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Saisir toutes les occasions pour clarifier la vérité et sauver les gens

16 mai 2023 |   Écrit par Shanxin, une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) J’ai obtenu le Fa en 1998. Auparavant, j’avais de nombreux problèmes de santé, notamment des migraines, des problèmes rhumatoïdes, des douleurs d’estomac, des sciatiques, des maladies gynécologiques, des maux de dents, des vertiges, etc. Les vertiges étaient particulièrement problématiques, car il m’arrivait de ne pas pouvoir m’accroupir, et une fois accroupie, je ne pouvais plus me relever. Mais peu après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, toutes mes maladies ont disparu. La nature miraculeuse et extraordinaire de la discipline m’a non seulement donné un corps sain, mais m’a aussi appris à être une bonne personne, toujours attentive aux autres.

En 1999, le Parti communiste chinois (PCC) a lancé sa campagne de persécution contre le Falun Dafa. Maître Li Hongzhi a demandé aux pratiquants de Dafa d’expliquer les faits et de démystifier les mensonges du PCC, afin de sauver les personnes qui ont été empoisonnées par ces mensonges. C’est alors que j’ai commencé à parler du Falun Dafa en personne. Le Maître a vu que j’avais le désir de sauver les gens, et il m’a donc donné la sagesse. J’ai eu l’honneur de marcher sur la voie divine pour sauver les gens.

J’aime expliquer les faits et j’intègre la clarification de la vérité dans ma vie quotidienne et mon travail. Je saisis chaque occasion de le faire et en tout lieu. Lorsque je parle du Falun Gong, je m’oublie complètement, ne pensant qu’à aider les gens à comprendre les faits et à être sauvés, et l’effet est généralement bon. Si le temps le permet, je discute avec toutes sortes de personnes tout en insérant naturellement la vérité sur Dafa dans la conversation. Je fais en sorte que la conversation soit complète et exhaustive, et les gens sont heureux de m’écouter. Les voir comprendre la vérité et être sauvés est mon plus grand bonheur.

En 2005, j’ai travaillé pour une entreprise privée. Je dormais au bureau, me levais tous les jours à 3 h du matin pour faire les exercices, lisais le Zhuan Falun, faisais une pause à midi pour lire les nouveaux articles du Maître, puis sortais le soir pour clarifier la vérité. La vie était difficile en raison des bas salaires et de la nécessité de subvenir aux besoins de la famille. Je mangeais des brioches à la vapeur pour 50 centimes tous les matins et prenais un repas d’un yuan le midi. Comme je n’avais pas d’argent pour le repas du soir, je n’achetais que 50 centimes de tofu ou je sautais le repas. Le soir, je clarifiais souvent la vérité face à face. Un jour, j’ai vu des petits pains à la vapeur blancs et chauds en vente, et j’ai voulu en acheter un, mais je n’avais pas d’argent. Je me suis réconfortée, sachant que le Fa me donnerait tout.

Clarifier la vérité à la gare et dans le train

Fin 2005, mon patron m’a envoyée dans une entreprise du nord pour récupérer les arriérés. Lorsque je suis arrivée à la gare, j’ai commencé à clarifier la vérité. Lorsque le train est entré en gare, j’ai vu une femme âgée qui se trouvait dans le même wagon que moi. Elle portait deux grands sacs de produits locaux, qui semblaient lourds. Elle m’a dit qu’elle allait rendre visite à sa fille et que son gendre était un officier de l’armée. J’ai alors pensé qu’il serait formidable que toute sa famille apprenne la vérité et soit sauvée.

Je l’ai aidée en portant son sac de lourdes marchandises d’une main, la brioche à la vapeur que j’allais manger dans le train de l’autre main, et un sac contenant mes propres achats quotidiens sur mon dos. J’ai couru avec elle jusqu’au dixième wagon. Lorsque le train s’est arrêté, nous nous sommes retrouvées au mauvais endroit. Nous nous sommes dépêchées de revenir en arrière. Lorsque la sirène a retenti, nous courions toujours. Malgré le froid hivernal, j’étais trempée de sueur.

J’ai aidé la dame âgée à trouver sa place dans le train, puis j’ai avancé pour trouver la mienne. J’ai posé les affaires que j’avais apportées et je suis revenue rapidement pour l’aider à ranger ses affaires. Après l’avoir installée, je lui ai dit qu’elle devrait réciter sincèrement « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » lorsqu’elle rencontrait des difficultés. Je lui ai demandé de dire à sa fille et à son gendre la vérité sur Dafa.

La femme âgée m’a remerciée sincèrement, et les passagers autour de moi ont également dit : « Vous êtes si gentille avec votre mère ! » J’ai répondu : « Nous ne nous connaissons pas du tout. C’est mon Maître qui m’a appris à être bienveillante avec tout le monde. Vous devez tous vous rappeler que “Falun Dafa est bon”, et vous ferez un bon voyage. » Tout le monde a dit joyeusement : « Bien, bien, merci ! » Quand je suis retournée à mon siège, j’ai continué à parler du Falun Dafa à ceux qui m’entouraient.

Clarifier la vérité dans le bus

Après être descendue du train, j’ai pris un bus. Il était rempli d’étudiants qui rentraient chez eux pour les vacances d’hiver. J’ai parlé à une fille à côté de moi, qui était belle et gentille. Je lui ai parlé du Falun Dafa et de la persécution pendant plus d’une heure. Elle a tout compris et a démissionné des deux organisations pour la jeunesse du PCC.

Il faisait extrêmement froid lorsque le bus est arrivé au terminal. La température était de moins douze degrés. Il venait de neiger dans la région et le sol était couvert de glace. Je n’avais pas l’habitude de marcher dans la neige et j’ai failli glisser. Voyant cela, la fille a dit : « Tante, ralentissez, ne tombez pas. Vous n’avez pas l’habitude. Laisse-moi vous aider à trouver un hôtel. » J’ai répondu : « Il fait si froid. Appelle ton père et demande-lui de te ramener à la maison. » Elle m’a répondu : « Vous êtes si gentille. Je dois vous aider à trouver un hôtel, puis j’appellerai mon père. »

Les paroles et les actes de cette jeune fille m’ont réchauffé le cœur. Je sais que ses paroles et ses actes sont sa gratitude envers Dafa et les disciples de Dafa après avoir compris la vérité.

Clarifier la vérité à l’hôtel

Il y avait beaucoup de clients à l’hôtel. Un soir, je venais de finir de nettoyer et j’allais fermer ma porte pour étudier le Fa, quand soudain un homme bien habillé d’une trentaine d’années est passé. Il m’a dit qu’il m’observait depuis deux jours et qu’il voulait m’inviter à sortir avec lui, par exemple pour faire de la randonnée. Tout en refusant poliment, j’ai pensé qu’il s’agissait d’une personne envoyée par le Maître pour entendre la vérité. J’ai dit au Maître dans mon cœur : « Maître, je veux le sauver. » J’ai parlé avec lui pendant deux heures et j’ai pu lui parler de la vérité sur Dafa au cours de notre conversation. Il a compris, a joyeusement démissionné du Parti et il est reparti. Je ne l’ai plus jamais revu.

Clarifier la vérité lors d’une visite à l’entreprise qui nous devait de l’argent

J’ai également expliqué les faits auprès de l’entreprise qui nous devait de l’argent. Recouvrer des dettes n’était pas une mission facile. Au début, le patron de l’entreprise m’a permis de manger à la cafétéria de l’entreprise, et j’ai donc clarifié la vérité auprès de deux chefs qui y cuisinaient. Mais lorsque j’ai essayé de recouvrer la dette, le propriétaire de l’entreprise a changé d’attitude. Il ne m’a plus offert de repas.

Un jour, je suis allée à l’entreprise et j’ai demandé l’argent, mais je n’ai rien obtenu. Il faisait nuit quand je suis partie, je n’avais rien mangé ni bu depuis un jour, j’avais froid et j’avais faim. Je ne savais pas s’il y avait un bus de retour à ce moment-là, alors j’ai acheté des biscuits dans une petite épicerie sur le bord de la route. Le propriétaire de l’épicerie m’a dit qu’il n’y avait pas de bus à cette heure-là.

J’ai enlevé mes gants et je m’apprêtais à manger les biscuits lorsque j’ai vu que mes mains étaient rouges et enflées. En pensant à ma situation difficile, des larmes ont commencé à couler. J’étais venue dans le froid à maintes reprises demander de l’argent, et l’entreprise débitrice ne m’avait rien donné. Je me sentais très malheureuse.

À ce moment-là, une voiture blanche s’est arrêtée à côté de moi et le conducteur m’a demandé si j’avais besoin d’un chauffeur. Après être montée dans la voiture, j’ai essuyé mes larmes en lui parlant, pensant que c’était une occasion que je ne pouvais pas manquer. Nous avons parlé de la corruption du Parti pervers, puis de la persécution du Falun Dafa. Je lui ai dit que les auto-immolations de la place Tiananmen étaient un coup monté et que le Falun Dafa était une méthode de cultivation de l’école de Bouddha, etc. Il a accepté la vérité et a démissionné du Parti. Je savais dans mon cœur que le Maître m’avait envoyé le chauffeur et, sous la protection du Maître, le chauffeur a compris la vérité, et je suis retournée à l’hôtel en toute sécurité. J’ai dit du fond du cœur : « Maître, c’est une bénédiction d’être votre disciple. »

Le Maître me protège

J’ai séjourné à l’hôtel pendant une semaine. La veille de mon départ, je suis allée à la réception pour expliquer la vérité à la réceptionniste (par sécurité, j’ai volontairement attendu le dernier jour). Après lui avoir dit la vérité et l’avoir convaincue de se retirer du Parti, j’ai vu le grand jeune homme qui logeait dans la chambre 303 se diriger vers moi. Il m’a dit : « Vous croyez que je ne vous connais pas. Vous avez parlé du Falun Dafa à la concierge le premier jour où vous êtes arrivée, et elle me l’a dit. Je suis chargé de gérer le Falun Dafa. Vous pensez que je ne vous connais pas ! » Il est ensuite parti.

Un autre jeune homme de grande taille se trouvait également dans la chambre 303. J’ai supposé qu’il s’agissait d’agents de la sécurité de l’État ou de la sécurité publique. Pendant la semaine où j’étais là, j’ai réussi à expliquer les faits à plus de vingt personnes sous la surveillance secrète des jeunes hommes. J’étais sous la protection compatissante du Maître. Sans lui, non seulement je n’aurais rien pu faire, mais même ma propre vie n’aurait pas été garantie. J’étais reconnaissante du fond de mon cœur pour le salut et la protection du Maître.

Clarifier la vérité sur le chemin du retour

Sur le chemin du retour, je n’ai pas oublié de clarifier la vérité. Dans le train, je suis restée dans un compartiment avec un couple et un homme d’âge moyen. Le voyage allait durer plus de dix heures, je n’étais donc pas pressée d’expliquer les faits. Je leur ai d’abord dit bonjour, puis j’ai commencé à lire le Fa. Après avoir lu une conférence dans le Zhuan Falun, j’ai commencé à discuter avec eux et à clarifier la vérité. J’ai parlé au couple en premier parce qu’ils allaient descendre du train en premier. Ils étaient d’accord pour dire que Dafa est bon et m’ont beaucoup soutenue. Ils connaissaient également la nature perverse du PCC, mais ils n’osaient pas démissionner. Je leur ai dit qu’à l’avenir, si quelqu’un leur disait de se retirer du PCC, ils devraient le faire.

Le soir, lorsque les hommes sont allés acheter une collation, j’ai expliqué la vérité à la dame et l’ai convaincue de se retirer du Parti. Le couple est ensuite descendu à un arrêt, me laissant avec l’homme d’âge moyen. Il m’a demandé quel livre je lisais. J’ai répondu que c’était le livre du Falun Dafa, le Zhuan Falun. Je lui ai demandé s’il était membre du PCC. Il a répondu par l’affirmative. Je lui ai demandé de démissionner avec un pseudonyme. Il m’a donné une carte de visite. Je lui ai demandé s’il voulait démissionner. Il a répondu par l’affirmative.

Sans trop d’états d’âme, il s’est retiré du PCC en utilisant son vrai nom. Il m’a également dit que si je voulais trouver un emploi à l’avenir, je pouvais l’appeler et qu’il m’aiderait. Je pense que c’est la gratitude que les gens ont pour le Maître et les pratiquants de Dafa après avoir compris la vérité.

Lors de ce voyage d’affaires, j’ai saisi l’occasion de parler à des personnes de tous horizons à la gare, dans le train, dans le bus, à l’hôtel, à l’entreprise en retard de paiement, dans le train du retour, etc. J’ai convaincu plus de vingt personnes de se retirer du PCC. En fait, pendant le processus, ce que j’ai fait était vraiment simple ; c’est le Maître qui a tout fait.

Grâce à la protection omniprésente et miséricordieuse du Maître, j’ai pu persister à cultiver et à clarifier la vérité pendant des années d’épreuves jusqu’à aujourd’hui. Sans la protection miséricordieuse du Maître, sans parler de clarifier la vérité pour sauver des gens, même ma propre sécurité n’aurait pas été garantie. Je suis reconnaissante de la compassion du Maître et des souffrances qu’il a endurées pour ses disciples et les êtres.

Traduit de l’anglais