(Minghui.org) De nombreux membres de la famille des pratiquants de Falun Dafa ont pris peur après que le Parti communiste chinois a lancé la persécution du Falun Dafa en juillet 1999 et ont essayé de forcer leurs proches à abandonner la pratique. Heureusement, mon mari m’a toujours soutenue. Lorsque j’ai été détenue dans un camp de travail en raison de ma croyance, il ne s’est jamais plaint et a récité chaque jour la phrase auspicieuse de Falun Dafa : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »
Une vie misérable changée en une heure
Je suis née dans un village rural de la province du Hebei en 1963. Mon père est mort lorsque j’avais 6 ans. Ma mère nous a élevés seule, moi et mes deux frères et sœurs. Bien que nous soyons pauvres, j’étais heureuse. Cependant, en 1980, ma mère a été victime d’un accident vasculaire cérébral et d’un cancer du foie, et elle est décédée un an plus tard. J’avais 19 ans à l’époque. La mort de ma mère m’a beaucoup affectée, je pleurais tous les jours. Je me réveillais souvent en pleurant dans mes rêves.
J’étais plongée dans la douleur tous les jours et j’ai progressivement développé diverses maladies chroniques, notamment des migraines, de l’hypertension, des maladies cardiaques, de l’hyperlipidémie, des maladies rénales et de la polyarthrite rhumatoïde. Après mon mariage, ma vie a encore empiré. Mon mari et moi nous disputions presque tous les jours. Pendant ma grossesse, j’étais très gonflée, mais il ne se souciait pas de moi. Lorsque j’ai accouché de mon fils, j’ai été hospitalisée pendant cinq jours et je n’arrivais pas à m’endormir. J’ai développé de graves insomnies. Mon état de santé s’est dégradé et mon humeur s’est également détériorée. Parfois, j’ai même pensé à mettre fin à mes jours.
J’étais dans un état désespéré, puis ma vie a changé.
Dans l’après-midi du 3 septembre 2003, je me suis rendue chez mon frère pour féliciter ma nièce d’avoir été acceptée à l’université. Mon frère et ma belle-sœur écoutaient l’enregistrement des conférences de Maître Li, le fondateur du Falun Dafa. Je l’ai écouté avec eux et je me suis vite sentie somnolente. Je me suis demandé : « Pourquoi ai-je soudain sommeil ? » L’heure suivante, j’étais dans un état second.
À la fin de la conférence, j’étais rafraîchie et pleine d’énergie. En rentrant chez moi, je ne me suis pas sentie fatiguée comme d’habitude après avoir effectué les tâches ménagères. J’étais stupéfaite ! J’ai appelé mon frère : « J’ai l’impression que toutes mes maladies ont disparu ! C’est comme un rêve. » Mon frère m’a suggéré de lire le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa, il y a sept ans. Aujourd’hui, je regrette de ne pas avoir suivi sa suggestion.
Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, non seulement mon état s’est amélioré, mais mon caractère a également changé radicalement. Je suivais le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans ma vie quotidienne. J’étais gentille avec mon mari et je prenais bien soin de lui. Mon mari a été témoin de mon changement et m’a soutenue dans ma pratique. Parfois, il a même pris le risque d’être arrêté pour m’aider à distribuer des documents d’information sur le Falun Dafa. Il récitait sincèrement les « les neuf mots de bon augure » du Falun Dafa tous les jours.
Le mari reçoit des bénédictions
Grâce à la protection de Dafa, mon mari a survécu à de nombreuses situations mettant sa vie en danger.
Un soir de l’hiver 2012, j’ai allumé les restes de charbon. Lorsque je me suis levée à 2 heures du matin pour aller aux toilettes, je me suis soudain sentie nauséeuse et j’ai eu envie de vomir. J’ai rapidement appelé mon mari. Il a poussé la porte et est tombé par terre, inconscient. J’ai compris qu’il s’agissait d’une intoxication au gaz.
Immédiatement, j’ai demandé de l’aide au Maître. Mon fils et moi avons ouvert toutes les fenêtres et les portes. Au bout d’un moment, mon mari a repris connaissance et nous avons commencé à réciter les « les neuf mots de bon augure » du Falun Dafa. À 7 h 15, il s’est levé et a dit qu’il allait bien. Je lui ai demandé s’il avait mal à la tête ou s’il ressentait une quelconque gêne. Il m’a répondu que non. Je savais que le Maître nous avait tous sauvés.
L’entreprise de mon mari produit des appareillages de commutation à haute tension. Il est principalement chargé de l’inspection des lignes. Habituellement, deux personnes effectuent l’inspection ensemble. Un jour, alors qu’il y allait seul, il a touché le circuit imprimé et a reçu une décharge électrique. Le courant électrique est passé de son bras gauche à son bras droit. Il savait qu’il mourrait si le courant passait par son cœur. Il a fait de son mieux pour reculer et s’est écroulé sur le sol. Sans savoir combien de temps il a été inconscient, son collègue est venu lui demander ce qui s’était passé. Après enquête, il s’est avéré qu’un nouvel employé avait commis une erreur lors du câblage du circuit imprimé. La situation était extrêmement dangereuse.
Lorsque mon mari est rentré à la maison, la première chose qu’il m’a dite a été : « Le Maître m’a sauvé la vie ! Sinon, je n’aurais pas pu survivre aujourd’hui ! »
Un été, mon mari s’est accidentellement coupé le petit doigt au travail. Ses collègues l’ont immédiatement envoyé à l’hôpital de la ville. Mais il y avait tellement de patients qu’ils ont dû se rendre dans un autre hôpital. Lorsqu’il est rentré à la maison, il faisait nuit. Je lui ai demandé si sa coupure était douloureuse et il m’a répondu : « Pas du tout. J’ai continué à réciter “les neuf mots de bon augure” du Falun Dafa tout le temps, je n’ai ressenti aucune douleur. » Il a repris le travail au bout de seize jours.
Un mois plus tard, un de ses collègues a eu un accident similaire et s’est coupé le majeur. Il n’a pas pu s’empêcher de crier à cause de la douleur. Il lui a fallu deux mois pour se rétablir et 20 000 yuans pour payer les frais médicaux, soit 20 fois plus que ce que mon mari a dépensé.
Il n’y a pas de mots pour exprimer ma gratitude envers le Maître !
Traduit de l’anglais