(Minghui.org) L’université de Cardiff est une université prestigieuse située dans la capitale du Pays de Galles. C’est l’une des meilleures et des plus grandes institutions académiques du Royaume-Uni. Elle est réputée pour son excellence en matière de recherche en tant que membre de l’élite nationale, le Russell Group, et se classe dans le top 10 national pour la recherche en neurosciences.
Greg Wu est un scientifique de l’université de Cardiff originaire de l’île de Bornéo, en Malaisie. Il a grandi dans une petite ville de 5000 habitants. Il n’avait jamais imaginé qu’il rencontrerait le livre du Falun Dafa, Zhuan Falun, dans un pays étranger et que cela changerait sa vie.
Dr Wu a grandi dans une famille chinoise malaisienne typique, travailleuse et pragmatique, issue de l’immigration chinoise. Son père tenait un petit restaurant en ville, tandis que sa mère était femme au foyer. Il avait trois sœurs plus âgées.
Sur l’île, la vie était insouciante pour Wu. Il passait une grande partie de son temps libre à courir et à jouer au badminton, explorant le monde avec une curiosité enfantine. Et à travers ses yeux d’enfant, Wu voyait une ville autour de lui qui vivait une vie modeste, sans complication, basée sur des valeurs traditionnelles.
« En Malaisie, les gens se rendent dans les temples pour prier pour leur famille et d’autres choses de ce genre », se souvient M. Wu. « En grandissant, j’allais aussi au temple avec mes parents. »
Si sa famille présentait des offrandes aux divinités, comme le faisaient la plupart des autres familles malaisiennes, M. Wu n’a jamais vraiment compris à qui ou à quoi servaient ces offrandes ni pourquoi ils devaient présenter leurs respects et prier. Cependant, il a déclaré : « À cette époque, je croyais qu’il existait une sorte de puissance supérieure. »
En grandissant, il a passé de plus en plus de temps dans la salle de lecture à apprendre de nombreuses choses. Le sujet qui l’intéressait le plus était la génétique.
« Je lisais beaucoup de livres de vulgarisation scientifique et cela m’a amené à m’intéresser de plus en plus à la science. C’était vers le milieu des années 90, au moment où l’on s’apprêtait à publier le Projet du génome humain, qui est une grande source d’inspiration. J’ai lu beaucoup d’articles à ce sujet », explique Wu. « Il y a aussi eu le clonage de la brebis Dolly, une autre grande histoire. »
Quelques années plus tard, après avoir obtenu son diplôme de fin d’études secondaires avec mention, il s’est rendu à l’université de Nottingham, au Royaume-Uni, pour poursuivre ses études.
En Angleterre, Wu a poursuivi ses études avec succès. Sa nature assidue et ses succès dans la recherche ont attiré l’attention de ses conseillers de premier cycle, qui étaient plus qu’heureux de parler en bien de lui. Il a obtenu une licence en génétique à l’université de Nottingham et a été admis au programme de doctorat de l’université d’Oxford.
Nous sommes alors en 2003 et le Projet du génome humain est enfin achevé, offrant aux scientifiques une cartographie complète de l’ADN humain. Cela ouvrait la voie aux thérapies géniques en médecine, et la thèse de doctorat de Wu, « How Cancer-Suppressing Genes Maintain Genomic Stability » (Comment les gènes supprimant le cancer maintiennent la stabilité génomique), était une exploration dans cette direction.
Pourtant, plus il se rapprochait de son rêve, moins il sentait l’étincelle d’énergie qui l’avait poussé à l’action il y a tant d’années. Ses nobles aspirations à changer le monde se sont évanouies dans le quotidien de l’expérimentation, de la paperasserie, de la compétition et de la politique, et une partie de lui-même s’est érodée avec.
« À l’époque, je suivais vraiment l’état d’esprit de la “survie du plus fort” », explique M. Wu. « Je devais toujours être le premier. J’avais toujours peur que les autres soient meilleurs que moi. Si je voyais d’autres personnes obtenir de meilleures notes ou de meilleurs résultats que moi, je ressentais de la jalousie, j’avais l’impression que la vie n’était pas juste. »
Cet état d’esprit a amené Wu à considérer ses camarades comme des ennemis. Il était constamment méfiant, sur ses gardes, et craignait que la réussite de ses pairs ne nuise à ses propres résultats. Il craignait toujours que d’autres personnes s’approprient les résultats de ses expériences. « Je ressentais la vie comme fatigante », a-t-il déclaré. « Je me sentais malheureux. »
« Je me suis interrogé sur les religions et sur les raisons pour lesquelles certains de mes amis étaient très religieux », a-t-il dit. « Je ne comprenais pas vraiment pourquoi les gens croyaient en quelque chose comme ça. »
« Et je pense que j’étais aussi un peu arrogant. Beaucoup de scientifiques ne veulent pas croire en une puissance supérieure, et cela m’a rendu un peu réticent à l’idée d’aller plus loin avec la religion. »
Malheureusement, le manque d’attention n’a pas suffi à faire disparaître les problèmes. Bien que le stress lié à son mode de vie ait déjà fait des ravages dans son esprit, il n’a pas tardé à se manifester dans son corps également.
Un jour, lorsqu’il a vu un journal gratuit en chinois à la bibliothèque publique d’Oxford, il a été immédiatement attiré par cette langue familière dans un pays inconnu. Depuis ce jour, il est devenu un fidèle lecteur de The Epoch Times.
Lorsque le Parti communiste chinois (PCC) a entamé sa campagne d’éradication de la discipline spirituelle en Chine en 1999, il a simultanément lancé une campagne de propagande mondiale visant à diaboliser la méthode et à légitimer sa brutalité à l’égard des pratiquants de Falun Gong.
The Epoch Times a mis en lumière les faits de la persécution, détaillant les violations flagrantes des droits de l’homme commises à l’encontre de Chinois respectueux de la loi ainsi que le piétinement de la liberté religieuse par le PCC. En outre, le journal a également couvert d’innombrables cas de personnes ayant obtenu une meilleure santé physique et amélioré leur caractère grâce à la méthode.
En 2004, les problèmes digestifs de Wu étaient suffisamment graves pour qu’il décide d’essayer la méthode. En novembre de cette année-là, il a commencé à cultiver sérieusement.
« J’ai imprimé le Zhuan Falun à l’université et je l’ai lu », raconte-t-il. « C’est ainsi que j’ai commencé la cultivation. »
Wu a fini de lire les trois cents pages du Zhuan Falun en deux jours. Bien que Maître Li Hongzhi, l’auteur et le fondateur du Falun Gong, ait intentionnellement utilisé un langage simple dans le livre, Wu a trouvé les concepts transmis exceptionnellement profonds – rappelant également les idées qu’il connaissait dans le domaine scientifique.
« J’ai été frappé par le fait que Maître Li a expliqué la cultivation en termes scientifiques, ce qui l’a rendue plus facile à comprendre », a déclaré M. Wu. « Il a utilisé la science moderne et la science du corps humain pour expliquer des concepts fondamentaux. Quand je l’ai lu, j’ai alors changé. »
« Par exemple, le Maître a dit que la vertu et le karma ont une forme physique. Ils existent dans le corps humain dans une autre dimension et il a parlé de la relation entre la vertu et la transformation du karma. De plus, le Maître a expliqué les changements dans le corps humain pendant la pratique du qigong d’un point de vue scientifique, et que la nature de la vie est bonne. »
C’est comme si une lumière s’était allumée dans l’esprit de Wu, reliant les deux aspects de son monde (matériel et spirituel) qu’il pensait auparavant complètement opposés. Mais surtout, il a ressenti une forte intuition, quelque chose dans ses tripes qui lui a dit qu’il avait trouvé ce qu’il cherchait.
« Je ne pense pas pouvoir l’expliquer, vraiment », a-t-il dit. « J’y ai cru, tout simplement. J’ai eu un déclic. »
Après avoir terminé de lire le Zhuan Falun, Wu a cherché des vidéos d’instruction sur Internet et a appris lui-même les cinq exercices du Falun Gong. Il a également trouvé des écrits de Maître Li postérieurs au Zhuan Falun, qu’il a lus avec voracité jusqu’à ce qu’il tombe sur des concepts qu’il ne comprenait pas tout à fait. Cela l’a amené à prendre contact avec la communauté locale des pratiquants de Falun Gong à l’université d’Oxford.
Dr Wu pratiquant la méditation assise du Falun Gong
« Je me souviens de la première fois que je me suis rendu au point de pratique », se souvient Wu. « J’ai réussi à faire la méditation assise en position du lotus pendant une demi-heure. Les autres pratiquants étaient très étonnés. »
Cela s’est passé en janvier 2005. Jusqu’à ce que Wu quitte Oxford avec son doctorat en 2007, il étudiait les enseignements et faisait les exercices du Falun Gong avec ce groupe de pratiquants chaque semaine, découvrant au passage de nouvelles perspectives sur la vie.
« Pour un généticien, l’unité fondamentale de la vie est constituée par les gènes de notre ADN », a déclaré Wu, « mais il était intéressant que Maître Li révèle qu’il y a quelque chose de plus fondamental et microscopique qui affecte les vies, des choses comme le karma et la vertu. »
« Ma vision du monde a changé du tout au tout », a déclaré Wu. « Je suis passé d’une personne égoïste qui aime se battre pour son profit personnel à un mode d’existence plus désintéressé et plus compatissant. »
Il est intéressant de noter que Dr Wu a déclaré que ses recherches ont donné de meilleurs résultats en devenant plus altruiste. En 2023, il a même obtenu une prestigieuse bourse de recherche d’un montant total de près de deux millions de livres pour étudier la stabilité génomique des troubles neurologiques.
Dr Wu travaillant dans un laboratoire
Le jeune homme méfiant qui avait l’habitude d’être paranoïaque à l’égard de ses collègues se montre désormais prévenant, vérifiant toujours si ses expériences ne risquent pas d’interférer avec le travail d’autres personnes avant de les entreprendre. Il aide également à créer des réactifs pour les autres chercheurs de son laboratoire lorsqu’ils en manquent.
« Aujourd’hui, j’essaie toujours de penser d’abord aux autres, que ce soit à la maison ou au travail, ce qui me permet d’entretenir de bonnes relations avec les membres de ma famille et mes collègues de travail », a-t-il déclaré. Peu après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, les problèmes digestifs qui le gênaient tant ont disparu.
Wu a déclaré qu’il menait désormais une vie plus heureuse et plus saine.
Dr Wu a créé un club des Amis du Falun Gong à l’université d’Oxford. Il donne également de son temps pour sensibiliser le public à la persécution dont la pratique fait l’objet en Chine.
« C’est la pratique la plus merveilleuse qui soit. L’apprentissage du Falun Gong m’a beaucoup apporté, tant sur le plan physique que mental », a déclaré M. Wu.
Et pour tous ceux qui sont curieux d’en savoir plus sur le Falun Gong, Wu donne le conseil suivant : « Ne vous laissez pas influencer par ce que le PCC dit du Falun Gong. Venez en faire l’expérience vous-même, et ce sera la meilleure décision que vous ayez jamais prise. »
Qu’est-ce que le Falun Dafa et pourquoi le PCC le persécute-t-il ?
Le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) a été présenté pour la première fois au public en 1992 par M. Li Hongzhi à Changchun, en Chine. Cette discipline spirituelle est maintenant pratiquée dans plus de 100 pays et régions du monde. Des millions de personnes ont adopté les enseignements basés sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ainsi que sur cinq exercices doux, et ont constaté une amélioration de leur santé et de leur bien-être.
Jiang Zemin, ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), a perçu la popularité croissante de cette discipline spirituelle comme une menace pour l’idéologie athée du PCC et, le 20 juillet 1999, a émis un ordre interdisant cette méthode.
Sous la direction personnelle de Jiang, le PCC a créé le Bureau 610, une organisation de sécurité extralégale ayant le pouvoir d’outrepasser les systèmes policier et judiciaire et dont la seule fonction est d’orchestrer la persécution du Falun Dafa.
Au cours des vingt-trois dernières années, Minghui.org a confirmé la mort de milliers de pratiquants suite à la persécution. On pense que le nombre réel est beaucoup plus élevé. Beaucoup plus ont été emprisonnés et torturés en raison de leur croyance.
Il existe des preuves concrètes que le PCC organise le prélèvement des organes de pratiquants détenus, qui sont assassinés pour alimenter l’industrie de transplantations d’organes.
Traduit de l’anglais