"Clarifiez la vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité, apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La Grande Loi est indestructible).
Des scènes tragiques et inhumaines au camp de travaux forcés de Wanjia
Le 23 novembre 2001
(Vraiesagesse.net)
Le 18 juin 2001, le camp de travaux forcés de Wanjia dans la ville de Harbin, province du Heilongjiang a tenu une assemblée « de prolongation ou de remise de peine » pour tous les pratiquants de Falun Gong détenus. Plus de 40 policiers et policières cruels munis de bâtons électriques ont saisi les pratiquants par les épaules (certains d’entre eux étaient menottés) et sont entrés dans l’assemblée. Plus de 100 policiers se sont éparpillés dans l’assemblée. La terreur planait sur toute la salle.
Les dirigeants du camp de travail, Shi Baiying et Lu Zhenshan, ont calomnié Bouddha et la Loi. Ils ont aussi hurlé : « Si vous ne voulez pas vous convertir [c’est à dire renoncer à la pratique du Falun Gong], vous devez quand même vous convertir ; nous vous convertirons par la force. » Sept pratiquantes se sont levées pour valider la Loi : « Falun Dafa est la Loi juste ! Vous ne méritez pas de prononcer le nom de notre Maître ! » Des voix droites se sont élevées l’une après l’autre. Les cruels officiers de police ont couru furieusement vers les pratiquantes de Falun Dafa. Ils les ont frappées, leur ont donné des coups de pied et leur ont donné des décharges avec les bâtons électriques. Gao Shuyan, une pratiquante mince et faible a été terrassée par la police et continuellement frappée, elle a reçu des coups de pied. Le médecin de la prison lui a même fait une injection de force d’une substance inconnue. Un gardien a maintenu au sol la pratiquante de Falun Dafa Zuo Xiuyun de la ville de Jiamusi et a continuellement donné des coups de pied dans sa poitrine. Elle en est presque morte ! Alors deux policiers l’ont traînée jusque dans le couloir sur le dos et l’ont déposée sur le sol.
Xu Lihua, âgée de 54 ans (une pratiquante de Falun Dafa de la ville de Shuangcheng) a été traînée jusqu’en bas des escaliers depuis le deuxième étage, le visage tourné vers le sol. Ils l’ont emmenée vers un endroit désert et ont continué à la frapper. Le visage de Xu était noir et bleu et du sang sortait de sa bouche.
La pratiquante de Falun Dafa Zhao Yayun (du village de Lequn, ville de Shuangcheng, âgée de 54 ans) et cinq autres ont été envoyées vers le fond du couloir. Un policier leur a hurlé : « Qui ose dire que le Falun Dafa est bon ! » Zhao Yayun a dit avec raison : « Falun Dafa est la Loi juste ! » Le policier a brandi son bâton électrique et l’a frappée au hasard sur la tête, le visage et la poitrine. La pratiquante de Falun Dafa Wang Fang était menottée. La pratiquante de Falun Dafa Chen Yali a été blessée par le bâton électrique.
Seize pratiquantes ont eu leurs peines illégalement prolongées. Après l’assemblée, les personnes cruelles ont enfermé les huit pratiquantes du troisième groupe avec ces seize pratiquantes dans des « cellules minuscules » où les pratiquantes étaient soumises à l’isolement et interdites de sortie.
L’après-midi du 19 juin, le policier Quan Minghao a dit que les officiers du camp voulaient inspecter les « cellules minuscules ». Il a dit à toutes les pratiquantes dans les « cellules minuscules » de se tenir debout. La pratiquante de Falun Dafa Yang Xiuli a eu un peu de retard parce qu’elle était blessée. Cependant, lorsqu’elle l’a expliqué à Quan Minghao, il n’a pas voulu entendre. Il a ouvert la porte et l’a tirée dehors, il l’a attachée dos à la porte. Elle n’avait pas mis de chaussures. La pratiquante Fangfang de la cellule en face lui envoya un sac en plastique pour le mettre sous ses pieds. Quan Minghao donna un coup de pied dans le sac et tira Fangfang de sa cellule, il l’attacha aussi pareillement contre la porte de la cellule.
Au moment du dîner, nous avons toutes (les pratiquantes de Falun Dafa) demandé aux policiers cruels de libérer les deux pratiquantes et de les laisser manger. Ils ont refusé. Nous avons toutes refusé de manger. Les policiers sadiques nous ont demandé à toutes, une par une, : « Allez-vous manger ? Si non, vous serez attachée pareillement ! Sortez et tenez-leur compagnie ! » Il a ensuite appelé 5 ou 6 policiers et ils ont attaché treize pratiquantes. Ni parler ni chaussures n’étaient autorisés. Quiconque émettait un bruit serait battu.
Un peu après 21h., Yang Xiuli a demandé d’aller aux toilettes pour uriner. Le policier cruel a refusé. Il l’a même humiliée et menacée. Plus tard, Yang Xiuli a demandé à un gardien de la discipline de la détacher. Le policier cruel ne l’a pas écoutée et a même enchaîné ses jambes, il a scellé sa bouche avec du ruban adhésif. Yang n’a pas pu le supporter davantage et a uriné juste là. Ils l’ont pressée par terre et ont essuyé l’urine avec son corps tout en la maudissant. Ils ont aussi essuyé son visage avec un balai à récurer. Un policier au nom de Li Min a tenu le corps de Yang par les jambes et a jeté violemment sa tête contre le radiateur. Il a dit : « Je vais t’aider à mourir ! » Il l’a ligotée et suspendue en l’air. Il l’a ensuite constamment frappée avec un bâton électrique. Il a tiré ses cheveux et a hurlé : « Regarde-moi ! Je suis spécialisé dans la pendaison de vous, les pratiquants ! » Ensuite il a poussé le ruban adhésif sale dans sa bouche et a alors utilisé de l’autre ruban pour sceller sa bouche en faisant quelques tours autour de sa bouche. A 22h., le dirigeant pervers du camp, Shi Baiying, est venu vers les « cellules minuscules » pour une inspection. Après cela, il a dit aux policiers cruels dans la salle disciplinaire : « Vous devez les discipliner fortement ! » Liu Lun de la division disciplinaire a hurlé aux pratiquants des « cellules minuscules » : « Quiconque ne se comportera pas bien sera mis aux mains des prisonniers mâles ! » La policière Wu Baoyun a dit : « Vous êtes défini comme xx, comportez-vous en tant que tel ! » La pratiquante de Dafa Zhu Chunrong a dit avec bienveillance : « Définir le Falun Gong comme xx était un non-sens irresponsable de Jiang Zemin qu’il a proféré pour les pays étrangers. » Wu était furieux, il a attrapé une pantoufle et l’a pointée vers Zhu Chuanrong et a hurlé : « Ferme ta bouche ! » Zhu Chuanrong a dit : « Je vous dis la vérité ! » La cruelle policière ne l’a pas écouté et a giflé le visage de Zhu Chuanrong quelques dizaines de fois ! Le sang est sorti du nez et de la bouche de Zhu Chuanrong et son visage était déformé. Cette policière était fatiguée et elle a utilisé du ruban pour faire quelques tour autour de la bouche de Zhu Chuanrong.
Après minuit, la persécution est montée d’un cran. D’abord les cruels policiers avaient dit que si les pratiquantes mangeaient, alors elles seraient détachées et reredescendues Maintenant, les policiers avaient changé d’avis et ils ont dit que les pratiquantes devraient suivre le règlement pour être détachées (y compris ne pas pratiquer les exercices de Falun Dafa et ne pas réciter les écrits de Maître Li).
La pratiquante Pan Xuanhua, âgée de 54 ans, de la ville de Harbin, a été condamnée à une année. Les gardiens du camp l’ont forcée à participer à de lourds travaux. Pan a dit : « Je n’ai commis aucun crime ! Me condamner à de lourds travaux est injuste ! » Pendant l’année passée, la plupart du temps Pan était enfermée dans une « cellule minuscule » et soumise à diverses tortures, telles qu’être menottée, forcée d’être assise sur une chaise en fer (une torture où l’on est forcé de s’asseoir dans une chaise en fer sans bouger pendant une longue période) et dormir sur le sol dénudé. Cette fois, lorsqu’elle était dans la « cellule minuscule », le policier Li Min l’a étranglée plusieurs fois. Il appuyait vraiment fort. Pan Xuanhua a sorti des hurlements étouffés et a énormément transpiré. Le sol était mouillé de sa sueur. Le cruel policier Quan Minghao a dit : « Si tu promets de ne pas pratiquer les exercices dans le camp, je te laisserai descendre ! » Pan Xuanhua n’a pas promis. Li Min l’a frappée au visage. Quand elle a saigné, il a essuyé avec un papier et lui a fourré le papier dans la bouche, il ne lui a pas permis de le recracher. Pan Xuanhua a dit : « Je ne vais rien dire contre ma volonté même si je dois mourir. ». La cruelle policière Wu Baoyun a dit à Quan Minghao : « Laisse Wang Enguang prendre le prochain quart. Il pourra faire cela. Si nous confions cela à quelqu’un d’autre, elle aura des chances de rester ! ( Note : la policière Wang Enguang traite les pratiquants de façon extrêmement malveillante) »
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