fait des démonstrations des exercices de Dafa, distribué des dépliants et informé les gens de la persécution. Ils ont été nombreux à s’arrêter pour lire l’information affichée, parler avec les pratiquants et signer la pétition exprimant leur soutien pour mettre fin à ces atrocités.

C’était une journée ensoleillée, un changement agréable par rapport au froid de l’hiver finlandais, et les rues étaient pleines de monde. Beaucoup étaient heureux de prendre les informations des pratiquants. Certains souriaient d’autres levaient le pouce en signe de soutien. De nombreuses personnes se sont dites attristées par la répression brutale exercée par le Parti communiste chinois (PCC) à l’encontre des pratiquants de Falun Dafa, notamment la torture et les prélèvements forcés d’organes. Ils ont estimé que tout le monde devrait être informé de ce qui se passe en Chine.

Une étudiante chinoise : Je vous souhaite de réussir

Une jeune femme de Pékin qui vit en Finlande depuis six mois s’est arrêtée au stand d’information. Elle était d’accord avec ce que les pratiquants lui ont dit au sujet de la persécution en Chine. Elle a déclaré : « Les écoles chinoises nous font subir un lavage de cerveau. On nous a dit que les pratiquants de Falun Dafa s’immolaient par le feu. Mais mon père m’a dit que ce n’était pas vrai et que le Falun Dafa est bon. »

« Ce n’est pas facile pour les étudiants en Chine. Les camarades de classe de mon âge veulent partir », a dit la jeune femme. Elle a courageusement signé la pétition pour en finir avec le PCC et a souhaité aux pratiquants de réussir à faire passer le message.

Tout le monde devrait être au courant de cette persécution

« J’étais étudiante dans le cadre d’un programme d’échange avec la Chine », a raconté Emmi, étudiante à l’université d’Helsinki. « J’ai dû quitter la Chine prématurément en raison de l’épidémie de COVID-19. J’aime les Chinois et leur culture. Pourtant, je suis triste des crimes que le PCC a commis contre son peuple, comme la torture des pratiquants de Falun Dafa et les prélèvements forcés d’organes. Il s’agit d’un sujet très important. Tout le monde devrait être au courant de cette persécution. » Emmi a demandé si elle pouvait serrer les pratiquants dans ses bras et a dit qu’elle reviendrait leur parler à leur stand d’information.

Isla s’est également rendue en Chine pendant six mois dans le cadre d’un programme d’échange d’étudiants. Elle a décrit son expérience en Chine en utilisant un logiciel pour contourner le pare-feu Internet afin d’accéder aux plateformes de médias sociaux interdites. Elle a déclaré : « J’aime la culture traditionnelle de la Chine et la gentillesse du peuple chinois. Mais je suis contre le contrôle du gouvernement et ses restrictions à la liberté d’expression. »

Je ressens une énergie positive, le Falun Gong est bon

Anne, qui a visité la Chine à deux reprises, est entraîneuse de tennis de table à la retraite. Elle s’est approchée du stand d’information et a dit à un pratiquant : « Je ressens une énergie positive ici. Je sais que le Falun Dafa est bon. »

Le candidat d’un parti politique choqué par les prélèvements forcés d’organes en Chine

Alex est un candidat du Parti populaire suédois de Finlande pour les élections de printemps de cette année. Il s’est longuement entretenu avec les pratiquants. Il s’est dit conscient des problèmes concernant les droits de l’homme rencontrés par différents groupes en Chine. Il a été choqué d’apprendre que des prélèvements forcés d’organes avaient lieu en Chine et a souhaité aux pratiquants tout le succès possible dans leurs efforts pour dénoncer ces brutalités.

Un gestionnaire d’actifs espère que davantage de personnes soutiendront la fin de la persécution

Un gestionnaire d’actifs à Helsinki a déclaré : « Je connais l’histoire du Falun Gong. Il y a quelques années, j’ai voulu essayer. » Il s’est dit sensible au sort des pratiquants en Chine et espère que davantage de personnes soutiendront la fin de la persécution.

Traduit de l’anglais