"Utiliser la raison pour prouver laLoi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser lacompassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salutaux gens de ce monde" (Rationalité)


La Violence d’un Jeune Policier

[Minghui net] Falun Dafa est une méthode cultivation qui aide véritablement lespratiquants à atteindre état mental plus élevé et qui promulgue de hautsstandard moraux dans la société. Mais Jiang Zemin persécute le Dafa et sespratiquants à cause de ses propres intérêts. Les persécutions intensives,depuis l’incident du 25 avril 1999, n’ont jamais été basées sur des lois del’état ou sur des faits. En Chine, les critiques contre le Falun Dafa à latélévision et dans les journaux sont tout à fait déformées, et même deshistoires fabriquées remplies d’insultes. Les Chinois qui ne savent pas laréalité sont dupés par ces propagandes. Le fait de pratiquer les mesures derépression sur des personnes qui pratiquent “Vérité-Compassion-Tolérance”,n’est-ce pas en tant que telle une expression de “Mensonges, perversité etviolence” ? Le grand danger de maltraiter les pratiquants du Dafa et dedétériorer la bonne nature humaine est que ça met leurs vies (les persécuteurs)en ruine.

Mon cœur avait de la peineà cause de cette situation. Sachant que demander appel au gouvernement signifiealler en prison, je me suis encore une fois mis sur le chemin vers TiananmenSquare le 27 décembre 2000. J’ai tenu une bannière en espérant que çaréveillerait la compassion qui reste dans le cœur des gens. Des policiers encivil et en uniforme tiraient sur mes cheveux et m’ont traînée jusqu’à lacamionnette de police. Ils m’ont emmenée à la Station de Police à Tiananmen etm’a envoyée au centre de détention dans le District de Xicheng cet après-midi.

Aux alentours de cinqheures, un jeune policier de la Station de Police à Tiananmen est venum’interrogé seul. Je n’avais pas commis de crime et j’ai refusé de lui dire monnom et mon adresse, ce qui l’a rendu fou. Il a commencé à me donner desclaques, et je ne me souviens pas pendant combien de temps. Puis, il a pris mesmains par derrière et les a tirées vers le haut ; ma tête était forcée àtoucher le sol. Il a ensuite pilé sur ma tête et écrasait mes doigts. J’aidit :“Tu es le policier du peuple, tu ne devrais pas battre les gens.” Ilétait furieux et me torturait encore plus gravement. Il utilisait ses points etpieds pour me battre et donner des coups de pieds. Il me pilait même violemmentavec ses bottes. Il m’a attachée sur une chaise avec une chaîne métallique eten me tirant les cheveux, il a lancé ma tête sur le mur. Après un moment, ilpila sur ma tête, je m’étouffais. En voyant que je ne disais pas un mot, lepolicier corrompu m’a donné des coups de pieds sur ma partie génitale. Il aaussi pincé mes cuisses et ma poitrine. Il donnait des coups de pieds sur mapoitrine et la tâtait avec ses doigts. Ça faisait si mal que j’avais de lamisère à respirer à chaque coup. Quand il était fatigué, il déchira Zhuan Falun(Note du traducteur : le livreessentiel de Falun Dafa), et brûla le portrait de M. Li Hongzhi. Il cria àquelqu’un qu’on lui amène 20 autres copies pour les brûler. Je lui aidit :“Ne brûle pas le portrait de mon maître.” Le policier impitoyable asorti son briquet et a brûlé mes doigts.

Il a utilisé plusieursméthodes pour me torturer pendant des heures. Environ trois heures après, unepolicière est venue et était bouleversée par son abus. Elle a dit :“Tu essans cœur, je ne peux plus le supporter.” Elle partit aussitôt. Finalement, lepolicier n’avait plus de choix que d’inventer quelque chose pour remettre dansles papiers d’interrogation.

Environ 20 autrespratiquants ont vu ma condition après le torture cruel et ils ont décidé derefuser de manger. On a demandé au directeur du centre de détention d’envoyernotre appel aux autorités :“Arrêtez la violence dans les bureauxd’interrogation contre les pratiquants de Dafa.” Il a vu mon état et pensaitque le jeune policier était allé trop loin, alors il a promis de reporter notresituation à la station de police.

Le soir du lendemain, à 8heures, le même officier est venu m’interroger seul. Il n’était pas vêtu d’ununiforme, mais il tenait dans sa main un bâton électrique. Il est entré dans lasalle et en fermant immédiatement la porte, il a dit férocement :“Tudevras parler aujourd’hui, même si tu dois mourir.” Il m’attacha sur la chaiseet me donna des chocs électriques, en commençant par la peau entre les doigts,suivi de ma tête. À partir du tempe gauche, il m’a donné des chocs tout autourde la tête. Puis, il électrocuta mon “philtrum” [Note du traducteur : le point d’acuponcture sensitif et importantentre la lèvre supérieure et le nez], l’intérieur de ma bouche, mes dentset tout le corps. Il pilait sur moi et utilisait le bâton comme un tournevisélectrique. Il m’a aussi donné des chocs sur l’intérieur de la cuisse, lagorge, le derrière de mon cou et ma poitrine. Je refusais toujours de dire d’oùje venais. Il a enlevé mes souliers et a électrocuté mes pieds. Ces derniersdégageaient une odeur et il n’a pas arrêté avant que mes pieds ne commencent àsaigner. Peu importe comment il m’électrocutait, je refusais de coopérer. Il aensuite frappé mes mains avec un soulier et ensuite avec le côté d’un livre,éventuellement, mes mains étaient gonflées et elles saignaient. Il les aélectrocutées ensuite. Puis, il a pris un bâton de bois et me donnait des coupstout partout. Quand le bâton s’est brisé, il a utilisé la partie cassée pour mefrapper l’abdomen, et a pris un nouveau bâton. Durant les deux interrogatoires,il a mis des chiffons sales dans ma bouche pour empêcher les autres dem’entendre crier. Voyant que sa violence n’avait aucun effet, il a ramassé unbalai sale et balayait sur moi. En plus du chiffon sale, il a même étouffé mesnarines, puis a pressé ma tête vers le bas pour essayer d’arrêter marespiration.

Quand il avait utilisé tousles sales trucs possibles et était fatigué, il m’a ordonné de pencher ma têtevers le bas et d’étirer mes bras vers l’arrière, c’est une position appelée“voler”. Puis, il s’est accroupi sur mes talons. Il m’a torturé pendant troisheurs jusqu’à ce qu’un inspecteur soit venu pour une vérification routinière. Àcause du fait qu’il n’était pas vêtu d’un uniforme, qu’il m’interrogeait seulet qu’il me torturait, on a inscrit sur son rapport qu’il a violé la loi. Et ila dû les signer. Après le départ de l’inspecteur, il a demandé de l’aide à sonpatron. Ils m’ont dit d’arrêter de m’accroupir seulement après l’arrivé de sonpatron. En face de moi, ils ont discuté de la façon de s’en tirer avec lesautorités de la direction. Voilà les policiers dans la capitale de la Chinequi, sous l’implication de Jiang Zemin, démontrent des actions de manque derespect envers la loi, sans scrupules et de traitements inhumains.

Ces policiers étaientinquiets et m’ont envoyée dans ma cellule immédiatement. J’ai réuni toute maforce et je me suis dirigée pas par pas vers la cellule. Mais je n’étais pascapable de lever mes pieds pour croiser le seuil de la porte. Les autres détenusétaient très surpris, ils avaient peur que je meure, alors ils ont appelé ledirecteur. Ce dernier m’a emmenée à la clinique d’examen médicale. Durant laprocédure, j’ai perdu connaissance. Ils m’ont envoyée aux premiers soins toutde suite, mais ils ne voulaient pas me dire les résultats des examens. Jepouvais sentir moi-même qu’il y avait une blessure dans mon poumon, je toussaisdu sang et du flegme. L’os de ma poitrine était brisé, et les côtes près de lataille du côté gauche étaient également brisées. Il y avait du sang dans monurine. Mes mains ne pouvaient rien tenir (peut-être le tendon était brisé). Moncorps était couvert de bleus. Je n’étais pas capable de quitter le lit pendantplusieurs jours et j’avais besoin de quelqu’un pour me pousser pour que jepuisse tourner sur le lit. Je devais être emportée pour aller à la toilette.

La Station de Police dansle District de Xicheng avait peur que j’expose leurs actions perverses. Quandj’étais retournée du centre de premiers soins, le directeur et le commandant dela station sont venus me persuader et ont demandé que je démontre de la pitiépour le jeune policier malicieux. Je pensais que les êtres pervers étaient sipitoyables. Il était si violent et furieux quand il me battait, et il est sifaible quand il doit endurer le blâme. Dans le but de protester contre laviolence et atteindre la liberté, les autres pratiquants et moi avons décidé derefuser de manger pour 7 jours. Craignant que je puisse mourir dans la cellule,les policiers m’ont relâchée et m’ont jetée sur la Route de la Troisième Bague(note du traducteur : la route quientoure Beijing).

Le policier malicieux quim’a torturée travaillait dans le bureau du pré-interrogatoire dans la Stationde Police du District de Xicheng. Il avait environ 30 ans, taille moyenne avecune peau pâle. Comme il n’avait pas d’uniforme, je n’ai pas pu saisir le numérode son badge. Il ne s’introduisit pas non plus quand il m’interrogeait. Tousceux qui ont de l’information sur lui et qui ont un esprit de justice, veuillezfournir plus de détails pour qu’ils soient poursuivis en justice à l’avenir.

Écrit le 21 février 2001,par une pratiquante de la Chine continentale

(Traduit en Anglais le 23février 2001 à partir de la version originale : http://minghui.cc/mh/articles/2001/2/22/8248.html

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