"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Garder toujours un esprit droit et passer calmement les tests

Début décembre, j’ai pris un train en direction du nord.J’étais excitée sur mon chemin vers Pékin, j’avais décidé d’aller placeTiananmen pour exprimer ma croyance. En approchant de Tiananmen, j’ai commencéà me sentir un peu nerveuse. Immédiatement j’ai utilisé les pensées justes pourme rappeler que j’étais venu accomplir la chose la meilleure et la plus droiteet éradiquer le mal.

Cette place était pleine de policiers en uniformes et encivil, d’agents secrets et de voitures de polices. On retirait même les filmsdes caméras des touristes et les exposait.

Arpentant la place à la recherche d’ une foule pour quidéplier ma banderole. De nouveau je me sentis pleine de peur. Je me rappelailes mots de Maître Li à propos d’une personne qui avait chuté de son statutd’Arhat qu’il venait juste d’atteindre, au moment où lui était venue une pensée de peur. Je laissai mon côtééveillé me demander comment la droiture pouvait avoir peur de laperversité ! prenant la banderole, je la dépliai, la tint bien haute, etcommençai à courir en criant ; Falun Dafa est bon, Falun Dafa est un voiejuste pour se cultiver. Restituez l’innocence de Maître Li » etc..

A ce moment, mon esprit était vide et je sentais que ma vieétait sublimée. Je fus renversée à terre par les agents secrets. Ilsm’attrapèrent, me prirent ma banderole, et m’amenèrent à deux policiers femmes.Poussant un cri, je leur dis « Falun Dafa est vraiment bon. Vous avez tordet vous commettez de mauvaises choses. Ces deux jeune-femmes répliquèrent« Nous savons que Falun Dafa est bon. Ne dis plus rien. Qui 

s’en soucierait si tu pratiquaistranquillement chez toi ? » Puis elles m’amenèrent à un policier. Jelui dis, « Vous avez été trompé. Tout ce que la TV raconte sont desmensonges. Vous faîtes les pires choses. « un groupe de touristes arrivajuste devant moi. Je leur criai, « Falun Dafa est bon. » le policier me poussa une fois, lorsqu’un autregroupe arriva je leur criai, « Falun Dafa est bon ». Le policier mepoussa de nouveau. Puis me fit monter de force dans une voiture de police.

Peu de temps après, un autre pratiquant qui avait déployé unebanderole fut également poussé dans la voiture. A l’intérieur de la voiture lapolice nous fouilla. La voiture faisait le tour de la place, prête à emmenerd’autres pratiquants. Après environ 40-50 minutes, encore six ou septpratiquants furent attrapés et ils nous emmenèrent tous au poste de police dela place Tiananmen. Après avoir passé la porte, nous dûmes un par un passer unesorte de cadre. Un flash se déclenchait au passage de chaque personne. Je lesentendis dire  « Ce sont de vraispratiquants ». Puis ils nous dirent, « votre gong a été éliminé »En entendant cela, je me mis presque à rire tout fort. Comment une personneordinaire pourrait-elle éliminer le Gong d’un être éveillé. Je remarquai que lacage métallique dans la pièce sur le côté gauche était bourrée de pratiquants.Nous fûmes divisés en deux groupes. Quatre d’entre nous furent envoyés dans unepièce. Des policiers nous y attendaient. Ils prirent une pile de formulaires etnous demandèrent d’y inscrire nos noms et adresses. Nous refusâmes car nous nevoulions pas coopérer avec le mal. Ils firent de leur mieux pour nous persuaderde donner nos noms et nos adresses. Intérieurement je récitais « Entendresans écouter, notre esprit est difficile à troubler. » (poème de Maître Li« Dans le Tao »)Lorsqu’ils me le demandèrent, me contenant de sourireje leur dis, « Mon nom est pratiquante de Dafa . Je viens del’univers »

Ma façon de répondre m’étonna, elle était aimable etpaisible. Un policier pointant ma manche dit, « hé, il y a un trou dans tamanche, dommage. » Je lui souris et réalisai qu’il y avait une omissiondans ma cultivation. La pensée immédiate d’une personne selon qu’elle estdifférente  amènera des conséquencesdifférentes. Lorsque la police me poussa brutalement à terre, une pensée, à masurprise, me vient à l’esprit, que mes vêtements pourraient être déchirés.Maître Li dit dans Zhuan Falun que lorsqu’une vieille femme tomba par terre etfut traînée par une voiture sur une longue distance, elle n’eut même pas uneégratignure, même pas une tâche sur ces vêtements. Le bon et le mauvais ne viennentque d’une seule pensée. A cause de ma pensée de crainte de déchirer mesvêtements un trou était apparu sur mes vêtements. Je me souvins de me tenir àdes pensées justes et de considérer tout ce qui m’arrivait comme le ferait unêtre éveillé. Après que le policier ait essayé de me persuader pendant à peuprès 20 minutes, ils réalisèrent que leur manières douces ne marchaient pas.Ils partirent et un autre groupe de policiers arrivèrent avec des matraquesélectriques. Je savais que c’était leur tour d’essayer de me persuader par laviolence.

Ils frappèrent déjà un pratiquant violemment pendant un 

moment avec les matraques, puis ils luidemandèrent « D’où viens-tu ? » le pratiquant sourit et secouasa tête. Le policier commença la torture physique et lui ordonna de« voler comme un avion » (une position qu’on fait prendre à un hommepour le torturer physiquement).Alors ils commencèrent à torturer unepratiquante. D’abord ils la giflèrent, et ensuite la frappèrent avec les  matraques. Je remarquai que la pratiquanteavait un petit peu de haine et de peur dans les yeux, ce qui provoqua des coupsencore plus sévères. Elle ne put plus le supporter et leur dit son nom et sonadresse. Je savais que c’était un test pour moi. Une femme policier vint versmoi et commença à marcher sur mes doigts de pied et à donner des coups de pieddans mes tibias. Je ne me rendis pas. Alors elle me frappa le visage et je lafixai gentiment ressentant de la peine pour elle. Une jeune et jolie fillefaisant une chose aussi mauvaise. Un policier arriva et commença à frapper monventre avec ses genoux. Il me dit « C’est ton tour. Enlève ton manteau etcouche toi sur la table sur le ventre ! » Mon esprit était trèspaisible ;deux phrases me vinrent seulement à l’esprit « Vivre sansattachement personnel, mourir sans regret. » (Le poème de Maître Li« ne rien rechercher »)Ils commencèrent à me frapper les fesses et lataille avec les matraques. Je sentais la matraque frapper mon corps comme s’ilsfrappaient un ballon et ne ressentis aucune douleur. Je compris que Maître Lile supportait à ma place ?. Après les coups, ils me demandèrent de leverma tête pour qu’ils puissent voir quelle était mon expression, j’étais calme etconfiante, et mon esprit était vide. Lorsqu’ils voulurent me frapper denouveau, un policier dit « ça va, ne la frappez plus ». Je sentais lachaleur aux endroits où ils m’avaient frappée. Mon poux battait vite et il mesembla qu’un Falun tournait rapidement. Je me sentais très à l’aise. Peu detemps après, un policier arriva pour « bavarder » avec moi. Ilm’ordonna de le fixer dans les yeux. Je le fixai et pensai qu’il était sipitoyable, qu’il ne savait même pas ce qu’il faisait. Mon cœur étaitbienveillant. La façon dont je le fixai était bienveillante. Je sentais que monchamp d’énergie était bienveillant. Je souris et ne répondis pas à sesquestions. A la fin il demanda , « avec combien de personnes est-tuvenue ? Je lui dis que j’étais venue seule. Il demanda si je pouvaisrentrer chez moi par moi-même. Il m’accompagna à la porte et me demanda departir. Je sortis dans la rue et réalisai que j’avais passé le test.

Plus tard je m’éveillais au fait que nous ne nous cultivonspas seulement pour notre propre plénitude, mais principalement pour assisterMaître Li dans la rectification par la Loi dans ce monde. Notre cultivationdans le passé visait à nous préparer à assister Maître Li aujourd’hui. Laraison principale pour laquelle Maître Li propage la Loi n’est pas sauver lesgens mais rectifier l’univers entier. Atteindre un certain état ou atteindre laplénitude ne m’importe plus à présent. Ce qui importe c’est d’assister MaîtreLi dans sa rectification par la Loi dans le monde. Tant que la Loi 

n’est pas complètement rectifiée, nous nedevrions pas cesser d’assister maître Li. Nous sommes les divinités gardiennesde la Loi dans le monde humain. Nous sommes la manifestation toute puissante dela Loi dans le monde humain.

A travers l’échange d’expériences et l’étude continue desrécents Jingwen de Maître Li, j’ai réalisé que nous ne devrions pas coopéreravec le mal. Nous devrions sans peur nous cultiver nous mêmes selon Dafa. Pourrévéler plus avant la vérité, suffoquer la perversité, et sauver les gensignorants qui sont encore en train de commettre des péchés, nous devrionsexposer complètement les gens pervers, leurs crimes et faire connaître letraitement dont les pratiquants font l’expérience. nous 

devrions dire l’entière vérité et utilisertous les moyens pour valider les bienfaits de Dafa pour les personnes et pourla société. Plus les faits que nous révélons sont détaillés et convainquantsmoins de support auront les êtres pervers. Je me suis aussi éveillée au faitqu’il est en fait très important d’aller à Pékin faire appel pour Dafa.Cependant suffoquer la perversité ne  selimite pas à cela. Un authentique pratiquant de Dafa « rayonne d’un puréclat dans quelque environnement qu’il soit » (Enseignementssérieux » de Maître Li)Dans tous les environnement existe la perversité.« Si un pratiquant peut abandonner la pensée de la vie et de la mot entoute circonstance, le mal aura assurément peur de lui. Si chaque pratiquantpeut faire cela, le mal n’existera plus de lui-même. » (Maître LI« Eliminer le dernier attachement ». Par conséquent, une tâche trèsimportante pour nous est de convaincre ces pratiquants qui ne sont pas encoresortis pour valider Dafa. Nous devrions leur faire savoir que c’est seulementlorsque de plus en plus de pratiquants de Dafa sortent de leur coquillehumaine, abandonnent leur peur de la vie et de la mort, et valident etprotègent Dafa sans égoïsme, que nous pouvons être dignes du salut de Maître Liet des sévères souffrances des pratiquants dans les prisons. Une seule personnene peut faire qu’un petit peu. Si tous les pratiquants sortent pour exposer lemal, le mal n’aura plus où se cacher, et un jour l’entière vérité seradévoilée.

Je sais que moi-même et aussi de plus en plus de pratiquantsde Dafa monteront à bord du train qui va vers le nord.

Une pratiquante en Chine

http://minghui.cc/mh/articles/2000/12/26/5972.html