"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Le pouvoir du Dafa apporte le printemps dans la pensée desgens

Un pratiquant en revenant dans sa ville parla de lavérité du Dafa à ses amis et anciens élèves. Il remarqua un phénomène courant.Les gens ne croyaient pas les médias contrôlés par l'Ébat et désiraient tousentendre la vérité sur le Falun Dafa. Le pratiquant expliqua à ses amisl’essence de la cultivation et comment le Dafa s’était répandu à l’étranger,pourquoi Jiang Zemin persécute le Falun Dafa et pourquoi les pratiquantsrisquent leur vie et lancent des appels. Après ses explications ses amis et lesanciens élèves étaient tous très intéressés par la lecture des livres et desbrochures sur le Dafa. Ces personnes n’étaient pas très familières avec leFalun Dafa ou même ne connaissaient rien sur le Dafa : Vérité,Bienveillance, Tolérance. Cependant le contraste aigu, entre la persécutionbrutale menée par Jiang Zemin et les actions d’appel courageux des pratiquants,les amenaient à penser que si le Falun Gong n’était pas une bonne chosepersonne ne risquerait sa vie pour manifester pour cela. Après cela, lepratiquant alla au Gouvernement provincial et parla de la vérité sur le Dafa àquelques officiels qu’il connaissait ici. Pour ces officiels, ce fut la mêmechose, ils  étaient choqués et remplisd’indignation quand ils entendirent la vérité sur les persécutions. Ils étaientaussi impatients d’en apprendre plus sur le Dafa.

Les mots « Le Falun Dafa estbon » sont apparus sur le dos d’un pratiquant

Un pratiquant a été arrêté sur la Place TianAnMen,parce qu'il supportait le Dafa et il a été envoyé dans un centre de détentionoù les policiers l’ont dépouillé de ses vêtements et l'ont torturé. Quand ilsl’ont frappé sus le dos, les mots « Le Falun Dafa est bon » sontapparus soudainement sur son dos. Les policiers ont tous été effrayés de voirces mots sur son dos. Pour résultat, ils ont cessé de persécuter lespratiquants du Dafa. Des bruits sur ce miracle se sont vite répandus dans le milieupolicier et beaucoup d’entre eux ont été choqués.

La persécution des pratiquantséquivaut à se faire du mal à soi-même

Plusieurs policiers, dans une ville, ont arrêté unpratiquant. Durant l’interrogatoire, le pratiquant a dit : « Mepersécuter équivaut à vous persécuter vous-mêmes ». Le policier en chargene croyait pas aux paroles du pratiquant. Cependant, après qu’il ait commencél’interrogatoire son paget a sonné. En retournant l'appel, il appris que safille venait d’être envoyée à l’hôpital suite à une grande fièvre. Le policierétait prié de se rendre en urgence à l’hôpital. Il a répondu qu’il s’occupaitd’un pratiquant du Falun Gong et demandait, à sa femme, de prendre soin de safille toute seule. Il repris ensuite son interrogatoire. Le pratiquant lui adit :«Vous ne comprenez pas encore ».  « Ce genre de trucne marche pas avec moi » lui a répondu le policier.

Quelques minutes plus tard, le paget du policiers’est remis à sonner. Cette fois c’était sa mère qui, venant d’être renverséepar une voiture, était en chemin pour l’hôpital. L’homme en charge n'a purefuser, encore une fois, de se rendre à l’hôpital. Il demanda à ses collèguesde continuer l’interrogatoire et partit précipitamment pour  l’hôpital. Les autres officiers de policeavaient vu depuis longtemps la vérité du fait et voulaient tous s’en aller.Bien qu’ils  aient reçu l’ordre derester, ils traitèrent le pratiquant comme un invité. À l’hôpital, le policierréalisa soudain quelque chose. Il revint d'urgence et demanda aupratiquant :« Pourquoi j’ai toute cette malchance ? » Lepratiquant lui répondit : « Maintenant votre qualité d’éveils’améliore. Je vous ai dit que me persécuter c'était comme vous persécutervous-même. » Le policier en charge a fumé une cigarette calmement etensuite il a agité sa main, vers le pratiquant, endisant : « Partez maintenant, partez loin d’ici. » Lesautres policiers chuchotaient et riaient dans son dos.

« Laissez moi vous présenter àchacun »

Dans une ville, plusieurs pratiquants furent arrêtés.D’autres pratiquants vinrent au département de la police afin de lui demanderde relâcher les pratiquants arrêtés. Quand ils entrèrent dans l’immeuble, ilsfurent traités comme des invités par l’officier de police en charge de laquestion sur le Falun Gong. Il a dit ensuite à sescollègues : « Laissez-moi vous présenter le bien connu [nomeffacé].Tous les officiers de police ont tourné la tête brusquement et regardéle pratiquant --- ils devaient tous penser que ce fameux pratiquant ressemblait à un monstre. À la surprisede chacun, le pratiquant avait l’air gentil et amical dans son beau costume.Comme résultat, tous les officiers de police lui ont porté une grande attention. Le pratiquant dit avec bienveillance : « Je suis ici pourparler avec votre directeur alors, je ne voudrai pas vous déranger dans votretravail. »

« Son nom retentit comme letonnerre »

Un pratiquant partait pour un voyage d’affaires. Safamille pensait que la police l’avait arrêté et s’est alors rendue audépartement de police afin de se renseigner. Un officier de police arépondu : « Bien sûr, son nom retentit comme le tonnerre. Noussavons qu’il est parti en voyage d’affaires. » [ Ceci est un complimentchinois signifiant que son nom est fameux, connu et que cette personne est d’unhaut niveau dans la communauté]. Les membres de sa famille demandèrent, ensuiteà un autre policier : « Le connaissez vous ? »L’officier répondit : « Comment ne puis-je pas le connaître, sonnom retentit comme le tonnerre. » Quand le pratiquant revint de sonvoyage, les membres de sa famille lui dirent qu’il était vraiment fameux parici et que son nom retentit comme le tonnerre.

Pratiquants de Chine,

Le 14 février 2001