Les autorités de la région sousadministration spéciale ont subi des pressions visant à leur faire prendre desmesures coercitives contre les pratiquants de Falun Dafa pendant la visite deJiang Zemin à Hong Kong. Ce qui a, sans conteste, troublé la politique de« un pays, deux systèmes » d’une façon sans précédent. Cet événementa cependant fait que plus de citoyensde bonne volonté à Hong Kong, de simples policiers et des fonctionnaires dugouvernement se sont positionnés pour le futur. J’ai réalisé cela après avoirentendu certaines expériences de camarades de pratique pendant la protestationpacifique, et j' ai été profondément ému par la bienveillance du Maître.Maintenant j’ai une compréhension plus profonde de ce que le Maître a dit (sensapproximatif, ce ne sont pas les mots exacts) : chaque fois qu’ils sabotent laGrande Loi, en fait au lieu de cela, ils propagent la Grande Loi. Ces mauvaisespersonnes ne s’en rendent pas compte. En fait, tout est sous le contrôle duMaître. Voici quelques histoires intéressantes :
1.
Selon les pratiquants qui exposaient les photossur la jetée des ferrys Tsim Sha Tsui, la police était extrêmement nerveuse lejour précédent l’arrivée de Jiang Zemin. Un officier de police haut placé estarrivé contre toute attente pour persuader les pratiquants d’enlever lesphotos. Un pratiquant avait gardé une relation privilégiée avec la policelocale. Il a toujours prévenu la police à l'avance chaque fois qu’ils devaientavoir une activité, et la police locale lui fait confiance. Ce pratiquant a dità cet officier de police haut placé : « Nous avons exposé des photosici tout le long Nous nous sommes conformés à toutes les exigences que vousavez requises. Nous respectons la loi et nous sommes aussi polis. Nous faisonsvraiment attention à ne pas déranger le trafic ou à causer quelque dérangementque ce soit aux citoyens. Pourquoi devons-nous partir ? » Cetofficier de police s'est hâté de répondre : « C’est vrai. Lespratiquants de Falun Gong sont vraiment bons à cet égard. » Il a cependantencore insisté pour enlever les panneaux d'exposition. Le pratiquant a sentiqu'il était sous pression et a dit : « Nous avons exposé les photosici tout du long, et personne n’est jamais intervenu. Pourquoi nousdemandez-vous de les enlever ? Est-ce à cause de la venue de JiangZemin ? » L’officier de police a trouvé difficile de brusquer lepratiquant et lui a dit : « Je dois poser la question à cesujet. » Le pratiquant l’a vu parler avec son téléphone mobile et ensuitel’officier est parti. Quand le pratiquant a rencontré l’officier de police ànouveau, il lui a fait signe, disant avec un sourire : « Ce n’estrien, ne vous en faites pas ! Vous avez la liberté de croyance et deparole ! »2.
Pendant le groupe de pratique à Tsim Sha Tsuile matin du 8 mai, un superviseur étranger de haut rang s'est approché despratiquants. Alors qu’une pratiquante était en train de photographier la scènede pratique, ce superviseur a traversé et lui a dit en cantonnais :« Votre sac est très joli. » Notre pratiquante a ensuite eu uneconversation avec lui. Il s’est spontanément présenté au pratiquant et a parailleurs fait l’éloge d’un pratiquant qu’il connaissait pour sa politesse. Il adit : « Je ne comprend vraiment pas pourquoi les autorités voustraitent de cette manière. » Il a secoué la tête, tout en le répétantplusieurs fois. Il avait l'air de ressentir de la sympathie pour les conditionsdes pratiquants. Le pratiquant lui a demandé : « Si les autorités vousdemandent d’attaquer le Falun Gong, que ferez-vous ? » Il a secoué denouveau la tête : « Non, non, ça ne peut pas arriver. Nous sommesneutres, nous ne pouvons pas vous traiter comme ça ! » Le pratiquantétait très content et lui a demandé : « Mais si votre chef vous ledemande, que ferez-vous ? Vous devez obéir aux ordres,non ? » Il a répondu fermement : « Cela ne peut absolumentpas arriver. Même pour ceux qui violent réellement la loi, nous ne pouvons pasabuser d’eux ! »3.
Le même jour, des pratiquants qui faisaient lesexercices au parc de Hong Kong ont vu deux policiers qui regardaient lespratiquants, pendant plusieurs heures, du début jusqu'à la fin. Une fois lapratique finie, ils ont demandé : « Pourquoi les mouvements sont-ilsopposés pour les hommes et pour les femmes ? » Les pratiquants étaienttrès contents, ils ont compris que plutôt que de les surveiller ils voulaienten savoir plus sur le Falun Gong. Alors les pratiquants leur ont fait connaîtrela Grande Loi. Ils ont aussi posé plusieurs questions. Ils ont dit :« Vous n’avez pas de chance d’être nés à une pareille époque ! »Obligeamment, ils ont suggéré que les pratiquants propagent la Grande Loisecrètement et préservent leur force. Les pratiquants ont souri. C'était l'idéed'une personne ordinaire mais témoignait néanmoins d'une bonne volonté. Ils sesont positionnés pour le futur.4.
Alors qu’ils pratiquaient les exercices devantl’agence de presse Xinhua, l’après-midi du 8 mai, les pratiquants ont eu uneconversation avec un policier. Le policier disait : « Notre tâche estde maintenir un équilibre et de protéger les intérêts aussi bien despratiquants que des citoyens. Nous avons la responsabilité de protéger lesintérêts des citoyens et également de vous protéger de toute tracasserie. »Il a ensuite suggéré avec sincérité: « Aussi longtemps que vousn’embêtez pas les citoyens, nous n'entreprendrons aucune action contrevous. » Un autre pratiquant a dit : « La police ici est vraimentgentille et aimable. » Son visage s’est fendu d’un sourire decompréhension envers les pratiquants.5.
Un pratiquant chargé de prendre des photos asoigneusement observé la police en divers endroits ce jour-là. Il a dit :« Chaque fois qu’ils ont effectué une tâche, ils ont toujours voulu parleravec les pratiquants et en savoir plus sur le Falun Gong, Il y a ici de moinsen moins de policiers. » Il a continué : « Voilà comme cedevrait être. L’endroit où nous sommes est toujours paisible et nos pratiquantsfont appel uniquement de façon pacifique. Après chaque rassemblement, on laissel'endroit très propre. Aucun détritus ne traîne ! La police a retenu cela. Bienqu’ils viennent pour accomplir leur tâche, ils connaissent assez bien lasituation dans leur cœur ! »Plusla répression est imprudente, plus fortes sont les voix qui soutiennent leFalun Gong. Cette fois, le département de police a employé 3.000 policiers pourprotéger Jiang Zemin. Tous les manifestants ont été tenus hors de vue desparticipants au forum. Certains participants ont remarqué que le gouvernementde Hong Kong s’occupait d’eux ouvertement en entendant des voix deprotestation. Les médias ont constamment rapporté qu’on refusait à de nombreuxpratiquants de Falun Dafa d’entrer, bien que le département del’immigration ait nié l'existence d'une« liste noire ». Les pratiquants de la Grande Loi ont protestépacifiquement, de même que les diplômésont protesté contre la suppression de la liberté de croyance et de parole. Toussont en fait en train de révéler la perversion et de clarifier la vérité. Il yavait un très fort contraste entre ce que Jiang Zemin affirmait dans sondiscours, comme l'ont rapporté les médias : « Les résidents de HongKong bénéficient d’une liberté totale et de droits plus démocratiques quejamais auparavant. » et l'actuelle vérité. Ainsi le peuple a pu voir plusclairement le visage hypocrite de Jiang Zemin.
Merci,Maître. C’est une bonne opportunité pour le peuple de Hong Kong.
Unpratiquant de Falun Dafa à Hong Kong
Le 9mai 2001
Traduit de l’original le 11 mai 2001 de http://minghui.cc/mh/articles/2001/5/10/10869.html
Traduit le 14 mai 2001 de http://www.clearwisdom.net/eng/2001/May/12/PFW051201_1.html