"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Un coupd’œil à l’intérieur de la Grande Loi sans limite

Deuxsemaines dans Dafa, une merveilleuse rencontre au paradis.

Deux semaines après avoir obtenu Dafa [GrandeLoi et Principes), c’était en 1996, je lisais chaque jour et tout le jourdurant, ayant à cœur de mémoriser Dafa. Cependant, pour une certaine raison, jesemblais toujours en avoir oublié la première partie alors que je lisais ladernière, aussi tout ce que je pouvais faire était de lire continuellement lelivre, encore et encore. Un jour, je me suis soudain souvenu du projet de vieque je m’étais fixé juste avant d’obtenir Dafa, sachant en mon for intérieurque cette question n’avait rien à voir avec la cultivation. je ne l’envisageaispas moins, « Ne pouvais-je renoncer ni à l’un ni à l’autre » 

Sans m’en rendre compte, je m’endormis. Dansmon sommeil, mon yuanshen quitta mon corps, et transcenda bien des dimensions ;la vitesse était si grande que j’eus un moment de vertige. Puis, ces galaxiesapparemment familières furent laissées loin derrière, et je continuais toujoursà voler ; pour ne pas avoir peur, je fermai les yeux. Lorsque le vertigeeut disparu et que j’ouvris les yeux de nouveau, je pensai, « Ooh, quelendroit – si clair et lumineux, si sacré et merveilleux ! »

Ces scènes indescriptiblement pures et bellesétaient beaucoup plus claires et réelles que ce qu’on pouvait habituellementvoir sur terre avec les yeux grand ouverts. Bien qu’ au réveil je n’ai pu m’en rappelerune grande part, je me suis toutefois souvenu que tout était si clair et siheureux. Me demandant « Où suis-je donc ? » personne ne merépondit. Me demandant , « où est le ciel ? » et regardant toutautour, il n’y en avait pas . réfléchissant , « Le ciel est bleu, maiscomment se fait-il qu’il ne soit pas là ? » Sur le champ un ciel bleuet clair apparut au-dessus de moi. Puis je pensai, « pourquoi paspourpre ? » Immédiatement le ciel devint pourpre. Je stoppais le courde mes pensées, conscient que je n’aurais pas du penser de façon aussiextravagante en utilisant mes notions humaines, mais mes pensées ne voulaientpas s’arrêter. « Qui sont ces Bouddhas ? »voyons s’il y en a unque je connais. Je ne connaissais que Bouddha Sakyamuni et Bouddha Amitabha.J’avais vu une fois une statue du Bouddha de la Médecine dans un temple, mais àquoi ressemblaient-ils tous ? Je ne pouvais m’en souvenir ; aussivoulus-je regarder de plus près. Avec cette pensée, ceux que je voulais voirapparurent juste devant moi

A ce moment, il y avait de très nombreuxbouddhas tous vêtus de Jiasha (habits de bouddhas)couleur d’or , assis heureuxà l’intérieur d’une clôture en jade blanc ciselée;, entourant un palaisgrandiose couvert d’un toit d’un rouge pourpre. La balustrade de jade étaitenceinte d’encore une palissade de jade blanc, et d’encore une autre ;plus on s’approchait du palais plus palissade et sièges étaient élevés. Il yavait tant de bouddhas dont la majorité m’était inconnue. Je semblais êtreinvisible à leurs yeux ; en fait la plupart d’entre eux me semblaient êtrearrivés après que je sois parti. Deux bouddhas me virent et me saluèrent de latête en souriant, comme s’ils me connaissaient. En mon cœur j’essayais dedeviner ; « Etait-ce Maitreya ? où était-ce Sakyamuni ? »

A ce moment, une grande voix s’éleva du grandpalais résonnant profondément dans l’univers, faisant trembler toute chose;c’était le Maître, une conférence de la Loi venait de commencer. La conférencede Maître était si merveilleuse à entendre, on pouvait sentir tout son être sefondre dans l’univers sans limites. Après un petit moment, je me souvins tout àcoup que j’étais pratiquant de Dafa, et Zhuan Falun n’enseignait-il pas l’importancede ne pratiquer qu’une seule voie de cultivation ? Comment avais-je pu nepas penser à examiner d’abord si tout cela était vrai ? Si ce n’était pasvrai, alors tout ce que j’avais pratiqué ne l’aurais-je pas perturbé, et j’auraisalors pratiqué en vain ? Que disait exactement le livre sur la question d’« une seule voie de cultivation »?. Avec cette pensée ma têtecommença à me faire terriblement mal, et je ne pus me souvenir dans quellepartie du livre j’avais lu ce qui concernait cette question ; après tout,je n’étais pratiquant que depuis deux semaines. Le temps ne doit pas êtregaspillé ; je ne pouvais pas me souvenir, et la conférence du Maître étaitsi merveilleuse qu’on ne pouvait que souhaiter l’entendre. J’écoutais de nouveaupour un long moment avant de penser encore une fois à vouloir vérifier avec lelivre ; finalement, lassé mon yuanshen retourna. Puis je m’éveillais dansun choc, mon corps tout entier était si chaud que c’était comme si je venais depasser par une série de «guanding », plein d’énergie. Naturellement monattachement à mon ancien projet de vie s’évanouit dans le vide en un clin d’œil.J’acquis aussi une plus profonde appréciation de ce que, celui qui avait reçu une bonne éducation, qui avait eu unchemin facile à la fois dans ses études et sa carrière, ne savait rien de laplus fondamentale, et la plus importante des vérités, y compris qui noussommes, ce qu’est la vie , et quel est le but de la vie humaine »,etc. Je mis du temps avant de surmonter le chagrin de m’être moi-même forcé àquitter cet endroit de conférence de la Loi ,sacré et extrêmement merveilleux,à cause de mon attachement à vouloir comparer avec le livre. Heureusement pourune aussi longue période de temps, la voix pénétrante du Maître lors de laconférence au paradis retentît dans mon cœur chaque fois que j’étudiais la Loi.

Tous les pratiquants savent que pour monter àune telle hauteur une grande quantité d’énergie est requise. Qu’un nouveaupratiquant, d’à peine deux semaines, ayant encore de nombreux, nombreuxattachements à abandonner sans savoir comment, puisse être envoyé dans un telendroit pour écouter la Loi, montre que l’immensité de Dafa, la puissance deDafa, la capacité de Dafa sur le chemin vers l’incommensurablement haut,dépasse véritablement notre imagination la plus extravagante.

( à suivre)

23 avril 2001

traduit de l’anglais

(http://minghui.cc/mh/articles/2001/4/25/10028.html

)