"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)
Les crimescommis par Zhang Xi, Wang Jin et Wang Jingfu dans le comté de Qinglong,province de Hebei
Des pratiquants de la GrandeLoi, en Chine
[Minghui Net]
Zhang Xi, le députéchef du bureau de sécurité publique, a déclaré publiquement à plusieursreprises : " Il n’y a aucun statut légal pour s’occuper despratiquants de Falun Gong. Ceux qui sont battus à mort ne comptent pas. Leurscorps seront enterrés et voilà. " Il a aussi dit :" S’ils sont battus à mort, nous déclarerons qu’ils se sont donnés lamort. Les témoignages des pratiquants de Falun Gong ne comptentpas. " " Quoiqu’il soit fait aux pratiquants de Falun Gongn’importe pas. Les pratiquants de Falun Gong sont une exception pour les lois.C’est ce que croient nos supérieurs. " " Personne ne vaécouter les appels du Falun Gong. Si vous en avez la capacité, vous pouvezaller faire appel. Je vous donnerai du temps. " Zhang Xi a donné desinstructions aux gardiens de prison : " Laissez-les pratiquerles exercices de la prison. " (faisant référence à diversespunitions). En plus de donner ses instructions à la police militaire et à descriminels reconnus coupables pour battre les pratiquants de Falun Gong, Zhang asouvent tabassé lui-même des pratiquants personnellement.
Wang Jin, le chef ducentre de détention, abus physiques, passages à tabac, insultes et torturesenvers des pratiquants de la Grande Loi. Comme punitions, il emploie desinstruments de torture d’une manière illégale. Selon des statistiquesincomplètes, il a battu des pratiquants de Falun Dafa plus d’un millier defois. Il est vicieux et cruel, quand il dirige le passage à tabac, et même lesgardiens n’ont pas le cœur à être témoin de ses abus. Wang insultecontinuellement les pratiquants et leur répète continuellement les instructionsverbales de Zhang Xi, pendant qu’il dirige les passages à tabac.
Wang Jingfu, unmédecin de l’hôpital du comté de Qinglong, a ignoré ses obligations moraleset ses devoirs en tant que médecin. Pendant qu’il nourrissait de force unepratiquante, il a fait tomber deux de ses dents et a laissé sa gorge blessée etsaignante. Il a même inventé nourrir de force par l’anus, ce qui est humiliantet torturant pour les pratiquants de Falun Dafa. Alors qu’il n’arrivait pasnourrir de force par le nez ou la bouche une pratiquante, Wang Jingfu a demandéà cinq condamnés internés de la maintenir au sol, et il lui a introduit le tubepar l’anus. Sa façon d’être si vicieuse laissera pour toujours une marquehonteuse sur le nom de l’hôpital du comté de Qinglong.
Chaque pratiquant deFalun Dafa détenu ou arrêté dans notre comté a été soumis à divers degré detorture et abus. Ce que vous allez entendre ci-dessous sont quelques exemplesréellement vécus :
Wang Sufen, femme : Lapolice militaire lui a arraché ses pantalons et l’a battue avec des ceinturesde cuir, des baguettes de plastique quadrangulaires, la police l’a tapéependant plus d’une demi-heure, jusqu’à ce que Wang s’évanouisse.
Du Yinqin, femme, 50ans : Elle a été si sévèrement battue par six officiers de la police militairequ’elle n’a plus pu que se retourner sur le sol. Zhang Xi, qui se tenait toutprès, a demandé : " Est-ce que vous dites encore que le FalunDafa est bon ? Si oui, continuez à la battre. " Ils n’ont pasarrêté jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse. Quand elle a repris conscience, elleétait menottée et enchaînée. Elle ne pouvait pas s’occuper d’elle-même. Qu’ellesoit réveillée ou qu’elle dorme, elle devait rester accroupie, parce que sesmains étaient enchaînées avec ses pieds.
Li Guishu, femme :on l’a forcée à rester dehors sous la pluie. Elle était assise sous une pluiebattante dans la cour, trempée, pendant un jour et une nuit. Tous ses habitsétaient trempés, mais on ne lui a pas permis de se changer.
Hu, homme : Le chefdu centre de détention, Wang Jin lui a arraché ses pantalons devant la fenêtredes cellules des femmes. Wang a aussi fouetté les fesses de Hu avec desceintures de cuir. Les fesses de Hu ont enflé et sont devenues rouge foncé.
Zhang, femme, 40ans : Wang Jin a donné l’ordre à des personnes d’enlever les pantalons deZhang et de la maintenir couchée sur une chaise. Ils l’ont battue jusqu’à ceque sa peau soit déchirée et que la chair soit béante. Quand elle a remis sespantalons, ils sont devenus pleins de sang et ont collé à sa chair. Elle avaitaussi une bosse à l’arrière de la tête de la taille d’un œuf.
Liu Yuxia, et 16 autrespratiquants : Après avoir été battus vicieusement par Wang Jin avec desceintures de cuir, ils ont été forcés de ramper sur de la glace. Ensuite, ils ontété enfermés dans une chambre froide pendant trois jours sans eau ninourriture.
Feng Guirong et FengGuiling, femmes toutes les deux : Ce sont deux sœurs. Le matin du jour leplus froid de l’hiver, elles ont été menottées et suspendues à une barre métalliquependant 45 minutes. Il faisait si froid que même les gardiens portant de lourdsmanteaux n’arrivaient pas à rester dehors pendant longtemps. Les deux sœursétaient vêtues de peu de choses. (Aucun pull n’était autorisé dans la prison)Leurs mains ont enflé à cause du froid, elles sont devenues raides et ont perdules sensations. Quand elles ont été enlevées, elles sont restées menottées.Plus tard, Feng Guling avait des boursouflures aussi grosses que des œufs toutautour des mains.
Des criminels comme ZhangXi, Wang Jin et Wang Jingfu seront punis par la loi et recevront leurrétribution selon les principes du ciel.
Le 13 mai 2001
Date d’envoi : 22 mai 2001
Date de l’articleoriginel : 13 mai 2001
Traduit del’original le 19 mai 2001 de
Traduit le 24mai 2001 de http://
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