"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Nouvelle de Chine du 6 janvier 2001

Chu Congruei, disciple de Dafa de la province de Jilin, est mortsuite aux persécutions de la police de Beijing

Chu Congruei, femme de 30 ans,habitait au bourg Tiande de la ville de Shulan (province de Jilin.) Elle estallée à Beijing le 1er décembre, a été arrêtée sur la placeTiannanmen. Le 17, le poste de police du bureau de police de l’arrondissementde Haidia de Beijing a demandé à sa famille de récupérer le corps. D’après ce qu'ondit, elle était décédée 4 jours auparavant. Son visage était gonflé, les lèvresenflées, les deux oreilles bouchées par des boules de coton ensanglantées, lenez effondré. Il est évident qu’elle a été battue lorsqu’elle était vivante. Lecadavre a été incinéré dans le bourg de Changping à Beijing.

D’après une information bienfondée, une femme disciple de Wuhan est allée justifier le Dafa avec autrescompagnons de pratiques le 25 décembre, elle a été arrêtée sur la placeTiannanmen, puis envoyée au poste de police de l’arrondissement de Chaoyang deBeijing. Elle y a été cruellement battue, la chair de son visage lacérée, soncorps couvert d'hématomes. Parce qu’elle ne coopérait pas avec les forces mauvaises,qu’elle ne dit pas son nom et son adresse, le poste de police l'a conduite enbanlieue de Beijing pour l’interroger avec un instrument de torture. Ces"policiers du peuple"  quiportent l’emblème national sur la tête ont suivi l’exemple du centre de Masanjia,ils lui ont fait boire beaucoup d'eau et ne l'ont pas autorisée à aller auxtoilettes. Voyant qu’elle ne cédait toujours pas, ils ont enlevé sessous-vêtements, et ont menotté ses deux mains à une planche en bois pourl'exposer aux policiers de passage.

Ces policiers qui n’ont plus deconscience humaine récolteront sûrement bientôt les fruits de leur méchanceté.

La droiture de femmessoldats

A 13h environ le 24 décembre, 4femmes soldats venues au centre de la place Tiannanmen ont déposé leur sac,sorti calmement les banderoles de Dafa, et les ont déployées en disant à hautevoix : ‘Falun Dafa est bon’. La droiture de ces 4 femmes soldats a ébranléla place Tiannanmen.

Perfidité de la maisonde détention de Baishi à Tianjin

La maison de détention de Baishià Tianjin est depuis quelques temps cruelle à l’extrême, un véritable enferhumain. Les disciples doivent rester très longtemps en position semi-accroupie,les deux bras à l'horizontale. On appuis sur leurs mains, leur donne des coupsde poings et des coups de pieds violents, leur verser de l’eau sur le, lestraînent par les cheveux en les faisant tourner, brûle leurs mains, électrocuteleur visage et les endroits sensibles de leur corps à l’aide de bâtonsélectriques. Même des personnes de 70 ans ne peuvent éviter ces tortures.Encore plus cruel, ils déshabillent les femmes, puis les menotte avec les mainsattachées aux pieds pour les battre sauvagement, et on leur promet : tumangeras ce que tu vomis, tu mangeras ce que tu excrètes!

Le vu et le su sur laplace pendant la fête de nouvel an

Pourla fête de nouvel an, beaucoup de disciples de Dafa sont allés justifier leDafa à la place Tiannanmen. Le département de la sécurité publique en étantprofondément inquiet, ils ont triplé la force policière pour contrôler laplace. Près du pont Jingshuiqiao, ils ont envoyé l’équipe anti-violence pour lasurveillance. Les policiers ont interrogé sans raison les voyageurs de passage,les ont forcé à dire : "Falun Dafa est une X" pour pouvoir êtrerelâché, ce qui a causé un fort mécontentement chez les voyageurs. Un grospolicier de haute taille de l’équipe anti-violence a arrêté une dame pourl’interroger, elle lui a dit : ‘tu violes les droits de l’homme, tu violesla loi’, ce policier veut l'emmener dans un coin en craignant sa propreconscience, la dame dit ouvertement : qu’est ce que tu as à cacher? Jen’ai rien fait de mal, pourquoi je viens avec toi? Serait-t-il un payscommuniste ici? La dame pointe le nom sur la carte à la poitrine du policier,et dit : ‘oh, tu t’appelle Hu Yupeng, tu viens de l’équipe anti-violence,je vais dévoiler au jour ton acte d'aujourd’hui à autrui’ Le gros policiers’est pressé de lui dire à voix baisse : ‘non, non, non, ne faites pas ça,je ne vous ai rien fait de mal, j’applique seulement l’ordre de mon supérieur’

Un témoin

http://www.minghui.ca/mh/articles/2001/1/6/6518.html