(Minghui.org) Je voudrais partager quelques expériences que je rencontre souvent avec les policiers lorsque j'essaie de les informer de la vérité sur le Falun Dafa afin qu'ils puissent avoir une bonne opinion de la pratique.
J'étais en train de clarifier la vérité sur le Falun Dafa à des gens dans un magasin de vêtements lorsque j'ai rencontré un homme qui m'a immédiatement dit qu'il était membre du Parti communiste chinois (PCC) et qu'il voulait en démissionner. Il a dit qu'il était un policier et qu'il se trouvait-là pour s'assurer qu'il n'y ait aucun pratiquant de Falun Dafa dans le secteur. Il a également dirigé mon attention sur un homme avec des souliers blancs qui se trouvait à environ 9 mètres et m'a dit que cet homme était également un policier et que je devais l'éviter.
Un jour, j'étais en train de clarifier la vérité sur le Falun Dafa à un arrêt d'autobus et j'ai vu un homme debout à une fenêtre. Lorsque je lui ai demandé de démissionner du PCC et de ses organisations de la jeunesse, il m'a demandé de me tenir loin de lui, car il était un policier. Je me suis éloignée et lui ai trouvé un pseudonyme, lui ai écrit sur un morceau de papier et lui ai montré. J'ai dit : « Étant donné que vous êtes un policier, vous devez connaître la vérité. Si vous êtes membre du PCC, pourquoi ne pas en démissionner en utilisant ce nom fictif ? Il a hoché la tête et ma remerciée.
Un policier en civil m'a traîné au poste de police de la gare de train lorsque j'y étais pour clarifier la vérité. Ils ont ouvert mon sac et ont trouvé des billets d'argent avec des messages de clarification de la vérité qui y étaient imprimés, ainsi qu'un annuaire téléphonique. J'ai émis la pensée droite et j'ai demandé au Maître de m'aider. Je leur ai dit qu'il n'y avait rien d'intéressant dans mon sac, que les documents d'information sur le Falun Dafa étaient conformes à l'article 36 de la Constitution, que la liberté de croyance et d'expression sont des droits humains fondamentaux et que le Parti enfreint la loi et viole les droits humains.
Ils ont discuté avec leur supérieur et ont dit que je pouvais partir. Lorsque je leur ai demandé de me rendre mon annuaire téléphonique, ils ont refusé. J'ai dit : « Il s'agit d'une propriété personnelle. Je ne partirai pas si vous ne me le rendez pas. » J'ai tiré une chaise et me suis assise. Un policier à la porte est venu et a dit, « Pourquoi vous ne le lui rendez pas ? »
J'y suis récemment retournée pour clarifier la vérité et j'ai rencontré le policer qui était intervenu en mon nom. Il avait déjà démissionné du PCC en utilisant son vrai nom. Il m'a dit que le policier qui m'avait signalé était décédé parce qu'il buvait trop.
J'ai été signalée au Département de police de la gare lorsque je clarifiais la vérité dans une gare. Après qu'ils m'eurent interrogé pendant un moment, ils répondaient à leurs propres questions. Deux policiers subalternes m'ont demandé « Madame, s'il vous plaît utiliser un pseudonyme pour moi et aidez-moi à démissionner des Jeunes Pionniers. »
Après le Nouvel An, j'ai été arrêtée et emmenée au Département de police de la voie ferrée. Ils ont trouvé trois DVD et deux copies des récents articles du Maître sur moi et ont demandé où je me les étais procurés. Je n'ai pas répondu. Ils ont voulu me ramener chez moi, mais j'ai refusé de les laisser faire. Finalement, ils m'ont laissé partir.
J'ai été arrêtée et emmenée au poste de police ou au Département de police plusieurs fois. Sous la protection du Maître, j'ai toujours été libérée le même jour.
Traduit de l'anglais