"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)
Sortir de prison,Aider Maître Li dans la Rectification par la Loi
L’année passée,j’ai été illégalement condamnée au camp de travail parce que j’avais fait appelau Gouvernement dans un effort pour sauvegarder Dafa. Dans le camp de travail,parce que moi et mes amies pratiquantes étudions et pratiquions ensemble, nousavons été battues et persécutées par des prisonnières criminelles sous lapression des chefs disciplinaires. J’ai commencé une grève de la faim pourprotester, et chaque fois ai finie par être nourrie de force au moyen d’untuyau. Ma bouche a été blessée lorsqu’ils m’ont nourrie de force avec unecuillère.
En octobre, un groupe de soi-disant« équipes de transformation » est arrivé au camp de travail.Certaines pratiquantes de ma chambre ont été « réformées »lorsque leur esprit a dévié. J’étais si triste pour elles. Tandis que jem’éveillais au fait que c’était un test fondamental pour voir si nous croyionsfermement en Dafa. Maître Li a mentionné dans la sixième conférence de ZhuanFalun, « Que ce soit un Bouddha, un Tao, un immortel ou un démon, votrecœur doit rester impassible (Zhuan Falun. » Avec un cœur ferme, mes amiespratiquantes et moi-même avons continué à étudier la Loi et pratiquer lesexercices pour résister à la persécution des forces perverses.
Le 1er janvier 2001, une douzainede pratiquantes ont pratiqué ensemble les exercices. La chef disciplinaire etdeux surveillantes ont voulu nous arrêter. Je leur ai dit sérieusement,« Aujourd’hui, je finirai certainement la série des cinq exercices. »Maître Li nous a dit lors de la conférence de partage d’expériences desEtats-Unis « Qui que soit celui qui attaque Dafa, ce sont toujours deshumains qui luttent contre des divinités, et le résultat final estévident. » J’ai donc terminé paisiblement le cinquième exercice. Je mesuis éveillée à la pensée que lorsqu’on désapprouve la persécution des forcesperverses dans son cœur, on est de fait en train de l’éradiquer. Etant alorsisolées, nous ne pouvions pas lire les nouveaux articles du Maître.
Si les forces du mal nous enferment dans uncamp de travail c’est afin d’ arrêter le processus de la rectification par laLoi. Comme elles visent la Loi, nous ne devons absolument pas endurerpassivement. Avec quelques pratiquantes nous avons commencé une grève de lafaim demandant notre libération et à être déclarées« non-coupables ». La chef disciplinaire s’est adressée à moilorsqu’elle a vu que je faisais la grève de la faim, « ta maison temanque ? tu vois ces personnes « reformées », elles ont étélibérées et renvoyées chez elles immédiatement. » J’ai compris que lesforces perverses voulaient prendre l’avantage, et je lui ai répondu fermement,« je rentrerai chez moi de manière droite et digne car je suis innocente.Le deuxième jour, plusieurs chefs disciplinaires sont venues et m’ont demandé,« arrive, nous allons te nourrir de force ». J’ai répondu,« vous ne me nourrirez plus de force. J’exige d’être relâchée et que moninnocence soit reconnue. » En conséquence elles ne m’ont pas nourrie deforce. Je croyais de plus en plus fermement dans le principe auquel je m’étaiséveillée. Maître Li a dit dans lahuitième conférence, « intention de l’esprit » de Zhuan fFalun,« pour un pratiquant c’est l’intention qui dicte aux capacités supranormalesde faire les choses. » De cette façon, j’ai continué à refuser de coopéreravec la persécution et ai essayé de suffoquer le mal, activement, dans monesprit. Le matin du troisième jour, le directeur et plusieurs autres chefsdisciplinaires ont soudain fait irruption dans notre chambre nous demandant denous lever et de nous aligner. J’ai dit « je ne m’alignerai pas, nousne sommes pas des prisonnières. » Le directeur ma vue assise làimpassible, il a bondi devant moi menaçant et a hurlé, « ne vas pas croireque nous n’avons pas de pouvoir sur toi. Tu ne perds rien
Maître Li a dit dans « éliminer ledernier attachement » « si vous n’avez pas peur, le facteur de peurdevient inexistant. Ce n’est pas quelque chose qu’on s’impose à soi-même maisqui doit être accompli en lâchant prise calmement et véritablement. » Jeme suis sentie m’éveiller profondément au principe d’engendrement etd’inhibition mutuels enseigné par Maître Li. Plus tard je les ai traversé duregard et ai refusé d’être nourrie de force lorsque qu’ils ont prétexté vouloir« parler » avec moi et m’emmener à l’hôpital pour m’y faire examiner.Durant cette période lorsque le procureur s’est adressé à moi à deux reprises,j’ai saisi l’opportunité pour lui présenter la Loi. Je lui ai dit que lesméfaits de Jiang Zemin avaient brisé les familles de milliers et de milliers depratiquants de Dafa, et séparé les maris de leurs femmes et de leurs enfants.Je lui ai demandé : « Vous êtes représentant de la Loi de cepays ? Vous devriez vous baser sur la Constitution pour décider du cas enaccord avec la Loi. Nous avons fait pacifiquement appel selon le droit que nousdonne la Constitution. Quel crime avons-nous commis ? C’est tout àfait« si on veut vraiment condamner quelqu’un on peut toujours trouver uneaccusation. » il est resté silencieux un moment avant de me direfinalement, « Je soumettrai ta requête ».
Pendant la sixième nuit de grève de la faim,j’ai commencé à être dans l’ état d’une personne ordinaire : tremblant detous mes membres et respirant faiblement. Mais ma conscience principale étaittout à fait claire. J’ai compris que tout allait bien. A ce point, plusieurschefs disciplinaires et docteurs marchaient anxieusement derrière la porte. Jesavais que les forces du mal s’affaiblissaient de plus en plus. Ilscommençaient à avoir peur. Le matin du huitième jour, plusieurs chefsdisciplinaires ont fait irruption dans notre chambre et m’ont rapidement habillée.L’un d’entre eux m’a chargée sur son dos et a fait un tour. J’ai crié,« vous ne pouvez pas nous persécuter ainsi » de façon à ce que lesautres pratiquantes puissent entendre. Quelques unes d’entre nous ont étéemmenées à l’hôpital et nous avons été examinées. Etendue sur le long banc àcôté de la porte de l’hôpital j’ai exprimé ma souffrance aux docteurs et auxinfirmières qui passaient. Certains médecins se sont arrêtés et m’ont regardéavec sympathie. Alors, j’ai pensé à ce que Maître Li a dit dans « Rationalité, »« les actions qu’ils adoptent à présent dans la persécution de Dafa et desélèves sont extrêmement vicieuses et malignes, et ils craignent qu’elles nesoient exposées. » Lorsque les résultats des tests du laboratoire sontarrivés, ils montraient que ma santé était sérieusement atteinte. Les forces dumal ont du renoncer, et j’ai été ramenée dans ma famille.
A présent, je rejoins le grand courant derectification par la Loi avec mes co- pratiquants. Vous qui êtes encoreemprisonnés « sortez s’ils vous plaît des prisons et suivez le processusde rectification par la Loi de notre Maître. Notre bienveillant et grand Maîtreattend que nous abandonnions notre côté humain. Notre promesse solennellepartagée « Engendrer le vœu de sauver tous les êtres, Assister le Maîtredans son voyage dans le monde humain » (Hong Yin « Assister laLoi ») est en train d’être honorée.
Ce qui précède n’est qu’une partie de mes expériences personnelles.J’espère que toutes compréhension incorrecte sera pointée et rectifiée par mesco-pratiquants.
Heshi,
Une pratiquante de Chine.
12 avril, 2001
(traduit de l’anglais le 14 mai 2001)
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