"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Nouvelle de Chine du 16 janvier 2001

Le groupe d’émission spéciale de Jiang Zemin vient saboter le Dafaoutremer, le procès de Falun Gong outremer commence à exercer.
D’après une information bien fondée, suite aux soutiens et à la bonneréputation du Falun Gong adopté par la communauté internationale, Jiang Zeminn’a plus de moyen ; récemment, une émission composée du bureau des compatriotesd’outremer, du ministère de la sécurité publique, et du ministère de la sûreté,est arrivée dans chaque pays ( à titre de réconfort pendant la fête duprintemps etc. ), pour augmenter la puissance de répandre des calomnies,fabriquer une ambiance terrible, interférer la vie quotidienne des pratiquantsde Falun Gong, voulant répandre des calomnies aux compatriotes d’outremer,troubler leur vu et leur savoir pour saboter le Falun Gong à un niveau plusprofond.


Les vastes pratiquants d’outremer doivent vérifier l’identité de ces personnesconcernées et leurs méfaits exercées sur le Falun Gong, ainsi, révéler leursactes à temps à chaque échelon de la société et aux médias, les gens possédantdes conditions favorables peuvent commencer le procès à la cour.

Espérons que les compatriotes d’outremer connaissent la vérité, et neseront pas séduit par le peu d’intérêt de cette personne : Jiang Zemin, etsauront faire le bon choix de se positionner dans l’histoire.

Le police de Beijing interroge les passagers dans les taxis.

Ce matin, je prends un taxi passant par l’avenue Changan, la policearmée est présente tous les dix mètres, à chaque intersection, aux sorties demétro, aux passerelles etc, l’ambiance est très tendue, je ne sais paspourquoi. Plus tard, on dit que c’est la prévention spéciale. Je vois de mespropres yeux qu’un soldat armé interroge une vieille dame sur un pont.

Je demande au chauffeur, il dit : « bientôt c’est la fête, ils ontpeur de Falun Gong, du peuple de nation Hui ( sagesse ), de chômeurs, àprésent, tout est comme une menace. » Il dit que la police ne laisse mêmepas les taxis. Deux jours avant, pendant un encombrement de la circulation, untaxi qui était devant lui, à bord les passagers étaient toutes des filles, lapolice les a interrogé pendant longtemps.

Des mesures de prévention aux gens qui font appel pendant la fête duprintemps.

Ces jours, le département de Nongko demande aux unités inférieures designer un contrat de responsabilité, de prévenir fermement les disciples deDafa qui viennent à Tiananmen, les mesures de prévention doiventobligatoirement rendre compte au supérieur. La demande détaillée est que : pendantles 20 jours : du 20 janvier au 10 février, il faut prévenir par tous lesmoyens, il est absolument défendu qu’un événement de faire appel survienne,sinon, les directeurs de chaque niveau doivent tous subir la punition. Onprévoit que les disciples seront surveillés par tous les moyens.

Certains membres des familles des disciples disent en colère de cettenouvelle : « les bonnes personnes qui ne disent même pas un mensonge ‘‘neplus pratiquer’’ sont traitées ainsi, qu’ils n’ont rien à faire de ces gens! »

La culpabilité dans le centre de détention de Yanqing fait dresser lescheveux aux gens.

Le 1er janvier 2001, les disciples vennant à Tiananmenétaient très nombreux. Cependant, les disciples du Shandong ont réussi àdéployer une banderole de cent mètres de long. Les agents en civil, lespoliciers et les voyous engagés ont fait rage, ils ont battu les disciplescomme des fous et ils les conduisirent dans le poste de police de Tiananmen.Parce qu’il y avait tellement de disciples, à 2h de l’après-midi, 4 autocarsconduisirent les disciples au centre de détention du bourg de Yanqing, desactes violents et perfides sont abondants dans cette maison de détention.

Une pratiquante de 66 ans, Ren Yuxiang a été menottée sur un tuyau dechauffage. A 9h du soir, les gens voulaient l’interroger, Ren Yuxiang a heurté2 fois la tête contre le mur pour refuser. Les policiers qui ont perdutotalement leur conscience l’ont traîné dehors pour l’attaquer à grands coups.Un déchet humain perfide tenait un bâton électrique, il hurlait : ‘‘je telaisse subir la peine !’’ La bouche et le menton de cette disciple ont subi deschocs à une trentaine de reprises, un autre déchet humain donnait des coups depied violent à Ren, la personne qui avait le bâton électrique en main a brûléle nez de Ren avec une cigarette, la pratiquante âgée s’étouffait de tousser.Ren refusa fermement de dire le nom et l’adresse, elle a subit de nouveau deschocs électriques, aux mains, aux épaules, à la bouche, au ventre, àl’intérieur des jambes, jusqu’à ce qu’elle perde conscience. Les canaillesrièrent avec un visage hideux, ils menacèrent sans aucun scrupule : ‘’si tu neparles  pas encore, je te tue d’un seulcoup de balle, puis je t’enterre dehors tout simplement, sinon je t’enterrevivante, puisque personne ne sait !’’ Parce que Ren est torturée tropgravement, le lendemain ils ont peur qu’elle perde la vie, elle est alorslibérée, lorsqu’elle est libérée, les gens l’insulte : ‘‘maudite vieille.’’ Ilsdisent : ‘‘ta bouche a eu une gelure, mais pas une blessure de chocsélectriques’’.

Le directeur du centre de détention est venu en personne torturer lesdisciples. Une femme pratiquante de 37, 38 ans a été battu à sang sur tout lecorps, parce qu’elle faisait la grève de la faim, les déchets humainscraignaient qu’elle meure de faim, alors ils lui ont attaché  les bras et les jambes, ainsi que la têtesur le lit, et quelques hommes robustes l’ont alimenté de force. Puis ils l’ontfrappé violemment une autre fois, cette pratiquante a eu beaucoup de difficultéà marcher.

 
Il y a encore une femme disciple d’une quarantaine d’année, qui a été traînédans la salle de bain par les canailles, ses vêtements ont été déchirés, toutson corps était violet, elle a été mise toute nue, poussée dans un dégât d’eau

pour subir unealimentation forcée. Puis les gens ont donné des coups de pieds dans sonventre, elle a été battue à ne plus être capable de marcher.


Encore une fillette de 16, 17 ans a été battu cruellement parce qu’elle pratiquefermement le Dafa, elle est insultée par l’enlèvement de tous ses vêtements,que la police populaire agisse ainsi, cet acte nous fait sentir qu’ils sontintolérables. Il y a même des femmes disciples qui ont été mise toutes nuespour être enfermer dans la cellule des hommes…

Les déchets humains dans la maison de détention de Yanqing ont perdutotalement la conscience humaine, leurs actes perfides continuent encore.

Les policiers de Beijing sont abjects à l’extrême, d’insulter unemineure.

A environ 4h du matin, le 1er janvier 2001, une filledisciple de Jilin, 15, 16 ans, est arrêtée dans un autocar pour qu’elle vienneà Beijing, une dizaine de méchants policiers voient qu’elle est une jeunefille, ils utilisent les paroles les plus abjects pour l’insulter : ‘’d’abordmets toi nue, on va chercher un criminel de viole pour te violer’’, ils disentde le descendre pour faire comme ils disent, il y a encore beaucoup d’autresgros mots très abjects. Ces méchants policiers attaquent cette fille pendantplus de 5 heures, jusqu’à 10h20 du matin, ils l’ont envoyée ailleurs. Lesautres disciples à bord ont subit des frappes et des insultes, cependant unpolicier qui a la bonne conscience n’a dit aucun mot.

Le coupable le 13e service du bureau de police de Beijing.
Disciple du Shandong, Weiyan (surnom), homme de 33 ans, est allé défendre leDafa à Beijing le 25 avril 2000 ; il a été envoyé par le poste de policede Tiananmen au 13e service de la sécurité publique ( Changping ).Pendant l’interrogation préliminaire, il n’a pas répondu à l’interrogation,pour cette raison, il a eu les os des chevilles écrasées à coups de talons desouliers, par le policier Zhang XX (pays natal de Taian au Shandong) qui n’aaucune conscience humaine. Le policier s’est reposé une fois qu’il étaitfatigué, puis il a continué à le battre, au total il l’a battu plus de 800coups. Une si grande souffrance fît que le visage de Weiyan était couvert desueur et de larmes, ses pieds étaient gonflés et horribles à voir. Pendantqu’il était battu, une autre pratiquante d’une soixantaine 
d’année a subit la même sorte de torture,elle a subit plus de 600 coups de frappe. Une torture si perfide pour une damed’un tel âge, on voit combien les forces du mal sont méchantes.

Après que Zhang XX ai battu Weiyan, il a demandé : ‘‘je te frappe plusde 800 coups de talon de souliers, est-ce que tu me détestes ? Weiyan a répondu: ‘‘Non, les pratiquants de Dafa n’ont aucune haine, ni rancune !’’  Zhang XX était stupéfait, il a regardé cepratiquant compatissant, les larmes aux yeux, il a dit : ‘‘je ne frapperai plusjamais les gens !’’  Weiyan a réveilléla conscience perdue d’un policier par sa tolérance de souffrance.

http://www.minghui.ca/mh/articles/2001/1/16/6839.html