"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


 Le réveil progressif des bonnes consciences  Des paroles sincères que le CCTVne montrera jamais à la télévision

  [Site Minghui]  Ces derniersjours, les médias chinois, prenant prétexte de l’immolation sur la PlaceTian’anmen, ont de nouveau déclenché un élan de critiques du Falun Gong. Pourfrapper l’imagination des gens, ils ont fait sortir certaines masses manipuléessur lesquelles ils ont fait pression. Il y avait devant les caméras detélévision des gens qui disent la vérité, mais qui ne seront jamais interviewéspar CCTV. Ci-dessous des parolesvenant du fond du cœur des masses sur lesquelles aucune pression n’avait étéfaite.

Chauffeur Chen :

Je ne crois pas du tout à ce qu’on dit à la télé comme les prétendus« 1400 exemples », se jeter du haut d’un immeuble, amasser del’argent par des moyens malhonnêtes. D’un seul coup d’œil on comprend que toutcela a été fabriqué de toute pièce. Dans notre village il y a près de centpersonnes pratiquant le Falun Gong, tous sont des hommes bons, modestes. Parmieux, personne ne transgresse la loi, ni ne commet de crimes, personne ne passeson temps à boire, ni ne fréquente de prostituées. De plus, ils parlent etagissent toujours de manière loyale, ouverte.

Professeur Yang

 : Je ne comprends plusce qui se passe actuellement. Les élèves de Falun Gong que je connais sont toustellement bienveillants. Ils sont tous des hommes bons que ce soit chez eux oudans leur travail. On dit qu’ils sont mauvais, moi, je ne le crois pas. Mais,tout est inversé actuellement, on met de bonnes personnes en prison.

Policier Fu :

Le supérieur nous ordonne d’arrêter des gens, cependant les élèves deFalun Gong n’appartiennent pas du tout à la catégorie des gens quitransgressent la loi et qui perturbent l’ordre social. Malgré des arrestations,des enfermements dans des camps de rééducations, ils continuent à se rendre àPékin, à pratiquer, il y a forcément une raison. Je dois bien mesurer ce que jevais faire.

Jiao (écolier) :

Mon père pratique le Falun Gong. Son caractère a changé depuis qu’ilpratique. Il ne se dispute plus avec ma mère, ma grande-mère dit qu’il est leplus respectueux des fils. Les gens du village disent tous que mon père est unhomme bon. Il aide quiconque a un problème. Pourtant, mon père est emprisonné aucentre de rééducation par le travail de Fenjin à la ville de Changchun depuisqu’il est allé faire appel à Pékin. Le jour de la libération est déjà passé,mais mon père n’est toujours pas rentré. Ma mère m’a dit qu’au centre derééducation, comme il ne voulait pas renoncer au Falun Gong, on lui a donné descoups de poing et de pied, qu’il y a subi beaucoup de souffrances. Mon père memanque, libérez vite mon père.

Ding (travailleurindépendant) :

Je sais très bien que le FalunGong a pour but de devenir bouddha, ceux qui cultivent le bouddha sont tousbienveillants, près de chez moi, près d’une dizaine de pratiquants de FalunGong ont été arrêtés, envoyés dans des camps de rééducation, condamnés. De nosjours, ce sont les hommes bons qui subissent des malheurs.

Collégien du 5ème :

Notre professeur principal est une pratiquante de Falun Gong. Audépart, mes parents, des adultes s’inquiétaient en disant que notre professeurpratiquait le Falun Gong qu’à la télé, on disait que le Falun Gong était une« secte » Ils avaient peur que leur enfant reçoive de mauvaisesinfluences. Maintenant, nous savons tous que ceux qui pratiquent le Falun Gongsont tous des hommes bons. Notre professeur nous enseigne non seulement desconnaissances scientifiques, mais aussi comment édifier une bonne moralité,être un bon élève à la fois compétent et vertueux. Le professeur nous donne unsoutien scolaire gratuit, elle n’attend aucune rétribution des élèves. C’estelle qui prend le moins de frais d’étude et de chauffage de toutes les autresclasses. Elle a refusé tous les cadeaux que lui ont fait les élèves. A traversses comportements, nous avons connu le Falun Gong. Nous présentons nos excusesau Falun Gong en espérant que le Falun Gong pardonne les malentendus qu’ont eunos parents envers lui. Actuellement notre professeur est en détention à causedu Hong Fa (propager la loi). Nous avons perdu le meilleur des professeurs.Professeur, vous nous manquez !

Peng ( travailleurindépendant) :

J’ai feuilleté des livres du FalunGong qui enseignent tous aux gens comment être un homme bon, je n’y vois riende « mauvais », les élèves de Falun Gong sont tous des hommes bons,ce point-là, personne ne peut le nier.

Su ( travailleuseindépendante) :

Au départ, je ne croyais pasqu’il y avait des policiers au cœur noir dans les centres de rééducation. Jesuis allée deux fois dans un centre de rééducation où se trouvait magrande-sœur qui a été condamnée à une peine de prison pour être allée à Pékin faireappel. J’ai vu son cou criblé de blessures dont j’ignorais la cause. J’ai vuaussi des blessures sur le corps des autres pratiquants. Ma grande-sœur m’araconté comment on l’ avait atrocement battu dans le centre de rééducation parle travail pour les femmes de la province de Jilin, on l’a enfermée dans uneminuscule cellule, l’a attachée sur un lit de fer, l’a persécutée cruellementen utilisant une matraque électrique, combien de fois a-t-elle failli mourirsuite aux tortures. Si ma grande-sœur ne sortait pas lors de ma visite, sijamais elle a été battue à mort à l’intérieur, nous ne connaîtrions jamais lavraie cause de sa mort. Comment se peut-il que les organismes juridiques dupeuple traitent ainsi tous ces gens bienveillants ? J’ai entendu direqu’au centre de rééducation de Masanjia de la province de Liaoning, lespoliciers avaient jeté 18 pratiquantes dépouillées de leurs vêtements dans descellules des prisonniers masculins, que beaucoup d’élèves avaient été frappés àmort dans des prisons, des centres de rééducation par le travail. Nous sommesvraiment indignés, et nous réclamons vivement une condamnation lourde contreces meurtriers, criminels.

Bai ( fonctionnaire) :

On dit qu’il est interdit de pratiquer le Falun Gong. Mais on necommence la répression qu’après que les gens en ont bénéficié. S’ils n’enavaient pas bénéficié eux-même, qui irait sauvegarder le Falun Gong au risquede sa vie.

Xie :

Maintenant le parti a vraiment dépassé les bornes. Je ne sais pas quia initié cela. On ne s’occupe plus de corruption, ni de dépravation, mais despersonnes âgées (le Falun Gong) qui pratiquent dans des parcs. C’en est trop.

Li :

Les personnels du commissariat de police sont venus chez moi pourmener une enquête sur le Falun Gong car mon épouse pratique le Falun Gong. Ilsm’ont demandé si la pratique était bonne, je leur ai dit « oui »,puis ils m’ont demandé entre le parti X et le Falun Gong, lequel étaitmeilleur, j’ai dit « Falun Gong parce qu’ils sont tous bienveillantset tiennent leur parole. »

Professeur d’universitéZhang :

L’immolation ? Les Falun Gongs queje connais ont tous un bon cœur, ils aident les autre avec plaisir, ils ont desconnaissances, leurs propres points de vues. Même après avoir été tellementbattus par les policiers, ils restent toujours optimistes en disant : « Il n’y a rien à craindre, la Loi sera rectifiée tôt ou tard. »Cette histoire d’immolation a été forcément tramée par Jiang.

Secrétaire général Li :

Des mouvements politiques ne sont rien d’autre que cela. Si on veutpersécuter quelqu’un, il faut toujours jouer un tour, n’est ce pas ?Sinon, qui va chahuter en suivant ? Qu’est ce que ça veut dire «dresserune partie des masses contre une autre » vous comprenez ? C’est ça cequ’il veut dire. Quant à la réalité des faits, ne cherchez pas à savoir, il yaura une autre version d’explication lors de la réhabilitation---

Interview fait par des élèves de la Chine continentale

http://www.minghui.org/mh/articles/2001/2/2/7565.html