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La prison pour femme du Liaoning donne des drogues inconnues aux pratiquantes de Falun Gong

9 février 2024 |   Écrit par un correspondant de Minghui en Chine

(Minghui.org) La 12e division de la prison pour femme de la province du Liaoning est connue comme étant la zone d’entraînement intensif et de correction et est spécifiquement désignée pour persécuter les pratiquantes de Falun Gong. Les détenues, incitées par les gardiens, ne font pas que torturer les pratiquantes, mais ajoutent également des drogues inconnues dans leurs nourritures.

Les pratiquantes n’ont pas l’autorisation d’apporter quoi que ce soit dans la prison lorsqu’elles sont admises. Elles sont d’abord admises à la 2e division pour une session de lavage de cerveau, trois mois plus tard, si elles refusent de renoncer à leur croyance, elles sont alors envoyées à la 12e division.

Une fois que les pratiquantes sont envoyées à la 12e division, les membres de leurs familles ne peuvent obtenir aucune information à leur sujet. De plus, elles ne sont pas autorisées à recevoir la visite de leur famille. Deux détenues sont assignées pour surveiller une pratiquante. Les pratiquantes sont emmenées dans une pièce pour y être torturées. Les méthodes de tortures incluent la privation de sommeil, la privation de nourriture ou l’interdiction d’utiliser les toilettes, rester debout pendant de longues heures, des coups, l’humiliation, regarder des vidéos calomniant le Falun Gong, écrire des déclarations de garantie et des rapports de réflexion. Elles sont également forcées de dire des choses diffamatoires à propos du Falun Gong. Le but de ces méthodes est de les contraindre à renoncer à leur croyance.

Pendant longtemps, des substances inconnues ont été ajoutées à la nourriture de Mme Xu Xiuyun de la ville de Fushun. Mme Jiang Wei de la ville de Chaoyang a souvent été forcée de rester debout pendant de longue période et elle a été battue, maltraitée et droguée par les détenues, elle est devenue très faible en conséquence. Certaines des pratiquantes ont été enfermées en cellule d’isolement. Certaines pratiquantes sont décédées quelques mois ou quelques années après avoir été libérées en raison des drogues inconnues.

Les gardiens ou les détenues gavent immédiatement les pratiquantes avec des drogues inconnues si elles deviennent inconscientes en raison de la torture. Des drogues sont également ajoutées à leurs nourritures. Les pratiquantes qui jettent la nourriture (contenant des drogues) sont punies si les détenues ou les gardiens le découvrent. Cela est signalé aux gardiens de la 11e division qui dirigent « l’expérimentation de drogues » sur les pratiquantes.

Certaines pratiquantes qui sont gavées avec des drogues souffrent de perte de mémoire, sont confuses ou développent des symptômes similaires à ceux du diabète ou de maladies coronariennes.

D’autres méthodes de tortures physiques comprennent :

Se tenir debout

Les pratiquantes qui entrent en prison sont d’abord obligées de rester debout pendant vingt-quatre heures sans bouger, sous peine d’être battues par les détenues. Le corps de certaines pratiquantes devient alors enflé ou elles deviennent étourdies. Les détenues se relayent pour surveiller les pratiquantes.

Interdiction de se laver ou d’utiliser les toilettes

Les pratiquantes ne sont pas autorisées à se laver ou à utiliser les toilettes pendant vingt-quatre heures. Certaines pratiquantes avaient des douleurs au bas-ventre parce qu’elle se retenait et certaines ont développé des mictions fréquentes. Afin de réduire leur besoin d’utiliser les toilettes, certaines ont fait une grève de la faim, mais ont été gavées. Certaines ont fait une grève de la faim pendant quatre jours et ont déféqué dans leur pantalon. Alors qu’elles n’étaient pas autorisées à aller aux toilettes, certaines ont uriné ou déféqué dans leur pantalon, mais n’ont pas eu l’autorisation de nettoyer leur pantalon souillé.

Les pratiquantes qui refusent d’être transformées sont forcées de prendre des médicaments qui endommagent le système nerveux central.

Torture mentale

Les pratiquantes subissent souvent un lavage de cerveau avec des théories et des vidéos qui diffament le Falun gong. Elles sont également forcées d’écrire des déclarations de renoncement et de lire leur déclaration alors qu’elles sont filmées. Les pratiquantes doivent également écrire des rapports de pensées.

Autres méthodes

La prison traite chaque pratiquante différemment selon son degré de transformation. Certaines pratiquantes qui ne s’opposent pas à la persécution sont transférées dans d’autres divisions pour travailler, tandis que d’autres qui ne « réussissent » pas la transformation sont soumis à une torture à long terme.

Traduit de l’anglais